Centre de Documentation Campus Montignies
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11 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Reprise du sport'
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Critères objectifs pour la reprise du sport après ligamentoplastie du LCA / Hervé Jacquard in Kinésithérapie scientifique, 564 (Avril 2015)
[article]
Titre : Critères objectifs pour la reprise du sport après ligamentoplastie du LCA Type de document : texte imprimé Auteurs : Hervé Jacquard, Auteur ; Claude Pichonnaz, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 15-24 Langues : Français (fre) Mots-clés : Genou Ligament croisé antérieur Reconstruction Reprise du sport Test fonctionnel Résumé : La rééducation après une reconstruction chirurgicale du ligament croisé antérieur (LCA) est essentielle pour permettre un retour au niveau d'activité prélésionnel.
En raison du taux élevé de récidive et de lésion du genou controlatéral, l'évaluation de la capacité à reprendre le sport de manière sécuritaire est primordiale. Les auteurs ont donc conduit une revue narrative de la littérature afin d'identifier des tests de performance fonctionnelle utilisables en clinique courante par les physiothérapeutes.
Ils ont ensuite analysé les qualités psychométriques de ces tests pour l'évaluation des performances fonctionnelles et la capacité à prédire le retour sécuritaire au sport.En ligne : http://www.ks-mag.com/journaux/sommaire/2015-04-10 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36040
in Kinésithérapie scientifique > 564 (Avril 2015) . - p. 15-24[article] Critères objectifs pour la reprise du sport après ligamentoplastie du LCA [texte imprimé] / Hervé Jacquard, Auteur ; Claude Pichonnaz, Auteur . - 2015 . - p. 15-24.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 564 (Avril 2015) . - p. 15-24
Mots-clés : Genou Ligament croisé antérieur Reconstruction Reprise du sport Test fonctionnel Résumé : La rééducation après une reconstruction chirurgicale du ligament croisé antérieur (LCA) est essentielle pour permettre un retour au niveau d'activité prélésionnel.
En raison du taux élevé de récidive et de lésion du genou controlatéral, l'évaluation de la capacité à reprendre le sport de manière sécuritaire est primordiale. Les auteurs ont donc conduit une revue narrative de la littérature afin d'identifier des tests de performance fonctionnelle utilisables en clinique courante par les physiothérapeutes.
Ils ont ensuite analysé les qualités psychométriques de ces tests pour l'évaluation des performances fonctionnelles et la capacité à prédire le retour sécuritaire au sport.En ligne : http://www.ks-mag.com/journaux/sommaire/2015-04-10 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36040 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRécidive et reprise du sport après chirurgie pour rupture du tendon calcanéen : suture simple versus Tenolig / E. Laboute in Journal de traumatologie du sport, Vol.38, n°1 (Mars 2021)
[article]
Titre : Récidive et reprise du sport après chirurgie pour rupture du tendon calcanéen : suture simple versus Tenolig Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Laboute, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 9-15 Langues : Français (fre) Mots-clés : Calcanéus Cheville Reprise du sport Résumé : Le risque principal d’échec de la chirurgie de rupture du tendon calcanéen est la récidive. Nous avons cherché à comparer la suture percutanée par Tenolig (T) à la suture simple à ciel ouvert (S) chez des sportifs, par un questionnaire téléphonique. Le taux de réponses a été de 74 %. Celles-ci ont été analysées avec un modèle de Cox. Sur les 48 patients ayant répondu, 14 ont été exclus (3 traitements orthopédiques et 11 traitements chirurgicaux par suture avec un renfort). Le recul moyen du questionnaire était de 928jours pour le groupe Tenolig (n =10) contre 942jours pour le groupe suture simple (n =24). Les groupes étaient comparables sans différence significative au niveau de l’âge, du sexe et du sport. Il n’y avait pas de différence significative des taux ni délais de reprise du sport. Concernant les récidives, le nombre a été de 4 cas sur 10 pour les T et de 1 cas sur 24 pour les S (avec une différence significative de p =0,0272). Dans notre étude, le risque de récidive est statistiquement plus élevé pour les T que pour les S chez les sportifs, sans différence concernant les délais de reprise du sport, ce qui semble correspondre au risque des séries de la littérature pour les T où celui-ci est estimé entre 10 à 20 %, avec des nombres de cas plus élevés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92701
in Journal de traumatologie du sport > Vol.38, n°1 (Mars 2021) . - p. 9-15[article] Récidive et reprise du sport après chirurgie pour rupture du tendon calcanéen : suture simple versus Tenolig [texte imprimé] / E. Laboute, Auteur ; et al., Auteur . - 2021 . - p. 9-15.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.38, n°1 (Mars 2021) . - p. 9-15
Mots-clés : Calcanéus Cheville Reprise du sport Résumé : Le risque principal d’échec de la chirurgie de rupture du tendon calcanéen est la récidive. Nous avons cherché à comparer la suture percutanée par Tenolig (T) à la suture simple à ciel ouvert (S) chez des sportifs, par un questionnaire téléphonique. Le taux de réponses a été de 74 %. Celles-ci ont été analysées avec un modèle de Cox. Sur les 48 patients ayant répondu, 14 ont été exclus (3 traitements orthopédiques et 11 traitements chirurgicaux par suture avec un renfort). Le recul moyen du questionnaire était de 928jours pour le groupe Tenolig (n =10) contre 942jours pour le groupe suture simple (n =24). Les groupes étaient comparables sans différence significative au niveau de l’âge, du sexe et du sport. Il n’y avait pas de différence significative des taux ni délais de reprise du sport. Concernant les récidives, le nombre a été de 4 cas sur 10 pour les T et de 1 cas sur 24 pour les S (avec une différence significative de p =0,0272). Dans notre étude, le risque de récidive est statistiquement plus élevé pour les T que pour les S chez les sportifs, sans différence concernant les délais de reprise du sport, ce qui semble correspondre au risque des séries de la littérature pour les T où celui-ci est estimé entre 10 à 20 %, avec des nombres de cas plus élevés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92701 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIdentification des critères de retour au sport après chirurgie ligamentaire de la cheville / Maude Traulle in Kinésithérapie scientifique, 619 (Avril 2020)
[article]
Titre : Identification des critères de retour au sport après chirurgie ligamentaire de la cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : Maude Traulle, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 27-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cheville ligamentoplastie Reprise du sport Résumé : L’instabilité latérale chronique de cheville (ILCC) est une complication fréquente après entorse latérale de cheville (ELC). La probabilité de développer une ILCC augmente avec la récurrence des ELC. En effet, l’ELC est une pathologie très répandue avec une incidence en France de près de 6000 cas par jour selon Besse [1]. Bauer et al. [2] expliquent que la prévalence de l’ILCC après ELC est de 20 à 40 %.En 2019, Herzog et al. [3] comptent près de 2 millions d’ELC aux États-Unis d’Amérique. Ceux-ci nous expliquent qu’environ 70 % de cette population ayant subi une ELC est à risque de développer une ILCC. Dans le sport de compétition, quel que soit le niveau de celle-ci, 10 à 30 % des blessures sont des ELC.Il est nécessaire de distinguer l’instabilité fonctionnelle (déséquilibre neuromusculaire sans laxité) et l’instabilité sur laxité chronique (déplacement anormal du talus par rapport à la pince bimalléolaire objectivé par l’examen physique via un test en varus forcé et tiroir antérieur). Cette seconde description correspond à l’ILCC. Or, l’instabilité d’une articulation engendre une mauvaise répartition des contraintes lui étant appliquées et favorise ainsi la formation d’arthrose selon Kobayashi et al. [4].Le traitement de l’ILCC est essentiel tant pour la prévention de la dégradation de l’articulation que pour la reprise du sport en toute sécurité.L’ELC concerne le ligament latéral de la cheville ou ligament collatéral fibulaire (LCF). Le LCF comporte 3 faisceaux :– le faisceau antérieur ou ligament talo-fibulaire antérieur (LTFA) ;
– le faisceau moyen ou calcanéo-fibulaire (LCaF) ;
– le faisceau postérieur ou ligament talo-fibulaire postérieur (LTFP).Dans la blessure, un ou plusieurs des faisceaux du LCF présentent une distension ou une rupture, qu’elle soit partielle ou totale. Le traitement de l’ILCC doit par conséquent résoudre l’absence ou l’inefficacité d’une partie du LCF.L’indication chirurgicale relève de la sensation d’instabilité du patient mais également de la laxité du compartiment latéral de la cheville ainsi que du nombre de récidives d’ELC. Ainsi, ce sont les sujets les plus actifs qui seront concernés par ces procédures et plus particulièrement ceux qui souhaitent reprendre une activité sportive.Selon Bauer et al. [2], il existe plusieurs procédures chirurgicales permettant soit la réparation du ligament (procédures de Broström, de Karlsson, de Blanchet, de Duquennoy), ou de ligamentoplasties. Ces techniques se divisent en 2 types de reconstructions selon Yasui et al. [5] : les reconstructions dites anatomiques, suivant le trajet des ligaments formant le LLE et utilisant diverses prises de greffe (tendon du gracile, du fascia lata, du plantaire grêle), et les non anatomiques ou de substitution qui déroutent le tendon du court fibulaire pour former un renfort latéral (procédures de Castaing, de Chrisman-Snook, de Colville, de Watson) [6].Globalement, Shawen et al. [7] dans leur revue de littérature, montrent que les patients ayant bénéficié de chirurgie ligamentaire latérale de la cheville reprennent le sport mais à des niveaux moindres que ceux qu’ils pratiquaient avant blessure. La question qui est soulevée est évidement « Pourquoi ? » car les sujets ont retrouvé une stabilité articulaire physiologique grâce à l’intervention, comme dans l’étude de Keklik et Kiral selon la procédure de Colville [8]. Si le problème ne vient pas de la stabilité articulaire passive, c’est que d’autres critères, propres à chaque individu, doivent être pris en compte afin d’autoriser le retour au sport (RTS) en toute sécurité.La méta-analyse de Kobayashi et al. [4] parue en 2016 a montré qu’il existait certains facteurs de risque pour l’ELC : un IMC élevé, un déficit de mobilité en dorsi-flexion, une diminution de la force des éverseurs en excentrique à basse vitesse et une augmentation de la force de flexion plantaire concentrique rapide, un déficit proprioceptif et par conséquent, des troubles de la posture statique.Ces facteurs sont également retrouvés dans l’ILCC selon les travaux de Miklovic et al. de 2018 [9]. En effet, leur revue statue qu’une réduction de mobilité de la cheville, un déficit de force, des troubles posturaux, sont retrouvés sur le membre lésé.Par ailleurs, ils expliquent que la cinématique de marche, ou de course, est perturbée avec un placement de la cheville en éversion au moment de l’attaque du pas et une augmentation de la flexion de genou (pouvant être restaurée par la rééducation) et que ces observations se retrouvent dans le saut sur une jambe. Ces facteurs sont autant de points sur lesquels il est essentiel d’avoir une fonction restaurée pour autoriser la reprise d’une activité physique, quel que soit le niveau.À notre connaissance, il n’existe pas de littérature qui examine précisément les critères objectifs pouvant autoriser le RTS après ligamentoplastie du LCF dans le traitement de l’ILCC. Nous nous proposons de faire un état des lieux de la littérature et des critères concrets pouvant guider le choix thérapeutique.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86110
in Kinésithérapie scientifique > 619 (Avril 2020) . - p. 27-38[article] Identification des critères de retour au sport après chirurgie ligamentaire de la cheville [texte imprimé] / Maude Traulle, Auteur ; et al., Auteur . - 2020 . - p. 27-38.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 619 (Avril 2020) . - p. 27-38
Mots-clés : Cheville ligamentoplastie Reprise du sport Résumé : L’instabilité latérale chronique de cheville (ILCC) est une complication fréquente après entorse latérale de cheville (ELC). La probabilité de développer une ILCC augmente avec la récurrence des ELC. En effet, l’ELC est une pathologie très répandue avec une incidence en France de près de 6000 cas par jour selon Besse [1]. Bauer et al. [2] expliquent que la prévalence de l’ILCC après ELC est de 20 à 40 %.En 2019, Herzog et al. [3] comptent près de 2 millions d’ELC aux États-Unis d’Amérique. Ceux-ci nous expliquent qu’environ 70 % de cette population ayant subi une ELC est à risque de développer une ILCC. Dans le sport de compétition, quel que soit le niveau de celle-ci, 10 à 30 % des blessures sont des ELC.Il est nécessaire de distinguer l’instabilité fonctionnelle (déséquilibre neuromusculaire sans laxité) et l’instabilité sur laxité chronique (déplacement anormal du talus par rapport à la pince bimalléolaire objectivé par l’examen physique via un test en varus forcé et tiroir antérieur). Cette seconde description correspond à l’ILCC. Or, l’instabilité d’une articulation engendre une mauvaise répartition des contraintes lui étant appliquées et favorise ainsi la formation d’arthrose selon Kobayashi et al. [4].Le traitement de l’ILCC est essentiel tant pour la prévention de la dégradation de l’articulation que pour la reprise du sport en toute sécurité.L’ELC concerne le ligament latéral de la cheville ou ligament collatéral fibulaire (LCF). Le LCF comporte 3 faisceaux :– le faisceau antérieur ou ligament talo-fibulaire antérieur (LTFA) ;
– le faisceau moyen ou calcanéo-fibulaire (LCaF) ;
– le faisceau postérieur ou ligament talo-fibulaire postérieur (LTFP).Dans la blessure, un ou plusieurs des faisceaux du LCF présentent une distension ou une rupture, qu’elle soit partielle ou totale. Le traitement de l’ILCC doit par conséquent résoudre l’absence ou l’inefficacité d’une partie du LCF.L’indication chirurgicale relève de la sensation d’instabilité du patient mais également de la laxité du compartiment latéral de la cheville ainsi que du nombre de récidives d’ELC. Ainsi, ce sont les sujets les plus actifs qui seront concernés par ces procédures et plus particulièrement ceux qui souhaitent reprendre une activité sportive.Selon Bauer et al. [2], il existe plusieurs procédures chirurgicales permettant soit la réparation du ligament (procédures de Broström, de Karlsson, de Blanchet, de Duquennoy), ou de ligamentoplasties. Ces techniques se divisent en 2 types de reconstructions selon Yasui et al. [5] : les reconstructions dites anatomiques, suivant le trajet des ligaments formant le LLE et utilisant diverses prises de greffe (tendon du gracile, du fascia lata, du plantaire grêle), et les non anatomiques ou de substitution qui déroutent le tendon du court fibulaire pour former un renfort latéral (procédures de Castaing, de Chrisman-Snook, de Colville, de Watson) [6].Globalement, Shawen et al. [7] dans leur revue de littérature, montrent que les patients ayant bénéficié de chirurgie ligamentaire latérale de la cheville reprennent le sport mais à des niveaux moindres que ceux qu’ils pratiquaient avant blessure. La question qui est soulevée est évidement « Pourquoi ? » car les sujets ont retrouvé une stabilité articulaire physiologique grâce à l’intervention, comme dans l’étude de Keklik et Kiral selon la procédure de Colville [8]. Si le problème ne vient pas de la stabilité articulaire passive, c’est que d’autres critères, propres à chaque individu, doivent être pris en compte afin d’autoriser le retour au sport (RTS) en toute sécurité.La méta-analyse de Kobayashi et al. [4] parue en 2016 a montré qu’il existait certains facteurs de risque pour l’ELC : un IMC élevé, un déficit de mobilité en dorsi-flexion, une diminution de la force des éverseurs en excentrique à basse vitesse et une augmentation de la force de flexion plantaire concentrique rapide, un déficit proprioceptif et par conséquent, des troubles de la posture statique.Ces facteurs sont également retrouvés dans l’ILCC selon les travaux de Miklovic et al. de 