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08399 | REV.39 | Périodique | Périodiques / Revues | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierAntibiotiques dans la population gériatrique en ville et à l'hôpital : impact de la prescription répétée d'antibiotiques de même classe / Adeline Wojcik in La revue de gériatrie, 43/3 (Mars 2018)
[article]
Titre : Antibiotiques dans la population gériatrique en ville et à l'hôpital : impact de la prescription répétée d'antibiotiques de même classe Type de document : texte imprimé Auteurs : Adeline Wojcik ; Daisy Bergqvist ; Carole Cuingnet ; Arnaud Dzeing-Ella ; Rachèle Ciupa Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 133-138 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibiotique Continuité des soins Gériatrie Résumé : Contexte : La résistance aux antibiotiques est à l’origine de la prolongation des hospitalisations et d’une hausse de la mortalité.
Objectif : Déterminer la fréquence de recours aux antibiotiques et les molécules utilisées dans notre population gériatrique en ville et à l’hôpital, et évaluer si l’administration répétée d’antibiotiques de même classe a eu un impact sur la fréquence des échecs thérapeutiques.
Méthodes : Étude prospective non interventionnelle, incluant les patients admis sur une période d’un an dans une unité de soins de gériatrie. Au cours de la conciliation médicamenteuse d’entrée, une prescription éventuelle d’antibiotique en ville ou à l’hôpital dans les six mois précédant l’hospitalisation a été recherchée. La prescription hospitalière a été qualifiée de répétée si l’antibiotique choisi est un antibiotique de la même classe ou le même antibiotique que celui prescrit dans les six mois précédents.
Résultats : Parmi les 341 patients inclus, 42,5 % avaient reçu au moins un antibiotique dans les six mois précédents. Parmi eux, 41,4 % ont reçu à nouveau au moins un antibiotique à l’hôpital, et la prescription était répétée pour 60,0 % d’entre eux. Le risque d’échec thérapeutique a été significativement plus élevé lorsque la prescription était répétée (52,8 %vs 25,0 % ; p = 0,0375 selon le test de Fisher exact).Conclusion : Les antibiothérapies antérieures récentes peuvent influencer l’issue thérapeutique de l’antibiothérapie en cours. Les activités de pharmacie clinique, notamment la conciliation médicamenteuse, doivent être exploitées pour renforcer le lien entre secteurs communautaire et hospitalier et sensibiliser les professionnels de santé à la rationalisation de l’usage des antibiotiques.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93961
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 133-138[article] Antibiotiques dans la population gériatrique en ville et à l'hôpital : impact de la prescription répétée d'antibiotiques de même classe [texte imprimé] / Adeline Wojcik ; Daisy Bergqvist ; Carole Cuingnet ; Arnaud Dzeing-Ella ; Rachèle Ciupa . - 2018 . - p. 133-138.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 133-138
Mots-clés : Antibiotique Continuité des soins Gériatrie Résumé : Contexte : La résistance aux antibiotiques est à l’origine de la prolongation des hospitalisations et d’une hausse de la mortalité.
Objectif : Déterminer la fréquence de recours aux antibiotiques et les molécules utilisées dans notre population gériatrique en ville et à l’hôpital, et évaluer si l’administration répétée d’antibiotiques de même classe a eu un impact sur la fréquence des échecs thérapeutiques.
Méthodes : Étude prospective non interventionnelle, incluant les patients admis sur une période d’un an dans une unité de soins de gériatrie. Au cours de la conciliation médicamenteuse d’entrée, une prescription éventuelle d’antibiotique en ville ou à l’hôpital dans les six mois précédant l’hospitalisation a été recherchée. La prescription hospitalière a été qualifiée de répétée si l’antibiotique choisi est un antibiotique de la même classe ou le même antibiotique que celui prescrit dans les six mois précédents.
