Centre de Documentation Campus Montignies
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Biomarqueurs pour le diagnostic de pleurésie tuberculeuse / Bastien Mollo in Annales de Biologie Clinique, 75/01 (Janvier-février 2017)
[article]
Titre : Biomarqueurs pour le diagnostic de pleurésie tuberculeuse Type de document : texte imprimé Auteurs : Bastien Mollo ; Stéphane Jouveshomme ; François Philippart ; Benoît Pilmis Année de publication : 2017 Article en page(s) : 19-27 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tuberculose Marqueurs biologiques Pleuresie Diagnostic Résumé : La tuberculose est une des principales étiologies à évoquer dans le cadre des pleurésies lymphocytaires. Néanmoins, son diagnostic reste difficile et repose sur la mycobactériologie peu sensible et chronophage, ou l’histologie nécessitant la réalisation de geste biopsique invasif. Cette revue de la littérature, réalisée à partir de Medline, reprend les principales méta-analyses, revues, et publications princeps, en langue anglaise, concernant les biomarqueurs, classiques ou plus innovants, étudiés pour le diagnostic de pleurésie tuberculeuse. Parmi les marqueurs immuno-biochimiques, l’interféron-γ (IFN-γ), l’isoenzyme de l’adénosine déaminase 2 (ADA2) et l’adénosine déaminase totale (ADA) semblent les plus pertinents avec des sensibilités respectives de 89 % (87-91), 97,2 % (95-98,7) et 92 % (90-93) pour des spécificités à 97 % (96-98), 94,2 % (91,8-96) et 90 % (89-91). Concernant la biologie moléculaire, la PCR Xpert MTB/RIF a une sensibilité de 46,4 % (26,3-67,8), qui est bien supérieure à l’examen direct, tout en offrant une certitude diagnostique rapide avec une spécificité de 99,1 % (95,2-99,8) ainsi qu’un dépistage de la résistance à la rifampicine. Le test de relargage de l’interféron-γ (IGRA) est moins performant avec une sensibilité de 75 % (69-81) et une spécificité de 82 % (75-88) sur le sang et une sensibilité de 80 % (74-86 %) et une spécificité de 72 % (64-80) sur le liquide pleural. D’autres biomarqueurs (dont plusieurs cytokines) pourraient avoir un intérêt mais sont encore en cours d’évaluation. Ces méthodes innovantes, en particulier le dosage de l’ADA et le recours à la PCR Xpert MTB/RIF, devraient donc trouver leurs places dans l’algorithme diagnostique des pleurésies tuberculeuses. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77391
in Annales de Biologie Clinique > 75/01 (Janvier-février 2017) . - 19-27[article] Biomarqueurs pour le diagnostic de pleurésie tuberculeuse [texte imprimé] / Bastien Mollo ; Stéphane Jouveshomme ; François Philippart ; Benoît Pilmis . - 2017 . - 19-27.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > 75/01 (Janvier-février 2017) . - 19-27
Mots-clés : Tuberculose Marqueurs biologiques Pleuresie Diagnostic Résumé : La tuberculose est une des principales étiologies à évoquer dans le cadre des pleurésies lymphocytaires. Néanmoins, son diagnostic reste difficile et repose sur la mycobactériologie peu sensible et chronophage, ou l’histologie nécessitant la réalisation de geste biopsique invasif. Cette revue de la littérature, réalisée à partir de Medline, reprend les principales méta-analyses, revues, et publications princeps, en langue anglaise, concernant les biomarqueurs, classiques ou plus innovants, étudiés pour le diagnostic de pleurésie tuberculeuse. Parmi les marqueurs immuno-biochimiques, l’interféron-γ (IFN-γ), l’isoenzyme de l’adénosine déaminase 2 (ADA2) et l’adénosine déaminase totale (ADA) semblent les plus pertinents avec des sensibilités respectives de 89 % (87-91), 97,2 % (95-98,7) et 92 % (90-93) pour des spécificités à 97 % (96-98), 94,2 % (91,8-96) et 90 % (89-91). Concernant la biologie moléculaire, la PCR Xpert MTB/RIF a une sensibilité de 46,4 % (26,3-67,8), qui est bien supérieure à l’examen direct, tout en offrant une certitude diagnostique rapide avec une spécificité de 99,1 % (95,2-99,8) ainsi qu’un dépistage de la résistance à la rifampicine. Le test de relargage de l’interféron-γ (IGRA) est moins performant avec une sensibilité de 75 % (69-81) et une spécificité de 82 % (75-88) sur le sang et une sensibilité de 80 % (74-86 %) et une spécificité de 72 % (64-80) sur le liquide pleural. D’autres biomarqueurs (dont plusieurs cytokines) pourraient avoir un intérêt mais sont encore en cours d’évaluation. Ces méthodes innovantes, en particulier le dosage de l’ADA et le recours à la PCR Xpert MTB/RIF, devraient donc trouver leurs places dans l’algorithme diagnostique des pleurésies tuberculeuses. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77391 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleKinésithérapie à la phase aiguë des pathologies respiratoires / G. Cottereau in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Kinésithérapie à la phase aiguë des pathologies respiratoires Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Cottereau, Auteur ; F. Piton, Auteur ; Marc Antonello, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : 26-500-G-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Décompensation BPCO Insuffisance respiratoire aiguë Chirurgie thoracique ou abdominale haute Pleurésie Kinésithérapie respiratoire Complications alitement Résumé : L'insuffisance respiratoire aiguë (IRA) des insuffisants respiratoires chroniques (IRC) regroupe sous un même vocable les accidents évolutifs des insuffisants respiratoires chroniques obstructifs (IRCO) et des insuffisants respiratoires chroniques restrictifs (IRCR). C'est la survenue d'un épisode aigu sur fond de maladie chronique, associant anomalies primaires et anomalies compensatrices, qui explique l'essentiel des différences cliniques entre une détresse respiratoire aiguë survenant chez un IRC et une détresse respiratoire aiguë sur poumons antérieurement sains. Lorsque survient une IRA, la priorité est de participer à son traitement et à la prise en charge de ses complications éventuelles, quelle que soit la pathologie à l'origine de l'IRA. L'analyse physiopathologique de l'IRA et le contexte étiologique sont fondamentaux pour construire une démarche diagnostique kinésithérapique pertinente afin que la kinésithérapie prenne toute sa place dans le traitement. Les données du problème sont très différentes entre la décompensation d'une maladie respiratoire obstructive où la kinésithérapie aide à soulager la charge de travail des muscles inspirateurs et la période postopératoire d'une chirurgie thoracique ou abdominale haute où la kinésithérapie s'attache d'abord à prévenir l'hypoventilation, cause potentielle d'IRA. Au-delà de la problématique de l'IRA, la kinésithérapie doit anticiper et prévenir d'éventuelles complications à moyen ou long terme liées à l'évolution naturelle de la maladie respiratoire ou à un alitement prolongé, risque de grabatisation et de désocialisation. Sont donc abordés dans ce chapitre, à titre d'exemple pour les maladies respiratoires obstructives, la décompensation d'une bronchopneumopathie chronique obstructive puis la période postopératoire d'une chirurgie thoracique ou abdominale haute, que le patient soit porteur ou non d'une pathologie pulmonaire chronique et la phase aiguë d'une pleurésie comme approches de la prévention de séquelles respiratoires prévisibles. Note de contenu : Introduction
Insuffisance respiratoire aiguë
Définition de l'IRA
Mécanismes de l'hypoxémie
Mécanismes de l'hypercapnie
Prévention et traitement de l'IRA
Décompensation d'une maladie respiratoire chronique
Phase postopératoire de chirurgie thoracique ou abdominale haute
Prévention des complications à moyen terme liées à la maladie et au contexte clinique
Prévention de complications potentielles liées à l'évolution de la pathologie respiratoire
Prévention de complications potentielles liées a l'alitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43605
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Janvier 2005) . - 26-500-G-10[article] Kinésithérapie à la phase aiguë des pathologies respiratoires [texte imprimé] / G. Cottereau, Auteur ; F. Piton, Auteur ; Marc Antonello, Auteur . - 2005 . - 26-500-G-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Janvier 2005) . - 26-500-G-10
Mots-clés : Décompensation BPCO Insuffisance respiratoire aiguë Chirurgie thoracique ou abdominale haute Pleurésie Kinésithérapie respiratoire Complications alitement Résumé : L'insuffisance respiratoire aiguë (IRA) des insuffisants respiratoires chroniques (IRC) regroupe sous un même vocable les accidents évolutifs des insuffisants respiratoires chroniques obstructifs (IRCO) et des insuffisants respiratoires chroniques restrictifs (IRCR). C'est la survenue d'un épisode aigu sur fond de maladie chronique, associant anomalies primaires et anomalies compensatrices, qui explique l'essentiel des différences cliniques entre une détresse respiratoire aiguë survenant chez un IRC et une détresse respiratoire aiguë sur poumons antérieurement sains. Lorsque survient une IRA, la priorité est de participer à son traitement et à la prise en charge de ses complications éventuelles, quelle que soit la pathologie à l'origine de l'IRA. L'analyse physiopathologique de l'IRA et le contexte étiologique sont fondamentaux pour construire une démarche diagnostique kinésithérapique pertinente afin que la kinésithérapie prenne toute sa place dans le traitement. Les données du problème sont très différentes entre la décompensation d'une maladie respiratoire obstructive où la kinésithérapie aide à soulager la charge de travail des muscles inspirateurs et la période postopératoire d'une chirurgie thoracique ou abdominale haute où la kinésithérapie s'attache d'abord à prévenir l'hypoventilation, cause potentielle d'IRA. Au-delà de la problématique de l'IRA, la kinésithérapie doit anticiper et prévenir d'éventuelles complications à moyen ou long terme liées à l'évolution naturelle de la maladie respiratoire ou à un alitement prolongé, risque de grabatisation et de désocialisation. Sont donc abordés dans ce chapitre, à titre d'exemple pour les maladies respiratoires obstructives, la décompensation d'une bronchopneumopathie chronique obstructive puis la période postopératoire d'une chirurgie thoracique ou abdominale haute, que le patient soit porteur ou non d'une pathologie pulmonaire chronique et la phase aiguë d'une pleurésie comme approches de la prévention de séquelles respiratoires prévisibles. Note de contenu : Introduction
Insuffisance respiratoire aiguë
Définition de l'IRA
Mécanismes de l'hypoxémie
Mécanismes de l'hypercapnie
Prévention et traitement de l'IRA
Décompensation d'une maladie respiratoire chronique
Phase postopératoire de chirurgie thoracique ou abdominale haute
Prévention des complications à moyen terme liées à la maladie et au contexte clinique
Prévention de complications potentielles liées à l'évolution de la pathologie respiratoire
Prévention de complications potentielles liées a l'alitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43605 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire