Centre de Documentation Campus Montignies
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12 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Fractures'
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Fractures des plateaux tibiaux : fractures récentes / D. Chauveaux in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2002)
[article]
Titre : Fractures des plateaux tibiaux : fractures récentes Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Chauveaux ; V. Souillac ; J.-C. Le Huec Année de publication : 2002 Article en page(s) : 14-082-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : fractures articulaire tibia Résumé : Les fractures des plateaux tibiaux restent un problème fréquent de traumatologie. Leur traitement doit assurer la restauration de la qualité fonctionnelle du genou et le respect de l'équilibre statique du membre inférieur.
Si l'approche de ces fractures articulaires reste guidée en France depuis 1960 par les travaux de Duparc et Ficat, leur diagnostic et leurs classifications bénéficient grandement de la pratique accrue du scanner et leur traitement, chirurgical pour les formes peu déplacées, du développement des techniques d'abord mini-invasives.Note de contenu : Résumé
Rappels anatomiques et biomécanique
Physiopathologie et mécanisme fracturaire
Classification
Fractures unitubérositaires
Fractures spinotubérositaires
Fractures bitubérositaires
Diagnostic
Clinique
Examens radiologiques
Traitement
Principes
Méthodes
Indications
Complications
Précoces
Tardives
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43941
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2002) . - 14-082-A-10 [Tome 3][article] Fractures des plateaux tibiaux : fractures récentes [texte imprimé] / D. Chauveaux ; V. Souillac ; J.-C. Le Huec . - 2002 . - 14-082-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2002) . - 14-082-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : fractures articulaire tibia Résumé : Les fractures des plateaux tibiaux restent un problème fréquent de traumatologie. Leur traitement doit assurer la restauration de la qualité fonctionnelle du genou et le respect de l'équilibre statique du membre inférieur.
Si l'approche de ces fractures articulaires reste guidée en France depuis 1960 par les travaux de Duparc et Ficat, leur diagnostic et leurs classifications bénéficient grandement de la pratique accrue du scanner et leur traitement, chirurgical pour les formes peu déplacées, du développement des techniques d'abord mini-invasives.Note de contenu : Résumé
Rappels anatomiques et biomécanique
Physiopathologie et mécanisme fracturaire
Classification
Fractures unitubérositaires
Fractures spinotubérositaires
Fractures bitubérositaires
Diagnostic
Clinique
Examens radiologiques
Traitement
Principes
Méthodes
Indications
Complications
Précoces
Tardives
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43941 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les fractures du fémur distal au-delà de 80 ans: à propos d’une étude multicentrique d’une série rétrospective et d’une série prospective / CHANTELOT C. in La revue de gériatrie, Tome 40 - N°6 (Juin 2015)
[article]
Titre : Les fractures du fémur distal au-delà de 80 ans: à propos d’une étude multicentrique d’une série rétrospective et d’une série prospective Titre original : Distal femoral fractures after 80 years old: a multicentric study about prospective and retrospective series Type de document : texte imprimé Auteurs : CHANTELOT C., Auteur ; Germain DUMONT, Auteur ; Mathieu Ehlinger, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.327-333 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fémur distal fractures ostéosynthèse prothèse totale genou Résumé : Introduction: De par leur fréquence chez le sujet âgé,les fractures de l’extrémité supérieure du fémur ont fait l’objet de nombreuses études et publications, qui ont conduit à une certaine optimisation de leur prise en charge. Les fractures de l’extrémité distale représentent également une lésion grave et difficile à prendre en charge et nécessitent également une réflexion quant aux modalités de prise en charge.
Patients et méthodes: Une étude multicentrique a étudié les données d’une série rétrospective de janvier 2001 à décembre 2010 et d’une série prospective du 1er juin 2011 au 31 mai 2012 regroupant les fractures du fémur distal chez les patients âgés de plus de 80 ans.
Résultats: Ces fractures atteignaient une population majoritairement féminine, à l’autonomie dégradée. Elles étaient le plus souvent extra-articulaires et faisaient suite à un traumatisme de faible énergie. Le traitement était le plus souvent chirurgical par ostéosynthèse. Celui-ci donnait des résultats supérieurs au traitement orthopédique en termes de survie et de fonction. On notait une perte d’autonomie importante à 1 an, le score de Parker moyen n’atteignant que 2,6, près de la moitié des patients vivant au domicile avaient dû déménager vers une institution et le taux de patients grabataires était multiplié par 2.
Discussion: Au même titre que les fractures de l’extrémité proximale du fémur, les fractures de l’extrémité distale représentent une lésion grave chez le sujet âgé, tant sur le plan de la survie que de la fonction. Les résultats des techniques actuelles donnent des résultats inférieurs au traitement par arthroplastie des fractures de l’extrémité proximale.En ligne : http://www.revuedegeriatrie.fr/index.php Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=39122
in La revue de gériatrie > Tome 40 - N°6 (Juin 2015) . - p.327-333[article] Les fractures du fémur distal au-delà de 80 ans: à propos d’une étude multicentrique d’une série rétrospective et d’une série prospective = Distal femoral fractures after 80 years old: a multicentric study about prospective and retrospective series [texte imprimé] / CHANTELOT C., Auteur ; Germain DUMONT, Auteur ; Mathieu Ehlinger, Auteur . - 2015 . - p.327-333.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 40 - N°6 (Juin 2015) . - p.327-333
Mots-clés : Fémur distal fractures ostéosynthèse prothèse totale genou Résumé : Introduction: De par leur fréquence chez le sujet âgé,les fractures de l’extrémité supérieure du fémur ont fait l’objet de nombreuses études et publications, qui ont conduit à une certaine optimisation de leur prise en charge. Les fractures de l’extrémité distale représentent également une lésion grave et difficile à prendre en charge et nécessitent également une réflexion quant aux modalités de prise en charge.
Patients et méthodes: Une étude multicentrique a étudié les données d’une série rétrospective de janvier 2001 à décembre 2010 et d’une série prospective du 1er juin 2011 au 31 mai 2012 regroupant les fractures du fémur distal chez les patients âgés de plus de 80 ans.
Résultats: Ces fractures atteignaient une population majoritairement féminine, à l’autonomie dégradée. Elles étaient le plus souvent extra-articulaires et faisaient suite à un traumatisme de faible énergie. Le traitement était le plus souvent chirurgical par ostéosynthèse. Celui-ci donnait des résultats supérieurs au traitement orthopédique en termes de survie et de fonction. On notait une perte d’autonomie importante à 1 an, le score de Parker moyen n’atteignant que 2,6, près de la moitié des patients vivant au domicile avaient dû déménager vers une institution et le taux de patients grabataires était multiplié par 2.
Discussion: Au même titre que les fractures de l’extrémité proximale du fémur, les fractures de l’extrémité distale représentent une lésion grave chez le sujet âgé, tant sur le plan de la survie que de la fonction. Les résultats des techniques actuelles donnent des résultats inférieurs au traitement par arthroplastie des fractures de l’extrémité proximale.En ligne : http://www.revuedegeriatrie.fr/index.php Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=39122 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtMétacarpiens traumatiques in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Novembre 2008)
[article]
Titre : Métacarpiens traumatiques Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Article en page(s) : 26-220-B-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fractures Métacarpiens Rééducation Mobilisation immédiate Orthèses Électrostimulation Résumé : Les fractures des métacarpiens sont parmi les plus fréquentes du membre supérieur. Seulement 25 % de ces fractures relèvent d'un traitement chirurgical. Ces fractures consolident bien et ont bonne réputation, ce qui entraîne parfois un abus d'immobilisation dans le cas de traitement orthopédique ou une absence de prescription de rééducation dans le cas d'un traitement chirurgical. Dans les deux cas, des séquelles démesurées par rapport à l'atteinte initiale peuvent retentir sur la fonction de la main. Guidé par la hantise de la raideur, un consensus sur deux grands types de traitement initial se dégage : la mobilisation protégée active immédiate, dans le cas de fractures pas ou peu déplacées et stables, et l'ostéosynthèse minutieuse dans le cas de fractures déplacées, comminutives et/ou instables. L'ostéosynthèse est toujours réalisée dans l'optique d'une mobilisation protégée postopératoire immédiate pour éviter que le patient ne s'enferme dans le cercle vicieux : douleur-immobilisme qui débouche sur la raideur. La rééducation doit débuter immédiatement par les consignes de contrôle de l'oedème et de la douleur qui conditionne la reprise du mouvement actif. Les techniques de rééducation s'appuient sur la mobilisation protégée, la confection d'orthèses spécifiques, le recours éventuel au travail électroactif pour prévenir la formation d'adhérences des tendons extenseurs au dos de la main. La rééducation des fractures des métacarpiens peut se diviser en trois phases : phase 1 : du premier au quatrième jour post-traumatique/postopératoire ; phase 2 : du quatrième jour à un mois, un mois et demi post-traumatique/postopératoire ; phase 3 : de j30-45 à la reprise des activités professionnelles et ou sportives. Ces chiffres sont seulement indicatifs. Certains sujets, en fonction de leurs activités professionnelles et même sportives, n'arrêtent pas leur activité. Un défi pour la réalisation d'orthèses adaptées à cette activité ! Note de contenu : Introduction
Rappel des notions sur lesquelles se fonde la rééducation
Arches métacarpiennes
Incidence d'une perturbation de l'architecture des arches de la main sur la fonction
Raideur : relation entre l'oedème, la lésion des parties molles, l'immobilisation et la raideur
Cicatrisation des fractures : première intention, deuxième intention
Classification des fractures des métacarpiens
Méthodes de traitement médical/chirurgical
Examen kinésithérapique
Examen radiographique
Examen clinique initial
Éducation du patient
Évaluations successives
Examen final
Traitement kinésithérapique des fractures des métacarpiens
Principes guidant la rééducation
Phase 1
Phase 2
Phase 3
Spécificité de la rééducation en fonction de la localisation de la fracture et du métacarpien fracturé
Fractures de métacarpiens et sport
Complications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43563
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Novembre 2008) . - 26-220-B-11[article] Métacarpiens traumatiques [texte imprimé] . - 2008 . - 26-220-B-11.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Novembre 2008) . - 26-220-B-11
Mots-clés : Fractures Métacarpiens Rééducation Mobilisation immédiate Orthèses Électrostimulation Résumé : Les fractures des métacarpiens sont parmi les plus fréquentes du membre supérieur. Seulement 25 % de ces fractures relèvent d'un traitement chirurgical. Ces fractures consolident bien et ont bonne réputation, ce qui entraîne parfois un abus d'immobilisation dans le cas de traitement orthopédique ou une absence de prescription de rééducation dans le cas d'un traitement chirurgical. Dans les deux cas, des séquelles démesurées par rapport à l'atteinte initiale peuvent retentir sur la fonction de la main. Guidé par la hantise de la raideur, un consensus sur deux grands types de traitement initial se dégage : la mobilisation protégée active immédiate, dans le cas de fractures pas ou peu déplacées et stables, et l'ostéosynthèse minutieuse dans le cas de fractures déplacées, comminutives et/ou instables. L'ostéosynthèse est toujours réalisée dans l'optique d'une mobilisation protégée postopératoire immédiate pour éviter que le patient ne s'enferme dans le cercle vicieux : douleur-immobilisme qui débouche sur la raideur. La rééducation doit débuter immédiatement par les consignes de contrôle de l'oedème et de la douleur qui conditionne la reprise du mouvement actif. Les techniques de rééducation s'appuient sur la mobilisation protégée, la confection d'orthèses spécifiques, le recours éventuel au travail électroactif pour prévenir la formation d'adhérences des tendons extenseurs au dos de la main. La rééducation des fractures des métacarpiens peut se diviser en trois phases : phase 1 : du premier au quatrième jour post-traumatique/postopératoire ; phase 2 : du quatrième jour à un mois, un mois et demi post-traumatique/postopératoire ; phase 3 : de j30-45 à la reprise des activités professionnelles et ou sportives. Ces chiffres sont seulement indicatifs. Certains sujets, en fonction de leurs activités professionnelles et même sportives, n'arrêtent pas leur activité. Un défi pour la réalisation d'orthèses adaptées à cette activité ! Note de contenu : Introduction
Rappel des notions sur lesquelles se fonde la rééducation
Arches métacarpiennes
Incidence d'une perturbation de l'architecture des arches de la main sur la fonction
Raideur : relation entre l'oedème, la lésion des parties molles, l'immobilisation et la raideur
Cicatrisation des fractures : première intention, deuxième intention
Classification des fractures des métacarpiens
Méthodes de traitement médical/chirurgical
Examen kinésithérapique
Examen radiographique
Examen clinique initial
Éducation du patient
Évaluations successives
Examen final
Traitement kinésithérapique des fractures des métacarpiens
Principes guidant la rééducation
Phase 1
Phase 2
Phase 3
Spécificité de la rééducation en fonction de la localisation de la fracture et du métacarpien fracturé
Fractures de métacarpiens et sport
Complications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43563 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéodystrophie rénale / M.H. Lafage-Proust in EMC : Appareil locomoteur, (Juillet 2008)
[article]
Titre : Ostéodystrophie rénale Type de document : texte imprimé Auteurs : M.H. Lafage-Proust, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-275-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéodystrophie rénale Remodelage osseux Hyperparathyroïdie secondaire Fractures Insuffisance rénale chronique Résumé : L'ostéodystrophie rénale (ODR) est une ostéopathie métabolique diffuse en rapport avec l'insuffisance rénale chronique, qui inclut diverses lésions histologiques. Elle comprend des troubles du remodelage (haut niveau de remodelage, lié à l'hyperparathyroïdie secondaire [HPT II], et bas niveau de remodelage avec l'ostéomalacie [OM] et l'ostéopathie adynamique, l'ostéopathie mixe combinant une OM et des lésions d'HPT II) et une perte osseuse. L'ODR se développe du fait des troubles métaboliques qui compliquent l'urémie chronique et impliquent l'hypocalcémie, la rétention de phosphate, la diminution de la synthèse rénale de calcitriol, l'acidose, l'inflammation chronique et les troubles de la nutrition auxquels s'ajoutent des complications iatrogènes. Les manifestations cliniques et biologiques telles que les douleurs osseuses et les fractures dont l'incidence est accrue dans l'insuffisance rénale chronique (IRC), ou l'hypercalcémie sont peu spécifiques d'un type histologique. Le diagnostic repose sur l'histologie avec étude histomorphométrique d'une biopsie osseuse de crête iliaque et, en l'absence de biopsie, sur les concentrations sériques de parathormone. L'utilisation des marqueurs biologiques du remodelage osseux tels que les phosphatases alcalines osseuses est proposée. Le traitement repose sur la chélation du phosphate alimentaire, la vitamine D (naturelle ou dérivés 1--hydroxylés), et les agonistes des récepteurs sensibles au calcium des glandes parathyroïdes, la parathyroïdectomie n'étant réservée qu'aux HPT II réfractaires. Note de contenu : Introduction