Résultats : Parmi les 341 patients inclus, 42,5 % avaient reçu au moins un antibiotique dans les six mois précédents. Parmi eux, 41,4 % ont reçu à nouveau au moins un antibiotique à l’hôpital, et la prescription était répétée pour 60,0 % d’entre eux. Le risque d’échec thérapeutique a été significativement plus élevé lorsque la prescription était répétée (52,8 %vs 25,0 % ; p = 0,0375 selon le test de Fisher exact).Conclusion : Les antibiothérapies antérieures récentes peuvent influencer l’issue thérapeutique de l’antibiothérapie en cours. Les activités de pharmacie clinique, notamment la conciliation médicamenteuse, doivent être exploitées pour renforcer le lien entre secteurs communautaire et hospitalier et sensibiliser les professionnels de santé à la rationalisation de l’usage des antibiotiques.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93961 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 08399 REV.39 Périodique Périodiques / Revues Disponible Artefacts électrocardiographiques : attention au tremblement parkinsonien ! À propos d’un cas de pseudo-tachycardie ventriculaire / Agathe Charpin in La revue de gériatrie, 43/3 (Mars 2018)
[article]
Titre : Artefacts électrocardiographiques : attention au tremblement parkinsonien ! À propos d’un cas de pseudo-tachycardie ventriculaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Agathe Charpin ; Flora Ketz ; Marion Lobbe ; Eric Pautas ; Anne Buisson Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 177-179 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rythme cardiaque Électrocardiographie maladie de Parkinson Interprétation Résumé : La lecture d’un tracé électrocardiogarphique (ECG) peut être gênée par des artéfacts, notamment par des mouvements anormaux rendant complexe l’interprétation du rythme auriculaire ou ventriculaire. Chez le sujet âgé, un tremblement parkinsonien est la situation la plus fréquemment à l’origine d’artefacts ECG. Nous présentons ici un tracé ECG pouvant évoquer une tachycardie ventriculaire sur les dérivations périphériques, mais avec une discordance évidente avec les autres dérivations et la clinique, et finalement relié à un tremblement parkinsonien.
Ce cas clinique permet de rappeler l’existence non rare de ces artéfacts chez les patients âgés et leur retentissement potentiel sur l’interprétation de troubles du rythme sur l’ECG.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93962
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 177-179[article] Artefacts électrocardiographiques : attention au tremblement parkinsonien ! À propos d’un cas de pseudo-tachycardie ventriculaire [texte imprimé] / Agathe Charpin ; Flora Ketz ; Marion Lobbe ; Eric Pautas ; Anne Buisson . - 2018 . - p. 177-179.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 177-179
Mots-clés : Rythme cardiaque Électrocardiographie maladie de Parkinson Interprétation Résumé : La lecture d’un tracé électrocardiogarphique (ECG) peut être gênée par des artéfacts, notamment par des mouvements anormaux rendant complexe l’interprétation du rythme auriculaire ou ventriculaire. Chez le sujet âgé, un tremblement parkinsonien est la situation la plus fréquemment à l’origine d’artefacts ECG. Nous présentons ici un tracé ECG pouvant évoquer une tachycardie ventriculaire sur les dérivations périphériques, mais avec une discordance évidente avec les autres dérivations et la clinique, et finalement relié à un tremblement parkinsonien.
Ce cas clinique permet de rappeler l’existence non rare de ces artéfacts chez les patients âgés et leur retentissement potentiel sur l’interprétation de troubles du rythme sur l’ECG.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93962 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 08399 REV.39 Périodique Périodiques / Revues Disponible La maladie d’Alzheimer dans la cité, politiques et initiatives locales / Paul-Ariel Kenigsberg in La revue de gériatrie, 43/3 (Mars 2018)
[article]
Titre : La maladie d’Alzheimer dans la cité, politiques et initiatives locales Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul-Ariel Kenigsberg, Auteur ; Marion Villez, Auteur ; Jean-Pierre Aquino, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 149-158 Langues : Français (fre) Mots-clés : Démence Participation maladie d'Alzheimer Politique de santé Intégration sociale Ville Maintien à domicile Représentation Résumé : Une ville amie des aînés vise à améliorer la qualité de vie des citoyens âgés, en optimisant leur santé, leur participation à la vie de la cité et leur sécurité. Cette démarche, qui part d’une méthodologie proposée par l’Organisation mondiale de la santé, se développe en France depuis 2010. À côté de cette mobilisation en direction des personnes âgées, mais de façon indépendante, un mouvement né du terrain, centré plus spécifiquement sur la place dans la cité des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, s’amplifie dans le monde entier. Trois grands objectifs sont visés : sensibiliser les professionnels et la société civile à la maladie, vivre et habiter ensemble, mettre en capacité et protéger les personnes malades.
