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7 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'MEDECINE DE GUERRE'
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Anesthésie en opérations extérieures / Nicolas Donat in Anesthésie & Réanimation, Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Anesthésie en opérations extérieures Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Donat ; Jean-Vivien Schaal ; Yannick Masson ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 440-449 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANESTHESIE MEDECINE DE GUERRE Résumé : La pratique de l’anesthésie en opérations extérieures a pour objectif de se conformer au plus près de la pratique civile en particulier dans le niveau d’exigence de qualité et de sécurité des soins dispensés. Cependant, elle répond également à des impératifs matériels, humains, logistiques et tactiques singuliers qui vont imposer une adaptation aux médecins anesthésistes-réanimateurs projetés. Ses principes et ses contraintes sont exposés, les principales situations rencontrées et leurs solutions techniques et procédurales sont présentées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54536
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017) . - p. 440-449[article] Anesthésie en opérations extérieures [texte imprimé] / Nicolas Donat ; Jean-Vivien Schaal ; Yannick Masson ; et al. . - 2017 . - p. 440-449.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017) . - p. 440-449
Mots-clés : ANESTHESIE MEDECINE DE GUERRE Résumé : La pratique de l’anesthésie en opérations extérieures a pour objectif de se conformer au plus près de la pratique civile en particulier dans le niveau d’exigence de qualité et de sécurité des soins dispensés. Cependant, elle répond également à des impératifs matériels, humains, logistiques et tactiques singuliers qui vont imposer une adaptation aux médecins anesthésistes-réanimateurs projetés. Ses principes et ses contraintes sont exposés, les principales situations rencontrées et leurs solutions techniques et procédurales sont présentées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54536 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Intubation orotrachéale : à partir de deux théâtres d’opérations extérieures, épidémiologie des intubations difficiles prévues et imprévues / Audrey Jarrassier in Anesthésie & Réanimation, Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Intubation orotrachéale : à partir de deux théâtres d’opérations extérieures, épidémiologie des intubations difficiles prévues et imprévues Type de document : texte imprimé Auteurs : Audrey Jarrassier ; Pierre Pasquier ; Anne Chrisment ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 419-425 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDECINE DE GUERRE INTUBATION Résumé : La survenue d’une intubation orotrachéale (IOT) difficile (ID) voire impossible, prévue ou imprévue, en anesthésie pour chirurgie réglée ou urgente ou en réanimation, est un véritable problème dont l’épidémiologie en milieu militaire sur les théâtres d’opérations extérieures (OPEX) est mal connue. Décrire les pratiques de l’IOT à l’hôpital médicochirurgical de KaIa (Kaboul International Airport, Afghanistan) et au Groupement médicochirurgical de N’Djamena (Tchad) et déterminer les moyens disponibles pour remédier aux situations d’ID. Étude descriptive prospective à partir de questionnaires complétés lors de toute IOT chez tous les patients civils et militaires, adultes et enfants, en anesthésie ou réanimation. Quatre cent quarante-quatre IOT ont été analysées. Les indications d’IOT étaient de 79,1 % pour chirurgie réglée, 17,3 % pour chirurgie urgente et 3,6 % en réanimation. Les critères prédictifs d’ID étaient recherchés dans 70,94 % des IOT, avec au moins un critère retrouvé chez 18,41 %. Trente cas d’ID étaient relevés, soit 6,8 % des IOT dont 22 cas (73,3 % des ID) en chirurgie réglée adulte. Le mandrin semi-rigide était utilisé 14 fois (46,7 % des cas d’ID), celui d’Eschmann 9 fois (30 %), et l’Airtraq 2 fois (7 %). Les facteurs de risques associés à l’ID en analyse multivariée étaient le lieu d’OPEX (Tchad) (OR 3,2) et la présence d’au moins un critère d’ID (OR 5,09). Notre étude met en évidence un faible taux d’ID <7 % en raison des caractéristiques démographiques (population jeune en OPEX) et des indications (chirurgie réglée principalement). Les mandrins semi-rigide, d’Eschmann et l’Airtraq constituent les techniques alternatives idéales en OPEX. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54533
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017) . - p. 419-425[article] Intubation orotrachéale : à partir de deux théâtres d’opérations extérieures, épidémiologie des intubations difficiles prévues et imprévues [texte imprimé] / Audrey Jarrassier ; Pierre Pasquier ; Anne Chrisment ; et al. . - 2017 . - p. 419-425.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017) . - p. 419-425
