Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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Maximal lipid oxidation during exercise (Lipoxmax): From physiological measurements to clinical applications. Facts and uncertainties in Science & sports, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : Maximal lipid oxidation during exercise (Lipoxmax): From physiological measurements to clinical applications. Facts and uncertainties Titre original : Lipoxmax ou oxydation maximale des lipides lors de l’exercice : des mesures physiologiques aux applications cliniques. Réalités et incertitudes Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.27-71 Langues : Français (fre) Mots-clés : obésité diabète calorimétrie oxydation des lipides lipoxmax fatmax exercice entraînement Résumé : On peut déterminer une intensité d’exercice pour laquelle l’oxydation des lipides est maximale, dénommée Lipoxmax, Fatoxmax ou Fatmax. La mesure du Lipoxmax par calorimétrie d’effort est reproductible, mais ce paramètre est modifié par plusieurs des situations physiologiques (entraînement physique, exercice ou repas réalisé dans les heures précédentes). Sa mesure prédit le débit d’oxydation lipidique à plateau d’un exercice modéré à puissance constante de 45 à 60 minutes réalisé à l’intensité correspondante. Il pourrait être un marqueur de « bonne forme métabolique » et reflète la respiration mitochondriale. Le Lipoxmax est influencé par les catécholamines, l’hormone de croissance et l’IGF-I. Ses variations sont liées aux modifications du niveau de la citrate synthase musculaire et à la capacité des mitochondries à oxyder les acides gras. Une méta-analyse montre qu’un entraînement à ce niveau est efficace pour réduire la masse grasse, épargner la masse maigre, augmenter la capacité à oxyder les lipides pendant l’exercice, réduire la glycémie et l’HbA1c dans le diabète de type 2, et diminuer le cholestérol circulant. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21392
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.27-71[article] Maximal lipid oxidation during exercise (Lipoxmax): From physiological measurements to clinical applications. Facts and uncertainties = Lipoxmax ou oxydation maximale des lipides lors de l’exercice : des mesures physiologiques aux applications cliniques. Réalités et incertitudes [texte imprimé] . - 2011 . - pp.27-71.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.27-71
Mots-clés : obésité diabète calorimétrie oxydation des lipides lipoxmax fatmax exercice entraînement Résumé : On peut déterminer une intensité d’exercice pour laquelle l’oxydation des lipides est maximale, dénommée Lipoxmax, Fatoxmax ou Fatmax. La mesure du Lipoxmax par calorimétrie d’effort est reproductible, mais ce paramètre est modifié par plusieurs des situations physiologiques (entraînement physique, exercice ou repas réalisé dans les heures précédentes). Sa mesure prédit le débit d’oxydation lipidique à plateau d’un exercice modéré à puissance constante de 45 à 60 minutes réalisé à l’intensité correspondante. Il pourrait être un marqueur de « bonne forme métabolique » et reflète la respiration mitochondriale. Le Lipoxmax est influencé par les catécholamines, l’hormone de croissance et l’IGF-I. Ses variations sont liées aux modifications du niveau de la citrate synthase musculaire et à la capacité des mitochondries à oxyder les acides gras. Une méta-analyse montre qu’un entraînement à ce niveau est efficace pour réduire la masse grasse, épargner la masse maigre, augmenter la capacité à oxyder les lipides pendant l’exercice, réduire la glycémie et l’HbA1c dans le diabète de type 2, et diminuer le cholestérol circulant. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21392 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtExercise targeted on maximal lipid oxidation has long-term weight-reducing effects but improves insulin secretion and lipid oxidation before reducing fat mass / E. Varlet-Marie in Science & sports, Vol.37 N°2 (avril 2022)
[article]
Titre : Exercise targeted on maximal lipid oxidation has long-term weight-reducing effects but improves insulin secretion and lipid oxidation before reducing fat mass Titre original : L’exercice ciblé sur l’oxydation maximale des lipides détermine une perte de poids à long terme et améliore la sécrétion d’insuline et l’oxydation des lipides avant de réduire la masse grasse Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Varlet-Marie ; J.-F. Brun ; J. Myzia ; G. Bui ; A. Chérif ; E. Javernaud ; L. Hammoudi ; J. Mercier Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 101-112 Langues : Français (fre) Mots-clés : Entraînement en endurance Oxydation lipidique Sécrétion d’insuline Sensibilité à l’insuline Modèle minimal Test du petit-déjeuner Perte de poids LIPOXmax FATmax Résumé : Introduction et objectif
L’entraînement physique à faible intensité dans la zone où l’oxydation lipidique atteint un maximum (entraînement au LIPOXmax) réduit progressivement le poids corporel et améliore à la fois le métabolisme des glucides et des lipides. Nous avons étudié chez des patients suivis pour un entraînement LIPOXmax à long terme quels étaient ses effets sur le poids corporel après 4ans et quels étaient les premiers effets de 10 semaines d’entraînement sur l’oxydation des lipides à l’exercice et sur les paramètres de sécrétion d’insuline et d’assimilation du glucose mesurés lors d’un repas-test standardisé.
Méthodes
Nous présentons donc ici l’extension sur 4ans d’une série de 28 sujets obèses précédemment suivis sur 3ans pour évaluer les effets à long terme sur le poids corporel de l’entraînement au LIPOXmax. Dans un sous-groupe de 14 patients participant à un tel protocole de formation, un test de petit-déjeuner avec une analyse par le minimal model de la sécrétion d’insuline et de la sensibilité à l’insuline ainsi qu’une calorimétrie à l’effort ont été réalisés avant et après 10 semaines d’entraînement ciblé.
Résultats
Sur 48 mois, les patients avaient perdu en moyenne −8,37±1,74kg, soit −9,42±1,93 % du poids initial (p<0,001). Entre 36 et 48 mois, la perte de poids était toujours en cours (en moyenne −0,2kg/mois). Le sous-groupe de 14 patients suivant un entraînement au LIPOXmax présentait après 10 semaines les modifications attendues de la composition corporelle chez seulement la moitié des sujets, tandis que la calorimétrie à l’effort montrait une amélioration de la capacité à oxyder les lipides pendant l’exercice (p=0,011) et une augmentation de la phase 1 de la sécrétion d’insuline (p=0,003). L’augmentation attendue de la sensibilité à l’insuline n’a été trouvée que chez 4 sujets et ces modifications de la sensibilité à l’insuline étaient négativement corrélées aux changements de masse grasse (r=−0,608, p=0,047) et également négativement corrélées aux changements de sensibilité au glucose des cellules bêta (qui quantifie la seconde phase de la sécrétion d’insuline) (r=−0,710, p=0,032). Il y avait également une corrélation entre les modifications du tour de taille et la sécrétion préhépatique totale d’insuline (r=−0,763, p=0,046).
Conclusion
L’entraînement physique effectué dans la zone d’oxydation lipidique maximale détermine une perte de poids prolongée sur plus de 4ans. Cette étude démontre également pour la première fois qu’il a des effets précoces sur le métabolisme qui deviennent significatifs avant même tout changement décelable de la composition corporelle. La sensibilité à l’insuline s’améliore lorsque la masse grasse diminue et elle-même corrélée à une diminution de la deuxième phase de sécrétion d’insuline. En revanche, la capacité à oxyder les lipides à l’exercice s’améliore plus précocement, de même que la phase 1 de la sécrétion d’insuline. Ainsi, l’entraînement au LIPOXmax améliore rapidement l’oxydation des lipides et la première phase de la sécrétion d’insuline, puis entraîne sur la durée une perte de poids qui va améliorer la sensibilité à l’insuline et corriger de ce fait l’excès d’insulinosécrétion associé à la résistance à l’insuline. Ces derniers effets ne sont pas totalement obtenus après 11 semaines.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103255
in Science & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 101-112[article] Exercise targeted on maximal lipid oxidation has long-term weight-reducing effects but improves insulin secretion and lipid oxidation before reducing fat mass = L’exercice ciblé sur l’oxydation maximale des lipides détermine une perte de poids à long terme et améliore la sécrétion d’insuline et l’oxydation des lipides avant de réduire la masse grasse [texte imprimé] / E. Varlet-Marie ; J.-F. Brun ; J. Myzia ; G. Bui ; A. Chérif ; E. Javernaud ; L. Hammoudi ; J. Mercier . - 2022 . - p. 101-112.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol.37 N°2 (avril 2022) . - p. 101-112
Mots-clés : Entraînement en endurance Oxydation lipidique Sécrétion d’insuline Sensibilité à l’insuline Modèle minimal Test du petit-déjeuner Perte de poids LIPOXmax FATmax Résumé : Introduction et objectif
L’entraînement physique à faible intensité dans la zone où l’oxydation lipidique atteint un maximum (entraînement au LIPOXmax) réduit progressivement le poids corporel et améliore à la fois le métabolisme des glucides et des lipides. Nous avons étudié chez des patients suivis pour un entraînement LIPOXmax à long terme quels étaient ses effets sur le poids corporel après 4ans et quels étaient les premiers effets de 10 semaines d’entraînement sur l’oxydation des lipides à l’exercice et sur les paramètres de sécrétion d’insuline et d’assimilation du glucose mesurés lors d’un repas-test standardisé.
Méthodes
Nous présentons donc ici l’extension sur 4ans d’une série de 28 sujets obèses précédemment suivis sur 3ans pour évaluer les effets à long terme sur le poids corporel de l’entraînement au LIPOXmax. Dans un sous-groupe de 14 patients participant à un tel protocole de formation, un test de petit-déjeuner avec une analyse par le minimal model de la sécrétion d’insuline et de la sensibilité à l’insuline ainsi qu’une calorimétrie à l’effort ont été réalisés avant et après 10 semaines d’entraînement ciblé.
Résultats
Sur 48 mois, les patients avaient perdu en moyenne −8,37±1,74kg, soit −9,42±1,93 % du poids initial (p<0,001). Entre 36 et 48 mois, la perte de poids était toujours en cours (en moyenne −0,2kg/mois). Le sous-groupe de 14 patients suivant un entraînement au LIPOXmax présentait après 10 semaines les modifications attendues de la composition corporelle chez seulement la moitié des sujets, tandis que la calorimétrie à l’effort montrait une amélioration de la capacité à oxyder les lipides pendant l’exercice (p=0,011) et une augmentation de la phase 1 de la sécrétion d’insuline (p=0,003). L’augmentation attendue de la sensibilité à l’insuline n’a été trouvée que chez 4 sujets et ces modifications de la sensibilité à l’insuline étaient négativement corrélées aux changements de masse grasse (r=−0,608, p=0,047) et également négativement corrélées aux changements de sensibilité au glucose des cellules bêta (qui quantifie la seconde phase de la sécrétion d’insuline) (r=−0,710, p=0,032). Il y avait également une corrélation entre les modifications du tour de taille et la sécrétion préhépatique totale d’insuline (r=−0,763, p=0,046).
Conclusion
L’entraînement physique effectué dans la zone d’oxydation lipidique maximale détermine une perte de poids prolongée sur plus de 4ans. Cette étude démontre également pour la première fois qu’il a des effets précoces sur le métabolisme qui deviennent significatifs avant même tout changement décelable de la composition corporelle. La sensibilité à l’insuline s’améliore lorsque la masse grasse diminue et elle-même corrélée à une diminution de la deuxième phase de sécrétion d’insuline. En revanche, la capacité à oxyder les lipides à l’exercice s’améliore plus précocement, de même que la phase 1 de la sécrétion d’insuline. Ainsi, l’entraînement au LIPOXmax améliore rapidement l’oxydation des lipides et la première phase de la sécrétion d’insuline, puis entraîne sur la durée une perte de poids qui va améliorer la sensibilité à l’insuline et corriger de ce fait l’excès d’insulinosécrétion associé à la résistance à l’insuline. Ces derniers effets ne sont pas totalement obtenus après 11 semaines.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103255 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtStability over time of the level of maximal lipid oxidation during exercise / J.-F. Brun in Science & sports, Volume 29 numéro 3 (Juin 2014)
[article]
Titre : Stability over time of the level of maximal lipid oxidation during exercise Titre original : Stabilité dans le temps du niveau maximal d’oxydation des lipides à l’exercice Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-F. Brun, Auteur ; A.-J. Romain, Auteur ; M. Guiraudou, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.168-171 Langues : Français (fre) Mots-clés : Oxydation Lipides LIPOXmax FATmax Résumé : Introduction
Le niveau maximal d’oxydation des lipides à l’exercice (LIPOXmax) est la puissance à laquelle le rapport d’utilisation oxydative lipides/glucides est maximal lors d’un exercice à plateau sur 45–60minutes, minimisant le gaspillage de glucides. Il a été démontré que cette mesure est très reproductible d’un jour à l’autre dans des conditions standardisées, quoiqu’elle soit modifiable par de nombreuses situations physiologiques ou pathologiques. Il restait à évaluer la stabilité de ce paramètre sur de plus longues périodes.
