Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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Auteur Ivo Neto Silva |
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Chester Step Test (CST) / Nils Correvon in Kinésithérapie, la revue, 221 (Mai 2020)
[article]
Titre : Chester Step Test (CST) Type de document : texte imprimé Auteurs : Nils Correvon, Auteur ; Ivo Neto Silva, Auteur ; Kevin Sykes, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 29-30 Langues : Français (fre) Résumé : Chester Step Test (CST) est un test sous-maximal utilisé pour prédire la capacité physique aérobie maximale (Vo2max) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=87165
in Kinésithérapie, la revue > 221 (Mai 2020) . - p. 29-30[article] Chester Step Test (CST) [texte imprimé] / Nils Correvon, Auteur ; Ivo Neto Silva, Auteur ; Kevin Sykes, Auteur . - 2020 . - p. 29-30.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 221 (Mai 2020) . - p. 29-30
Résumé : Chester Step Test (CST) est un test sous-maximal utilisé pour prédire la capacité physique aérobie maximale (Vo2max) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=87165 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDébit expiratoire de pointe à la toux / Pauline Vaglio-Agnès in Kinésithérapie, la revue, 252 (décembre 2022)
[article]
Titre : Débit expiratoire de pointe à la toux Type de document : texte imprimé Auteurs : Pauline Vaglio-Agnès ; Françoise Vermeulen ; Ivo Neto Silva, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 38-40 Langues : Français (fre) Résumé :
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108355
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 38-40[article] Débit expiratoire de pointe à la toux [texte imprimé] / Pauline Vaglio-Agnès ; Françoise Vermeulen ; Ivo Neto Silva, Auteur . - 2022 . - p. 38-40.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 252 (décembre 2022) . - p. 38-40
Résumé :
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108355 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtMesure statique de la force des muscles inspiratoires et expiratoires / Françoise Vermeulen in Kinésithérapie, la revue, 234 (Juin 2021)
[article]
Titre : Mesure statique de la force des muscles inspiratoires et expiratoires Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Vermeulen ; Ivo Neto Silva Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 51-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : Muscles inspiratoires et expiratoires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94385
in Kinésithérapie, la revue > 234 (Juin 2021) . - p. 51-52[article] Mesure statique de la force des muscles inspiratoires et expiratoires [texte imprimé] / Françoise Vermeulen ; Ivo Neto Silva . - 2021 . - p. 51-52.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 234 (Juin 2021) . - p. 51-52
Mots-clés : Muscles inspiratoires et expiratoires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94385 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPeu d’éléments pour étayer l’effet de l’oxygène sur la dyspnée des patients BPCO sans indication à l’oxygénothérapie de longue durée / Ivo Neto Silva in Kinésithérapie, la revue, 191 (novembre 2017)
[article]
Titre : Peu d’éléments pour étayer l’effet de l’oxygène sur la dyspnée des patients BPCO sans indication à l’oxygénothérapie de longue durée Type de document : texte imprimé Auteurs : Ivo Neto Silva, Auteur ; Dominique Monnin, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 24-25 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bronchopneumopathie obstructive Oxygénothérapie Dyspnée Résumé : La dyspnée est l’un des symptômes fréquemment associés aux patients atteints d’une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ; elle est définie comme « une expérience subjective d’inconfort respiratoire pouvant se manifester sous forme de sensations qualitativement distinctes d’intensité variable ». L’oxygénothérapie palliative désigne l’apport d’oxygène supplémentaire qui vise le soulagement d’une dyspnée réfractaire et persistante, quand les causes, possiblement réversibles, ont été ou sont en train d’être traitées de manière optimale.
Pour rappel, sur une échelle numérique de 0 à 10, la différence cliniquement significative pour la dyspnée chronique a été définie à 1 point (petit effet : 0,6, effet modéré : 1,1, grand effet : 1,8).
Ekström et ses collègues ont effectué une revue systématique avec méta-analyse sur les effets de l’addition d’oxygène (O2 ,>21 %) au niveau de la dyspnée, de la qualité de vie, de la préférence pour la suite du traitement et des effets indésirables chez de patients atteints de BPCO, normoxémiques ou présentant une hypoxémie légère (pression partielle d’oxygène (PaO2 )>7,3kPa) ; les patients sous oxygénothérapie de longue durée ont été exclus.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53849
in Kinésithérapie, la revue > 191 (novembre 2017) . - p. 24-25[article] Peu d’éléments pour étayer l’effet de l’oxygène sur la dyspnée des patients BPCO sans indication à l’oxygénothérapie de longue durée [texte imprimé] / Ivo Neto Silva, Auteur ; Dominique Monnin, Auteur . - 2017 . - p. 24-25.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 191 (novembre 2017) . - p. 24-25
Mots-clés : Bronchopneumopathie obstructive Oxygénothérapie Dyspnée Résumé : La dyspnée est l’un des symptômes fréquemment associés aux patients atteints d’une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ; elle est définie comme « une expérience subjective d’inconfort respiratoire pouvant se manifester sous forme de sensations qualitativement distinctes d’intensité variable ». L’oxygénothérapie palliative désigne l’apport d’oxygène supplémentaire qui vise le soulagement d’une dyspnée réfractaire et persistante, quand les causes, possiblement réversibles, ont été ou sont en train d’être traitées de manière optimale.
Pour rappel, sur une échelle numérique de 0 à 10, la différence cliniquement significative pour la dyspnée chronique a été définie à 1 point (petit effet : 0,6, effet modéré : 1,1, grand effet : 1,8).
Ekström et ses collègues ont effectué une revue systématique avec méta-analyse sur les effets de l’addition d’oxygène (O2 ,>21 %) au niveau de la dyspnée, de la qualité de vie, de la préférence pour la suite du traitement et des effets indésirables chez de patients atteints de BPCO, normoxémiques ou présentant une hypoxémie légère (pression partielle d’oxygène (PaO2 )>7,3kPa) ; les patients sous oxygénothérapie de longue durée ont été exclus.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53849 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtQualité de vie et capacités fonctionnelles après un séjour aux soins intensifs / Ivo Neto Silva in Kinésithérapie, la revue, 183 (Mars 2017)
[article]
Titre : Qualité de vie et capacités fonctionnelles après un séjour aux soins intensifs Titre original : la réadaptation fait-elle la différence ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Ivo Neto Silva ; Dominique Monnin Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 16-17 Langues : Français (fre) Résumé : La médecine intensive s’est développée rapidement ces dernières décennies [1]. Parallèlement, les hospitalisations en soins intensifs se sont allongées et une partie des patients en ressort avec des altérations fonctionnelles importantes dues en bonne partie à la polyneuromyopathie acquise au cours de leur séjour. Leur rétablissement est généralement lent et incomplet, surtout chez les plus âgés [2]. Cette population présente souvent une « faiblesse musculaire » et une réduction importante des capacités fonctionnelles, même 5 ans plus tard [3] ; c’est le « post-intensive care syndrome » [4].
Résultats
Connolly et al. [5] ont réalisé une revue systématique de la littérature pour analyser l’efficacité d’un programme de réentraînement structuré effectué après la sortie de l’unité des soins intensifs sur les capacités fonctionnelles et la qualité de vie.
Les auteurs ont retenu 6 études publiées avant mai 2014 (483 patients). Les critères d’inclusion étaient : patients adultes (>18ans) ventilés mécaniquement plus de 24heures aux soins intensifs. Trois programmes de réadaptation ont commencé dans les unités de soins aigus, à la sortie des soins intensifs [6, 7, 8] ; un s’est prolongé après la sortie de l’hôpital [6]. Les autres ont commencé après retour à domicile [11, 9, 10]. Les programmes sont présentés dans le Tableau I ; l’entraînement des muscles respiratoires a été exclu.
Le risque de biais est bas à incertain sur tous les aspects dans la majorité des études. Il n’a toutefois pas été possible d’effectuer une méta-analyse car peu études mesuraient des données similaires.
La majorité des études ont montré une absence d’effet des programmes de réadaptation sur les capacités fonctionnelles. Seuls quelques paramètres physiologiques ont évolué de manière significative. Après un entraînement de 9 semaines des membres inférieurs sur cycloergomètre, le seuil anaérobie a présenté une différence moyenne (DM) de 1,8mL O2 /kg/min (95 % IC de 0,4 à 3,2 ; p =0,02) ; toutefois, cette différence ne s’est pas maintenue après 26 semaines [9]. Un programme qui utilisait un cycloergomètre à membres supérieurs a permis d’améliorer « l’incremental exercice test » (DM 4,7, 95 % IC de 1,69 à 7,75W ; p =0,003) et « l’endurance exercice test » (DM 4,12, 95 % IC de 0,68 à 7,56minutes ; p =0,021) [7]. Deux études ont mesuré la qualité de vie sans trouver de différence entre les groupes [9, 10]. La réadaptation n’a pas modifié les variables secondaires (abandon du traitement, adhésion au programme, mortalité, suivi pas effectué, événements non désirés).
La qualité de l’évidence des résultats est entre basse (C) et très basse (D).
Conclusion
Les auteurs concluent qu’il n’est actuellement pas possible de déterminer l’effet d’un programme de réentraînement sur les patients qui ont subi une maladie grave et séjourné dans une unité de soins intensifs.
L’hétérogénéité qui résulte des critères d’inclusion/exclusion utilisés aujourd’hui ne permet pas d’établir une cohorte qui réponde de façon similaire aux interventions. Mais la recherche au sujet de l’efficacité des programmes de réadaptation pour les patients qui ont fait un séjour aux soins intensifs se développe rapidement (6 autres études sont en cours), ce qui permettra une analyse plus robuste lors de la prochaine mise à jour de cette revue.
À l’avenir, les mesures devront porter surtout sur les capacités fonctionnelles, les activités de la vie quotidienne et la qualité de vie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48197
in Kinésithérapie, la revue > 183 (Mars 2017) . - p. 16-17[article] Qualité de vie et capacités fonctionnelles après un séjour aux soins intensifs = la réadaptation fait-elle la différence ? [texte imprimé] / Ivo Neto Silva ; Dominique Monnin . - 2017 . - p. 16-17.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 183 (Mars 2017) . - p. 16-17
Résumé : La médecine intensive s’est développée rapidement ces dernières décennies [1]. Parallèlement, les hospitalisations en soins intensifs se sont allongées et une partie des patients en ressort avec des altérations fonctionnelles importantes dues en bonne partie à la polyneuromyopathie acquise au cours de leur séjour. Leur rétablissement est généralement lent et incomplet, surtout chez les plus âgés [2]. Cette population présente souvent une « faiblesse musculaire » et une réduction importante des capacités fonctionnelles, même 5 ans plus tard [3] ; c’est le « post-intensive care syndrome » [4].
Résultats
Connolly et al. [5] ont réalisé une revue systématique de la littérature pour analyser l’efficacité d’un programme de réentraînement structuré effectué après la sortie de l’unité des soins intensifs sur les capacités fonctionnelles et la qualité de vie.
Les auteurs ont retenu 6 études publiées avant mai 2014 (483 patients). Les critères d’inclusion étaient : patients adultes (>18ans) ventilés mécaniquement plus de 24heures aux soins intensifs. Trois programmes de réadaptation ont commencé dans les unités de soins aigus, à la sortie des soins intensifs [6, 7, 8] ; un s’est prolongé après la sortie de l’hôpital [6]. Les autres ont commencé après retour à domicile [11, 9, 10]. Les programmes sont présentés dans le Tableau I ; l’entraînement des muscles respiratoires a été exclu.
Le risque de biais est bas à incertain sur tous les aspects dans la majorité des études. Il n’a toutefois pas été possible d’effectuer une méta-analyse car peu études mesuraient des données similaires.
La majorité des études ont montré une absence d’effet des programmes de réadaptation sur les capacités fonctionnelles. Seuls quelques paramètres physiologiques ont évolué de manière significative. Après un entraînement de 9 semaines des membres inférieurs sur cycloergomètre, le seuil anaérobie a présenté une différence moyenne (DM) de 1,8mL O2 /kg/min (95 % IC de 0,4 à 3,2 ; p =0,02) ; toutefois, cette différence ne s’est pas maintenue après 26 semaines [9]. Un programme qui utilisait un cycloergomètre à membres supérieurs a permis d’améliorer « l’incremental exercice test » (DM 4,7, 95 % IC de 1,69 à 7,75W ; p =0,003) et « l’endurance exercice test » (DM 4,12, 95 % IC de 0,68 à 7,56minutes ; p =0,021) [7]. Deux études ont mesuré la qualité de vie sans trouver de différence entre les groupes [9, 10]. La réadaptation n’a pas modifié les variables secondaires (abandon du traitement, adhésion au programme, mortalité, suivi pas effectué, événements non désirés).
La qualité de l’évidence des résultats est entre basse (C) et très basse (D).
Conclusion
Les auteurs concluent qu’il n’est actuellement pas possible de déterminer l’effet d’un programme de réentraînement sur les patients qui ont subi une maladie grave et séjourné dans une unité de soins intensifs.
L’hétérogénéité qui résulte des critères d’inclusion/exclusion utilisés aujourd’hui ne permet pas d’établir une cohorte qui réponde de façon similaire aux interventions. Mais la recherche au sujet de l’efficacité des programmes de réadaptation pour les patients qui ont fait un séjour aux soins intensifs se développe rapidement (6 autres études sont en cours), ce qui permettra une analyse plus robuste lors de la prochaine mise à jour de cette revue.
À l’avenir, les mesures devront porter surtout sur les capacités fonctionnelles, les activités de la vie quotidienne et la qualité de vie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48197 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe réentraînement des muscles respiratoires peut-il ajouter de la valeur au traitement du patient atteint de sclérose en plaques ? / Ivo Neto Silva in Kinésithérapie, la revue, Vol. 18, n°199 (Juillet 2018)
PermalinkLe réentraînement physique des patients insuffisants cardiaques: une ressource importante en termes d’hospitalisations et de qualité de vie / Ivo Neto Silva in Kinésithérapie, la revue, Vol. 19, n° 211 (Juillet 2019)
PermalinkVentilation non-invasive à pression positive lors d’un œdème aigu du poumon : quelle évidence ? / Dominique Monnin in Kinésithérapie, la revue, 220 (Avril 2020)
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