Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Détection d'abus de substances'
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Blood doping — physiological background, substances and techniques used, current and future detection methods / D. Dragcevic in Science & sports, Vol.38 N°5-6 (août 2023)
[article]
Titre : Blood doping — physiological background, substances and techniques used, current and future detection methods Titre original : Le dopage sanguin — contexte physiologique, substances et techniques utilisées, méthodes de détection actuelles et d’avenir Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Dragcevic ; O. Jaksic Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 498-509 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Détection d'abus de substances Dopage sportif Erythropoietine Hypoxie Transfusion sanguine Résumé : Objectifs
Le désir des athlètes de gagner est la raison pour laquelle certains d’entre eux décident d’avoir recours au dopage. Le dopage sanguin, type de dopage le plus répandu dans les sports d’endurance, augmente l’hémoglobine circulante et par voie de conséquence l’apport d’oxygène aux tissus, ce qui améliore l’aptitude aérobie maximale. Les possibilités illégales d’élévation de l’hémoglobine sont l’abus de substances (dont l’érythropoïétine humaine recombinante, les facteurs inductibles par l’hypoxie, etc.) et/ou de méthodes interdites (dont la transfusion sanguine autologue). Ces substances et méthodes sont utilisées en concordance avec des protocoles précis afin d’éviter les résultats analytiques anormaux (RAA), grâce soit à des méthodes d’analyse directes, soit avec des méthodes indirectes.
Nouvelles données
Les méthodes analytiques directes ne sont pas suffisamment sensibles pour détecter les transfusions sanguines autologues, les nouvelles molécules ou les variants de l’érythropoïétine humaine recombinante dans différents protocoles de dopage. C’est pourquoi des méthodes de détection indirectes qui s’attachent à étudier les effets sur l’organisme de l’usage des molécules et/ou de méthodes de dopage sont maintenant en cours de développement. Le Passeport biologique de l’athlète est un exemple de telles méthodes indirectes, avec son module hématologique composé de douze paramètres et de deux scores qui permettent un suivi longitudinal de chaque athlète. Les valeurs de référence personnelles pour chaque athlète sont calculées grâce à une analyse probabiliste bayésienne. Les modifications des paramètres sanguins faisant suspecter un cas de dopage sont marquées comme des RAA avec un niveau de certitude de 99 %, mais les nouveaux protocoles d’usage des substances et méthodes dopantes ainsi que les diverses explications des athlètes représentent un nouveau défi pour confirmer le cas dopage.
Perspectives et projets
La possibilité de détection du dopage avec le Passeport biologique de l’athlète a poussé les athlètes, ainsi que leurs équipes, à utiliser différents arguments pour expliquer les RAA. C’est pourquoi de nombreuses recherches scientifiques sont actuellement menées pour expliquer l’influence de divers facteurs sur les biomarqueurs hématologiques. Simultanément, les autorités en charge de la lutte contre le dopage développent de nouvelles méthodes directes (par exemple, recherche de substances associées, de métabolites, etc.) et indirectes (par exemple, la fraction de réticulocytes immatures, analyses de transcriptomique, etc.) pour détecter la violation des règles antidopage.
Conclusion
Les substances/méthodes utilisées par les athlètes pour améliorer leur capacité aérobie maximale se développent souvent plus rapidement que les capacités qu’ont les autorités antidopage à mettre en œuvre des méthodes de détection directe efficaces, c’est pourquoi des recherches scientifiques constantes sont nécessaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112601
in Science & sports > Vol.38 N°5-6 (août 2023) . - p. 498-509[article] Blood doping — physiological background, substances and techniques used, current and future detection methods = Le dopage sanguin — contexte physiologique, substances et techniques utilisées, méthodes de détection actuelles et d’avenir [texte imprimé] / D. Dragcevic ; O. Jaksic . - 2023 . - p. 498-509.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°5-6 (août 2023) . - p. 498-509
Mots-clés : Détection d'abus de substances Dopage sportif Erythropoietine Hypoxie Transfusion sanguine Résumé : Objectifs
Le désir des athlètes de gagner est la raison pour laquelle certains d’entre eux décident d’avoir recours au dopage. Le dopage sanguin, type de dopage le plus répandu dans les sports d’endurance, augmente l’hémoglobine circulante et par voie de conséquence l’apport d’oxygène aux tissus, ce qui améliore l’aptitude aérobie maximale. Les possibilités illégales d’élévation de l’hémoglobine sont l’abus de substances (dont l’érythropoïétine humaine recombinante, les facteurs inductibles par l’hypoxie, etc.) et/ou de méthodes interdites (dont la transfusion sanguine autologue). Ces substances et méthodes sont utilisées en concordance avec des protocoles précis afin d’éviter les résultats analytiques anormaux (RAA), grâce soit à des méthodes d’analyse directes, soit avec des méthodes indirectes.