Rappels sur le remodelage osseux
Lésions osseuses au cours de l'insuffisance rénale chronique
Troubles du remodelage et de la minéralisation
Réduction de la masse osseuse ou « ostéoporose »
Signes cliniques
Fractures
Autres signes
Moyens d'explorations du statut osseux
Radiographies
Indications de la biopsie osseuse
Dosages biologiques
Densitométrie osseuse
Traitement
Traitement de l'hyperparathyroïdie secondaire
Traitement de l'ostéomalacie
Traitement de l'ostéopathie adynamique
Traitement de la perte osseuse et des fractures
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44004
in EMC : Appareil locomoteur > (Juillet 2008) . - 14-275-A-10 [Tome 5][article] Ostéodystrophie rénale [texte imprimé] / M.H. Lafage-Proust, Auteur . - 2008 . - 14-275-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juillet 2008) . - 14-275-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Ostéodystrophie rénale Remodelage osseux Hyperparathyroïdie secondaire Fractures Insuffisance rénale chronique Résumé : L'ostéodystrophie rénale (ODR) est une ostéopathie métabolique diffuse en rapport avec l'insuffisance rénale chronique, qui inclut diverses lésions histologiques. Elle comprend des troubles du remodelage (haut niveau de remodelage, lié à l'hyperparathyroïdie secondaire [HPT II], et bas niveau de remodelage avec l'ostéomalacie [OM] et l'ostéopathie adynamique, l'ostéopathie mixe combinant une OM et des lésions d'HPT II) et une perte osseuse. L'ODR se développe du fait des troubles métaboliques qui compliquent l'urémie chronique et impliquent l'hypocalcémie, la rétention de phosphate, la diminution de la synthèse rénale de calcitriol, l'acidose, l'inflammation chronique et les troubles de la nutrition auxquels s'ajoutent des complications iatrogènes. Les manifestations cliniques et biologiques telles que les douleurs osseuses et les fractures dont l'incidence est accrue dans l'insuffisance rénale chronique (IRC), ou l'hypercalcémie sont peu spécifiques d'un type histologique. Le diagnostic repose sur l'histologie avec étude histomorphométrique d'une biopsie osseuse de crête iliaque et, en l'absence de biopsie, sur les concentrations sériques de parathormone. L'utilisation des marqueurs biologiques du remodelage osseux tels que les phosphatases alcalines osseuses est proposée. Le traitement repose sur la chélation du phosphate alimentaire, la vitamine D (naturelle ou dérivés 1--hydroxylés), et les agonistes des récepteurs sensibles au calcium des glandes parathyroïdes, la parathyroïdectomie n'étant réservée qu'aux HPT II réfractaires. Note de contenu : Introduction
Rappels sur le remodelage osseux
Lésions osseuses au cours de l'insuffisance rénale chronique
Troubles du remodelage et de la minéralisation
Réduction de la masse osseuse ou « ostéoporose »
Signes cliniques
Fractures
Autres signes
Moyens d'explorations du statut osseux
Radiographies
Indications de la biopsie osseuse
Dosages biologiques
Densitométrie osseuse
Traitement
Traitement de l'hyperparathyroïdie secondaire
Traitement de l'ostéomalacie
Traitement de l'ostéopathie adynamique
Traitement de la perte osseuse et des fractures
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44004 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéomalacies / M.H. Lafage-Proust in EMC : Appareil locomoteur, (Juin 2013)
[article]