Aider celles-ci et leurs proches à vivre le mieux possible avec et malgré la maladie est l’affaire de chacun, et suppose, à l’échelle locale, un engagement partagé entre les acteurs sanitaires, sociaux ou médico-sociaux et les autres acteurs de la société civile. Le frein principal est psychologique : la peur de la maladie d’Alzheimer, qui conduit à la mise à l’écart de la personne malade. Un second frein, d’ordre pratique, concerne les restrictions de mobilité et la réalisation d’actions de la vie courante par la personne malade confrontée aux multiples obstacles de l’environnement urbain. Des initiatives locales variées, portées par les pouvoirs publics, des professionnels ou des bénévoles se sont développées pour que les personnes malades trouvent leur place dans la cité et puissent participer à la vie publique. De nouvelles formes d’habitat, fondées sur une représentation positive du vieillissement, proposent une approche « domicile » et une intégration sociale dans le milieu ordinaire. Mais l’accès aux services de la cité n’est pas possible sans la sensibilisation du grand public. Il s’agit de communiquer autrement sur la maladie et ses conséquences dans le quotidien de ceux qui la vivent, afin d’en promouvoir une image plus réaliste et juste. Les initiatives exemplaires primées par la Fondation Médéric Alzheimer et ses partenaires européens montrent que le succès de ces démarches visant à construire à l’échelle locale un environnement averti sur la démence est le résultat d’un effort de long terme. La mise en oeuvre de cette approche de manière durable, à contre-courant des représentations stigmatisantes de la maladie, reste aujourd’hui difficile. Une question centrale reste celle de la manière dont les personnes malades elles-mêmes sont et seront, effectivement, partie prenante de ces processus.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93963
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 149-158[article] La maladie d’Alzheimer dans la cité, politiques et initiatives locales [texte imprimé] / Paul-Ariel Kenigsberg, Auteur ; Marion Villez, Auteur ; Jean-Pierre Aquino, Auteur . - 2018 . - p. 149-158.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 149-158
Mots-clés : Démence Participation maladie d'Alzheimer Politique de santé Intégration sociale Ville Maintien à domicile Représentation Résumé : Une ville amie des aînés vise à améliorer la qualité de vie des citoyens âgés, en optimisant leur santé, leur participation à la vie de la cité et leur sécurité. Cette démarche, qui part d’une méthodologie proposée par l’Organisation mondiale de la santé, se développe en France depuis 2010. À côté de cette mobilisation en direction des personnes âgées, mais de façon indépendante, un mouvement né du terrain, centré plus spécifiquement sur la place dans la cité des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, s’amplifie dans le monde entier. Trois grands objectifs sont visés : sensibiliser les professionnels et la société civile à la maladie, vivre et habiter ensemble, mettre en capacité et protéger les personnes malades.
Aider celles-ci et leurs proches à vivre le mieux possible avec et malgré la maladie est l’affaire de chacun, et suppose, à l’échelle locale, un engagement partagé entre les acteurs sanitaires, sociaux ou médico-sociaux et les autres acteurs de la société civile. Le frein principal est psychologique : la peur de la maladie d’Alzheimer, qui conduit à la mise à l’écart de la personne malade. Un second frein, d’ordre pratique, concerne les restrictions de mobilité et la réalisation d’actions de la vie courante par la personne malade confrontée aux multiples obstacles de l’environnement urbain. Des initiatives locales variées, portées par les pouvoirs publics, des professionnels ou des bénévoles se sont développées pour que les personnes malades trouvent leur place dans la cité et puissent participer à la vie publique. De nouvelles formes d’habitat, fondées sur une représentation positive du vieillissement, proposent une approche « domicile » et une intégration sociale dans le milieu ordinaire. Mais l’accès aux services de la cité n’est pas possible sans la sensibilisation du grand public. Il s’agit de communiquer autrement sur la maladie et ses conséquences dans le quotidien de ceux qui la vivent, afin d’en promouvoir une image plus réaliste et juste. Les initiatives exemplaires primées par la Fondation Médéric Alzheimer et ses partenaires européens montrent que le succès de ces démarches visant à construire à l’échelle locale un environnement averti sur la démence est le résultat d’un effort de long terme. La mise en oeuvre de cette approche de manière durable, à contre-courant des représentations stigmatisantes de la maladie, reste aujourd’hui difficile. Une question centrale reste celle de la manière dont les personnes malades elles-mêmes sont et seront, effectivement, partie prenante de ces processus.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93963 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 08399 REV.39 Périodique Périodiques / Revues Disponible Le désir de mourir chez les aînés : différences selon le genre / Édmond Provencher in La revue de gériatrie, 43/3 (Mars 2018)
[article]
Titre : Le désir de mourir chez les aînés : différences selon le genre Type de document : texte imprimé Auteurs : Édmond Provencher ; Sylvie Lapierre ; Sophie Desjardins ; Michel Préville ; Jean Vézina Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 139-147 Langues : Français (fre) Mots-clés : Personne âgée Genre Dépression Sommeil Stress Désir de mourir Résumé : L’objectif de l’étude visait à établir la prévalence du désir de mourir chez les aînés et à explorer les différences selon le genre à partir des données de l’Enquête sur la Santé des Aînés, réalisée au Québec (Canada) entre 2005 et 2006. Les résultats ont permis de constater que 4,9 % des 2 811 répondants, âgés de 65 ans et plus et vivant dans la communauté, avaient exprimé le désir de mourir, c’est-à-dire qu’ils croyaient qu’il vaudrait mieux qu’ils soient morts. Lorsque les genres ont été comparés aux plans sociodémographique, psychologique, physique et social, les résultats indiquent que les femmes ayant le désir de mourir (n = 100) rapportent un niveau de stress plus élevé, un plus grand nombre de tracas quotidiens (ex. problèmes de transport, de sécurité, d’argent) et souffrent davantage de maladies douloureuses que les hommes (n = 39). Elles sont plus nombreuses à recevoir un diagnostic de dépression, rapportent une mauvaise qualité de sommeil, une difficulté à s’endormir, un sentiment d’inutilité auprès de leurs enfants ainsi qu’un sentiment d’être incomprises par leurs proches. À l’inverse, les hommes ayant le désir de mourir présentent plus souvent que les femmes des problèmes uro-génitaux, des perturbations du sommeil, des relations conflictuelles avec leur partenaire, un sentiment de distance avec leur entourage, et le sentiment d’être inutile pour leurs amis. La poursuite des recherches quant aux facteurs de risque du désir de mourir chez les aînés pourrait permettre le développement d’interventions spécifiques à chaque genre, tôt dans le processus suicidaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93964
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 139-147[article] Le désir de mourir chez les aînés : différences selon le genre [texte imprimé] / Édmond Provencher ; Sylvie Lapierre ; Sophie Desjardins ; Michel Préville ; Jean Vézina . - 2018 . - p. 139-147.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 139-147
