Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Douleur musculosquelettique'
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Effects of essential amino acids supplementation on muscle damage following a heavy-load eccentric training session / S. Vieillevoye in Science & sports, Vol. 35, n°5 (2020)
[article]
Titre : Effects of essential amino acids supplementation on muscle damage following a heavy-load eccentric training session Titre original : Effets d’une complémentation en acides aminés essentiels sur les microlésions musculaires suite à une séance d’entraînement excentrique à charge lourde Auteurs : S. Vieillevoye ; A. CARPENTIER ; J.R. Poortmans Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. e125-e134 Note générale : 10.1016/j.scispo.2019.06.010 Langues : Français (fre) Mots-clés : Acides aminés essentiels Douleur musculosquelettique Creatine kinase Myoglobine Résumé : Objectifs
L’exercice physique inhabituel, en particulier les contractions musculaires excentriques répétées, engendre des douleurs musculaires et des altérations de la structure des fibres musculaires. Une augmentation de la synthèse de protéines myofibrillaires peut survenir au début de la période post-exercice et être potentialisée par une ingestion d’acides aminés essentiels. Nous avons émis l’hypothèse qu’une complémentation en acides aminés essentiels pourrait réduire la production de témoins de la lyse musculaire et retarder l’apparition de douleurs musculaires dans la semaine suivant une séance d’entraînement excentrique à charge lourde.
Méthodes
Vingt-trois jeunes hommes ont effectué un exercice de développé couché guidé en modalité excentrique. Ils ont été subdivisés, de manière aléatoire, en un groupe placebo (n =11) et un groupe acides aminés essentiels (n =12). L’effet de la séance d’entraînement a été évalué en analysant deux marqueurs indirects de lésions musculaires, à savoir les concentrations plasmatiques de créatine kinase et de myoglobine, mesurées avant, immédiatement après la séance d'entraînement et les jours 1, 2, 3, 4 et 7 post séance. La douleur musculaire a été évaluée à l’aide d’une échelle analogie visuelle au même moment que les marqueurs des lésions musculaires.
Résultats
La séance d’entraînement a provoqué une augmentation significative des douleurs musculaires dans les groupes placebo et acides aminés. La libération de créatine kinase plasmatique a augmenté significativement à j+3 et j+4 tandis que le flux de myoglobine a augmenté à j+3 dans le groupe placebo uniquement. Aucune différence statistique n’a été observée entre les groupes pour les deux marqueurs indirects de lésions musculaires. La distribution gaussienne s’est avérée être le modèle le mieux adapté aux courbes de concentration de la myoglobine et de la créatine kinase dans le plasma. Le test F confirme que les courbes individuelles étaient statistiquement différentes entre l’ensemble des données des groupes placebo et acides aminées essentiels (p <0,01) comparées aux valeurs les mieux ajustées des trois paramètres (superficie, écart-type et moyenne).
Conclusion
Ces données confirment que la complémentation en acides aminés essentiels pourrait avoir des effets mineurs quant à la libération plasmatique globale des marqueurs indirects des lésions musculaires au cours de la période de récupération sans toutefois impacter l’apparition de douleurs musculaires retardée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90133
in Science & sports > Vol. 35, n°5 (2020) . - p. e125-e134[article] Effects of essential amino acids supplementation on muscle damage following a heavy-load eccentric training session = Effets d’une complémentation en acides aminés essentiels sur les microlésions musculaires suite à une séance d’entraînement excentrique à charge lourde [] / S. Vieillevoye ; A. CARPENTIER ; J.R. Poortmans . - 2020 . - p. e125-e134.
10.1016/j.scispo.2019.06.010
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol. 35, n°5 (2020) . - p. e125-e134
Mots-clés : Acides aminés essentiels Douleur musculosquelettique Creatine kinase Myoglobine Résumé : Objectifs
L’exercice physique inhabituel, en particulier les contractions musculaires excentriques répétées, engendre des douleurs musculaires et des altérations de la structure des fibres musculaires. Une augmentation de la synthèse de protéines myofibrillaires peut survenir au début de la période post-exercice et être potentialisée par une ingestion d’acides aminés essentiels. Nous avons émis l’hypothèse qu’une complémentation en acides aminés essentiels pourrait réduire la production de témoins de la lyse musculaire et retarder l’apparition de douleurs musculaires dans la semaine suivant une séance d’entraînement excentrique à charge lourde.
Méthodes
Vingt-trois jeunes hommes ont effectué un exercice de développé couché guidé en modalité excentrique. Ils ont été subdivisés, de manière aléatoire, en un groupe placebo (n =11) et un groupe acides aminés essentiels (n =12). L’effet de la séance d’entraînement a été évalué en analysant deux marqueurs indirects de lésions musculaires, à savoir les concentrations plasmatiques de créatine kinase et de myoglobine, mesurées avant, immédiatement après la séance d'entraînement et les jours 1, 2, 3, 4 et 7 post séance. La douleur musculaire a été évaluée à l’aide d’une échelle analogie visuelle au même moment que les marqueurs des lésions musculaires.
