Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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7 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Éprouvé corporel'
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L'émotion à la lumière du focusing / Bernadette Lamboy in Santé mentale, 254 (Janvier 2021)
[article]
Titre : L'émotion à la lumière du focusing Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernadette Lamboy Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 64-69 Note générale : Issu du dossier " « Gère tes émotions !» " Langues : Français (fre) Mots-clés : CAS CLINIQUE CORPS ÉMOTION Expression de l'émotion Éprouvé corporel Focusing MÉDITATION PERCEPTION SENSORIELLE Résumé : Le focusing (ou centrage sur soi) est une approche initiée par Eugene Gendlin, psychologue humaniste proche collaborateur de Carl Rogers. Il nous ramène au ressenti corporel global (appelé « sens corporel ») de la situation que nous vivons ou évoquons, pour en laisser émerger des réponses nouvelles plus ajustées. Le corps devient notre point d’ancrage et notre boussole intérieure. En effet lorsque nous sommes stressés, en colère, tristes, contrariés, mal à l’aise ou heureux… nous le sentons dans notre corps. Le focusing nous apprend à porter attention à ce ressenti corporel, à l’accueillir, à le décrire, puis à se porter à son écoute. Il va ainsi nous délivrer son message qui nous permettra d’aborder la situation sous un angle plus serein avec de nouvelles orientations. Note de contenu : À l’écoute du sens corporel, le focusing permet de se poser, pour percevoir ses émotions et ainsi affiner sa compréhension de la situation. Cette démarche favorise l’émergence d’autres solutions plus acceptables pour soi et les autres. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93169
in Santé mentale > 254 (Janvier 2021) . - p. 64-69[article] L'émotion à la lumière du focusing [texte imprimé] / Bernadette Lamboy . - 2021 . - p. 64-69.
Issu du dossier " « Gère tes émotions !» "
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 254 (Janvier 2021) . - p. 64-69
Mots-clés : CAS CLINIQUE CORPS ÉMOTION Expression de l'émotion Éprouvé corporel Focusing MÉDITATION PERCEPTION SENSORIELLE Résumé : Le focusing (ou centrage sur soi) est une approche initiée par Eugene Gendlin, psychologue humaniste proche collaborateur de Carl Rogers. Il nous ramène au ressenti corporel global (appelé « sens corporel ») de la situation que nous vivons ou évoquons, pour en laisser émerger des réponses nouvelles plus ajustées. Le corps devient notre point d’ancrage et notre boussole intérieure. En effet lorsque nous sommes stressés, en colère, tristes, contrariés, mal à l’aise ou heureux… nous le sentons dans notre corps. Le focusing nous apprend à porter attention à ce ressenti corporel, à l’accueillir, à le décrire, puis à se porter à son écoute. Il va ainsi nous délivrer son message qui nous permettra d’aborder la situation sous un angle plus serein avec de nouvelles orientations. Note de contenu : À l’écoute du sens corporel, le focusing permet de se poser, pour percevoir ses émotions et ainsi affiner sa compréhension de la situation. Cette démarche favorise l’émergence d’autres solutions plus acceptables pour soi et les autres. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93169 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDissociation traumatique : de quoi s’agit-il ? / Joanna Smith in Santé mentale, 272 (novembre 2022)
[article]
Titre : Dissociation traumatique : de quoi s’agit-il ? Auteurs : Joanna Smith Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 36-40 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Je suis traumatisé!" Langues : Français (fre) Mots-clés : Eprouvé corporel Nosologie Régulation émotionnelle Symptôme négatif Symptôme positif Résumé : La compréhension du phénomène de dissociation grâce aux données issues des neurosciences permet d’appréhender un certain nombre de symptômes sous un jour nouveau. Repères et illustration clinique.
Élodie, 32 ans, consulte au retour de son voyage de noces à l’étranger pendant lequel sont apparus des voix et des flashs au contenu sexuel dont elle se souvient partiellement. Elle souhaite travailler sur son histoire et être soulagée de ses troubles, qui persistent un mois après son retour.
Cliniquement, Élodie présente une raideur corporelle, un visage très pâle et semble n’éprouver aucune émotion. Elle me fait penser à une poupée de porcelaine. Nous découvrirons par la suite au cours de la thérapie qu’elle éprouve très peu de sensations physiques, qu’elle a l’impression de ne pas être elle-même ou que ce qui se passe autour d’elle n’est pas réel. Elle est amimique (incapable de s’exprimer par des gestes), sa voix est monocorde et son regard peu expressif. Elle présente une amnésie partielle concernant son enfance : si elle se rappelle bien de sa scolarité, elle se souvient peu d’événements familiaux. Ceux-ci se présentent souvent sous forme de bribes avec un contenu traumatique (scènes de violences verbales et physiques contre elle ou sa mère). Sur le plan de la symptomatologie dissociative, on retient donc des sensations de déréalisation et de dépersonnalisation chroniques, une amnésie partielle de l’enfance, une anesthésie émotionnelle et sensorielle, et des intrusions, notamment sous forme de flash-back.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107797
in Santé mentale > 272 (novembre 2022) . - p. 36-40[article] Dissociation traumatique : de quoi s’agit-il ? [] / Joanna Smith . - 2022 . - p. 36-40.
Cet article fait partie du dossier "Je suis traumatisé!"
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 272 (novembre 2022) . - p. 36-40
Mots-clés : Eprouvé corporel Nosologie Régulation émotionnelle Symptôme négatif Symptôme positif Résumé : La compréhension du phénomène de dissociation grâce aux données issues des neurosciences permet d’appréhender un certain nombre de symptômes sous un jour nouveau. Repères et illustration clinique.
Élodie, 32 ans, consulte au retour de son voyage de noces à l’étranger pendant lequel sont apparus des voix et des flashs au contenu sexuel dont elle se souvient partiellement. Elle souhaite travailler sur son histoire et être soulagée de ses troubles, qui persistent un mois après son retour.
Cliniquement, Élodie présente une raideur corporelle, un visage très pâle et semble n’éprouver aucune émotion. Elle me fait penser à une poupée de porcelaine. Nous découvrirons par la suite au cours de la thérapie qu’elle éprouve très peu de sensations physiques, qu’elle a l’impression de ne pas être elle-même ou que ce qui se passe autour d’elle n’est pas réel. Elle est amimique (incapable de s’exprimer par des gestes), sa voix est monocorde et son regard peu expressif. Elle présente une amnésie partielle concernant son enfance : si elle se rappelle bien de sa scolarité, elle se souvient peu d’événements familiaux. Ceux-ci se présentent souvent sous forme de bribes avec un contenu traumatique (scènes de violences verbales et physiques contre elle ou sa mère). Sur le plan de la symptomatologie dissociative, on retient donc des sensations de déréalisation et de dépersonnalisation chroniques, une amnésie partielle de l’enfance, une anesthésie émotionnelle et sensorielle, et des intrusions, notamment sous forme de flash-back.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107797 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt" Ça me dégoûte ! " / Sandrine Jullien-Villemont in Santé mentale, 276 (Mars 2023)
[article]
Titre : " Ça me dégoûte ! " Type de document : texte imprimé Auteurs : Sandrine Jullien-Villemont Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 64-68 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Cultiver ses compétences émotionnelles ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Éprouvé corporel Analyse de la pratique Dégoût Soins relationnel Élève infirmier Émotions Enseignement infirmier Stage pratique guidé Résumé : Les premières confrontations aux corps malades sont souvent des expériences violentes. Que faire des ressentis des étudiants en soins infirmiers en formation initiale ? Des initiatives pédagogiques proposent de valider et travailler sur leurs émotions, et en particulier le dégoût.
« La situation la plus ancienne dont je me souviens au cours de ma for- mation en soins infirmiers est la toilette d’une dame âgée lors de mon premier stage. J’étais une jeune fille de 19 ans et je découvrais le milieu des soins. Ce matin-là, j’accompagnais une aide-soignante pour les soins d’hygiène. Je nous revois, chacune d’un côté du lit de la patiente qui ne parlait pas et semblait être ailleurs. Le drap et les couvertures sont soulevés et j’aperçois entre ses jambes, tout en haut des cuisses, une sorte de boudin rose luisant, humide et visqueux. J’interroge l’aide-soignante qui me répond très naturellement que la patiente souffre d’un important prolapsus génital (1) et que certaines nuits, son utérus s’extériorise. Je n’ai aucun sou- venir de ce que nous avions fait avant, ni après, ni même des soins que nous avons apportés à cette patiente. En revanche, j’ai le souvenir de la sensation qui m’a envahie et l’image reste gravée dans ma mémoire, de ce morceau de chair, posé sur le drap, dépassant largement l’orifice par lequel il était sorti du corps. Moment de stupeur puis étrange malaise : moi aussi j’ai ça ! Je me souviens avoir été surprise de sa couleur, rose intense luisant de sécrétions, mais aussi brillant comme une porcelaine qu’on aurait astiquée. Je ressens encore, presque trente ans après, cette sensation très forte : c’est dégoûtant ! Aujourd’hui je sais que cette sensation de dégoût était très liée au passage vers l’extérieur d’un organe interne. Cette femme était-elle vivante ou déjà un peu morte? Était-elle encore humaine ou devenait-elle un peu animale en nous présentant ainsi son utérus ? Aujourd’hui je suis aussi capable d’analyser cette situation en y intégrant la notion d’inquiétante étrangeté de S. Freud (1919) : je connais cet organe qui est en moi et me fait souffrir chaque mois mais alors, sur le moment, je ne le reconnais pas ! Comment pourrais-je avoir “ça” en moi ? Comment vais-je faire avec la vision de cet organe censé ne pas être visible ? C’est de l’ordre de l’impensable ! ». [...]Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109759
in Santé mentale > 276 (Mars 2023) . - p. 64-68[article] " Ça me dégoûte ! " [texte imprimé] / Sandrine Jullien-Villemont . - 2023 . - p. 64-68.
Cet article fait partie du dossier " Cultiver ses compétences émotionnelles ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 276 (Mars 2023) . - p. 64-68
Mots-clés : Éprouvé corporel Analyse de la pratique Dégoût Soins relationnel Élève infirmier Émotions Enseignement infirmier Stage pratique guidé Résumé : Les premières confrontations aux corps malades sont souvent des expériences violentes. Que faire des ressentis des étudiants en soins infirmiers en formation initiale ? Des initiatives pédagogiques proposent de valider et travailler sur leurs émotions, et en particulier le dégoût.
« La situation la plus ancienne dont je me souviens au cours de ma for- mation en soins infirmiers est la toilette d’une dame âgée lors de mon premier stage. J’étais une jeune fille de 19 ans et je découvrais le milieu des soins. Ce matin-là, j’accompagnais une aide-soignante pour les soins d’hygiène. Je nous revois, chacune d’un côté du lit de la patiente qui ne parlait pas et semblait être ailleurs. Le drap et les couvertures sont soulevés et j’aperçois entre ses jambes, tout en haut des cuisses, une sorte de boudin rose luisant, humide et visqueux. J’interroge l’aide-soignante qui me répond très naturellement que la patiente souffre d’un important prolapsus génital (1) et que certaines nuits, son utérus s’extériorise. Je n’ai aucun sou- venir de ce que nous avions fait avant, ni après, ni même des soins que nous avons apportés à cette patiente. En revanche, j’ai le souvenir de la sensation qui m’a envahie et l’image reste gravée dans ma mémoire, de ce morceau de chair, posé sur le drap, dépassant largement l’orifice par lequel il était sorti du corps. Moment de stupeur puis étrange malaise : moi aussi j’ai ça ! Je me souviens avoir été surprise de sa couleur, rose intense luisant de sécrétions, mais aussi brillant comme une porcelaine qu’on aurait astiquée. Je ressens encore, presque trente ans après, cette sensation très forte : c’est dégoûtant ! Aujourd’hui je sais que cette sensation de dégoût était très liée au passage vers l’extérieur d’un organe interne. Cette femme était-elle vivante ou déjà un peu morte? Était-elle encore humaine ou devenait-elle un peu animale en nous présentant ainsi son utérus ? Aujourd’hui je suis aussi capable d’analyser cette situation en y intégrant la notion d’inquiétante étrangeté de S. Freud (1919) : je connais cet organe qui est en moi et me fait souffrir chaque mois mais alors, sur le moment, je ne le reconnais pas ! Comment pourrais-je avoir “ça” en moi ? Comment vais-je faire avec la vision de cet organe censé ne pas être visible ? C’est de l’ordre de l’impensable ! ». [...]Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109759 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtQuand la parole de l’autre nous saisit / Priscille De Thé in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : Quand la parole de l’autre nous saisit Type de document : texte imprimé Auteurs : Priscille De Thé Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 60-65 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Effondrement psychique Éprouvé corporel Contre transfert Relation thérapeutique Souffrance psychique Traumatisme psychique Résumé : À l'écoute de la souffrance extrême, comme celle de la torture, les cliniciens doivent observer une certaine « hygiène soignante » faite de vigilance et de douceur et penser leur propre écologie du soin.
Le traumatisme est souvent la conséquence, ou le signe, d’une réaction impossible – une parole, un cri, un geste – qui n’a pas pu avoir lieu au moment d’un évènement traumatique. Lorsque la personne victime tente d’exprimer son vécu auprès d’un professionnel, ce dernier est parfois saisi à son tour. Comment faire, en tant que soignant, quand on est arrêté, figé par le récit de cet autre, par son corps, et par son silence parfois ? Comment trouver une autre voie, quand la parole de l’autre nous saisit ? Comment rester ? Est-il vraiment possible d’aller bien, en tant que soignants avec cet excès d’émotions ? Faudrait-il, parfois, partir ? Il n’y a bien sûr pas de réponse universelle.
Mon propos se base sur ma pratique de psychologue clinicienne à Parcours d’exil (1) où j’ai d’abord accueilli des personnes souffrant d’états de stress post-traumatiques sévères liés à la torture et l’exil, avec mes collègues médecins et ostéopathes. Puis l’association a développé Résonances (2), une plateforme dédiée aux professionnels qui accompagnent les personnes en demande d’asile. Depuis deux ans, mes missions se sont déplacées : je soutiens par téléphone et en visio des intervenants confrontés quotidiennement à des souffrances extrêmes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115617
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 60-65[article] Quand la parole de l’autre nous saisit [texte imprimé] / Priscille De Thé . - 2024 . - p. 60-65.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 60-65
Mots-clés : Effondrement psychique Éprouvé corporel Contre transfert Relation thérapeutique Souffrance psychique Traumatisme psychique Résumé : À l'écoute de la souffrance extrême, comme celle de la torture, les cliniciens doivent observer une certaine « hygiène soignante » faite de vigilance et de douceur et penser leur propre écologie du soin.
Le traumatisme est souvent la conséquence, ou le signe, d’une réaction impossible – une parole, un cri, un geste – qui n’a pas pu avoir lieu au moment d’un évènement traumatique. Lorsque la personne victime tente d’exprimer son vécu auprès d’un professionnel, ce dernier est parfois saisi à son tour. Comment faire, en tant que soignant, quand on est arrêté, figé par le récit de cet autre, par son corps, et par son silence parfois ? Comment trouver une autre voie, quand la parole de l’autre nous saisit ? Comment rester ? Est-il vraiment possible d’aller bien, en tant que soignants avec cet excès d’émotions ? Faudrait-il, parfois, partir ? Il n’y a bien sûr pas de réponse universelle.
Mon propos se base sur ma pratique de psychologue clinicienne à Parcours d’exil (1) où j’ai d’abord accueilli des personnes souffrant d’états de stress post-traumatiques sévères liés à la torture et l’exil, avec mes collègues médecins et ostéopathes. Puis l’association a développé Résonances (2), une plateforme dédiée aux professionnels qui accompagnent les personnes en demande d’asile. Depuis deux ans, mes missions se sont déplacées : je soutiens par téléphone et en visio des intervenants confrontés quotidiennement à des souffrances extrêmes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115617 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa tendresse, un acte thérapeutique / Laurent Tigrane Tovmassian in Santé mentale, 280 (septembre 2023)
[article]
Titre : La tendresse, un acte thérapeutique Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Tigrane Tovmassian Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 30-35 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Pourquoi la tendresse ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Éprouvé corporel Résumé : Dans la clinique des traumatismes extrêmes, le soignant cherche activement une solution à la détresse du patient et à sa propre impuissance à le soulager. Au-delà de l’empathie et de la bienveillance, il s’engage parfois dans le déploiement d’un acte de tendresse.
Depuis de nombreuses années, j’exerce en centres et consultations spécialisés du psychotraumatisme, où je suis confronté à un très large éventail de figures du traumatisme extrême, vécues par des hommes, des femmes, des enfants, des transexuels…, des personnes venues à la suite de vécus de viol, d’agression physique, de torture, de génocide, d’accident, de cambriolage, d’inceste. Ces rencontres m’ont confirmé que le vécu traumatique présente des particularités, qui nécessitent une réponse adaptée. Pour ma part, dans cette clinique, je souhaite mettre l’accent sur le rôle de l’environnement.
Si la littérature sur ce sujet du psychotrauma est de plus en plus abondante, voire débordante, ce rôle de l’environnement, y compris thérapeutique, reste insuffisamment exploré et précisé [...]Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113271
in Santé mentale > 280 (septembre 2023) . - p. 30-35[article] La tendresse, un acte thérapeutique [texte imprimé] / Laurent Tigrane Tovmassian . - 2023 . - p. 30-35.
Cet article fait partie du dossier " Pourquoi la tendresse ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 280 (septembre 2023) . - p. 30-35
Mots-clés : Éprouvé corporel Résumé : Dans la clinique des traumatismes extrêmes, le soignant cherche activement une solution à la détresse du patient et à sa propre impuissance à le soulager. Au-delà de l’empathie et de la bienveillance, il s’engage parfois dans le déploiement d’un acte de tendresse.
Depuis de nombreuses années, j’exerce en centres et consultations spécialisés du psychotraumatisme, où je suis confronté à un très large éventail de figures du traumatisme extrême, vécues par des hommes, des femmes, des enfants, des transexuels…, des personnes venues à la suite de vécus de viol, d’agression physique, de torture, de génocide, d’accident, de cambriolage, d’inceste. Ces rencontres m’ont confirmé que le vécu traumatique présente des particularités, qui nécessitent une réponse adaptée. Pour ma part, dans cette clinique, je souhaite mettre l’accent sur le rôle de l’environnement.
Si la littérature sur ce sujet du psychotrauma est de plus en plus abondante, voire débordante, ce rôle de l’environnement, y compris thérapeutique, reste insuffisamment exploré et précisé [...]Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113271 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDe nouveaux espaces après la torture / Priscille De Thé in Santé mentale, 272 (novembre 2022)
PermalinkLa tendresse pour transformer la détresse / Laurent Tigrane Tovmassian in Santé mentale, 272 (novembre 2022)
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