Mots-clés : Personne âgée Genre Dépression Sommeil Stress Désir de mourir Résumé : L’objectif de l’étude visait à établir la prévalence du désir de mourir chez les aînés et à explorer les différences selon le genre à partir des données de l’Enquête sur la Santé des Aînés, réalisée au Québec (Canada) entre 2005 et 2006. Les résultats ont permis de constater que 4,9 % des 2 811 répondants, âgés de 65 ans et plus et vivant dans la communauté, avaient exprimé le désir de mourir, c’est-à-dire qu’ils croyaient qu’il vaudrait mieux qu’ils soient morts. Lorsque les genres ont été comparés aux plans sociodémographique, psychologique, physique et social, les résultats indiquent que les femmes ayant le désir de mourir (n = 100) rapportent un niveau de stress plus élevé, un plus grand nombre de tracas quotidiens (ex. problèmes de transport, de sécurité, d’argent) et souffrent davantage de maladies douloureuses que les hommes (n = 39). Elles sont plus nombreuses à recevoir un diagnostic de dépression, rapportent une mauvaise qualité de sommeil, une difficulté à s’endormir, un sentiment d’inutilité auprès de leurs enfants ainsi qu’un sentiment d’être incomprises par leurs proches. À l’inverse, les hommes ayant le désir de mourir présentent plus souvent que les femmes des problèmes uro-génitaux, des perturbations du sommeil, des relations conflictuelles avec leur partenaire, un sentiment de distance avec leur entourage, et le sentiment d’être inutile pour leurs amis. La poursuite des recherches quant aux facteurs de risque du désir de mourir chez les aînés pourrait permettre le développement d’interventions spécifiques à chaque genre, tôt dans le processus suicidaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93964 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 08399 REV.39 Périodique Périodiques / Revues Disponible Le médecin coordonnateur d’EHPAD et l’antibiotique / Stephan Meyer in La revue de gériatrie, 43/3 (Mars 2018)
[article]
Titre : Le médecin coordonnateur d’EHPAD et l’antibiotique Type de document : texte imprimé Auteurs : Stephan Meyer ; Marie-Laure Renaudie ; Odile Reynaud-Levy ; Gaël Durel Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 171-173 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibiothérapie Pharmacien Maison de repos et de soins Personne âgée Antibiotique Médecin Résumé : La prescription d’antibiotiques en EHPAD est un acte fréquent, très impactant en termes d’écologie des établissements. En effet, en cas de mésusage, le risque est de voir émerger des bactéries résistantes aux antibiotiques. La pertinence de cette prescription, habituellement réalisée par le médecin traitant, dépend bien sûr de l’actualisation des connaissances scientifiques, mais aussi de la connaissance des particularités cliniques (possible absence de fièvre) et biologiques (maladie rénale chronique potentielle) des sujets âgés. Trois principales pathologies infectieuses sont observées : les surinfections bronchiques, les infections cutanées (ulcères et érysipèle), les infections urinaires. Le médecin coordonnateur devra savoir organiser et coordonner le travail du médecin généraliste et du pharmacien (attaché si PUI ou officinal sinon) et les articuler avec les recommandations de bonne pratique ainsi qu’avec les préconisations des réseaux d’hygiène (CPIAS)* qui peuvent élaborer des outils d’aide à la prescription. C’est là un des enjeux majeurs du rôle du médecin coordonnateur dans la prise en charge des maladies infectieuses en EHPAD. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93965
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 171-173[article] Le médecin coordonnateur d’EHPAD et l’antibiotique [texte imprimé] / Stephan Meyer ; Marie-Laure Renaudie ; Odile Reynaud-Levy ; Gaël Durel . - 2018 . - p. 171-173.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 171-173
Mots-clés : Antibiothérapie Pharmacien Maison de repos et de soins Personne âgée Antibiotique Médecin Résumé : La prescription d’antibiotiques en EHPAD est un acte fréquent, très impactant en termes d’écologie des établissements. En effet, en cas de mésusage, le risque est de voir émerger des bactéries résistantes aux antibiotiques. La pertinence de cette prescription, habituellement réalisée par le médecin traitant, dépend bien sûr de l’actualisation des connaissances scientifiques, mais aussi de la connaissance des particularités cliniques (possible absence de fièvre) et biologiques (maladie rénale chronique potentielle) des sujets âgés. Trois principales pathologies infectieuses sont observées : les surinfections bronchiques, les infections cutanées (ulcères et érysipèle), les infections urinaires. Le médecin coordonnateur devra savoir organiser et coordonner le travail du médecin généraliste et du pharmacien (attaché si PUI ou officinal sinon) et les articuler avec les recommandations de bonne pratique ainsi qu’avec les préconisations des réseaux d’hygiène (CPIAS)* qui peuvent élaborer des outils d’aide à la prescription. C’est là un des enjeux majeurs du rôle du médecin coordonnateur dans la prise en charge des maladies infectieuses en EHPAD. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93965 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 08399 REV.39 Périodique Périodiques / Revues Disponible Spécificités de la prescription antibiotique en EHPAD / Alain Putot in La revue de gériatrie, 43/3 (Mars 2018)
[article]
Titre : Spécificités de la prescription antibiotique en EHPAD Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Putot, Auteur ; Patrick Manckoundia, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 161-170 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infection urinaire Infection pulmonaire Antibiotique Personne âgée Maison de repos et de soins Résumé : Les antibiotiques sont indubitablement l’une des classes médicamenteuses qui ont fait le succès de la médecine moderne. Ils ont contribué pour une large part à l’amélioration de l’espérance de vie au cours du siècle dernier. Les âges extrêmes, les plus prédisposés aux infections, en ont tout particulièrement bénéficié. Pourtant l’ère du « tout antibiotique » est bel et bien révolue, du fait du problème émergent et bien connu de résistance microbienne, mais peut-être plus encore chez nos patients âgés fragiles, du fait de leur impact délétère à l’échelle individuelle. En effet, si l’on est en droit d’attendre de l’antibiothérapie un effet antimicrobien contre le pathogène ciblé, cet effet n’est malheureusement spécifique ni de l’espèce bactérienne, ni du site infecté. Ainsi, l’exemple des colites à Clostridium difficile nous rappelle régulièrement que l’antibiothérapie a bien un impact sur l’ensemble des flores qui nous habitent. Nous commençons seulement, presque un siècle après Flemming, à en appréhender les conséquences délétères. De l’autre côté, tout retard d’antibiothérapie peut être lourd de conséquences, à la fois parce que les infections deviennent en elles-mêmes plus graves avec l’âge, mais surtout parce qu’elles précipitent très fréquemment un état d’équilibre fragile vers un état de comorbidités décompensées. La grande fragilité et l’appauvrissement de la symptomatologie clinique avec l’âge incitent donc légitimement le gériatre à la prudence en cas de doute diagnostique. C’est dire si la balance bénéfices/risques des antibiotiques en EHPAD, plus encore peut-être que celle des autres médicaments, doit donc être systématiquement observée.Nous proposons dans cet article une revue des moyens diagnostiques et thérapeutiques pour guider la prise en soins des situations les plus fréquemment pourvoyeuses d’antibiothérapie en EHPAD et des erreurs les plus fréquemment rencontrées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93966
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 161-170[article] Spécificités de la prescription antibiotique en EHPAD [texte imprimé] / Alain Putot, Auteur ; Patrick Manckoundia, Auteur . - 2018 . - p. 161-170.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > 43/3 (Mars 2018) . - p. 161-170
Mots-clés : Infection urinaire Infection pulmonaire Antibiotique Personne âgée Maison de repos et de soins Résumé : Les antibiotiques sont indubitablement l’une des classes médicamenteuses qui ont fait le succès de la médecine moderne. Ils ont contribué pour une large part à l’amélioration de l’espérance de vie au cours du siècle dernier. Les âges extrêmes, les plus prédisposés aux infections, en ont tout particulièrement bénéficié. Pourtant l’ère du « tout antibiotique » est bel et bien révolue, du fait du problème émergent et bien connu de résistance microbienne, mais peut-être plus encore chez nos patients âgés fragiles, du fait de leur impact délétère à l’échelle individuelle. En effet, si l’on est en droit d’attendre de l’antibiothérapie un effet antimicrobien contre le pathogène ciblé, cet effet n’est malheureusement spécifique ni de l’espèce bactérienne, ni du site infecté. Ainsi, l’exemple des colites à Clostridium difficile nous rappelle régulièrement que l’antibiothérapie a bien un impact sur l’ensemble des flores qui nous habitent. Nous commençons seulement, presque un siècle après Flemming, à en appréhender les conséquences délétères. De l’autre côté, tout retard d’antibiothérapie peut être lourd de conséquences, à la fois parce que les infections deviennent en elles-mêmes plus graves avec l’âge, mais surtout parce qu’elles précipitent très fréquemment un état d’équilibre fragile vers un état de comorbidités décompensées. La grande fragilité et l’appauvrissement de la symptomatologie clinique avec l’âge incitent donc légitimement le gériatre à la prudence en cas de doute diagnostique. C’est dire si la balance bénéfices/risques des antibiotiques en EHPAD, plus encore peut-être que celle des autres médicaments, doit donc être systématiquement observée.Nous proposons dans cet article une revue des moyens diagnostiques et thérapeutiques pour guider la prise en soins des situations les plus fréquemment pourvoyeuses d’antibiothérapie en EHPAD et des erreurs les plus fréquemment rencontrées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93966 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 08399 REV.39 Périodique Périodiques / Revues Disponible