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5 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Fractures osseuses'
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A combination of the modified Stoppa approach and the iliac fossa approach in treating compound acetabular fractures by using an anterior ilioischial plate / Zhong Chen in Acta Orthopaedica Belgica, Vol. 85/2 (Juin 2019)
[article]
Titre : A combination of the modified Stoppa approach and the iliac fossa approach in treating compound acetabular fractures by using an anterior ilioischial plate Type de document : texte imprimé Auteurs : Zhong Chen Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.182-191 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Fracture acétabulaire Plaque ilio-ischique Approche chirurgicale Cimentation Fractures osseuses Chirurgie Résumé : Most compound acetabular fractures involving both the anterior and posterior columns are caused by high-energy injuries. Patients with compound acetabular fractures are often in critical or poor condition and cannot tolerate major surgery. This study aims to investigate the effectiveness of an ilioischial plate in treating compound acetabular fractures. A consecutive series of 40 patients with complex acetabular fractures were surgically treated and retrospectively reviewed. A modified Stoppa approach in combination with an iliac fossa approach was used. In all of the cases, the anterior column was stabilized with reconstruction plates for the iliac wing and along the iliopectineal line to the pubis. The posterior column was fixed either with the newly developed ilioischial plate running from the ilium to the ischial ramus or with standard fixation techniques. These included either conventional posterior column screws or quadrilateral plate fixation. Patients were divided into an experimental group (ilioischial plate for posterior column fixation) and a control group (standard fixation techniques).
In both groups, we found that 90% of all reductions were good to excellent. According to the modified Merle Aubigne and Postel scoring system, the percentage of good to excellent was 85% in the experimental group as compared to 80% in the control group. Compared with the control group, physical function (PF), role physical (RP) and social function (SF) were significantly better in the experimental group (P<0.05). Fracture healing was achieved in all patients.
By using the modified Stoppa approach combined with the iliac fossa approach, the ilioischial plate can be directly fixed to the posterior column and the ilium to stabilize the posterior column in patients with complex acetabular fractures.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92183
in Acta Orthopaedica Belgica > Vol. 85/2 (Juin 2019) . - p.182-191[article] A combination of the modified Stoppa approach and the iliac fossa approach in treating compound acetabular fractures by using an anterior ilioischial plate [texte imprimé] / Zhong Chen . - 2019 . - p.182-191.
Langues : Anglais (eng)
in Acta Orthopaedica Belgica > Vol. 85/2 (Juin 2019) . - p.182-191
Mots-clés : Fracture acétabulaire Plaque ilio-ischique Approche chirurgicale Cimentation Fractures osseuses Chirurgie Résumé : Most compound acetabular fractures involving both the anterior and posterior columns are caused by high-energy injuries. Patients with compound acetabular fractures are often in critical or poor condition and cannot tolerate major surgery. This study aims to investigate the effectiveness of an ilioischial plate in treating compound acetabular fractures. A consecutive series of 40 patients with complex acetabular fractures were surgically treated and retrospectively reviewed. A modified Stoppa approach in combination with an iliac fossa approach was used. In all of the cases, the anterior column was stabilized with reconstruction plates for the iliac wing and along the iliopectineal line to the pubis. The posterior column was fixed either with the newly developed ilioischial plate running from the ilium to the ischial ramus or with standard fixation techniques. These included either conventional posterior column screws or quadrilateral plate fixation. Patients were divided into an experimental group (ilioischial plate for posterior column fixation) and a control group (standard fixation techniques).
In both groups, we found that 90% of all reductions were good to excellent. According to the modified Merle Aubigne and Postel scoring system, the percentage of good to excellent was 85% in the experimental group as compared to 80% in the control group. Compared with the control group, physical function (PF), role physical (RP) and social function (SF) were significantly better in the experimental group (P<0.05). Fracture healing was achieved in all patients.
By using the modified Stoppa approach combined with the iliac fossa approach, the ilioischial plate can be directly fixed to the posterior column and the ilium to stabilize the posterior column in patients with complex acetabular fractures.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92183 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa prévention secondaire des fractures de la région nasale par un masque de protection faciale chez les sportifs – Étude rétrospective comparative à propos de 19 cas / B. Ambroise in Science & sports, Vol. 35, n°6 (2020)
[article]
Titre : La prévention secondaire des fractures de la région nasale par un masque de protection faciale chez les sportifs – Étude rétrospective comparative à propos de 19 cas Titre original : Secondary prevention of nasal bone fractures by protective facemasks in athletes – A Comparative Retrospective Study of 19 Patients Auteurs : B. Ambroise ; A. Veyssière ; H. Benateau ; P. Corre ; J. Drouet ; Emmanuel Reboursière Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 364-374 Note générale : 10.1016/j.scispo.2020.01.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prévention secondaire Nez Fractures osseuses Protection Masque Résumé : Objectif
Le sport, devenu incontournable dans notre société moderne, tant pour ses bienfaits sur le plan de la santé que sur le plan social et relationnel, est un grand pourvoyeur de traumatismes maxillo-faciaux. L’objectif de notre travail est de montrer l’intérêt de l’utilisation du masque de protection faciale chez les sportifs en prévention secondaire d’un traumatisme de la région nasale, d’en établir les règles d’utilisation (conception et forme, durée de port) et d’évaluer le sentiment de protection du joueur.
Matériels et méthodes
Une étude comparative rétrospective a été réalisée entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre 2015 à propos de 19 patients dans les services de chirurgie maxillo-faciale du CHU de Caen et de Nantes. Ces deux services ont une attitude qui diffère concernant la prise en charge post-traumatique des sportifs : l’un propose une reprise précoce avec masque de protection, l’autre préconise une dispense de sport de 6 semaines (sans port de masque).
Résultats
Les résultats de notre étude et de la revue de la littérature suggèrent l’utilisation de ces masques de protection faciale en prévention secondaire des fractures de la région nasale chez les sportifs souhaitant un retour rapide à la compétition.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90149
in Science & sports > Vol. 35, n°6 (2020) . - p. 364-374[article] La prévention secondaire des fractures de la région nasale par un masque de protection faciale chez les sportifs – Étude rétrospective comparative à propos de 19 cas = Secondary prevention of nasal bone fractures by protective facemasks in athletes – A Comparative Retrospective Study of 19 Patients [] / B. Ambroise ; A. Veyssière ; H. Benateau ; P. Corre ; J. Drouet ; Emmanuel Reboursière . - 2020 . - p. 364-374.
10.1016/j.scispo.2020.01.005
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol. 35, n°6 (2020) . - p. 364-374
Mots-clés : Prévention secondaire Nez Fractures osseuses Protection Masque Résumé : Objectif
Le sport, devenu incontournable dans notre société moderne, tant pour ses bienfaits sur le plan de la santé que sur le plan social et relationnel, est un grand pourvoyeur de traumatismes maxillo-faciaux. L’objectif de notre travail est de montrer l’intérêt de l’utilisation du masque de protection faciale chez les sportifs en prévention secondaire d’un traumatisme de la région nasale, d’en établir les règles d’utilisation (conception et forme, durée de port) et d’évaluer le sentiment de protection du joueur.
Matériels et méthodes
Une étude comparative rétrospective a été réalisée entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre 2015 à propos de 19 patients dans les services de chirurgie maxillo-faciale du CHU de Caen et de Nantes. Ces deux services ont une attitude qui diffère concernant la prise en charge post-traumatique des sportifs : l’un propose une reprise précoce avec masque de protection, l’autre préconise une dispense de sport de 6 semaines (sans port de masque).
Résultats
Les résultats de notre étude et de la revue de la littérature suggèrent l’utilisation de ces masques de protection faciale en prévention secondaire des fractures de la région nasale chez les sportifs souhaitant un retour rapide à la compétition.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90149 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL'échographie : valeur diagnostique pour la détection d'une fracture osseuse / Marion Lemarinel in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : L'échographie : valeur diagnostique pour la détection d'une fracture osseuse Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Lemarinel ; Anthony Demont Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 47-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIAGNOSTIC Échographie Fractures osseuses Résumé : Les fractures osseuses (des os longs, aiguës, de fatigue, etc.) sont des blessures qui surviennent lors d’accidents de la vie courante mais aussi lors d’activités sportives [1-3]. Selon les derniers rapports des centres de contrôle et de prévention des maladies relatifs aux visites en services d'urgence en 2013 aux États-Unis, les fractures représentaient plus de 3,8 millions de visites, soit environ 3 % de tous les motifs de visite [4]. Ces blessures touchent des groupes de tous les âges, de tous les sexes et de tous les catégories socioprofessionnelles. Il semble donc important de pouvoir les détecter rapidement afin d’éviter des conséquences néfastes sur le long terme sur l’appareil musculosquelettique pouvant conduire à un handicap majeur [5].La radiographie standard est considérée actuellement comme le gold standard pour détecter des lésions osseuses. Toutefois, l’évaluation bidimensionnelle des os, la disponibilité de l’examen radiographique (délai de consultation parfois long) et les radiations émises peuvent être des limites à son recours systématique en cas de suspicion de fracture.Alzen et al. [6] ont constaté que sur une population de 80 enfants, seulement 17,2 % d’entre eux soupçonnés d’avoir une fracture osseuse avaient effectivement une fracture. La fréquence élevée de résultats négatifs à la radiographie retrouvés dans des études chez des patients suspectés d’avoir une fracture à partir de leur tableau clinique montre que des outils diagnostics alternatifs seraient donc nécessaires [7].Lorsque les radiographies standard mettent en évidence une absence de fracture ou lorsqu'une évaluation plus détaillée du type de fracture est nécessaire pour la planification optimale du traitement, des techniques d’imageries avancées peuvent être nécessaires comme la tomodensitométrie et l’imagerie par résonance magnétique Toutefois, ces techniques coûtent cher, peuvent être irradiantes pour le patient et ne sont pas accessibles facilement en pratique clinique.Bien que l’échographie ne soit pas actuellement considérée comme une méthode de choix dans le diagnostic des lésions osseuses, ces dernières années plusieurs études ont cherché à évaluer la validité diagnostique de cet outil pour la détection de fractures périphériques. Ces études semblent mettre en évidence de bons, voire d’excellents résultats pour la détection de fracture laissant penser que cet outil apporterait un intérêt majeur en pratique clinique [8-11]. En raison de la différence d’impédance acoustique (capacité de l’onde à traverser les différents milieux et à réfléchir à l’interface de ceux-ci) entre les tissus mous et la corticale osseuse, le faisceau ultrasonore est totalement réfléchi par ce dernier, seule la surface osseuse sera visible à l’image par une ligne hyperéchogène [12, 13]. L’examen échographique doit toujours être mis en corrélation avec l’examen clinique du professionnel de santé afin de poser une ou plusieurs hypothèses diagnostiques la plus valide possible.
Grâce à son analyse multiplanaire et sa haute résolution, l’échographie semble être en capacité de mettre en évidence de subtiles anomalies de la surface osseuse et des tissus adjacents [12-14].
L’utilisation de l’échographie pour la détection de fracture par un professionnel de santé formé peut être intéressante dans plusieurs situations :
– évaluation secondaire ou évaluation immédiate après l’examen clinique d'une lésion osseuse lorsque la radiographie n'est pas disponible ;
– évaluation de fractures de fatigue pouvant être occultées sous radiographie ;
– découverte de fractures insoupçonnées au cours de l'examen échographique standard ;
– la détection des signes de fractures de stress dès l’apparition de douleurs pour orienter le plan de traitement le plus rapidement possible [15].Cependant, l’une des principales limites de l’échographie est qu’elle demeure opérateur dépendant et se doit donc d’être utilisée par un évaluateur formé et expérimenté pour limiter l’interprétation de faux positifs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78924
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 47-52[article] L'échographie : valeur diagnostique pour la détection d'une fracture osseuse [texte imprimé] / Marion Lemarinel ; Anthony Demont . - 2019 . - p. 47-52.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 47-52
Mots-clés : DIAGNOSTIC Échographie Fractures osseuses Résumé : Les fractures osseuses (des os longs, aiguës, de fatigue, etc.) sont des blessures qui surviennent lors d’accidents de la vie courante mais aussi lors d’activités sportives [1-3]. Selon les derniers rapports des centres de contrôle et de prévention des maladies relatifs aux visites en services d'urgence en 2013 aux États-Unis, les fractures représentaient plus de 3,8 millions de visites, soit environ 3 % de tous les motifs de visite [4]. Ces blessures touchent des groupes de tous les âges, de tous les sexes et de tous les catégories socioprofessionnelles. Il semble donc important de pouvoir les détecter rapidement afin d’éviter des conséquences néfastes sur le long terme sur l’appareil musculosquelettique pouvant conduire à un handicap majeur [5].La radiographie standard est considérée actuellement comme le gold standard pour détecter des lésions osseuses. Toutefois, l’évaluation bidimensionnelle des os, la disponibilité de l’examen radiographique (délai de consultation parfois long) et les radiations émises peuvent être des limites à son recours systématique en cas de suspicion de fracture.Alzen et al. [6] ont constaté que sur une population de 80 enfants, seulement 17,2 % d’entre eux soupçonnés d’avoir une fracture osseuse avaient effectivement une fracture. La fréquence élevée de résultats négatifs à la radiographie retrouvés dans des études chez des patients suspectés d’avoir une fracture à partir de leur tableau clinique montre que des outils diagnostics alternatifs seraient donc nécessaires [7].Lorsque les radiographies standard mettent en évidence une absence de fracture ou lorsqu'une évaluation plus détaillée du type de fracture est nécessaire pour la planification optimale du traitement, des techniques d’imageries avancées peuvent être nécessaires comme la tomodensitométrie et l’imagerie par résonance magnétique Toutefois, ces techniques coûtent cher, peuvent être irradiantes pour le patient et ne sont pas accessibles facilement en pratique clinique.Bien que l’échographie ne soit pas actuellement considérée comme une méthode de choix dans le diagnostic des lésions osseuses, ces dernières années plusieurs études ont cherché à évaluer la validité diagnostique de cet outil pour la détection de fractures périphériques. Ces études semblent mettre en évidence de bons, voire d’excellents résultats pour la détection de fracture laissant penser que cet outil apporterait un intérêt majeur en pratique clinique [8-11]. En raison de la différence d’impédance acoustique (capacité de l’onde à traverser les différents milieux et à réfléchir à l’interface de ceux-ci) entre les tissus mous et la corticale osseuse, le faisceau ultrasonore est totalement réfléchi par ce dernier, seule la surface osseuse sera visible à l’image par une ligne hyperéchogène [12, 13]. L’examen échographique doit toujours être mis en corrélation avec l’examen clinique du professionnel de santé afin de poser une ou plusieurs hypothèses diagnostiques la plus valide possible.
Grâce à son analyse multiplanaire et sa haute résolution, l’échographie semble être en capacité de mettre en évidence de subtiles anomalies de la surface osseuse et des tissus adjacents [12-14].
L’utilisation de l’échographie pour la détection de fracture par un professionnel de santé formé peut être intéressante dans plusieurs situations :
– évaluation secondaire ou évaluation immédiate après l’examen clinique d'une lésion osseuse lorsque la radiographie n'est pas disponible ;
– évaluation de fractures de fatigue pouvant être occultées sous radiographie ;
– découverte de fractures insoupçonnées au cours de l'examen échographique standard ;
– la détection des signes de fractures de stress dès l’apparition de douleurs pour orienter le plan de traitement le plus rapidement possible [15].Cependant, l’une des principales limites de l’échographie est qu’elle demeure opérateur dépendant et se doit donc d’être utilisée par un évaluateur formé et expérimenté pour limiter l’interprétation de faux positifs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78924 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDemographics, fracture patterns and treatment strategies following wrist trauma / M.A.M. Mulders in Acta Orthopaedica Belgica, Vol. 85/2 (Juin 2019)
[article]
Titre : Demographics, fracture patterns and treatment strategies following wrist trauma Type de document : texte imprimé Auteurs : M.A.M. Mulders Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 234-239 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Traumatismes du poignet Fractures osseuses Radius distal Traitement Thérapeutique Résumé : The objective of this study was to determine the percentage of radiographs which showed a fracture of the wrist. Secondary, the fracture characteristics and the received treatment were determined. Additionally, the percentage of operatively treated patients with a distal radius fracture was compared between the hospitals. A retrospective cohort study was performed in three Dutch hospitals in all consecutive adult patients with wrist trauma who presented at the ED. A fracture of the wrist was defined as a fracture of the distal one-third part of the radius, the distal one-third part of the ulna or any carpal bone. Fracture classification according to the AO/OTA classification, the amount of displaced fractures, and the received treatment were recorded. Out of 1740 patients with wrist trauma, 49% sustained one or more fractures of the wrist. The distal radius was most frequently fractured (61%). Almost half of the distal radius fractures was extra-articular (AO/OTA type A2-3) and 61% of fractures was displaced. Of all patients who sustained a distal radius fracture, 14% was treated operatively. Significantly more patients were treated operatively in the academic hospital in comparison to the teaching and non-teaching hospital. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92193
in Acta Orthopaedica Belgica > Vol. 85/2 (Juin 2019) . - p. 234-239[article] Demographics, fracture patterns and treatment strategies following wrist trauma [texte imprimé] / M.A.M. Mulders . - 2019 . - p. 234-239.