Matériels et méthodes
Nous avons recherché cette stabilité sur une base de données personnelle de 1600 calorimétries d’effort incluant des patients qui ne modifiaient pas leur exercice ou leurs habitudes alimentaires, re-testés après un intervalle moyen de 30 mois. Les patients (n=11) représentaient une grande variété d’âge (28–74ans), d’indice de masse corporelle (de 22 à 46,7kg/m2) et d’aptitude aérobie.
Résultats
Leur LIPOXmax variait entre 18 à 123 watts et leur débit maximal d’oxydation des lipides (DMOL) se situait entre 75 et 423mg/min. On note une stabilité remarquable du LIPOXmax exprimé en puissance brute (r=0,993, P<0,001 ; Bland Altman : différence moyenne−2,36, intervalle de confiance (IC) : [−3,33 à 8,06]. Le DMOL était moins reproductible au cours de ces longues périodes de temps (r=0,694, P<0,02 ; différence moyenne 4, IC : [−53 à 61]).
Conclusion
Par conséquent, la puissance à laquelle l’oxydation des lipides est maximale au cours de l’exercice reste stable sur une période moyenne de 30 mois si les habitudes alimentaires et l’exercice ne sont pas modifiés.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=31109
in Science & sports > Volume 29 numéro 3 (Juin 2014) . - p.168-171[article] Stability over time of the level of maximal lipid oxidation during exercise = Stabilité dans le temps du niveau maximal d’oxydation des lipides à l’exercice [texte imprimé] / J.-F. Brun, Auteur ; A.-J. Romain, Auteur ; M. Guiraudou, Auteur . - 2014 . - p.168-171.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 29 numéro 3 (Juin 2014) . - p.168-171
Mots-clés : Oxydation Lipides LIPOXmax FATmax Résumé : Introduction
Le niveau maximal d’oxydation des lipides à l’exercice (LIPOXmax) est la puissance à laquelle le rapport d’utilisation oxydative lipides/glucides est maximal lors d’un exercice à plateau sur 45–60minutes, minimisant le gaspillage de glucides. Il a été démontré que cette mesure est très reproductible d’un jour à l’autre dans des conditions standardisées, quoiqu’elle soit modifiable par de nombreuses situations physiologiques ou pathologiques. Il restait à évaluer la stabilité de ce paramètre sur de plus longues périodes.
Matériels et méthodes
Nous avons recherché cette stabilité sur une base de données personnelle de 1600 calorimétries d’effort incluant des patients qui ne modifiaient pas leur exercice ou leurs habitudes alimentaires, re-testés après un intervalle moyen de 30 mois. Les patients (n=11) représentaient une grande variété d’âge (28–74ans), d’indice de masse corporelle (de 22 à 46,7kg/m2) et d’aptitude aérobie.
Résultats
Leur LIPOXmax variait entre 18 à 123 watts et leur débit maximal d’oxydation des lipides (DMOL) se situait entre 75 et 423mg/min. On note une stabilité remarquable du LIPOXmax exprimé en puissance brute (r=0,993, P<0,001 ; Bland Altman : différence moyenne−2,36, intervalle de confiance (IC) : [−3,33 à 8,06]. Le DMOL était moins reproductible au cours de ces longues périodes de temps (r=0,694, P<0,02 ; différence moyenne 4, IC : [−53 à 61]).
Conclusion
Par conséquent, la puissance à laquelle l’oxydation des lipides est maximale au cours de l’exercice reste stable sur une période moyenne de 30 mois si les habitudes alimentaires et l’exercice ne sont pas modifiés.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=31109 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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