Résultats
La séance d’entraînement a provoqué une augmentation significative des douleurs musculaires dans les groupes placebo et acides aminés. La libération de créatine kinase plasmatique a augmenté significativement à j+3 et j+4 tandis que le flux de myoglobine a augmenté à j+3 dans le groupe placebo uniquement. Aucune différence statistique n’a été observée entre les groupes pour les deux marqueurs indirects de lésions musculaires. La distribution gaussienne s’est avérée être le modèle le mieux adapté aux courbes de concentration de la myoglobine et de la créatine kinase dans le plasma. Le test F confirme que les courbes individuelles étaient statistiquement différentes entre l’ensemble des données des groupes placebo et acides aminées essentiels (p <0,01) comparées aux valeurs les mieux ajustées des trois paramètres (superficie, écart-type et moyenne).
Conclusion
Ces données confirment que la complémentation en acides aminés essentiels pourrait avoir des effets mineurs quant à la libération plasmatique globale des marqueurs indirects des lésions musculaires au cours de la période de récupération sans toutefois impacter l’apparition de douleurs musculaires retardée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90133 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes exercices physiques pour les douleurs musculosquelettiques chroniques : une approche biopsychosociale / John Booth in Kinésithérapie, la revue, 222 (juin 2020)
[article]
Titre : Les exercices physiques pour les douleurs musculosquelettiques chroniques : une approche biopsychosociale Type de document : texte imprimé Auteurs : John Booth, Auteur ; G. Lorimer Moseley, Auteur ; Schiltenwolf, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 78-88 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleur musculosquelettique Douleur chronique douleur chronique /aspects sociaux Résumé : Les douleurs musculosquelettiques chroniques font référence aux douleurs osseuses, articulaires et tissulaires qui persistent depuis plus de 3 mois. Dans ces affections, il est communément admis que les dysfonctions secondaires ou les conséquences de la douleur persistante–peur du mouvement, catastrophisme, anxiété ou sensibilisation du système nerveux–semblent les principales causes de la douleur et de l’incapacité fonctionnelle. En cas de douleurs persistantes, les exercices constituent une modalité de traitement fondamentale. Leur objectif principal est souvent l’amélioration de la fonction physique ; peu d’attention est portée aux troubles secondaires. Les interventions basées sur les exercices et qui s’intéressent aux troubles secondaires sont en accord avec les pratiques contemporaines destinées à la rééducation de la douleur. Elles présentent un potentiel plus important pour améliorer les résultats des patients que des exercices seuls. Une approche biopsychosociale, qui valide et tienne compte de la contribution des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux de la douleur et de l’incapacité fonctionnelle, est actuellement considérée comme l’approche la plus efficace en cas de douleur chronique. Elle est aussi considérée comme plus efficace que des exercices ou de la kinésithérapie utilisés isolément. Cette mise au point clinique aborde les éléments-clés d’une approche biopsychosociale qui prend en compte les besoins du patient et les compétences du clinicien pour la prescription d’exercices en cas de douleurs musculosquelettiques chroniques. Il existe un consensus pour préconiser des exercices supervisés, individualisés, basés sur les caractéristiques, les objectifs et les préférences du patient. Celui-ci devrait percevoir ces exercices comme des activités sans danger et non menaçants afin d’éviter qu’il établisse des associations néfastes entre les activités physiques et la douleur. Des études portant sur des exercices aérobies et de résistance ont apporté une caution scientifique à l’intérêt de prescrire des exercices en cas de douleurs musculosquelettiques chroniques. Cependant, certaines incertitudes demeurent quant à meilleure façon d’appliquer les résultats de ces études. Cette mise au point s’appuie sur une synthèse de la littérature scientifique pour apporter des conseils basés sur l’évidence dans le domaine de l’exercice et de la rééducation en cas de douleurs musculosquelettiques chroniques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=87263
in Kinésithérapie, la revue > 222 (juin 2020) . - p. 78-88[article] Les exercices physiques pour les douleurs musculosquelettiques chroniques : une approche biopsychosociale [texte imprimé] / John Booth, Auteur ; G. Lorimer Moseley, Auteur ; Schiltenwolf, Auteur ; et al., Auteur . - 2020 . - p. 78-88.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 222 (juin 2020) . - p. 78-88