Langues : Anglais (eng)
in Acta Orthopaedica Belgica > Vol. 85/2 (Juin 2019) . - p. 234-239
Mots-clés : Traumatismes du poignet Fractures osseuses Radius distal Traitement Thérapeutique Résumé : The objective of this study was to determine the percentage of radiographs which showed a fracture of the wrist. Secondary, the fracture characteristics and the received treatment were determined. Additionally, the percentage of operatively treated patients with a distal radius fracture was compared between the hospitals. A retrospective cohort study was performed in three Dutch hospitals in all consecutive adult patients with wrist trauma who presented at the ED. A fracture of the wrist was defined as a fracture of the distal one-third part of the radius, the distal one-third part of the ulna or any carpal bone. Fracture classification according to the AO/OTA classification, the amount of displaced fractures, and the received treatment were recorded. Out of 1740 patients with wrist trauma, 49% sustained one or more fractures of the wrist. The distal radius was most frequently fractured (61%). Almost half of the distal radius fractures was extra-articular (AO/OTA type A2-3) and 61% of fractures was displaced. Of all patients who sustained a distal radius fracture, 14% was treated operatively. Significantly more patients were treated operatively in the academic hospital in comparison to the teaching and non-teaching hospital. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92193 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtExcellent functional recovery after Kirschner-wire extension blocking technique for displaced closed bony mallet finger injuries; results of 36 cases / Armelle J.A. Meershoek in Acta Orthopaedica Belgica, Vol. 85/2 (Juin 2019)
[article]
Titre : Excellent functional recovery after Kirschner-wire extension blocking technique for displaced closed bony mallet finger injuries; results of 36 cases Type de document : texte imprimé Auteurs : Armelle J.A. Meershoek Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 240-246 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Blessure au mallet finger Technique de blocage d'extension Evaluation du poignet / de la main Fractures osseuses Données de santé générées par les patients Résumé : Bony mallet finger injuries comprise 30% of all mallet injuries. Operative treatment of bony mallet fingers injuries still remains controversial. The aim of this study was to describe the k-wire extension blocking technique and the functional results using the PRWHE questionnaire.
A single center retrospective observational cohort of 36 patients was defined between January 2010 and December 2015. Inclusion criteria for this study were acute fractures with 1) persistent displacement of more than 3 mm in extension splint, 2) palmar subluxation of the distal phalanx or 3) fracture fragments consisting of more than one third of the joint surface. According to the PRWHE questionnaire, excellent results were observed with a mean follow up period of 32 months of all patients. Two patients developed a clinically relevant superficial wound infection and one patient developed a nail deformity. In conclusion, the k-wire extension blocking technique is safe and results in excellent mid-term functional outcome.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92194
in Acta Orthopaedica Belgica > Vol. 85/2 (Juin 2019) . - p. 240-246[article] Excellent functional recovery after Kirschner-wire extension blocking technique for displaced closed bony mallet finger injuries; results of 36 cases [texte imprimé] / Armelle J.A. Meershoek . - 2019 . - p. 240-246.
Langues : Anglais (eng)
in Acta Orthopaedica Belgica > Vol. 85/2 (Juin 2019) . - p. 240-246
Mots-clés : Blessure au mallet finger Technique de blocage d'extension Evaluation du poignet / de la main Fractures osseuses Données de santé générées par les patients Résumé : Bony mallet finger injuries comprise 30% of all mallet injuries. Operative treatment of bony mallet fingers injuries still remains controversial. The aim of this study was to describe the k-wire extension blocking technique and the functional results using the PRWHE questionnaire.
A single center retrospective observational cohort of 36 patients was defined between January 2010 and December 2015. Inclusion criteria for this study were acute fractures with 1) persistent displacement of more than 3 mm in extension splint, 2) palmar subluxation of the distal phalanx or 3) fracture fragments consisting of more than one third of the joint surface. According to the PRWHE questionnaire, excellent results were observed with a mean follow up period of 32 months of all patients. Two patients developed a clinically relevant superficial wound infection and one patient developed a nail deformity. In conclusion, the k-wire extension blocking technique is safe and results in excellent mid-term functional outcome.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92194 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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