Mots-clés : MEDECINE DE GUERRE INTUBATION Résumé : La survenue d’une intubation orotrachéale (IOT) difficile (ID) voire impossible, prévue ou imprévue, en anesthésie pour chirurgie réglée ou urgente ou en réanimation, est un véritable problème dont l’épidémiologie en milieu militaire sur les théâtres d’opérations extérieures (OPEX) est mal connue. Décrire les pratiques de l’IOT à l’hôpital médicochirurgical de KaIa (Kaboul International Airport, Afghanistan) et au Groupement médicochirurgical de N’Djamena (Tchad) et déterminer les moyens disponibles pour remédier aux situations d’ID. Étude descriptive prospective à partir de questionnaires complétés lors de toute IOT chez tous les patients civils et militaires, adultes et enfants, en anesthésie ou réanimation. Quatre cent quarante-quatre IOT ont été analysées. Les indications d’IOT étaient de 79,1 % pour chirurgie réglée, 17,3 % pour chirurgie urgente et 3,6 % en réanimation. Les critères prédictifs d’ID étaient recherchés dans 70,94 % des IOT, avec au moins un critère retrouvé chez 18,41 %. Trente cas d’ID étaient relevés, soit 6,8 % des IOT dont 22 cas (73,3 % des ID) en chirurgie réglée adulte. Le mandrin semi-rigide était utilisé 14 fois (46,7 % des cas d’ID), celui d’Eschmann 9 fois (30 %), et l’Airtraq 2 fois (7 %). Les facteurs de risques associés à l’ID en analyse multivariée étaient le lieu d’OPEX (Tchad) (OR 3,2) et la présence d’au moins un critère d’ID (OR 5,09). Notre étude met en évidence un faible taux d’ID <7 % en raison des caractéristiques démographiques (population jeune en OPEX) et des indications (chirurgie réglée principalement). Les mandrins semi-rigide, d’Eschmann et l’Airtraq constituent les techniques alternatives idéales en OPEX. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54533 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Évaluation des connaissances et des formations à la « Transfusion sanguine en situation d’exception » des médecins anesthésistes-réanimateurs et infirmiers anesthésistes diplômés d’État du service de santé des armées / Diane Commandeur in Anesthésie & Réanimation, Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Évaluation des connaissances et des formations à la « Transfusion sanguine en situation d’exception » des médecins anesthésistes-réanimateurs et infirmiers anesthésistes diplômés d’État du service de santé des armées Type de document : texte imprimé Auteurs : Diane Commandeur ; Mehdi Ould Ahmed ; Benoit Clavier ; Anne Sailliol Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 433-439 Langues : Français (fre) Mots-clés : BLESSURE DE GUERRE MEDECINE DE GUERRE TRANSFUSION SANGUINE Résumé : La transfusion sanguine en situation d’exception est un défi, tant au plan des contraintes logistiques que thérapeutiques. La prise en charge des blessés de guerre, avec un risque d’afflux massif, ne souffre aucune improvisation et impose aux médecins anesthésistes-réanimateurs (MAR) et aux infirmiers anesthésistes diplômés d’état (IADE) du service de santé des armées (SSA) une formation spécifique. Nous rapportons les résultats d’une étude conduite en 2011 évaluant l’état des connaissances des MAR et IADE en transfusion sanguine avant et après une formation spécifique sur la transfusion sanguine en situation d’exception délivrée par le Centre de transfusion sanguine des armées (CTSA). Près de 120 MAR ou IADE ont été évalués, ce qui a permis de mettre en évidence des lacunes quant aux connaissances sur les spécificités de la transfusion en métropole comme en opérations extérieures (OPEX). La formation à la transfusion sanguine en OPEX a été considérée comme nécessaire par l’ensemble des stagiaires et a remporté un très haut taux de satisfaction avec des propositions d’amélioration qui ont toutes été prises en compte. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54535
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017) . - p. 433-439[article] Évaluation des connaissances et des formations à la « Transfusion sanguine en situation d’exception » des médecins anesthésistes-réanimateurs et infirmiers anesthésistes diplômés d’État du service de santé des armées [texte imprimé] / Diane Commandeur ; Mehdi Ould Ahmed ; Benoit Clavier ; Anne Sailliol . - 2017 . - p. 433-439.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017) . - p. 433-439
Mots-clés : BLESSURE DE GUERRE MEDECINE DE GUERRE TRANSFUSION SANGUINE Résumé : La transfusion sanguine en situation d’exception est un défi, tant au plan des contraintes logistiques que thérapeutiques. La prise en charge des blessés de guerre, avec un risque d’afflux massif, ne souffre aucune improvisation et impose aux médecins anesthésistes-réanimateurs (MAR) et aux infirmiers anesthésistes diplômés d’état (IADE) du service de santé des armées (SSA) une formation spécifique. Nous rapportons les résultats d’une étude conduite en 2011 évaluant l’état des connaissances des MAR et IADE en transfusion sanguine avant et après une formation spécifique sur la transfusion sanguine en situation d’exception délivrée par le Centre de transfusion sanguine des armées (CTSA). Près de 120 MAR ou IADE ont été évalués, ce qui a permis de mettre en évidence des lacunes quant aux connaissances sur les spécificités de la transfusion en métropole comme en opérations extérieures (OPEX). La formation à la transfusion sanguine en OPEX a été considérée comme nécessaire par l’ensemble des stagiaires et a remporté un très haut taux de satisfaction avec des propositions d’amélioration qui ont toutes été prises en compte. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54535 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Épidémiologie des évacuations sanitaires héliportées des blessés français au combat en Afghanistan de 2010 à 2012 / Justine Simonet in Anesthésie & Réanimation, Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Épidémiologie des évacuations sanitaires héliportées des blessés français au combat en Afghanistan de 2010 à 2012 Type de document : texte imprimé Auteurs : Justine Simonet ; Frédérik Belot ; Jean-Paul Freiermuth ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 413-418 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDECINE DE GUERRE GUERRE RAMASSAGE DES BLESSES Résumé : L’Afghanistan a été un théâtre d’opération extérieure majeur pour les armées françaises. Le but de cette étude est d’évaluer la prévalence et les caractéristiques des blessures de guerre des combattants français lors de ce conflit. Il s’agit d’une analyse rétrospective des blessés au combat français évacués par hélicoptère et prise en charge aux urgences de l’hôpital médicochirurgical KaIA (Kabul International Airport, Afghanistan) du 01/10/2010 au 17/08/2012. Pendant la période étudiée, 93 évacuations médicales héliportées ont été réalisées pour 190 combattants français blessés au combat. Les mécanismes lésionnels étaient majoritairement des explosions (67 %). Les régions anatomiques concernées par les blessures étaient principalement les membres (67,9 %) et la région craniofaciale (37,4 %). Vingt-trois pour cent des blessés ont été catégorisés « urgence absolue » et la durée médiane d’évacuation a été de 60minutes [50 ; 79]. Quatre-vingt-huit patients (46,3 %) ont nécessité une chirurgie immédiate après passage aux urgences. La durée médiane de séjour à KaIA a été de 3jours [2 ; 6], avant un rapatriement en France (60 %) ou un retour au poste opérationnel (36 %). Neuf blessés (4,7 %) sont décédés après le début prise en charge médicale. Dans cette étude, les mécanismes lésionnels et la répartition anatomique des blessures diffèrent par rapport aux précédents conflits. L’amélioration du taux de survie des blessés au combat a été expliquée par l’amélioration des équipements de protection et la généralisation des principes fondamentaux de médecine opérationnelle moderne. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54532
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017) . - p. 413-418[article] Épidémiologie des évacuations sanitaires héliportées des blessés français au combat en Afghanistan de 2010 à 2012 [texte imprimé] / Justine Simonet ; Frédérik Belot ; Jean-Paul Freiermuth ; et al. . - 2017 . - p. 413-418.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017) . - p. 413-418
Mots-clés : MEDECINE DE GUERRE GUERRE RAMASSAGE DES BLESSES Résumé : L’Afghanistan a été un théâtre d’opération extérieure majeur pour les armées françaises. Le but de cette étude est d’évaluer la prévalence et les caractéristiques des blessures de guerre des combattants français lors de ce conflit. Il s’agit d’une analyse rétrospective des blessés au combat français évacués par hélicoptère et prise en charge aux urgences de l’hôpital médicochirurgical KaIA (Kabul International Airport, Afghanistan) du 01/10/2010 au 17/08/2012. Pendant la période étudiée, 93 évacuations médicales héliportées ont été réalisées pour 190 combattants français blessés au combat. Les mécanismes lésionnels étaient majoritairement des explosions (67 %). Les régions anatomiques concernées par les blessures étaient principalement les membres (67,9 %) et la région craniofaciale (37,4 %). Vingt-trois pour cent des blessés ont été catégorisés « urgence absolue » et la durée médiane d’évacuation a été de 60minutes [50 ; 79]. Quatre-vingt-huit patients (46,3 %) ont nécessité une chirurgie immédiate après passage aux urgences. La durée médiane de séjour à KaIA a été de 3jours [2 ; 6], avant un rapatriement en France (60 %) ou un retour au poste opérationnel (36 %). Neuf blessés (4,7 %) sont décédés après le début prise en charge médicale. Dans cette étude, les mécanismes lésionnels et la répartition anatomique des blessures diffèrent par rapport aux précédents conflits. L’amélioration du taux de survie des blessés au combat a été expliquée par l’amélioration des équipements de protection et la généralisation des principes fondamentaux de médecine opérationnelle moderne. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54532 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Évolution de la stratégie transfusionnelle en temps de guerre / Bertrand Prunet in Anesthésie & Réanimation, Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Évolution de la stratégie transfusionnelle en temps de guerre Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Prunet ; Pierre Esnault ; Cédric Nguyen ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 450-457 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDECINE DE GUERRE TRANSFUSION Résumé : L’hémorragie demeure la principale cause de « décès évitables » au cours des conflits armés. La réanimation transfusionnelle (RT) constitue un des aspects du « damage control ressuscitation » qui vise à arrêter l’hémorragie et préserver la coagulation. En effet les moyens logistiques sont limités et les besoins transfusionnels supérieurs à ceux de la traumatologie civile qui est majoritairement fermée. L’acide tranexamique doit être utilisé dès la zone des combats car son bénéfice est d’autant plus important que son injection est précoce. La transfusion « préhospitalière » au cours de l’évacuation vers la structure chirurgicale de l’avant est réalisée pour les patients les plus graves. À cet effet, le plasma lyophilisé, préparé par le Centre de Transfusion Sanguine des Armées, universel pour le groupage sanguin et sécurisé, est particulièrement intéressant. La majorité des armées achemine des concentrés de globules rouges (CGR) et du plasma mais disposent très rarement de plaquettes sur les théâtres d’opération. Le choix du ratio de transfusion de plasma/CGR se situe entre 1/2 et 1/1 mais dans un souci d’efficacité la règle du 1/1 est plus simple à appliquer pour les blessés les plus graves. Le recours exceptionnel à la transfusion de sang total, prélevé et qualifié sur place, est justifié par le besoin en plaquettes. Le risque résiduel infectieux estimé est très inférieur au risque de décès par choc hémorragique traumatique. La biologie délocalisée est utilisée pour ajuster la RT mais les données cliniques priment tant que l’hémostase chirurgicale n’a pas été réalisée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54537
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017) . - p. 450-457[article] Évolution de la stratégie transfusionnelle en temps de guerre [texte imprimé] / Bertrand Prunet ; Pierre Esnault ; Cédric Nguyen ; et al. . - 2017 . - p. 450-457.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017) . - p. 450-457
Mots-clés : MEDECINE DE GUERRE TRANSFUSION Résumé : L’hémorragie demeure la principale cause de « décès évitables » au cours des conflits armés. La réanimation transfusionnelle (RT) constitue un des aspects du « damage control ressuscitation » qui vise à arrêter l’hémorragie et préserver la coagulation. En effet les moyens logistiques sont limités et les besoins transfusionnels supérieurs à ceux de la traumatologie civile qui est majoritairement fermée. L’acide tranexamique doit être utilisé dès la zone des combats car son bénéfice est d’autant plus important que son injection est précoce. La transfusion « préhospitalière » au cours de l’évacuation vers la structure chirurgicale de l’avant est réalisée pour les patients les plus graves. À cet effet, le plasma lyophilisé, préparé par le Centre de Transfusion Sanguine des Armées, universel pour le groupage sanguin et sécurisé, est particulièrement intéressant. La majorité des armées achemine des concentrés de globules rouges (CGR) et du plasma mais disposent très rarement de plaquettes sur les théâtres d’opération. Le choix du ratio de transfusion de plasma/CGR se situe entre 1/2 et 1/1 mais dans un souci d’efficacité la règle du 1/1 est plus simple à appliquer pour les blessés les plus graves. Le recours exceptionnel à la transfusion de sang total, prélevé et qualifié sur place, est justifié par le besoin en plaquettes. Le risque résiduel infectieux estimé est très inférieur au risque de décès par choc hémorragique traumatique. La biologie délocalisée est utilisée pour ajuster la RT mais les données cliniques priment tant que l’hémostase chirurgicale n’a pas été réalisée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54537 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Pédiatrie de guerre : caractéristiques épidémiologiques des admissions en réanimation à l’hôpital médicochirurgical de Kaboul / Alexandre Salvadori in Anesthésie & Réanimation, Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017)
PermalinkQuelles sont les leçons récentes et quel est l’avenir de la médecine opérationnelle ? / Sylvain Ausset in Anesthésie & Réanimation, Vol. 3, n° 5 (Septembre 2017)
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