Mots-clés : Douleur musculosquelettique Douleur chronique douleur chronique /aspects sociaux Résumé : Les douleurs musculosquelettiques chroniques font référence aux douleurs osseuses, articulaires et tissulaires qui persistent depuis plus de 3 mois. Dans ces affections, il est communément admis que les dysfonctions secondaires ou les conséquences de la douleur persistante–peur du mouvement, catastrophisme, anxiété ou sensibilisation du système nerveux–semblent les principales causes de la douleur et de l’incapacité fonctionnelle. En cas de douleurs persistantes, les exercices constituent une modalité de traitement fondamentale. Leur objectif principal est souvent l’amélioration de la fonction physique ; peu d’attention est portée aux troubles secondaires. Les interventions basées sur les exercices et qui s’intéressent aux troubles secondaires sont en accord avec les pratiques contemporaines destinées à la rééducation de la douleur. Elles présentent un potentiel plus important pour améliorer les résultats des patients que des exercices seuls. Une approche biopsychosociale, qui valide et tienne compte de la contribution des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux de la douleur et de l’incapacité fonctionnelle, est actuellement considérée comme l’approche la plus efficace en cas de douleur chronique. Elle est aussi considérée comme plus efficace que des exercices ou de la kinésithérapie utilisés isolément. Cette mise au point clinique aborde les éléments-clés d’une approche biopsychosociale qui prend en compte les besoins du patient et les compétences du clinicien pour la prescription d’exercices en cas de douleurs musculosquelettiques chroniques. Il existe un consensus pour préconiser des exercices supervisés, individualisés, basés sur les caractéristiques, les objectifs et les préférences du patient. Celui-ci devrait percevoir ces exercices comme des activités sans danger et non menaçants afin d’éviter qu’il établisse des associations néfastes entre les activités physiques et la douleur. Des études portant sur des exercices aérobies et de résistance ont apporté une caution scientifique à l’intérêt de prescrire des exercices en cas de douleurs musculosquelettiques chroniques. Cependant, certaines incertitudes demeurent quant à meilleure façon d’appliquer les résultats de ces études. Cette mise au point s’appuie sur une synthèse de la littérature scientifique pour apporter des conseils basés sur l’évidence dans le domaine de l’exercice et de la rééducation en cas de douleurs musculosquelettiques chroniques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=87263 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtMusicien et musicienne, patient(e)s des kinésithérapeutes / Céleste Rousseau in Kinésithérapie scientifique, 637 (Décembre 21)
[article]
Titre : Musicien et musicienne, patient(e)s des kinésithérapeutes Type de document : texte imprimé Auteurs : Céleste Rousseau Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 49-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : musicien Posturologie Douleur musculosquelettique Résumé : Si bien sûr celle-ci ne nous vient pas tout de suite à l’esprit lorsqu’on pense à des pratiques risquées pour le corps, la pratique d’un instrument de musique à un haut niveau n’est pas sans risque ! En effet, et cela maintenant depuis plusieurs années, les professionnel(le)s et chercheur(se)s en santé s’intéressent de plus en plus à la santé des musiciens et musiciennes, qu’ils soient amateurs ou professionnels.
En 1998, Zaza et al. [1] définissent les troubles musculo-squelettiques liés à l’exécution musicale comme tout/toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué. », en excluant les symptômes légers et transitoires. Si l’accent est mis sur la notion d’interférence avec la capacité à jouer, c’est parce que ce sont les musicien(ne)s qui mettent particulièrement l’accent sur cette notion lorsqu’on les interroge sur leur rapport au corps : « Les musiciens n’admettront pas qu’il y a un problème jusqu’à ce que le jeu soit affecté. » [2].
En tant que kinésithérapeute, notre rôle clé est à la fois dans l’identification, le traitement et la prévention de ces troubles. Cette fiche s’intéresse aujourd’hui aux moyens des kinésithérapeutes décrits dans la recherche dans une optique de prise en charge optimale de ces patients si particuliers.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98305
in Kinésithérapie scientifique > 637 (Décembre 21) . - p. 49-52[article] Musicien et musicienne, patient(e)s des kinésithérapeutes [texte imprimé] / Céleste Rousseau . - 2021 . - p. 49-52.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 637 (Décembre 21) . - p. 49-52
Mots-clés : musicien Posturologie Douleur musculosquelettique Résumé : Si bien sûr celle-ci ne nous vient pas tout de suite à l’esprit lorsqu’on pense à des pratiques risquées pour le corps, la pratique d’un instrument de musique à un haut niveau n’est pas sans risque ! En effet, et cela maintenant depuis plusieurs années, les professionnel(le)s et chercheur(se)s en santé s’intéressent de plus en plus à la santé des musiciens et musiciennes, qu’ils soient amateurs ou professionnels.
En 1998, Zaza et al. [1] définissent les troubles musculo-squelettiques liés à l’exécution musicale comme tout/toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué. », en excluant les symptômes légers et transitoires. Si l’accent est mis sur la notion d’interférence avec la capacité à jouer, c’est parce que ce sont les musicien(ne)s qui mettent particulièrement l’accent sur cette notion lorsqu’on les interroge sur leur rapport au corps : « Les musiciens n’admettront pas qu’il y a un problème jusqu’à ce que le jeu soit affecté. » [2].
En tant que kinésithérapeute, notre rôle clé est à la fois dans l’identification, le traitement et la prévention de ces troubles. Cette fiche s’intéresse aujourd’hui aux moyens des kinésithérapeutes décrits dans la recherche dans une optique de prise en charge optimale de ces patients si particuliers.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98305 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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