Centre de Documentation Campus Montignies
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7 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'DIAPHRAGME'
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L’échographie du diaphragme : principes et intérêts pour le kinésithérapeute / Johan Wormser in Kinésithérapie, la revue, 182 (Février 2017)
[article]
Titre : L’échographie du diaphragme : principes et intérêts pour le kinésithérapeute Type de document : texte imprimé Auteurs : Johan Wormser, Auteur ; Marius Lebret, Auteur ; Aymeric Le Neindre, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : ECHOGRAPHIE DIAPHRAGME SUIVI POSTOPERATOIRE SEVRAGE VENTILATOIRE VENTILATION MECANIQUE Résumé :
De nombreux outils permettent l’évaluation directe ou indirecte du diaphragme : mesures des pressions inspiratoires, des pressions transdiaphragmatiques par stimulation magnétique ou électrique du nerf phrénique, l’électromyographie ou encore l’imagerie. L’évaluation non élective du diaphragme ou le caractère invasif et hautement complexe de ces outils limitent leur utilisation. L’échographie diaphragmatique est un outil d’évaluation précis, non invasif et facilement accessible. Elle permet d’évaluer l’excursion du diaphragme, par voie subcostale antérieure et par voie thoracique latérale, et l’épaississement du diaphragme à la zone d’apposition sur le thorax. L’échographie permet au kinésithérapeute de suivre l’évolution des dysfonctions diaphragmatiques et leur impact sur le sevrage de la ventilation mécanique, d’évaluer le diaphragme du patient BPCO ou encore d’évaluer la fonction diaphragmatique en postopératoire de chirurgie digestive ou thoracique. Elle peut orienter la rééducation, en proposant par exemple un entraînement des muscles inspirateurs et évaluer son efficacité sur la fonction diaphragmatique. La formation du kinésithérapeute à son utilisation est l’une des conditions pour une pratique précise et reproductible.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47721
in Kinésithérapie, la revue > 182 (Février 2017)[article] L’échographie du diaphragme : principes et intérêts pour le kinésithérapeute [texte imprimé] / Johan Wormser, Auteur ; Marius Lebret, Auteur ; Aymeric Le Neindre, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 182 (Février 2017)
Mots-clés : ECHOGRAPHIE DIAPHRAGME SUIVI POSTOPERATOIRE SEVRAGE VENTILATOIRE VENTILATION MECANIQUE Résumé :
De nombreux outils permettent l’évaluation directe ou indirecte du diaphragme : mesures des pressions inspiratoires, des pressions transdiaphragmatiques par stimulation magnétique ou électrique du nerf phrénique, l’électromyographie ou encore l’imagerie. L’évaluation non élective du diaphragme ou le caractère invasif et hautement complexe de ces outils limitent leur utilisation. L’échographie diaphragmatique est un outil d’évaluation précis, non invasif et facilement accessible. Elle permet d’évaluer l’excursion du diaphragme, par voie subcostale antérieure et par voie thoracique latérale, et l’épaississement du diaphragme à la zone d’apposition sur le thorax. L’échographie permet au kinésithérapeute de suivre l’évolution des dysfonctions diaphragmatiques et leur impact sur le sevrage de la ventilation mécanique, d’évaluer le diaphragme du patient BPCO ou encore d’évaluer la fonction diaphragmatique en postopératoire de chirurgie digestive ou thoracique. Elle peut orienter la rééducation, en proposant par exemple un entraînement des muscles inspirateurs et évaluer son efficacité sur la fonction diaphragmatique. La formation du kinésithérapeute à son utilisation est l’une des conditions pour une pratique précise et reproductible.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47721 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉvaluation d’un traitement manuel d’une dysfonction mécanique du diaphragme / Lucas Koenig in Kinésithérapie, la revue, 168 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Évaluation d’un traitement manuel d’une dysfonction mécanique du diaphragme Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucas Koenig, Auteur ; Roland Braun, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.28 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diaphragme Dysfonction mécanique Paramètres respiratoires Thérapie manuelle Résumé : ntroduction
Le diaphragme est un muscle essentiel aux facettes multiples. Il s’adapte à différents changements mécaniques et sa dysfonction n’est pas rare. Son approche en thérapie manuelle est courante [1].
Méthode
Nous avons effectué sur un échantillon de 30 sujets sains inclus, 9 hommes et 21 femmes, d’âge moyen de 21 ans ±2,85, un examen clinique d’inclusion, nous permettant de mettre en évidence une dysfonction de la mécanique diaphragmatique. Cinquante sujets ont été vus. Vingt sujets ont été exclus à la suite de l’examen clinique, car ils présentaient des critères d’exclusion ou ne présentaient aucun signe de dysfonction.
Les sujets ont subi des mesures des périmètres xiphoïdien et abdominal, à raison de quatre mesures pour chaque élément, et quatre mesures de la pression inspiratoire maximale (Pi max). Par la suite, ils bénéficiaient du traitement manuel selon la méthode décrite. Ils étaient réévalués à court terme (5 minutes) par l’examen clinique, les mesures des périmètres et de la Pi max selon les mêmes modalités et par le même opérateur effectuant le traitement.
Résultats
La pression inspiratoire maximale, au départ de 84±25,8mmHg en moyenne, et après traitement de 94,6±30,1mmHg à court terme, subit un gain moyen de 13 %.
Suivant la dysfonction présente, les attentes concernant la modification des périmètres sont différentes, l’augmentation de l’ampliation thoracique dans le cadre d’une dysfonction inspiratoire et abdominale dans le cadre d’une dysfonction expiratoire. Les modifications entre les périodes pré- et post-traitement vont dans le sens de ces attentes, sans pour autant être importantes et significatives.
Analyses
Une modification statistiquement et cliniquement significative a été retrouvée concernant l’évolution de la pression inspiratoire maximale. Le gain est similaire dans le groupe «hommes» et «femmes», avec une évolution parallèle face au traitement. Les périmètres, abdominal et xiphoïdien, n’ont, quant à eux, pas eu une modification statistique et clinique.
Discussion
Nous avons constaté une modification d’un paramètre évalué, liée au traitement manuel du diaphragme. D’autres techniques peuvent également être utilisées et avoir un impact sur la modification de ces paramètres [2, 3]. Ces résultats nous incitent à mieux comprendre les mécanismes d’action et les perspectives cliniques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=40988
in Kinésithérapie, la revue > 168 (Décembre 2015) . - p.28[article] Évaluation d’un traitement manuel d’une dysfonction mécanique du diaphragme [texte imprimé] / Lucas Koenig, Auteur ; Roland Braun, Auteur . - 2015 . - p.28.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 168 (Décembre 2015) . - p.28
Mots-clés : Diaphragme Dysfonction mécanique Paramètres respiratoires Thérapie manuelle Résumé : ntroduction
Le diaphragme est un muscle essentiel aux facettes multiples. Il s’adapte à différents changements mécaniques et sa dysfonction n’est pas rare. Son approche en thérapie manuelle est courante [1].
Méthode
Nous avons effectué sur un échantillon de 30 sujets sains inclus, 9 hommes et 21 femmes, d’âge moyen de 21 ans ±2,85, un examen clinique d’inclusion, nous permettant de mettre en évidence une dysfonction de la mécanique diaphragmatique. Cinquante sujets ont été vus. Vingt sujets ont été exclus à la suite de l’examen clinique, car ils présentaient des critères d’exclusion ou ne présentaient aucun signe de dysfonction.
Les sujets ont subi des mesures des périmètres xiphoïdien et abdominal, à raison de quatre mesures pour chaque élément, et quatre mesures de la pression inspiratoire maximale (Pi max). Par la suite, ils bénéficiaient du traitement manuel selon la méthode décrite. Ils étaient réévalués à court terme (5 minutes) par l’examen clinique, les mesures des périmètres et de la Pi max selon les mêmes modalités et par le même opérateur effectuant le traitement.
Résultats
La pression inspiratoire maximale, au départ de 84±25,8mmHg en moyenne, et après traitement de 94,6±30,1mmHg à court terme, subit un gain moyen de 13 %.
Suivant la dysfonction présente, les attentes concernant la modification des périmètres sont différentes, l’augmentation de l’ampliation thoracique dans le cadre d’une dysfonction inspiratoire et abdominale dans le cadre d’une dysfonction expiratoire. Les modifications entre les périodes pré- et post-traitement vont dans le sens de ces attentes, sans pour autant être importantes et significatives.
Analyses
Une modification statistiquement et cliniquement significative a été retrouvée concernant l’évolution de la pression inspiratoire maximale. Le gain est similaire dans le groupe «hommes» et «femmes», avec une évolution parallèle face au traitement. Les périmètres, abdominal et xiphoïdien, n’ont, quant à eux, pas eu une modification statistique et clinique.
Discussion
Nous avons constaté une modification d’un paramètre évalué, liée au traitement manuel du diaphragme. D’autres techniques peuvent également être utilisées et avoir un impact sur la modification de ces paramètres [2, 3]. Ces résultats nous incitent à mieux comprendre les mécanismes d’action et les perspectives cliniques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=40988 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉchographie pulmonaire : principes et applications en kinésithérapie respiratoire / Aymeric Le Neindre in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.15, n°2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Échographie pulmonaire : principes et applications en kinésithérapie respiratoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Aymeric Le Neindre ; Johan Wormser ; Marius Lebret Année de publication : 2019 Article en page(s) : 26-008-A-09 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Atélectasie Diaphragme Échographie pulmonaire Kinésithérapie respiratoire Pneumopathie Syndrome alvéolo-interstitiel Résumé : L'échographie pulmonaire a bénéficié d'un intérêt croissant ces dernières années en médecine, et plus récemment en kinésithérapie. Les outils d'évaluation habituels du kinésithérapeute possèdent une précision diagnostique limitée. Dans ce contexte, l'échographie pulmonaire apporte une excellente précision dans l'évaluation de déficiences pouvant intéresser le kinésithérapeute : consolidation pulmonaire, syndrome alvéolo-interstitiel, épanchement pleural, diaphragme, etc. L'utilisation de l'échographie pulmonaire par le kinésithérapeute offre de nouvelles perspectives en améliorant la précision de l'examen clinique et en guidant le choix de la stratégie thérapeutique devant des déficiences pulmonaires et diaphragmatiques. L'utilisation de l'échographie en kinésithérapie respiratoire par un praticien formé et entraîné permet de préciser l'indication à la kinésithérapie respiratoire et d'évaluer son efficacité. Elle constitue un outil de choix à intégrer dans l'examen du patient, à l'instar de l'auscultation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81890
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.15, n°2 (Avril 2019) . - 26-008-A-09 [Tome 1][article] Échographie pulmonaire : principes et applications en kinésithérapie respiratoire [texte imprimé] / Aymeric Le Neindre ; Johan Wormser ; Marius Lebret . - 2019 . - 26-008-A-09 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.15, n°2 (Avril 2019) . - 26-008-A-09 [Tome 1]
Mots-clés : Atélectasie Diaphragme Échographie pulmonaire Kinésithérapie respiratoire Pneumopathie Syndrome alvéolo-interstitiel Résumé : L'échographie pulmonaire a bénéficié d'un intérêt croissant ces dernières années en médecine, et plus récemment en kinésithérapie. Les outils d'évaluation habituels du kinésithérapeute possèdent une précision diagnostique limitée. Dans ce contexte, l'échographie pulmonaire apporte une excellente précision dans l'évaluation de déficiences pouvant intéresser le kinésithérapeute : consolidation pulmonaire, syndrome alvéolo-interstitiel, épanchement pleural, diaphragme, etc. L'utilisation de l'échographie pulmonaire par le kinésithérapeute offre de nouvelles perspectives en améliorant la précision de l'examen clinique et en guidant le choix de la stratégie thérapeutique devant des déficiences pulmonaires et diaphragmatiques. L'utilisation de l'échographie en kinésithérapie respiratoire par un praticien formé et entraîné permet de préciser l'indication à la kinésithérapie respiratoire et d'évaluer son efficacité. Elle constitue un outil de choix à intégrer dans l'examen du patient, à l'instar de l'auscultation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81890 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les effets de différentes gymnastiques abdominales de type hypopressif sur le retour veineux du membre inférieur / Christine Colaone in Kinésithérapie scientifique, 587 (mai 2017)
[article]
Titre : Les effets de différentes gymnastiques abdominales de type hypopressif sur le retour veineux du membre inférieur Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Colaone Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 7-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Membre inférieur Masseur kinésithérapeute Rééducation périnéale Gymnastique médicale et rééducative Diaphragme Veine Résumé : Plusieurs méthodes de gymnastique sont appliquées en rééducation périnéale. Certaines sont considérées comme hypopressives, car n'entraînant aucun travail du diaphragme thoracique, donc pas de pression au niveau viscéral. Un de leurs effets annexes serait d'augmenter le retour veineux du membre inférieur. Marcel Caufriez, concepteur de la gymnastique abdominale hypopressive (GAH®), mentionne cet aspect sans le développer spécifiquement.
L'étude rapportée dans cet article envisage 4 d'entre elles et essaye de mettre en évidence leur influence vasculaire. Serait-elle infime, considérable, voire puissante, suivant la méthode employée ?
L'hypothèse de ce travail est que la non utilisation du diaphragme thoracique à l'inspiration aura un effet hypopressif par le diminution de la pression abdominale. Un autre effet supposé serait, en conséquence, une augmentation de la vitesse du retour veineux des membres inférieurs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48817
in Kinésithérapie scientifique > 587 (mai 2017) . - p. 7-11[article] Les effets de différentes gymnastiques abdominales de type hypopressif sur le retour veineux du membre inférieur [texte imprimé] / Christine Colaone . - 2017 . - p. 7-11.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 587 (mai 2017) . - p. 7-11
Mots-clés : Membre inférieur Masseur kinésithérapeute Rééducation périnéale Gymnastique médicale et rééducative Diaphragme Veine Résumé : Plusieurs méthodes de gymnastique sont appliquées en rééducation périnéale. Certaines sont considérées comme hypopressives, car n'entraînant aucun travail du diaphragme thoracique, donc pas de pression au niveau viscéral. Un de leurs effets annexes serait d'augmenter le retour veineux du membre inférieur. Marcel Caufriez, concepteur de la gymnastique abdominale hypopressive (GAH®), mentionne cet aspect sans le développer spécifiquement.
L'étude rapportée dans cet article envisage 4 d'entre elles et essaye de mettre en évidence leur influence vasculaire. Serait-elle infime, considérable, voire puissante, suivant la méthode employée ?
L'hypothèse de ce travail est que la non utilisation du diaphragme thoracique à l'inspiration aura un effet hypopressif par le diminution de la pression abdominale. Un autre effet supposé serait, en conséquence, une augmentation de la vitesse du retour veineux des membres inférieurs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48817 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtTechniques d’évaluation de la force des muscles respiratoires / Jean-William FITTING in Kinésithérapie, la revue, 94 (octobre 2009)
[article]
Titre : Techniques d’évaluation de la force des muscles respiratoires Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-William FITTING Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 23-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : Muscle Appareil respiratoire Expectoration Diaphragme Résumé : La faiblesse des muscles respiratoires peut entraîner une dyspnée, un encombrement bronchique et une insuffisance respiratoire potentiellement fatale. L’évaluation de la force musculaire respiratoire s’impose donc dans les affections neuro-musculaires, mais également dans les situations de dyspnée inexpliquée par une première évaluation cardiaque et pulmonaire. À la spirométrie, une faiblesse musculaire est suspectée sur la base de la boucle débit-volume montrant un débit de pointe émoussé et une fin prématurée de l’expiration. Une diminution importante de la capacité vitale en position couchée suggère une paralysie diaphragmatique. La force inspiratoire est mesurée par la pression inspiratoire maximale (PImax ) contre une quasi-occlusion des voies aériennes. Ce test relativement difficile est d’interprétation délicate en cas de collaboration insuffisante. La mesure de la pression nasale sniff (SNIP) est une alternative utile, car elle élimine le problème des fuites autour de l’embout buccal et la réalisation du reniflement est facile. De même, la pression trans-diaphragmatique sniff mesure la force du diaphragme au moyen de sondes œsophagienne et gastrique. En cas de collaboration insuffisante, on peut recourir à la stimulation magnétique des nerfs phréniques qui induit une contraction non-volontaire du diaphragme. La force expiratoire est mesurée par la pression expiratoire maximale (PEmax ) contre une quasi-occlusion. La force disponible pour tousser est mesurée par la pression gastrique à la toux, ou plus simplement par le débit de pointe à la toux. Chez les patients à risque, la mesure de la force des muscles respiratoires permet d’instaurer à temps une assistance ventilatoire ou à la toux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15216
in Kinésithérapie, la revue > 94 (octobre 2009) . - p. 23-28[article] Techniques d’évaluation de la force des muscles respiratoires [texte imprimé] / Jean-William FITTING . - 2009 . - p. 23-28.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 94 (octobre 2009) . - p. 23-28
Mots-clés : Muscle Appareil respiratoire Expectoration Diaphragme Résumé : La faiblesse des muscles respiratoires peut entraîner une dyspnée, un encombrement bronchique et une insuffisance respiratoire potentiellement fatale. L’évaluation de la force musculaire respiratoire s’impose donc dans les affections neuro-musculaires, mais également dans les situations de dyspnée inexpliquée par une première évaluation cardiaque et pulmonaire. À la spirométrie, une faiblesse musculaire est suspectée sur la base de la boucle débit-volume montrant un débit de pointe émoussé et une fin prématurée de l’expiration. Une diminution importante de la capacité vitale en position couchée suggère une paralysie diaphragmatique. La force inspiratoire est mesurée par la pression inspiratoire maximale (PImax ) contre une quasi-occlusion des voies aériennes. Ce test relativement difficile est d’interprétation délicate en cas de collaboration insuffisante. La mesure de la pression nasale sniff (SNIP) est une alternative utile, car elle élimine le problème des fuites autour de l’embout buccal et la réalisation du reniflement est facile. De même, la pression trans-diaphragmatique sniff mesure la force du diaphragme au moyen de sondes œsophagienne et gastrique. En cas de collaboration insuffisante, on peut recourir à la stimulation magnétique des nerfs phréniques qui induit une contraction non-volontaire du diaphragme. La force expiratoire est mesurée par la pression expiratoire maximale (PEmax ) contre une quasi-occlusion. La force disponible pour tousser est mesurée par la pression gastrique à la toux, ou plus simplement par le débit de pointe à la toux. Chez les patients à risque, la mesure de la force des muscles respiratoires permet d’instaurer à temps une assistance ventilatoire ou à la toux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15216 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtComment en finir avec la toux chronique / Sylvie Riou-Millot in Sciences et avenir, 925 (mars 2024)
PermalinkEntraînement spécifique des muscles inspiratoires / PEREZ T. in Kinéréa, N°35 (décembre 2002)
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