Nouvelles données
Les méthodes analytiques directes ne sont pas suffisamment sensibles pour détecter les transfusions sanguines autologues, les nouvelles molécules ou les variants de l’érythropoïétine humaine recombinante dans différents protocoles de dopage. C’est pourquoi des méthodes de détection indirectes qui s’attachent à étudier les effets sur l’organisme de l’usage des molécules et/ou de méthodes de dopage sont maintenant en cours de développement. Le Passeport biologique de l’athlète est un exemple de telles méthodes indirectes, avec son module hématologique composé de douze paramètres et de deux scores qui permettent un suivi longitudinal de chaque athlète. Les valeurs de référence personnelles pour chaque athlète sont calculées grâce à une analyse probabiliste bayésienne. Les modifications des paramètres sanguins faisant suspecter un cas de dopage sont marquées comme des RAA avec un niveau de certitude de 99 %, mais les nouveaux protocoles d’usage des substances et méthodes dopantes ainsi que les diverses explications des athlètes représentent un nouveau défi pour confirmer le cas dopage.
Perspectives et projets
La possibilité de détection du dopage avec le Passeport biologique de l’athlète a poussé les athlètes, ainsi que leurs équipes, à utiliser différents arguments pour expliquer les RAA. C’est pourquoi de nombreuses recherches scientifiques sont actuellement menées pour expliquer l’influence de divers facteurs sur les biomarqueurs hématologiques. Simultanément, les autorités en charge de la lutte contre le dopage développent de nouvelles méthodes directes (par exemple, recherche de substances associées, de métabolites, etc.) et indirectes (par exemple, la fraction de réticulocytes immatures, analyses de transcriptomique, etc.) pour détecter la violation des règles antidopage.
Conclusion
Les substances/méthodes utilisées par les athlètes pour améliorer leur capacité aérobie maximale se développent souvent plus rapidement que les capacités qu’ont les autorités antidopage à mettre en œuvre des méthodes de détection directe efficaces, c’est pourquoi des recherches scientifiques constantes sont nécessaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112601 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPour une approche globale et intégrée des drogues à Bruxelles [dossier] in Bruxelles santé, 95 (Juillet-Août-Septembre 2019)
[article]
Titre : Pour une approche globale et intégrée des drogues à Bruxelles [dossier] Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 7-15 Langues : Néerlandais (nla) Mots-clés : Addiction Bruxelles Centres de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie Comportement de réduction des risques Contrôle des médicaments et des stupéfiants Détection d'abus de substances Drogues illicites Marginalisation sociale Politique publique Populations vulnérables Précarité Prejugé Prévention Santé Santé publique Travailleurs sociaux Troubles liés à une substance Usagers de drogues Résumé : Le transfert de compétence en matière de drogues vers la Région de Bruxelles-Capitale a considérablement changé la donne dans l’appréhension de ce phénomène. Plus récemment, dans sa déclaration de politique générale commune pour la législature 2019-2024, le Gouvernement bruxellois s’engage à « mettre en place une véritable politique de réduction des risques vis-à-vis des consommateurs potentiels ou usagers de drogues (y compris l’alcool). Ce dossier fait le point sur ce sujet et met en avant la diversité des stratégies et actions menées par les associations actives dans ce domaine. Note de contenu : - Pour une approche globale et intégrée des drogues à Bruxelles, par Nathalie Cobbaut
- La drogue, c'est mal ! : trois vidéos pour changer les mentalités, par Nathalie Cobbaut
- La campagne "Soutenez. Ne punissez pas.", par Anoutcha Lualaba Lekede
- Concilier santé et toxicomanie ?, par Anoutcha Lualaba LekedeEn ligne : https://questionsante.org/wp-content/uploads/2019/09/20210810_pub_bxlsante95.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81703
in Bruxelles santé > 95 (Juillet-Août-Septembre 2019) . - p. 7-15[article] Pour une approche globale et intégrée des drogues à Bruxelles [dossier] [texte imprimé] . - 2019 . - p. 7-15.
Langues : Néerlandais (nla)
in Bruxelles santé > 95 (Juillet-Août-Septembre 2019) . - p. 7-15
Mots-clés : Addiction Bruxelles Centres de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie Comportement de réduction des risques Contrôle des médicaments et des stupéfiants Détection d'abus de substances Drogues illicites Marginalisation sociale Politique publique Populations vulnérables Précarité Prejugé Prévention Santé Santé publique Travailleurs sociaux Troubles liés à une substance Usagers de drogues Résumé : Le transfert de compétence en matière de drogues vers la Région de Bruxelles-Capitale a considérablement changé la donne dans l’appréhension de ce phénomène. Plus récemment, dans sa déclaration de politique générale commune pour la législature 2019-2024, le Gouvernement bruxellois s’engage à « mettre en place une véritable politique de réduction des risques vis-à-vis des consommateurs potentiels ou usagers de drogues (y compris l’alcool). Ce dossier fait le point sur ce sujet et met en avant la diversité des stratégies et actions menées par les associations actives dans ce domaine. Note de contenu : - Pour une approche globale et intégrée des drogues à Bruxelles, par Nathalie Cobbaut
- La drogue, c'est mal ! : trois vidéos pour changer les mentalités, par Nathalie Cobbaut
- La campagne "Soutenez. Ne punissez pas.", par Anoutcha Lualaba Lekede
- Concilier santé et toxicomanie ?, par Anoutcha Lualaba LekedeEn ligne : https://questionsante.org/wp-content/uploads/2019/09/20210810_pub_bxlsante95.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81703 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire