Centre de Documentation Campus Montignies
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Immunothérapie du cancer : nouveau paradigme thérapeutique, nouveau profil de toxicités / Christophe Lonchay in ÉchOpital, 1 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Immunothérapie du cancer : nouveau paradigme thérapeutique, nouveau profil de toxicités Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Lonchay Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 6-7 Langues : Français (fre) Mots-clés : CYTOTOXIQUE CANCER IMMUNOTHÉRAPIE EFFET SECONDAIRE CHIMIOTHÉRAPIE Résumé : La lutte contre le cancer requiert, dans de nombreuses complications, l'usage de drogues dites cytotoxiques. En conséquence, leur action sur la population tumorale - effet thérapeutique - ira de pair avec une cytotoxicité sur les tissus sains - effets indésirables - tels que la neutropénie fébrile, les nausées et vomissements, la fatigue ou encore l'alopécie pour ne citer qu'eux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47123
in ÉchOpital > 1 (Janvier 2017) . - p. 6-7[article] Immunothérapie du cancer : nouveau paradigme thérapeutique, nouveau profil de toxicités [texte imprimé] / Christophe Lonchay . - 2017 . - p. 6-7.
Langues : Français (fre)
in ÉchOpital > 1 (Janvier 2017) . - p. 6-7
Mots-clés : CYTOTOXIQUE CANCER IMMUNOTHÉRAPIE EFFET SECONDAIRE CHIMIOTHÉRAPIE Résumé : La lutte contre le cancer requiert, dans de nombreuses complications, l'usage de drogues dites cytotoxiques. En conséquence, leur action sur la population tumorale - effet thérapeutique - ira de pair avec une cytotoxicité sur les tissus sains - effets indésirables - tels que la neutropénie fébrile, les nausées et vomissements, la fatigue ou encore l'alopécie pour ne citer qu'eux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47123 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPharmacovigilance et erreurs médicamenteuses, le rôle primordial de la déclaration / Dorothé Durand in Soins, 784 (Avril 2014)
[article]
Titre : Pharmacovigilance et erreurs médicamenteuses, le rôle primordial de la déclaration Type de document : texte imprimé Auteurs : Dorothé Durand, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 37-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : PHARMACOVIGILANCE ERREUR EFFET SECONDAIRE MEDICAMENT Résumé : L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé a créé en 2005 un Guichet erreurs médicamenteuses qui permet aux professionnels de santé et aux patients de signaler celles-ci directement lorsqu’elles sont potentielles ou sans effet indésirable.
Cette déclaration intervient en complément du signalement de celles ayant entraîné un effet indésirable aux centres régionaux de pharmacovigilance.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25435
in Soins > 784 (Avril 2014) . - p. 37-39[article] Pharmacovigilance et erreurs médicamenteuses, le rôle primordial de la déclaration [texte imprimé] / Dorothé Durand, Auteur . - 2014 . - p. 37-39.
Langues : Français (fre)
in Soins > 784 (Avril 2014) . - p. 37-39
Mots-clés : PHARMACOVIGILANCE ERREUR EFFET SECONDAIRE MEDICAMENT Résumé : L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé a créé en 2005 un Guichet erreurs médicamenteuses qui permet aux professionnels de santé et aux patients de signaler celles-ci directement lorsqu’elles sont potentielles ou sans effet indésirable.
Cette déclaration intervient en complément du signalement de celles ayant entraîné un effet indésirable aux centres régionaux de pharmacovigilance.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=25435 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL'utilisation des médicaments au bénéfice discutable chez les personnes âgées en fin de vie / Lucas Morin in La revue de gériatrie, Tome 40 - N°2 (Février 2015)
[article]
Titre : L'utilisation des médicaments au bénéfice discutable chez les personnes âgées en fin de vie Titre original : Use of medications of questionable benefit in patients at the end of life Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucas Morin, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.109-110 Langues : Français (fre) Mots-clés : Administration Bénéfice/risque Effet secondaire Médicament Personne âgée Résumé : Article analysé :
Tjia J, Briesacher BA, Peterson D, Liu Q, Andrade SE, Mitchell SL. Use of medications of questionable benefit in advanced dementia. JAMA Intern Med 2014 ; 174 : 1763-71
D'une façon générale, un médicament est dit « inapproprié » pour les personnes âgées lorsque les risques qu'il présente en termes d'effets indésirables sont plus importants que son bénéfice attendu, et lorsqu'il existe une alternative plus sûre, mieux tolérée ou plus efficace(1).
Pour identifier ces médicaments, plusieurs critères ont été développés : les critères de Beers(2) et l’index MAI(3) aux Etats-Unis, la liste PRISCUS en Allemagne(4), les critères STOPP-START en Grande-Bretagne(5, 6) et la liste Laroche en France(7) sont parmi les plus couramment utilisés. Les études publiées ces dix dernières années montrent ainsi que 15 à 22 % des personnes âgées à domicile(8) et 35 à 40 % de celles vivant en établissement(9-11) reçoivent des médicaments potentiellement inappropriés. Or il a été démontré que ces prescriptions ont un impact direct sur le risque d’accident médicamenteux, sur l’état de santé et sur la qualité de vie des personnes âgées, et sur le taux d’hospitalisations en urgence(12-14).
En revanche, très peu d'études se sont intéreées à la problématique des médicaments administrés aux personnes âgées atteintes d'une maladie grave en phase avancée et dont le pronostic vital est engagé à court ou moyen terme. C'est là le point de départ de la réflexion à laquelle nous invite le JAMA(15), avec en point de mire une question de fond: dans quelles circonstances des médicaments habituellement "appropriés" devraient-ils être suspendus ou arrêtés?
Une question éminemment complexe, à la croisée des chemins entre pharmacologie, gériatrie, soins palliatifs et éthique clinique. Le défi n'est en effet plus seulement d'éviter la survenue d'événements indésirables, mais aussi et surtout d'assurer le soulagement des symptômes d'inconfort et de prendre en compte l'aspect possiblement "déraisonnable" que ces médicaments peuvent progressivement revêtir au regard de leur bénéfice réel pour le patient (en termes de qualité de vie notamment).
Un raisonnement que James Stevenson et Amy Abernethy avaient déjà esquissé à l’occasion d’une contribution remarquée dans le British Medical Journal(16), et dont s’étaient également inspirés les travaux publiés par Holly Holmes et ses collègues en 2006(17). Mais il aura fallu attendre 2014 pour qu’enfin paraissent les premiers travaux d’investigation reposant sur de larges échantillons de la population.
C’est à Jennifer Tjia que nous devons la première de ces études, parue le mois dernier dans le JAMA Internal Medicine(18). En croisant les données des pharmacies à usage intérieur de 460 maisons de retraite aux Etats-Unis avec les données démographiques et médicales des résidents, les auteurs sont en effet parvenus à analyser les prescriptions médicamenteuses de 5406 personnes âgées institutionnalisées souffrant de démence sévère, entre le 1er octobre 2009 et le 30 septembre 2010. Au total, plus de la moitié de ces résidents ont reçu au moins un médicament dont le bénéfice était « questionnable ». Parmi les plus fréquemment prescrits : les inhibiteurs de la cholinestérase et le chlorhydrate de mémantine (dont le bénéfice pour les personnes démentes en phase avancée et largement remis en question), les agents antiagrégants et les statines.
Ce dernier exemple est d'ailleurs au cœur d'un essai clinique randomisé dont la publication est annoncée pour les semaines à venir, et qui avait fait grand bruit lors de sa présentation au congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology l’année dernière(19,20) : cette étude démontrait que l’arrêt des statines n’entraînait aucune réduction de l’espérance de vie chez les patients atteints d'un cancer en phase avancée (p = 0,60), les patients du groupe « arrêt des statines » ayant même une médiane d'espérance de vie sensiblement plus élevée (229 vs. 190 jours). En revanche, les patients pour lesquels les statines avaient été arrêtées rapportaient une qualité de vie supérieure (p = 0,037), des symptômes sensiblement moins fréquents (p = 0,128) et un nombre de prescriptions médicamenteuses moins élevé (p = 0,034).
D'autres travaux, d’une portée certes plus modeste, ont en outre suggéré que l’utilisation des bisphosphonates, des antidiabétiques oraux et des anticoagulants pouvait être remise en cause chez les patients âgés atteints d'une maladie grave en phase avancée sans que cela ne se traduise par des effets indésirables plus nombreux ou par une mortalité accrue(21).
Il s'agit toutefois d'un sujet sensible, qu'il faut aborder de manière prudente et nuancée pour éviter de basculer d'une forme de « sur-prescription » à une tendance diamétralement opposée qui serait celle de la « sous-prescription » (pour des motifs économiques, notamment.
Conflit d’intérêt : l’auteur n’a déclaré aucun conflit d’intérêt concernant cet article.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35790
in La revue de gériatrie > Tome 40 - N°2 (Février 2015) . - p.109-110[article] L'utilisation des médicaments au bénéfice discutable chez les personnes âgées en fin de vie = Use of medications of questionable benefit in patients at the end of life [texte imprimé] / Lucas Morin, Auteur . - 2015 . - p.109-110.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 40 - N°2 (Février 2015) . - p.109-110
Mots-clés : Administration Bénéfice/risque Effet secondaire Médicament Personne âgée Résumé : Article analysé :
Tjia J, Briesacher BA, Peterson D, Liu Q, Andrade SE, Mitchell SL. Use of medications of questionable benefit in advanced dementia. JAMA Intern Med 2014 ; 174 : 1763-71
D'une façon générale, un médicament est dit « inapproprié » pour les personnes âgées lorsque les risques qu'il présente en termes d'effets indésirables sont plus importants que son bénéfice attendu, et lorsqu'il existe une alternative plus sûre, mieux tolérée ou plus efficace(1).
Pour identifier ces médicaments, plusieurs critères ont été développés : les critères de Beers(2) et l’index MAI(3) aux Etats-Unis, la liste PRISCUS en Allemagne(4), les critères STOPP-START en Grande-Bretagne(5, 6) et la liste Laroche en France(7) sont parmi les plus couramment utilisés. Les études publiées ces dix dernières années montrent ainsi que 15 à 22 % des personnes âgées à domicile(8) et 35 à 40 % de celles vivant en établissement(9-11) reçoivent des médicaments potentiellement inappropriés. Or il a été démontré que ces prescriptions ont un impact direct sur le risque d’accident médicamenteux, sur l’état de santé et sur la qualité de vie des personnes âgées, et sur le taux d’hospitalisations en urgence(12-14).
En revanche, très peu d'études se sont intéreées à la problématique des médicaments administrés aux personnes âgées atteintes d'une maladie grave en phase avancée et dont le pronostic vital est engagé à court ou moyen terme. C'est là le point de départ de la réflexion à laquelle nous invite le JAMA(15), avec en point de mire une question de fond: dans quelles circonstances des médicaments habituellement "appropriés" devraient-ils être suspendus ou arrêtés?
Une question éminemment complexe, à la croisée des chemins entre pharmacologie, gériatrie, soins palliatifs et éthique clinique. Le défi n'est en effet plus seulement d'éviter la survenue d'événements indésirables, mais aussi et surtout d'assurer le soulagement des symptômes d'inconfort et de prendre en compte l'aspect possiblement "déraisonnable" que ces médicaments peuvent progressivement revêtir au regard de leur bénéfice réel pour le patient (en termes de qualité de vie notamment).
Un raisonnement que James Stevenson et Amy Abernethy avaient déjà esquissé à l’occasion d’une contribution remarquée dans le British Medical Journal(16), et dont s’étaient également inspirés les travaux publiés par Holly Holmes et ses collègues en 2006(17). Mais il aura fallu attendre 2014 pour qu’enfin paraissent les premiers travaux d’investigation reposant sur de larges échantillons de la population.
C’est à Jennifer Tjia que nous devons la première de ces études, parue le mois dernier dans le JAMA Internal Medicine(18). En croisant les données des pharmacies à usage intérieur de 460 maisons de retraite aux Etats-Unis avec les données démographiques et médicales des résidents, les auteurs sont en effet parvenus à analyser les prescriptions médicamenteuses de 5406 personnes âgées institutionnalisées souffrant de démence sévère, entre le 1er octobre 2009 et le 30 septembre 2010. Au total, plus de la moitié de ces résidents ont reçu au moins un médicament dont le bénéfice était « questionnable ». Parmi les plus fréquemment prescrits : les inhibiteurs de la cholinestérase et le chlorhydrate de mémantine (dont le bénéfice pour les personnes démentes en phase avancée et largement remis en question), les agents antiagrégants et les statines.
Ce dernier exemple est d'ailleurs au cœur d'un essai clinique randomisé dont la publication est annoncée pour les semaines à venir, et qui avait fait grand bruit lors de sa présentation au congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology l’année dernière(19,20) : cette étude démontrait que l’arrêt des statines n’entraînait aucune réduction de l’espérance de vie chez les patients atteints d'un cancer en phase avancée (p = 0,60), les patients du groupe « arrêt des statines » ayant même une médiane d'espérance de vie sensiblement plus élevée (229 vs. 190 jours). En revanche, les patients pour lesquels les statines avaient été arrêtées rapportaient une qualité de vie supérieure (p = 0,037), des symptômes sensiblement moins fréquents (p = 0,128) et un nombre de prescriptions médicamenteuses moins élevé (p = 0,034).
D'autres travaux, d’une portée certes plus modeste, ont en outre suggéré que l’utilisation des bisphosphonates, des antidiabétiques oraux et des anticoagulants pouvait être remise en cause chez les patients âgés atteints d'une maladie grave en phase avancée sans que cela ne se traduise par des effets indésirables plus nombreux ou par une mortalité accrue(21).
Il s'agit toutefois d'un sujet sensible, qu'il faut aborder de manière prudente et nuancée pour éviter de basculer d'une forme de « sur-prescription » à une tendance diamétralement opposée qui serait celle de la « sous-prescription » (pour des motifs économiques, notamment.
Conflit d’intérêt : l’auteur n’a déclaré aucun conflit d’intérêt concernant cet article.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35790 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtVaccination : Pas seulement contre le covid-19! in En marche [périodique électronique], 1667 (18 février 2021)
[article]
Titre : Vaccination : Pas seulement contre le covid-19! Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 7 Langues : Français (fre) Mots-clés : Vaccination Immunité Effet secondaire Remboursement Résumé : En respectant les principes de précaution et les gestes barrières, se faire vacciner ou vacciner son enfant reste un acte sûr et toujours recommandé, même durant une pandémie. En effet, d'autres maladies dont les conséquences peuvent être graves circulent encore dans le monde et en Belgique. En ligne : https://www.enmarche.be/files/library/journaux/1667/NUMERO1667.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91706
in En marche [périodique électronique] > 1667 (18 février 2021) . - p. 7[article] Vaccination : Pas seulement contre le covid-19! [texte imprimé] . - 2021 . - p. 7.
Langues : Français (fre)
in En marche [périodique électronique] > 1667 (18 février 2021) . - p. 7
Mots-clés : Vaccination Immunité Effet secondaire Remboursement Résumé : En respectant les principes de précaution et les gestes barrières, se faire vacciner ou vacciner son enfant reste un acte sûr et toujours recommandé, même durant une pandémie. En effet, d'autres maladies dont les conséquences peuvent être graves circulent encore dans le monde et en Belgique. En ligne : https://www.enmarche.be/files/library/journaux/1667/NUMERO1667.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91706 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLes besoins et attentes des patients bipolaires / E OLIE in Santé mentale, 167 (avril 2012)
[article]
Titre : Les besoins et attentes des patients bipolaires Type de document : texte imprimé Auteurs : E OLIE, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 42-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : PSYCHIATRIE NEUROLOGIE TROUBLE BIPOLAIRE TROUBLE COGNITIF PRISE EN CHARGE REMISSION OBSERVANCE EDUCATION DU PATIENT DIAGNOSTIC REPRESENTATION QUALITE DE VIE EFFET SECONDAIRE HANDICAPE PSYCHIQUE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=16263
in Santé mentale > 167 (avril 2012) . - pp. 42-45[article] Les besoins et attentes des patients bipolaires [texte imprimé] / E OLIE, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - pp. 42-45.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 167 (avril 2012) . - pp. 42-45Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtCancer du sein et syndrome mains-pieds / C LLAMBRICH in Soins, 766 (juin 2012)
PermalinkDossier - vivre avec le VIH aujourd'hui in Soins, 734 (Avril 2009)
PermalinkÉducation thérapeutique auprès des patients atteints d’hépatite C / Dominique Boyer in Soins, 780 (Novembre 2013)
PermalinkEffets secondaires cutanés dus à la radiothérapie dans le cancer du sein / Pierre Frances in L'aide-soignante, 212 (Décembre 2019)
PermalinkGérodontologie : effets indésirables bucco-dentaires des médicaments chez le sujet âgé / Isabelle Prêcheur in La revue de gériatrie, Tome 38 - N°9 (01/11/2013)
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