Titre : Ostéomalacies Type de document : texte imprimé Auteurs : M.H. Lafage-Proust Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-024-B-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Minéralisation Fractures Fissures Hypophosphatémie Vitamine D FGF23 Histomorphométrie osseuse Résumé : L'ostéomalacie est caractérisée par un trouble de la minéralisation qui conduit à l'accumulation de matrice osseuse nouvellement formée non minéralisée. Elle affecte le squelette de façon diffuse et le fragilise, avec survenue de fractures ou de fissures spontanées localisées principalement aux côtes, au bassin et aux membres inférieurs. Malgré sa relative rareté, l'ostéomalacie doit faire partie des diagnostics à évoquer devant un syndrome douloureux diffus mal étiqueté. Les étiologies des ostéomalacies relèvent de trois grandes causes : un trouble du métabolisme de la vitamine D à quelque niveau que ce soit (hépatique, digestif, rénal) avec notamment la carence vitaminique qui représente la cause la plus fréquente d'ostéomalacie ; une fuite rénale de phosphates qui peut être acquise ou héréditaire, et qui dépend souvent d'une anomalie du métabolisme du fibroblast growth factor 23, une hormone d'origine osseuse qui contrôle l'excrétion urinaire du phosphate. Enfin, il existe des causes rares liées à une altération locale du processus de minéralisation osseuse. L'ostéomalacie carentielle répond favorablement au traitement. Note de contenu : Rappels physiologiques
Hormones impliquées dans la minéralisation osseuse
Rappels de biologie osseuse en référence à l'ostéomalacie
Signes cliniques
Douleurs osseuses et fractures
Déformations
Myopathie
Manifestations articulaires
Imagerie
Signes radiologiques
Scanner et imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse
Densitométrie osseuse
Signes biologiques
Diagnostic
Diagnostic histologique
Diagnostic histomorphométrique
Étiologies
Ostéomalacies liées à un trouble du métabolisme de la vitamine D
Rachitismes ou ostéomalacies indépendants de la vitamine D
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43697
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-024-B-10 [Tome 1][article] Ostéomalacies [texte imprimé] / M.H. Lafage-Proust . - 2013 . - 14-024-B-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-024-B-10 [Tome 1]
Mots-clés : Minéralisation Fractures Fissures Hypophosphatémie Vitamine D FGF23 Histomorphométrie osseuse Résumé : L'ostéomalacie est caractérisée par un trouble de la minéralisation qui conduit à l'accumulation de matrice osseuse nouvellement formée non minéralisée. Elle affecte le squelette de façon diffuse et le fragilise, avec survenue de fractures ou de fissures spontanées localisées principalement aux côtes, au bassin et aux membres inférieurs. Malgré sa relative rareté, l'ostéomalacie doit faire partie des diagnostics à évoquer devant un syndrome douloureux diffus mal étiqueté. Les étiologies des ostéomalacies relèvent de trois grandes causes : un trouble du métabolisme de la vitamine D à quelque niveau que ce soit (hépatique, digestif, rénal) avec notamment la carence vitaminique qui représente la cause la plus fréquente d'ostéomalacie ; une fuite rénale de phosphates qui peut être acquise ou héréditaire, et qui dépend souvent d'une anomalie du métabolisme du fibroblast growth factor 23, une hormone d'origine osseuse qui contrôle l'excrétion urinaire du phosphate. Enfin, il existe des causes rares liées à une altération locale du processus de minéralisation osseuse. L'ostéomalacie carentielle répond favorablement au traitement. Note de contenu : Rappels physiologiques
Hormones impliquées dans la minéralisation osseuse
Rappels de biologie osseuse en référence à l'ostéomalacie
Signes cliniques
Douleurs osseuses et fractures
Déformations
Myopathie
Manifestations articulaires
Imagerie
Signes radiologiques
Scanner et imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse
Densitométrie osseuse
Signes biologiques
Diagnostic
Diagnostic histologique
Diagnostic histomorphométrique
Étiologies
Ostéomalacies liées à un trouble du métabolisme de la vitamine D
Rachitismes ou ostéomalacies indépendants de la vitamine D
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43697 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéoporose cortisonique / C. Marcelli in EMC : Appareil locomoteur, (Mai 2011)
PermalinkComplications vasculaires et osseuses des diabètes / Aurélien Mary in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 502 ([01/05/2018])
PermalinkOstéoporoses : généralités, stratégie diagnostique / J. Paccou in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
PermalinkOstéosynthèse du tibia de chat / Alexandre Caron in Le Point vétérinaire Expert Canin, 386 (juin 2018)
PermalinkL'assistance chirurgicale en clientèle canine et féline / Michèle COLIN
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