Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'ALZHEIMER(MALADIE)'
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Maladie d’Alzheimer : communication par le langage non verbal / Philippe Beauseigneur in Kinésithérapie, la revue, Vol. 19, n°207 (Mars 2019)
[article]
Titre : Maladie d’Alzheimer : communication par le langage non verbal Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Beauseigneur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 53-60 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALZHEIMER(MALADIE) Empathie neurones miroirs Résumé : Identifier les mécanismes d’action des neurones miroirs, l’importance de l’empathie, le langage gestuel et son application pratique au contact des patients atteints de la maladie d’Alzheimer.
Contexte
La maladie d’Alzheimer est un syndrome neurodégénératif avec une détérioration immuable des capacités cognitives. Les troubles de la mémorisation entraînent une perte sémantique importante aussi bien dans la compréhension du mot que de son articulation. La communication avec les proches, avec les soignants, avec les aidants devient de plus en plus difficile, voire impossible, malgré une volonté incontestable de tous les acteurs de soin.
Objectif
Existe-t-il un autre moyen de communication que la parole ? Captons l’attention du patient, mettons en action ses neurones miroirs et inspirons-nous de la langue des signes pour doubler la communication verbale.
Plan de rédaction
Nous allons comprendre les mécanismes d’action des neurones miroirs, l’importance de l’empathie, le langage gestuel et son application pratique au contact des patients atteints de la maladie d’Alzheimer.
Discussion
Le travail pratique entrepris dans les Unités Cognitivo-Comportementales, dans les EHPAD, en secteur Alzheimer, a pour but de doubler le langage parlé quand les personnes le comprennent encore, pour n’utiliser que les signes quand la communication verbale est devenue impossible. Aujourd’hui nous utilisons déjà le langage non verbal dans les démences à des stades sévères.
Idées fortes et conclusion
Un outil de communication supplémentaire, dans un travail d’équipe où les soins, la préservation des capacités cognitives, l’empathie, l’aide aux aidants sont les objectifs essentiels.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78938
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°207 (Mars 2019) . - p. 53-60[article] Maladie d’Alzheimer : communication par le langage non verbal [texte imprimé] / Philippe Beauseigneur . - 2019 . - p. 53-60.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°207 (Mars 2019) . - p. 53-60
Mots-clés : ALZHEIMER(MALADIE) Empathie neurones miroirs Résumé : Identifier les mécanismes d’action des neurones miroirs, l’importance de l’empathie, le langage gestuel et son application pratique au contact des patients atteints de la maladie d’Alzheimer.
Contexte
La maladie d’Alzheimer est un syndrome neurodégénératif avec une détérioration immuable des capacités cognitives. Les troubles de la mémorisation entraînent une perte sémantique importante aussi bien dans la compréhension du mot que de son articulation. La communication avec les proches, avec les soignants, avec les aidants devient de plus en plus difficile, voire impossible, malgré une volonté incontestable de tous les acteurs de soin.
Objectif
Existe-t-il un autre moyen de communication que la parole ? Captons l’attention du patient, mettons en action ses neurones miroirs et inspirons-nous de la langue des signes pour doubler la communication verbale.
Plan de rédaction
Nous allons comprendre les mécanismes d’action des neurones miroirs, l’importance de l’empathie, le langage gestuel et son application pratique au contact des patients atteints de la maladie d’Alzheimer.
Discussion
Le travail pratique entrepris dans les Unités Cognitivo-Comportementales, dans les EHPAD, en secteur Alzheimer, a pour but de doubler le langage parlé quand les personnes le comprennent encore, pour n’utiliser que les signes quand la communication verbale est devenue impossible. Aujourd’hui nous utilisons déjà le langage non verbal dans les démences à des stades sévères.
Idées fortes et conclusion
Un outil de communication supplémentaire, dans un travail d’équipe où les soins, la préservation des capacités cognitives, l’empathie, l’aide aux aidants sont les objectifs essentiels.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78938 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtParticularités de la kinésithérapie libérale en EHPAD des patients Alzheimer : communication et rééducation / Thibaud Hoppeler in Kinésithérapie, la revue, Vol. 19, n°207 (Mars 2019)
[article]
Titre : Particularités de la kinésithérapie libérale en EHPAD des patients Alzheimer : communication et rééducation Type de document : texte imprimé Auteurs : Thibaud Hoppeler Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 49-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALZHEIMER(MALADIE) pluridisciplinarité /concept rééducation fonctionnelle Résumé : La prise en charge de patients Alzheimer en EHPAD implique un certain nombre d’adaptations, comparativement à un traitement « classique ». Notre maîtrise de la communication, bien que complexe, demeure un point clef des interventions qui bénéficie à tous les intervenants. Au-delà de l’aspect fonctionnel indispensable, cette rééducation passe par plusieurs relations : avec la famille pour fixer les objectifs et connaître le patient ; interprofessionnelle pour affiner les objectifs et être au plus proche de la réalité fonctionnelle. Le patient pouvant que rarement tout exprimer sur son ressenti, il faut alors s’appuyer sur les remarques de tous les intervenants pour établir la stratégie thérapeutique. La rééducation fait alors la part belle au maintien ou au rétablissement du schéma corporel. La maladie d’Alzheimer l’altère souvent, ce qui limite l’indépendance du résident. Les interventions du kinésithérapeute libéral s’appuient sur ces constats. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78941
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°207 (Mars 2019) . - p. 49-52[article] Particularités de la kinésithérapie libérale en EHPAD des patients Alzheimer : communication et rééducation [texte imprimé] / Thibaud Hoppeler . - 2019 . - p. 49-52.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°207 (Mars 2019) . - p. 49-52
Mots-clés : ALZHEIMER(MALADIE) pluridisciplinarité /concept rééducation fonctionnelle Résumé : La prise en charge de patients Alzheimer en EHPAD implique un certain nombre d’adaptations, comparativement à un traitement « classique ». Notre maîtrise de la communication, bien que complexe, demeure un point clef des interventions qui bénéficie à tous les intervenants. Au-delà de l’aspect fonctionnel indispensable, cette rééducation passe par plusieurs relations : avec la famille pour fixer les objectifs et connaître le patient ; interprofessionnelle pour affiner les objectifs et être au plus proche de la réalité fonctionnelle. Le patient pouvant que rarement tout exprimer sur son ressenti, il faut alors s’appuyer sur les remarques de tous les intervenants pour établir la stratégie thérapeutique. La rééducation fait alors la part belle au maintien ou au rétablissement du schéma corporel. La maladie d’Alzheimer l’altère souvent, ce qui limite l’indépendance du résident. Les interventions du kinésithérapeute libéral s’appuient sur ces constats. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78941 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe relever du sol chez des patients présentant une démence de type Alzheimer / Marine BRIKA in Kinésithérapie scientifique, 604 (Décembre 2018)
[article]
Titre : Le relever du sol chez des patients présentant une démence de type Alzheimer Type de document : texte imprimé Auteurs : Marine BRIKA ; France Mourey, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.41-44 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALZHEIMER(MALADIE) CHUTE Résumé : L?incidence des chutes lors du vieillissement reflète l?importance de ne pas banaliser cet événement. En effet, une personne sur 3 de plus de 65 ans chute chaque année. Ce ratio évolue à 1 sur 2 pour les personnes âgées de plus de 85 ans [1]. Le risque de récidive après une première chute est multiplié par 20 [2].
Les conséquences des chutes sont traumatiques dans 10 % des cas et les fractures apparaissent seulement dans 5 % des cas [2]. Malgré l?absence de blessure grave, la moitié des personnes âgées ayant chuté sont incapables de se relever seule [3]. Cette incapacité constitue un facteur prédictif de chute [4] et peut provenir d?une fragilisation des automatismes moteurs [5] : la personne âgée ne sait plus comment se relever, la séquence motrice ayant été oubliée [6].
De plus, l?entrée dans le vieillissement pathologique peut être causée par l?apparition d?une fragilité cognitive. La prévalence des démences, et plus particulièrement de la maladie d?Alzheimer, attire l?attention. En 2020, 1,2 million de français seront atteints par cette maladie, 2,1 millions en 2040, la France comptant chaque année 225 000 nouveaux cas [7]. Cette pathologie neurodégénérative doit être considérée comme un facteur de risque de chute à part entière [8, 9]. Les répercussions physiques et psychologiques de la chute sur la personne âgée ainsi que les conséquences de la station prolongée au sol (hypothermie, pneumopathie, escarres, rhabdomyolyse, syndrome de désadaptation psychomotrice...) doivent être au centre des préoccupations de tout rééducateur intervenant auprès de personnes âgées fragiles.
Ceci nous a amené à proposer une activité collective autour du relever du sol dans notre unité Alzheimer, au sein du Centre gériatrique de Champmaillot. Cette démarche s?appuie également sur un autre constat : le relever du sol en institution est rarement effectué par le patient lui-même car les soignants, animés d?une volonté de secourir, aident d?emblée la personne à se releverPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61221
in Kinésithérapie scientifique > 604 (Décembre 2018) . - p.41-44[article] Le relever du sol chez des patients présentant une démence de type Alzheimer [texte imprimé] / Marine BRIKA ; France Mourey, Auteur . - 2018 . - p.41-44.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 604 (Décembre 2018) . - p.41-44
Mots-clés : ALZHEIMER(MALADIE) CHUTE Résumé : L?incidence des chutes lors du vieillissement reflète l?importance de ne pas banaliser cet événement. En effet, une personne sur 3 de plus de 65 ans chute chaque année. Ce ratio évolue à 1 sur 2 pour les personnes âgées de plus de 85 ans [1]. Le risque de récidive après une première chute est multiplié par 20 [2].
Les conséquences des chutes sont traumatiques dans 10 % des cas et les fractures apparaissent seulement dans 5 % des cas [2]. Malgré l?absence de blessure grave, la moitié des personnes âgées ayant chuté sont incapables de se relever seule [3]. Cette incapacité constitue un facteur prédictif de chute [4] et peut provenir d?une fragilisation des automatismes moteurs [5] : la personne âgée ne sait plus comment se relever, la séquence motrice ayant été oubliée [6].
De plus, l?entrée dans le vieillissement pathologique peut être causée par l?apparition d?une fragilité cognitive. La prévalence des démences, et plus particulièrement de la maladie d?Alzheimer, attire l?attention. En 2020, 1,2 million de français seront atteints par cette maladie, 2,1 millions en 2040, la France comptant chaque année 225 000 nouveaux cas [7]. Cette pathologie neurodégénérative doit être considérée comme un facteur de risque de chute à part entière [8, 9]. Les répercussions physiques et psychologiques de la chute sur la personne âgée ainsi que les conséquences de la station prolongée au sol (hypothermie, pneumopathie, escarres, rhabdomyolyse, syndrome de désadaptation psychomotrice...) doivent être au centre des préoccupations de tout rééducateur intervenant auprès de personnes âgées fragiles.
Ceci nous a amené à proposer une activité collective autour du relever du sol dans notre unité Alzheimer, au sein du Centre gériatrique de Champmaillot. Cette démarche s?appuie également sur un autre constat : le relever du sol en institution est rarement effectué par le patient lui-même car les soignants, animés d?une volonté de secourir, aident d?emblée la personne à se releverPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61221 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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