Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
MÉDECINE NUCLÉAIRE . 38, n° 3Bulletin N°38, n° 3Mention de date : 2014 Paru le : 22/08/2014 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierCancers de la thyroïde et traitement par iode 131 / S. Leboulleux in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 38, n° 3 (2014)
[article]
Titre : Cancers de la thyroïde et traitement par iode 131 Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Leboulleux, Auteur ; M. Schlumberger, Auteur ; E. Baudin, Auteur ; J. Lumbroso, Auteur ; D. Déandreis, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 172-178 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs de la thyroïde iode 131 Thérapeutique Résumé : Le traitement initial des cancers différenciés de la thyroïde (CTD) consiste en une thyroïdectomie totale suivie, dans de nombreux cas, par l’administration d’iode 131. Ce traitement postopératoire a trois buts : (i) détruire les reliquats thyroïdiens normaux pour faciliter la surveillance ultérieure en augmentant la spécificité du dosage de thyroglobuline ; (ii) effectuer une scintigraphie corps entier 2 à 7 jours après la prise de l’iode 131 pour permettre un bilan d’extension complet et s’assurer de l’absence de maladie résiduelle ; (iii) traiter d’éventuels résidus tumoraux, ce qui permet de diminuer les rechutes cliniques et d’améliorer la survie. Chez les patients à très faible risque, il est recommandé de ne pas administrer d’iode 131. Dans le groupe intermédiaire, il a été montré par deux études prospectives multicentriques randomisées (ESTIMABL et HILO) qu’une activité de 1,1 GBq (30 mCi) administrée après thyroid stimulating hormon recombinante humaine (TSHrh) était adaptée. La désescalade thérapeutique se poursuit dans le cadre d’un autre essai prospectif randomisé (ESTIMABL 2) comparant une activité de 30 mCi après injection de TSHrh à une simple surveillance. Chez les patients à risque élevé de rechute ou avec maladie résiduelle, il est recommandé d’administrer une forte activité d’iode 131. En cas de métastases à distance, l’iode radioactif permet d’obtenir une guérison chez 1/3 des patients. En absence de guérison, les patients sont dits réfractaires à l’iode 131 et peuvent, dans certains cas, bénéficier de traitements par inhibiteurs de tyrosine kinase. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31604
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 172-178[article] Cancers de la thyroïde et traitement par iode 131 [texte imprimé] / S. Leboulleux, Auteur ; M. Schlumberger, Auteur ; E. Baudin, Auteur ; J. Lumbroso, Auteur ; D. Déandreis, Auteur . - 2014 . - 172-178.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 172-178
Mots-clés : Tumeurs de la thyroïde iode 131 Thérapeutique Résumé : Le traitement initial des cancers différenciés de la thyroïde (CTD) consiste en une thyroïdectomie totale suivie, dans de nombreux cas, par l’administration d’iode 131. Ce traitement postopératoire a trois buts : (i) détruire les reliquats thyroïdiens normaux pour faciliter la surveillance ultérieure en augmentant la spécificité du dosage de thyroglobuline ; (ii) effectuer une scintigraphie corps entier 2 à 7 jours après la prise de l’iode 131 pour permettre un bilan d’extension complet et s’assurer de l’absence de maladie résiduelle ; (iii) traiter d’éventuels résidus tumoraux, ce qui permet de diminuer les rechutes cliniques et d’améliorer la survie. Chez les patients à très faible risque, il est recommandé de ne pas administrer d’iode 131. Dans le groupe intermédiaire, il a été montré par deux études prospectives multicentriques randomisées (ESTIMABL et HILO) qu’une activité de 1,1 GBq (30 mCi) administrée après thyroid stimulating hormon recombinante humaine (TSHrh) était adaptée. La désescalade thérapeutique se poursuit dans le cadre d’un autre essai prospectif randomisé (ESTIMABL 2) comparant une activité de 30 mCi après injection de TSHrh à une simple surveillance. Chez les patients à risque élevé de rechute ou avec maladie résiduelle, il est recommandé d’administrer une forte activité d’iode 131. En cas de métastases à distance, l’iode radioactif permet d’obtenir une guérison chez 1/3 des patients. En absence de guérison, les patients sont dits réfractaires à l’iode 131 et peuvent, dans certains cas, bénéficier de traitements par inhibiteurs de tyrosine kinase. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31604 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Radioprotection en médecine nucléaire : pourquoi et comment faire mieux ? / G. Bonardel in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 38, n° 3 (2014)
[article]
Titre : Radioprotection en médecine nucléaire : pourquoi et comment faire mieux ? Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Bonardel, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 188-199 Langues : Français (fre) Mots-clés : Radioprotection Médecine nucléaire Résumé : La radioprotection occupe une place importante, voire croissante, dans la pratique de la médecine nucléaire. Initialement conçue pour la défense des travailleurs exposés, elle se décline de plus en plus pour les expositions des patients, de leur entourage et de l’environnement. Bien que l’essentiel de l’activité de médecine nucléaire expose les uns et les autres à des faibles ou des très faibles doses de rayonnements ionisants, niveaux de doses pour lesquels aucun détriment pour la santé n’a jamais pu être observé, par précaution, du fait d’une pression sociétale et administrative importante, on renforce encore et toujours l’encadrement de leur mise en œuvre. En marge de la radioprotection, on ne peut qu’encourager les démarches qui concourent à l’amélioration de la qualité en santé telles que préconisées par la HAS (Haute Autorité de santé), notamment pour ce qui concerne l’identitovigilance, mais sans excès ni catastrophisme. Pour ce qui est du risque radiologique proprement dit, plutôt que d’axer l’essentiel de la radioprotection en médecine nucléaire sur des mesures d’optimisation de dose, avec pour but principal de délivrer encore et toujours moins de rayons de manière dogmatique, il apparaît préférable de privilégier la justification des examens, économisant en même temps rayons et finances publiques, mais surtout la communication de l’ensemble de la communauté de médecine nucléaire sur le sujet centré sur la balance bénéfices/risques en relativisant considérablement ces derniers de manière objective, harmonisée et réfléchie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31607
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 188-199[article] Radioprotection en médecine nucléaire : pourquoi et comment faire mieux ? [texte imprimé] / G. Bonardel, Auteur . - 2014 . - 188-199.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 188-199
Mots-clés : Radioprotection Médecine nucléaire Résumé : La radioprotection occupe une place importante, voire croissante, dans la pratique de la médecine nucléaire. Initialement conçue pour la défense des travailleurs exposés, elle se décline de plus en plus pour les expositions des patients, de leur entourage et de l’environnement. Bien que l’essentiel de l’activité de médecine nucléaire expose les uns et les autres à des faibles ou des très faibles doses de rayonnements ionisants, niveaux de doses pour lesquels aucun détriment pour la santé n’a jamais pu être observé, par précaution, du fait d’une pression sociétale et administrative importante, on renforce encore et toujours l’encadrement de leur mise en œuvre. En marge de la radioprotection, on ne peut qu’encourager les démarches qui concourent à l’amélioration de la qualité en santé telles que préconisées par la HAS (Haute Autorité de santé), notamment pour ce qui concerne l’identitovigilance, mais sans excès ni catastrophisme. Pour ce qui est du risque radiologique proprement dit, plutôt que d’axer l’essentiel de la radioprotection en médecine nucléaire sur des mesures d’optimisation de dose, avec pour but principal de délivrer encore et toujours moins de rayons de manière dogmatique, il apparaît préférable de privilégier la justification des examens, économisant en même temps rayons et finances publiques, mais surtout la communication de l’ensemble de la communauté de médecine nucléaire sur le sujet centré sur la balance bénéfices/risques en relativisant considérablement ces derniers de manière objective, harmonisée et réfléchie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31607 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Rôle de la TEP/TDM dans la prise en charge du mélanome / L. Vercellino in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 38, n° 3 (2014)
[article]
Titre : Rôle de la TEP/TDM dans la prise en charge du mélanome Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Vercellino, Auteur ; P. Schneider, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 216-220 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mélanome Thérapeutique tep tdm tep 18fdg Résumé : La prise en charge du mélanome avancé a évolué, notamment grâce à l’avènement des thérapies ciblées. Aux différentes étapes de la prise en charge, le dermatologue est confronté à des problèmes cliniques pour lesquels la TEP/TDM au 18F-FDG (FDG) peut s’avérer contributive. Au stade initial, la TEP/TDM est utile au bilan d’extension, notamment pour les mélanomes de stade III ou IV, c’est-à-dire avec atteinte ganglionnaire ou métastatique. Elle permet de cartographier les lésions, que celles-ci soient connues (afin de faciliter le suivi ultérieur) ou occultes. De même, lors d’une récidive prouvée ou suspectée, elle permet de guider la prise en charge thérapeutique, en orientant vers un traitement local en cas d’atteinte loco-régionale, ou oligométastatique, ou systémique dans les maladies plus évoluées. La TEP/TDM a également un rôle à jouer dans l’évaluation thérapeutique, même si celle-ci ou celui-ci reste encore imparfaitement codifié. En effet, l’efficacité des thérapies innovantes peut être difficile à évaluer par l’imagerie conventionnelle, ou alors de façon très tardive, ne permettant pas une adaptation rapide du traitement. La capacité de détection des lésions par la TEP/TDM au FDG peut être limitée pour des lésions de petite taille ou pour certaines localisations comme par exemple le cerveau où le contraste tissu sain/tissu pathologique est faible avec ce traceur. Dans le premier cas, la solution viendra de l’amélioration de la capacité de détection des TEP/TDM par les industriels et, dans le second cas, la solution passera par la mise au point de radiopharmaceutiques spécifiques du mélanome. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31608
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 216-220[article] Rôle de la TEP/TDM dans la prise en charge du mélanome [texte imprimé] / L. Vercellino, Auteur ; P. Schneider, Auteur . - 2014 . - 216-220.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 216-220
Mots-clés : Mélanome Thérapeutique tep tdm tep 18fdg Résumé : La prise en charge du mélanome avancé a évolué, notamment grâce à l’avènement des thérapies ciblées. Aux différentes étapes de la prise en charge, le dermatologue est confronté à des problèmes cliniques pour lesquels la TEP/TDM au 18F-FDG (FDG) peut s’avérer contributive. Au stade initial, la TEP/TDM est utile au bilan d’extension, notamment pour les mélanomes de stade III ou IV, c’est-à-dire avec atteinte ganglionnaire ou métastatique. Elle permet de cartographier les lésions, que celles-ci soient connues (afin de faciliter le suivi ultérieur) ou occultes. De même, lors d’une récidive prouvée ou suspectée, elle permet de guider la prise en charge thérapeutique, en orientant vers un traitement local en cas d’atteinte loco-régionale, ou oligométastatique, ou systémique dans les maladies plus évoluées. La TEP/TDM a également un rôle à jouer dans l’évaluation thérapeutique, même si celle-ci ou celui-ci reste encore imparfaitement codifié. En effet, l’efficacité des thérapies innovantes peut être difficile à évaluer par l’imagerie conventionnelle, ou alors de façon très tardive, ne permettant pas une adaptation rapide du traitement. La capacité de détection des lésions par la TEP/TDM au FDG peut être limitée pour des lésions de petite taille ou pour certaines localisations comme par exemple le cerveau où le contraste tissu sain/tissu pathologique est faible avec ce traceur. Dans le premier cas, la solution viendra de l’amélioration de la capacité de détection des TEP/TDM par les industriels et, dans le second cas, la solution passera par la mise au point de radiopharmaceutiques spécifiques du mélanome. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31608 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Scintigraphie parathyroïdienne dans l’hyperparathyroïdie primitive : quelques considérations récentes / E. Hindié in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 38, n° 3 (2014)
[article]
Titre : Scintigraphie parathyroïdienne dans l’hyperparathyroïdie primitive : quelques considérations récentes Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Hindié, Auteur ; D. Taïeb, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 208-215 Langues : Français (fre) Mots-clés : Scintigraphie Hyperparathyroidie primaire Imagerie medicale Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31609
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 208-215[article] Scintigraphie parathyroïdienne dans l’hyperparathyroïdie primitive : quelques considérations récentes [texte imprimé] / E. Hindié, Auteur ; D. Taïeb, Auteur . - 2014 . - 208-215.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 208-215
Mots-clés : Scintigraphie Hyperparathyroidie primaire Imagerie medicale Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31609 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt TEMP/TDM et TEP/TDM pour les cancers thyroïdiens de souche folliculaire / A.-L. Giraudet in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 38, n° 3 (2014)
[article]
Titre : TEMP/TDM et TEP/TDM pour les cancers thyroïdiens de souche folliculaire Type de document : texte imprimé Auteurs : A.-L. Giraudet, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 179-183 Langues : Français (fre) Mots-clés : temp tdm tep tdm Tumeurs de la thyroïde tep fdg Résumé : Les évolutions technologiques et informatiques sont majeures depuis ces 30 dernières années. Les progrès de l’imagerie en médecine nucléaire permettent une prise en charge thérapeutique de plus en plus personnalisée du patient par la cartographie métabolique établie en scintigraphie à l’iode 131 et/ou au [18F]FDG (FDG). Ainsi, cette imagerie physiologique est-elle intimement liée à la thérapie. En attendant la TEP à l’iode 124, nous obtenons encore beaucoup d’informations avec la scintigraphie à l’iode 131 réalisée au cours de l’irathérapie, et ceci malgré sa mauvaise résolution spatiale. L’imagerie hybride couplant tomoscintigraphie et TDM (TEMP/TDM) dévoile d’importantes informations cachées ou non expliquées sur les acquisitions planaires. La TEP/TDM au FDG ou à l’iode 124 peut aider au diagnostic de récidive. Mais c’est au stade métastatique ou pour les cancers plus agressifs que s’impose la cartographie iode-FDG. Le FDG est la boule de cristal qui écrit le futur de la maladie métastatique. L’iode 131 verra son efficacité d’autant diminuée que la fixation du FDG augmente et la survie du patient s’infléchir. La maladie devenue réfractaire à l’iode relèvera des « thérapies ciblées » aux nombreux effets secondaires très ciblés eux aussi. Nous attendons le selumetinib, un inhibiteur de tyrosine kinase qui fait réapparaître la fixation de l’iode et remet ainsi l’iode 131 au premier rang de l’arsenal thérapeutique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31610
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 179-183[article] TEMP/TDM et TEP/TDM pour les cancers thyroïdiens de souche folliculaire [texte imprimé] / A.-L. Giraudet, Auteur . - 2014 . - 179-183.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 179-183
Mots-clés : temp tdm tep tdm Tumeurs de la thyroïde tep fdg Résumé : Les évolutions technologiques et informatiques sont majeures depuis ces 30 dernières années. Les progrès de l’imagerie en médecine nucléaire permettent une prise en charge thérapeutique de plus en plus personnalisée du patient par la cartographie métabolique établie en scintigraphie à l’iode 131 et/ou au [18F]FDG (FDG). Ainsi, cette imagerie physiologique est-elle intimement liée à la thérapie. En attendant la TEP à l’iode 124, nous obtenons encore beaucoup d’informations avec la scintigraphie à l’iode 131 réalisée au cours de l’irathérapie, et ceci malgré sa mauvaise résolution spatiale. L’imagerie hybride couplant tomoscintigraphie et TDM (TEMP/TDM) dévoile d’importantes informations cachées ou non expliquées sur les acquisitions planaires. La TEP/TDM au FDG ou à l’iode 124 peut aider au diagnostic de récidive. Mais c’est au stade métastatique ou pour les cancers plus agressifs que s’impose la cartographie iode-FDG. Le FDG est la boule de cristal qui écrit le futur de la maladie métastatique. L’iode 131 verra son efficacité d’autant diminuée que la fixation du FDG augmente et la survie du patient s’infléchir. La maladie devenue réfractaire à l’iode relèvera des « thérapies ciblées » aux nombreux effets secondaires très ciblés eux aussi. Nous attendons le selumetinib, un inhibiteur de tyrosine kinase qui fait réapparaître la fixation de l’iode et remet ainsi l’iode 131 au premier rang de l’arsenal thérapeutique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31610 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt TEP intérimaire dans les lymphomes / O. Casanovas in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 38, n° 3 (2014)
[article]
Titre : TEP intérimaire dans les lymphomes Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Casanovas, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 184-187 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lymphome tep TEP intermédiaire Résumé : La TEP au 18-FDG (TEP) effectuée après 2 à 4 cycles de chimiothérapie permet de prédire l’évolution des patients atteints de lymphomes diffus à grandes cellules B (LDGCB) ou de lymphome de Hodgkin (LH). Sur la base de sa valeur pronostique, la TEP intérimaire est actuellement évaluée pour guider la stratégie thérapeutique dans le cadre d’essais pour la plupart toujours en cours. Ainsi, l’enjeu de ces essais est majeur puisque s’ils valident la TEP comme outil permettant d’adapter le traitement au risque de succès ou d’échec, ils sont susceptibles de bouleverser dans la pratique courante la prise en charge de certains des lymphomes les plus fréquemment curables. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31611
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 184-187[article] TEP intérimaire dans les lymphomes [texte imprimé] / O. Casanovas, Auteur . - 2014 . - 184-187.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 184-187
Mots-clés : Lymphome tep TEP intermédiaire Résumé : La TEP au 18-FDG (TEP) effectuée après 2 à 4 cycles de chimiothérapie permet de prédire l’évolution des patients atteints de lymphomes diffus à grandes cellules B (LDGCB) ou de lymphome de Hodgkin (LH). Sur la base de sa valeur pronostique, la TEP intérimaire est actuellement évaluée pour guider la stratégie thérapeutique dans le cadre d’essais pour la plupart toujours en cours. Ainsi, l’enjeu de ces essais est majeur puisque s’ils valident la TEP comme outil permettant d’adapter le traitement au risque de succès ou d’échec, ils sont susceptibles de bouleverser dans la pratique courante la prise en charge de certains des lymphomes les plus fréquemment curables. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31611 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt