Centre de Documentation Campus Montignies
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Auteur Anthony Demont |
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L'échographie : valeur diagnostique pour la détection d'une fracture osseuse / Marion Lemarinel in Kinésithérapie scientifique, 607 (Mars 2019)
[article]
Titre : L'échographie : valeur diagnostique pour la détection d'une fracture osseuse Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Lemarinel ; Anthony Demont Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 47-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIAGNOSTIC Échographie Fractures osseuses Résumé : Les fractures osseuses (des os longs, aiguës, de fatigue, etc.) sont des blessures qui surviennent lors d’accidents de la vie courante mais aussi lors d’activités sportives [1-3]. Selon les derniers rapports des centres de contrôle et de prévention des maladies relatifs aux visites en services d'urgence en 2013 aux États-Unis, les fractures représentaient plus de 3,8 millions de visites, soit environ 3 % de tous les motifs de visite [4]. Ces blessures touchent des groupes de tous les âges, de tous les sexes et de tous les catégories socioprofessionnelles. Il semble donc important de pouvoir les détecter rapidement afin d’éviter des conséquences néfastes sur le long terme sur l’appareil musculosquelettique pouvant conduire à un handicap majeur [5].La radiographie standard est considérée actuellement comme le gold standard pour détecter des lésions osseuses. Toutefois, l’évaluation bidimensionnelle des os, la disponibilité de l’examen radiographique (délai de consultation parfois long) et les radiations émises peuvent être des limites à son recours systématique en cas de suspicion de fracture.Alzen et al. [6] ont constaté que sur une population de 80 enfants, seulement 17,2 % d’entre eux soupçonnés d’avoir une fracture osseuse avaient effectivement une fracture. La fréquence élevée de résultats négatifs à la radiographie retrouvés dans des études chez des patients suspectés d’avoir une fracture à partir de leur tableau clinique montre que des outils diagnostics alternatifs seraient donc nécessaires [7].Lorsque les radiographies standard mettent en évidence une absence de fracture ou lorsqu'une évaluation plus détaillée du type de fracture est nécessaire pour la planification optimale du traitement, des techniques d’imageries avancées peuvent être nécessaires comme la tomodensitométrie et l’imagerie par résonance magnétique Toutefois, ces techniques coûtent cher, peuvent être irradiantes pour le patient et ne sont pas accessibles facilement en pratique clinique.Bien que l’échographie ne soit pas actuellement considérée comme une méthode de choix dans le diagnostic des lésions osseuses, ces dernières années plusieurs études ont cherché à évaluer la validité diagnostique de cet outil pour la détection de fractures périphériques. Ces études semblent mettre en évidence de bons, voire d’excellents résultats pour la détection de fracture laissant penser que cet outil apporterait un intérêt majeur en pratique clinique [8-11]. En raison de la différence d’impédance acoustique (capacité de l’onde à traverser les différents milieux et à réfléchir à l’interface de ceux-ci) entre les tissus mous et la corticale osseuse, le faisceau ultrasonore est totalement réfléchi par ce dernier, seule la surface osseuse sera visible à l’image par une ligne hyperéchogène [12, 13]. L’examen échographique doit toujours être mis en corrélation avec l’examen clinique du professionnel de santé afin de poser une ou plusieurs hypothèses diagnostiques la plus valide possible.
Grâce à son analyse multiplanaire et sa haute résolution, l’échographie semble être en capacité de mettre en évidence de subtiles anomalies de la surface osseuse et des tissus adjacents [12-14].
L’utilisation de l’échographie pour la détection de fracture par un professionnel de santé formé peut être intéressante dans plusieurs situations :
– évaluation secondaire ou évaluation immédiate après l’examen clinique d'une lésion osseuse lorsque la radiographie n'est pas disponible ;
– évaluation de fractures de fatigue pouvant être occultées sous radiographie ;
– découverte de fractures insoupçonnées au cours de l'examen échographique standard ;
– la détection des signes de fractures de stress dès l’apparition de douleurs pour orienter le plan de traitement le plus rapidement possible [15].Cependant, l’une des principales limites de l’échographie est qu’elle demeure opérateur dépendant et se doit donc d’être utilisée par un évaluateur formé et expérimenté pour limiter l’interprétation de faux positifs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78924
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 47-52[article] L'échographie : valeur diagnostique pour la détection d'une fracture osseuse [texte imprimé] / Marion Lemarinel ; Anthony Demont . - 2019 . - p. 47-52.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 607 (Mars 2019) . - p. 47-52
Mots-clés : DIAGNOSTIC Échographie Fractures osseuses Résumé : Les fractures osseuses (des os longs, aiguës, de fatigue, etc.) sont des blessures qui surviennent lors d’accidents de la vie courante mais aussi lors d’activités sportives [1-3]. Selon les derniers rapports des centres de contrôle et de prévention des maladies relatifs aux visites en services d'urgence en 2013 aux États-Unis, les fractures représentaient plus de 3,8 millions de visites, soit environ 3 % de tous les motifs de visite [4]. Ces blessures touchent des groupes de tous les âges, de tous les sexes et de tous les catégories socioprofessionnelles. Il semble donc important de pouvoir les détecter rapidement afin d’éviter des conséquences néfastes sur le long terme sur l’appareil musculosquelettique pouvant conduire à un handicap majeur [5].La radiographie standard est considérée actuellement comme le gold standard pour détecter des lésions osseuses. Toutefois, l’évaluation bidimensionnelle des os, la disponibilité de l’examen radiographique (délai de consultation parfois long) et les radiations émises peuvent être des limites à son recours systématique en cas de suspicion de fracture.Alzen et al. [6] ont constaté que sur une population de 80 enfants, seulement 17,2 % d’entre eux soupçonnés d’avoir une fracture osseuse avaient effectivement une fracture. La fréquence élevée de résultats négatifs à la radiographie retrouvés dans des études chez des patients suspectés d’avoir une fracture à partir de leur tableau clinique montre que des outils diagnostics alternatifs seraient donc nécessaires [7].Lorsque les radiographies standard mettent en évidence une absence de fracture ou lorsqu'une évaluation plus détaillée du type de fracture est nécessaire pour la planification optimale du traitement, des techniques d’imageries avancées peuvent être nécessaires comme la tomodensitométrie et l’imagerie par résonance magnétique Toutefois, ces techniques coûtent cher, peuvent être irradiantes pour le patient et ne sont pas accessibles facilement en pratique clinique.Bien que l’échographie ne soit pas actuellement considérée comme une méthode de choix dans le diagnostic des lésions osseuses, ces dernières années plusieurs études ont cherché à évaluer la validité diagnostique de cet outil pour la détection de fractures périphériques. Ces études semblent mettre en évidence de bons, voire d’excellents résultats pour la détection de fracture laissant penser que cet outil apporterait un intérêt majeur en pratique clinique [8-11]. En raison de la différence d’impédance acoustique (capacité de l’onde à traverser les différents milieux et à réfléchir à l’interface de ceux-ci) entre les tissus mous et la corticale osseuse, le faisceau ultrasonore est totalement réfléchi par ce dernier, seule la surface osseuse sera visible à l’image par une ligne hyperéchogène [12, 13]. L’examen échographique doit toujours être mis en corrélation avec l’examen clinique du professionnel de santé afin de poser une ou plusieurs hypothèses diagnostiques la plus valide possible.
Grâce à son analyse multiplanaire et sa haute résolution, l’échographie semble être en capacité de mettre en évidence de subtiles anomalies de la surface osseuse et des tissus adjacents [12-14].
L’utilisation de l’échographie pour la détection de fracture par un professionnel de santé formé peut être intéressante dans plusieurs situations :
– évaluation secondaire ou évaluation immédiate après l’examen clinique d'une lésion osseuse lorsque la radiographie n'est pas disponible ;
– évaluation de fractures de fatigue pouvant être occultées sous radiographie ;
– découverte de fractures insoupçonnées au cours de l'examen échographique standard ;
– la détection des signes de fractures de stress dès l’apparition de douleurs pour orienter le plan de traitement le plus rapidement possible [15].Cependant, l’une des principales limites de l’échographie est qu’elle demeure opérateur dépendant et se doit donc d’être utilisée par un évaluateur formé et expérimenté pour limiter l’interprétation de faux positifs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78924 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉvaluation musculaire et échographie / Anthony Demont in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.15, n°1 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Évaluation musculaire et échographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Anthony Demont ; Marion Lemarinel Année de publication : 2019 Article en page(s) : 26-010-B-60 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Échographie Évaluation Fonction Muscle Résumé : L'échographie est un outil d'examen fréquemment utilisé en pratique clinique dans de nombreux pays et par différentes professions de santé. Ses nombreux avantages comparativement aux autres examens d'imagerie ont facilité son développement et son utilisation. Sa capacité à fournir une information en temps réel et à mesurer les caractéristiques de certains tissus a permis de favoriser son utilisation en complément de l'examen clinique, particulièrement pour l'évaluation musculaire. L'échographie musculaire a été initiée dès les années 1960 par une équipe de l'Université de Tokyo afin de mesurer la section de coupe transversale du biceps brachial. Cet outil a été fortement plébiscité pour l'évaluation des lésions musculaires dans le milieu sportif. Toutefois, l'évaluation musculaire par ses caractéristiques morphologiques et morphométriques s'est développée parallèlement en réponse à la nécessité d'améliorer la validité et la fiabilité des hypothèses cliniques formulées à partir d'outils cliniques présentant souvent une précision et une reproductibilité faible à modérée. Un grand nombre d'études de bonne qualité confirme désormais l'intérêt de l'échographie pour évaluer la morphologie (épaisseur, échogénicité, angle de pennation, longueur fasciculaire, atrophie et infiltration graisseuse) et la morphométrie (fonction musculaire par le schéma d'activation et de substitution). Elles permettent, d'une part, de justifier un moindre recours à certains examens complémentaires (imagerie par résonance magnétique et électromyographie) présentant des inconvénients pour l'évaluation musculaire et, d'autre part, de confirmer ou infirmer les hypothèses cliniques formulées par l'examen clinique musculaire habituel. La fiabilité et la validité de l'échographie sont dépendantes de l'expérience du clinicien, de son niveau de formation et du respect des standards de pratique en matière de mesure des différents paramètres musculaires évaluables. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81881
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.15, n°1 (Janvier 2019) . - 26-010-B-60 [Tome 1][article] Évaluation musculaire et échographie [texte imprimé] / Anthony Demont ; Marion Lemarinel . - 2019 . - 26-010-B-60 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.15, n°1 (Janvier 2019) . - 26-010-B-60 [Tome 1]
Mots-clés : Échographie Évaluation Fonction Muscle Résumé : L'échographie est un outil d'examen fréquemment utilisé en pratique clinique dans de nombreux pays et par différentes professions de santé. Ses nombreux avantages comparativement aux autres examens d'imagerie ont facilité son développement et son utilisation. Sa capacité à fournir une information en temps réel et à mesurer les caractéristiques de certains tissus a permis de favoriser son utilisation en complément de l'examen clinique, particulièrement pour l'évaluation musculaire. L'échographie musculaire a été initiée dès les années 1960 par une équipe de l'Université de Tokyo afin de mesurer la section de coupe transversale du biceps brachial. Cet outil a été fortement plébiscité pour l'évaluation des lésions musculaires dans le milieu sportif. Toutefois, l'évaluation musculaire par ses caractéristiques morphologiques et morphométriques s'est développée parallèlement en réponse à la nécessité d'améliorer la validité et la fiabilité des hypothèses cliniques formulées à partir d'outils cliniques présentant souvent une précision et une reproductibilité faible à modérée. Un grand nombre d'études de bonne qualité confirme désormais l'intérêt de l'échographie pour évaluer la morphologie (épaisseur, échogénicité, angle de pennation, longueur fasciculaire, atrophie et infiltration graisseuse) et la morphométrie (fonction musculaire par le schéma d'activation et de substitution). Elles permettent, d'une part, de justifier un moindre recours à certains examens complémentaires (imagerie par résonance magnétique et électromyographie) présentant des inconvénients pour l'évaluation musculaire et, d'autre part, de confirmer ou infirmer les hypothèses cliniques formulées par l'examen clinique musculaire habituel. La fiabilité et la validité de l'échographie sont dépendantes de l'expérience du clinicien, de son niveau de formation et du respect des standards de pratique en matière de mesure des différents paramètres musculaires évaluables. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81881 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Intérêt de l'échographie musculaire du diaphragme chez le patient présentant une affection musculo-squelettique du rachis / Marion Lemarinel in Kinésithérapie scientifique, 619 (Avril 2020)
[article]
Titre : Intérêt de l'échographie musculaire du diaphragme chez le patient présentant une affection musculo-squelettique du rachis Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Lemarinel, Auteur ; Anthony Demont, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 43-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : Muscle diaphragme Lombalgie troubles musculo-squelettiques Résumé : La lombalgie commune chronique, affection musculo-squelettique du rachis la plus prévalente dans la population, est devenue au fil des années un enjeu de santé publique de première importance en France [1]. Elle est définie comme une douleur et/ou un déficit persistant depuis plus de 3 mois sans signe neurologique identifié.La littérature a mis en évidence que les muscles transverses de l'abdomen, du plancher pelvien et multifides lombaires jouent un rôle primordial dans la mobilité et la stabilité de la région lombo-pelvienne lors de perturbations posturales automatiques et volontaires des membres inférieurs [3]. Lors de ces dernières, le muscle transverse de l’abdomen est le principal muscle pouvant s’activer indépendamment des autres muscles cités pour augmenter la stabilité du rachis [5]. Son dysfonctionnement entraînerait une mauvaise répartition du poids du corps associée à celui de la charge portée, cette répartition ne se faisant plus de manière homogène sur l'ensemble des articulations vertébrales et des disques intervertébraux.Cependant, le dysfonctionnement de ces muscles ne serait pas seul en lien avec la lombalgie car plusieurs études récentes ont évoqué également la présence d’un dysfonctionnement respiratoire [5]. Outre sa fonction dans la respiration, le muscle diaphragme contribue à la modulation de la pression intra-abdominale et joue également un rôle important dans la stabilisation du rachis lors de mouvements des membres inférieurs et supérieurs [3,5]. Il s’agit du muscle principal de l’inspiration lors de la respiration de repos.En effet, Janssens et al. [7] ont récemment montré qu’une augmentation de la demande respiratoire compromettrait le contrôle du rachis, en particulier chez les personnes présentant une lombalgie. Les sujets sains semblent être capables de compenser efficacement une demande respiratoire accrue [8]. Toutefois, cette compensation semble avoir été retrouvée moins efficace chez les personnes présentant une lombalgie, ce qui entraîne une altération du contrôle de l'équilibre postural du rachis.L'évaluation échographique de la fonction diaphragmatique permet de mettre en évidence les altérations respiratoires pouvant contribuer à l’entretien des épisodes lombalgiques. L'échographie du diaphragme est retrouvée depuis plusieurs années comme un outil d'évaluation précis, non invasif et facilement accessible des modifications de l’excursion diaphragmatique et/ou de la fraction d’épaississement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86111
in Kinésithérapie scientifique > 619 (Avril 2020) . - p. 43-49[article] Intérêt de l'échographie musculaire du diaphragme chez le patient présentant une affection musculo-squelettique du rachis [texte imprimé] / Marion Lemarinel, Auteur ; Anthony Demont, Auteur . - 2020 . - p. 43-49.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 619 (Avril 2020) . - p. 43-49
Mots-clés : Muscle diaphragme Lombalgie troubles musculo-squelettiques Résumé : La lombalgie commune chronique, affection musculo-squelettique du rachis la plus prévalente dans la population, est devenue au fil des années un enjeu de santé publique de première importance en France [1]. Elle est définie comme une douleur et/ou un déficit persistant depuis plus de 3 mois sans signe neurologique identifié.La littérature a mis en évidence que les muscles transverses de l'abdomen, du plancher pelvien et multifides lombaires jouent un rôle primordial dans la mobilité et la stabilité de la région lombo-pelvienne lors de perturbations posturales automatiques et volontaires des membres inférieurs [3]. Lors de ces dernières, le muscle transverse de l’abdomen est le principal muscle pouvant s’activer indépendamment des autres muscles cités pour augmenter la stabilité du rachis [5]. Son dysfonctionnement entraînerait une mauvaise répartition du poids du corps associée à celui de la charge portée, cette répartition ne se faisant plus de manière homogène sur l'ensemble des articulations vertébrales et des disques intervertébraux.Cependant, le dysfonctionnement de ces muscles ne serait pas seul en lien avec la lombalgie car plusieurs études récentes ont évoqué également la présence d’un dysfonctionnement respiratoire [5]. Outre sa fonction dans la respiration, le muscle diaphragme contribue à la modulation de la pression intra-abdominale et joue également un rôle important dans la stabilisation du rachis lors de mouvements des membres inférieurs et supérieurs [3,5]. Il s’agit du muscle principal de l’inspiration lors de la respiration de repos.En effet, Janssens et al. [7] ont récemment montré qu’une augmentation de la demande respiratoire compromettrait le contrôle du rachis, en particulier chez les personnes présentant une lombalgie. Les sujets sains semblent être capables de compenser efficacement une demande respiratoire accrue [8]. Toutefois, cette compensation semble avoir été retrouvée moins efficace chez les personnes présentant une lombalgie, ce qui entraîne une altération du contrôle de l'équilibre postural du rachis.L'évaluation échographique de la fonction diaphragmatique permet de mettre en évidence les altérations respiratoires pouvant contribuer à l’entretien des épisodes lombalgiques. L'échographie du diaphragme est retrouvée depuis plusieurs années comme un outil d'évaluation précis, non invasif et facilement accessible des modifications de l’excursion diaphragmatique et/ou de la fraction d’épaississement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86111 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLitige avec un patient ? Focus sur les assurances existantes et les sinistres observés / Anthony Demont in Kinésithérapie, la revue, 161 (Mai 2015)
[article]
Titre : Litige avec un patient ? Focus sur les assurances existantes et les sinistres observés Type de document : texte imprimé Auteurs : Anthony Demont, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 27-30 Langues : Français (fre) Mots-clés : Déontologie médicale Faute médicale Responsabilité médicale Déontologie,Faute,Litige,Responsabilité Résumé : N’est-il jamais arrivé à un masseur-kinésithérapeute de proposer à un patient âgé entrant dans son établissement de soins de commencer à s’installer dans une salle de consultation pendant qu’il termine une autre activité ? Mais qu’adviendrait-il de cette pratique si ce même patient âgé venait à tomber de la table de rééducation en tentant de s’y installer seul ? Et quelles pourraient être les conséquences d’une blessure causée par ce matériel défectueux en l’absence du praticien ?
Cet exemple, qui engage la responsabilité du masseur-kinésithérapeute vis-à-vis du préjudice corporel ou moral subi par le patient, pourrait être généralisé à tout type d’accident lié aux moyens mis en œuvre et aux pratiques réalisées par le masseur-kinésithérapeute. En effet, le praticien doit permettre au patient « de recevoir les soins les plus appropriées et de bénéficier des thérapeutiques dont l’efficacité est reconnue et qui garantissent la meilleure sécurité sanitaire au regard des connaissances médicales avérées ». Il ne doit pas faire « courir de risques disproportionnés [au patient] par rapport au bénéfice escompté ».
Le Code de déontologie des masseurs-kinésithérapeutes précise dans son article R. 4321-89 que : « Le masseur-kinésithérapeute s’interdit, dans les actes qu’il pratique comme dans les dispositifs médicaux qu’il prescrit, de faire courir au patient un risque injustifié ».Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35844
in Kinésithérapie, la revue > 161 (Mai 2015) . - p. 27-30[article] Litige avec un patient ? Focus sur les assurances existantes et les sinistres observés [texte imprimé] / Anthony Demont, Auteur . - 2015 . - p. 27-30.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 161 (Mai 2015) . - p. 27-30
Mots-clés : Déontologie médicale Faute médicale Responsabilité médicale Déontologie,Faute,Litige,Responsabilité Résumé : N’est-il jamais arrivé à un masseur-kinésithérapeute de proposer à un patient âgé entrant dans son établissement de soins de commencer à s’installer dans une salle de consultation pendant qu’il termine une autre activité ? Mais qu’adviendrait-il de cette pratique si ce même patient âgé venait à tomber de la table de rééducation en tentant de s’y installer seul ? Et quelles pourraient être les conséquences d’une blessure causée par ce matériel défectueux en l’absence du praticien ?
Cet exemple, qui engage la responsabilité du masseur-kinésithérapeute vis-à-vis du préjudice corporel ou moral subi par le patient, pourrait être généralisé à tout type d’accident lié aux moyens mis en œuvre et aux pratiques réalisées par le masseur-kinésithérapeute. En effet, le praticien doit permettre au patient « de recevoir les soins les plus appropriées et de bénéficier des thérapeutiques dont l’efficacité est reconnue et qui garantissent la meilleure sécurité sanitaire au regard des connaissances médicales avérées ». Il ne doit pas faire « courir de risques disproportionnés [au patient] par rapport au bénéfice escompté ».
Le Code de déontologie des masseurs-kinésithérapeutes précise dans son article R. 4321-89 que : « Le masseur-kinésithérapeute s’interdit, dans les actes qu’il pratique comme dans les dispositifs médicaux qu’il prescrit, de faire courir au patient un risque injustifié ».Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35844 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLombalgie aiguë chez un adulte / Anthony Demont in Concours Pluripro, 15 (mai 2022)
[article]
Titre : Lombalgie aiguë chez un adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Anthony Demont Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 33-35 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104196
in Concours Pluripro > 15 (mai 2022) . - p. 33-35[article] Lombalgie aiguë chez un adulte [texte imprimé] / Anthony Demont . - 2022 . - p. 33-35.
Langues : Français (fre)
in Concours Pluripro > 15 (mai 2022) . - p. 33-35
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104196 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtQuelles perspectives d’amélioration de la pédagogie dans les établissements d’enseignement supérieur ? / Anthony Demont in Kinésithérapie, la revue, 154 (octobre 2014)
PermalinkRecommandations de bonne pratique concernant les manoeuvres diagnostiques et thérapeutiques pour le traitement des vertiges positionnels paroxystiques bénins / Anthony Demont in Kinésithérapie, la revue, Vol. 18, n°197 (Mai 2018)
PermalinkRecommandations de bonnes pratiques de la Haute Autorité de Santé et principales évolutions concernant la rééducation et la réadaptation de la fonction motrice de l’appareil locomoteur des personnes diagnostiquées de paralysie cérébrale / Anthony Demont in Kinésithérapie, la revue, 254 (février 2023)
PermalinkLa redevance: vecteur de disparité parmi les masseurs-kinésithérapeutes libéraux? / Anthony Demont in Kinésithérapie, la revue, 155 (Novembre 2014)
PermalinkRéflexions sur les compétences à acquérir par le kinésithérapeute pour la pratique de l’échographie / Marion Lemarinel in Kinésithérapie scientifique, 615 (Décembre 2019)
PermalinkRègle canadienne de prédiction clinique d’une lésion sévère du rachis cervical après un traumatisme (Canadian C-Spine Rule) / Grégoire Passard in Kinésithérapie, la revue, 241 (Janvier 2022)
PermalinkLes standards de formation et de pratique en échographie : un gage de crédibilité pour le kinésithérapeute utilisant l'échographie / Anthony Demont in Kinésithérapie scientifique, 576 (Mai 2016)
PermalinkTraitements kinésithérapiques pour la prise en soins des patients atteints de douleur chronique / Anthony Demont in Soins, 877 (Juillet-août 2023)
PermalinkTraumatisme en torsion de la chevielle chez un adulte / Anthony Demont in Concours Pluripro, 10 (décembre 2021)
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