2018 [9]. En effet, leur revue statue qu’une réduction de mobilité de la cheville, un déficit de force, des troubles posturaux, sont retrouvés sur le membre lésé.Par ailleurs, ils expliquent que la cinématique de marche, ou de course, est perturbée avec un placement de la cheville en éversion au moment de l’attaque du pas et une augmentation de la flexion de genou (pouvant être restaurée par la rééducation) et que ces observations se retrouvent dans le saut sur une jambe. Ces facteurs sont autant de points sur lesquels il est essentiel d’avoir une fonction restaurée pour autoriser la reprise d’une activité physique, quel que soit le niveau.À notre connaissance, il n’existe pas de littérature qui examine précisément les critères objectifs pouvant autoriser le RTS après ligamentoplastie du LCF dans le traitement de l’ILCC. Nous nous proposons de faire un état des lieux de la littérature et des critères concrets pouvant guider le choix thérapeutique.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86110 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtReprise des activités après chirurgie tendineuse : quels critères utiliser ? / R. Collin in Journal de traumatologie du sport, Vol. 35, n°4 (Décembre 2018)
[article]
Titre : Reprise des activités après chirurgie tendineuse : quels critères utiliser ? Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Collin ; et al., Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 240-255 Langues : Français (fre) Mots-clés : entrainement Reprise du sport Résumé : Cette revue de la littérature a pour but de recenser des critères pertinents d?évaluation en vue de la reprise des activités sportives et de la vie quotidienne après chirurgie des tendons de la coiffe des rotateurs, du tendon des épicondyliens et des tendons rotulien et calcanéen.
Actualités
La chirurgie constitue une option thérapeutique pour les tendinopathies chroniques rebelles au traitement conservateur et les ruptures tendineuses. Les critères de reprise des activités quotidiennes et sportives après chirurgie tendineuse sont souvent peu fonctionnels et non individualisés. Dès lors, il apparaît essentiel de proposer, à l?instar d?autres lésions musculo-squelettiques, des recommandations validées afin d?estimer au mieux le délai de reprise des activités.
Perspectives et projets
Nous avons retenu des critères cliniques comme la douleur, l?amplitude articulaire, la force isométrique et isocinétique, l?endurance des muscles de la jambe et les tests de sauts. Les résultats de questionnaires algofonctionnels adaptés à l?étude de la structure tendineuse, tels que les scores de Constant, Patient-Rated Tennis Elbow Evaluation (PRTEE), Victorian Institute of Sport Assessment adapté au tendon rotulien (VISA-P), Achille tendon Total Rupture Score (ATRS) et Victorian Institute of Sport Assessment adapté au tendon achilléen (VISA-A), font aussi partie des critères répertoriés. À l?avenir, il est nécessaire de définir des valeurs-seuils des différents scores et épreuves proposés afin de pouvoir mieux définir le délai de reprise et garantir celui-ci en toute sécurité.
Conclusion
De nombreux critères de reprise des activités après chirurgie tendineuse sont recensés dans la littérature. Parmi ceux-ci, certains semblent plus pertinents. Concernant la pratique sportive, nous préconisons d?intégrer ces paramètres au modèle défini par Creighton et son équipePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61230
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°4 (Décembre 2018) . - p. 240-255[article] Reprise des activités après chirurgie tendineuse : quels critères utiliser ? [texte imprimé] / R. Collin ; et al., Auteur . - 2018 . - p. 240-255.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°4 (Décembre 2018) . - p. 240-255
Mots-clés : entrainement Reprise du sport Résumé : Cette revue de la littérature a pour but de recenser des critères pertinents d?évaluation en vue de la reprise des activités sportives et de la vie quotidienne après chirurgie des tendons de la coiffe des rotateurs, du tendon des épicondyliens et des tendons rotulien et calcanéen.
Actualités
La chirurgie constitue une option thérapeutique pour les tendinopathies chroniques rebelles au traitement conservateur et les ruptures tendineuses. Les critères de reprise des activités quotidiennes et sportives après chirurgie tendineuse sont souvent peu fonctionnels et non individualisés. Dès lors, il apparaît essentiel de proposer, à l?instar d?autres lésions musculo-squelettiques, des recommandations validées afin d?estimer au mieux le délai de reprise des activités.
Perspectives et projets
Nous avons retenu des critères cliniques comme la douleur, l?amplitude articulaire, la force isométrique et isocinétique, l?endurance des muscles de la jambe et les tests de sauts. Les résultats de questionnaires algofonctionnels adaptés à l?étude de la structure tendineuse, tels que les scores de Constant, Patient-Rated Tennis Elbow Evaluation (PRTEE), Victorian Institute of Sport Assessment adapté au tendon rotulien (VISA-P), Achille tendon Total Rupture Score (ATRS) et Victorian Institute of Sport Assessment adapté au tendon achilléen (VISA-A), font aussi partie des critères répertoriés. À l?avenir, il est nécessaire de définir des valeurs-seuils des différents scores et épreuves proposés afin de pouvoir mieux définir le délai de reprise et garantir celui-ci en toute sécurité.
Conclusion
De nombreux critères de reprise des activités après chirurgie tendineuse sont recensés dans la littérature. Parmi ceux-ci, certains semblent plus pertinents. Concernant la pratique sportive, nous préconisons d?intégrer ces paramètres au modèle défini par Creighton et son équipePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61230 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLCA / Sylvie Besch in Journal de traumatologie du sport, vol. 39, 2 (juin 2022)
[article]
Titre : LCA Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Besch Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 127-131 Langues : Français (fre) Mots-clés : ligamentoplastie Ligament croisé antérieur / chirurgie Reprise du sport Résumé : Reprise du sport participation à long terme à des sports pivots après une ligamentoplastie du LCA Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104822
in Journal de traumatologie du sport > vol. 39, 2 (juin 2022) . - p. 127-131[article] LCA [texte imprimé] / Sylvie Besch . - 2022 . - p. 127-131.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 39, 2 (juin 2022) . - p. 127-131
Mots-clés : ligamentoplastie Ligament croisé antérieur / chirurgie Reprise du sport Résumé : Reprise du sport participation à long terme à des sports pivots après une ligamentoplastie du LCA Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104822 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIdentification des critères de retour au sport après rupture du tendon d'achille / Maude Traulle in Kinésithérapie scientifique, 637 (Décembre 21)
PermalinkIntérêt de la quantification de la charge d’entraînement dans la décision du retour au sport chez un patient en fin de rééducation : revue de littérature et niveau de preuve / Romain Viollet in Kinésithérapie, la revue, 257 (Mai 2023)
PermalinkLigament croisé antérieur du genou : comment améliorer la compliance des sportifs non professionnels à suivre le processus de réhabilitation jusqu’à validation des critères de « retour au sport » et contribuer à diminuer le risque de re-rupture de la plastie ? / S. Abellaneja in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°1 (Mars 2019)
PermalinkLe programme de réathlétisation post-ligamentoplastie du genou : un accompagnement pour un retour opérationnel / Mickael Picard in Kinésithérapie, la revue, 233 (Mai 2021)
PermalinkLa réathlétisation du sportif blessé / Maxime Gaspar in Kinésithérapie scientifique, 652 (Avril 2023)
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