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Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
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Cancer Radiothérapie . 25/1Mention de date : Février 2021Paru le : 01/02/2021 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierHypofractionated stereotactic radiotherapy for large brain metastases: Optimizing the dosimetric parameters / L. Brun in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Hypofractionated stereotactic radiotherapy for large brain metastases: Optimizing the dosimetric parameters Titre original : Radiothérapie stéréotaxique hypofractionnée des métastases cérébrales volumineuses : optimisation de la dosimétrie Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Brun ; Guillaume Dupic ; V. Chassin ; E. Chautard ; J. Moreau ; V. Dedieu ; T. Khalil ; J. Biau Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1-7 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.04.011 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : MÉTASTASE CERVEAU radiothérapie stéréotaxique DOSIMÉTRIE Résumé : Objectif de l’étude
La radiothérapie stéréotaxique joue un rôle majeur dans le traitement des métastases cérébrales. L’objectif était de comparer les résultats dosimétriques de quatre planifications de radiothérapie stéréotaxique hypofractionnée pour des métastases cérébrales volumineuses.
Matériel et méthodes
Ont été inclus dix patients traités sur NovalisTx® par irradiation stéréotaxique hypofractionnée en arcthérapie dynamique conformationnelle non coplanaire (ADC) pour une métastase cérébrale≥25mm. Trois autres plans avec modulation d’intensité volumétrique (RCMI) ont été comparés: avec des arcs coplanaires (Eclipse®, Varian, RCMIcEclipse®), des arcs non coplanaires (Elements Cranial SRS®, Brainlab, RCMIncElements®), et des arcs coplanaires et non coplanaires (RCMIncEclipse®). La dose d’enveloppe était 23,1Gy (isodose 70 %) en trois fractions. Le volume moyen du volume tumoral macroscopique (GTV) était 27mm3.
Résultats
Les indices de conformité étaient meilleurs pour les RCMI (1,05 contre 1,28, p<0,05). Les indices de gradient étaient meilleurs avec la RCMIncElements® par rapport à l’ADC (2,43 contre 3,02, p<0,001). Moins de fortes doses délivrées dans le parenchyme cérébral sain ont été observées avec les RCMI (5,6 à 6,3 cc contre 9,4 cc, p<0,001). Moins de faibles doses délivrées (V5Gy, volume recevant 5Gy) ont été observées avec les RCMI non coplanaires par rapport à l’ADC (81 ou 94 cc contre 110 cc, p=0,02).
Conclusion
Les meilleurs résultats dosimétriques de sradiothérapie téréotaxique hypofractionnée en termes de couverture du volume cible et d’épargne du parenchyme cérébral sain à faibles et fortes doses sont obtenus avec les RCMI utilisant des arcs non coplanaires.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69207
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 1-7[article] Hypofractionated stereotactic radiotherapy for large brain metastases: Optimizing the dosimetric parameters = Radiothérapie stéréotaxique hypofractionnée des métastases cérébrales volumineuses : optimisation de la dosimétrie [texte imprimé] / L. Brun ; Guillaume Dupic ; V. Chassin ; E. Chautard ; J. Moreau ; V. Dedieu ; T. Khalil ; J. Biau . - 2021 . - p. 1-7.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.04.011
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 1-7
Mots-clés : MÉTASTASE CERVEAU radiothérapie stéréotaxique DOSIMÉTRIE Résumé : Objectif de l’étude
La radiothérapie stéréotaxique joue un rôle majeur dans le traitement des métastases cérébrales. L’objectif était de comparer les résultats dosimétriques de quatre planifications de radiothérapie stéréotaxique hypofractionnée pour des métastases cérébrales volumineuses.
Matériel et méthodes
Ont été inclus dix patients traités sur NovalisTx® par irradiation stéréotaxique hypofractionnée en arcthérapie dynamique conformationnelle non coplanaire (ADC) pour une métastase cérébrale≥25mm. Trois autres plans avec modulation d’intensité volumétrique (RCMI) ont été comparés: avec des arcs coplanaires (Eclipse®, Varian, RCMIcEclipse®), des arcs non coplanaires (Elements Cranial SRS®, Brainlab, RCMIncElements®), et des arcs coplanaires et non coplanaires (RCMIncEclipse®). La dose d’enveloppe était 23,1Gy (isodose 70 %) en trois fractions. Le volume moyen du volume tumoral macroscopique (GTV) était 27mm3.
Résultats
Les indices de conformité étaient meilleurs pour les RCMI (1,05 contre 1,28, p<0,05). Les indices de gradient étaient meilleurs avec la RCMIncElements® par rapport à l’ADC (2,43 contre 3,02, p<0,001). Moins de fortes doses délivrées dans le parenchyme cérébral sain ont été observées avec les RCMI (5,6 à 6,3 cc contre 9,4 cc, p<0,001). Moins de faibles doses délivrées (V5Gy, volume recevant 5Gy) ont été observées avec les RCMI non coplanaires par rapport à l’ADC (81 ou 94 cc contre 110 cc, p=0,02).
Conclusion
Les meilleurs résultats dosimétriques de sradiothérapie téréotaxique hypofractionnée en termes de couverture du volume cible et d’épargne du parenchyme cérébral sain à faibles et fortes doses sont obtenus avec les RCMI utilisant des arcs non coplanaires.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69207 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Myths, facts and scope of spinal cord tolerance dose revision in Intensity modulated SIB treatment of locally advanced head and neck cancer: A dosimetrical and radiobiological demonstration / G. Patel in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Myths, facts and scope of spinal cord tolerance dose revision in Intensity modulated SIB treatment of locally advanced head and neck cancer: A dosimetrical and radiobiological demonstration Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Patel ; A. Mandal ; S. Choudhary ; R. Mishra ; U. Shahi ; H. Mishra Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 8-12 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.015 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Dose de tolérance de la moelle épinière SIB Cancer de la tête et du cou Dose efficace biologique (BED) Probabilité de contrôle des tumeurs (TCP) Résumé : Objectif de l’étude
Explorer la possibilité de réviser la dose de tolérance de la moelle épinière dans le plan de traitement modulé en intensité SIB (Simultaneous-integrated boost) des cancers de la tête et du cou (H&N) localement évolués et évaluer le gain de planification atteint grâce à la révision. Dans le schéma SIB, la dose de tolérance des organes à risque (OAR) est également répartie tout au long du traitement. Les cliniciens ont généralement considéré que la tolérance de la moelle épinière était la même que dans la technique classique. Cependant, dans le régime de fractionnement SIB, la moelle épinière peut recevoir une dose physique de 45Gy, avec une dose beaucoup plus faible par fraction que 2Gy. Ainsi, lorsque la dose de moelle épinière est répartie tout au long du traitement, la limite de dose de tolérance de la dose physique peut être considérée comme supérieure aux limites de dose classiques. Dans cette étude, une tentative a été faite pour explorer les possibilités d’augmentation de la dose et les avantages de la planification du traitement tout en exploitant cette «fenêtre d’opportunité (WoO)» d’augmentation de la moelle épinière et de la dose de tolérance de la moelle épinière de Planning oragan at Risk Volume (PRV).
Matériel et méthodes
Les données de 12 patients atteints d’un cancer de la tête et du cou pnt été utilisées pour la planification. Trois plans d’arthérapie volumétrique modulée (SIB VMAT) indépendants nommés SPC, SPR et SPDE ont été générés pour les 12 patients. Un premier plan (RCP) a été généré en considérant la contrainte tissulaire standard de la moelle épinière d’une dose maximale de 45Gy et in PRV maximal de la moelle épinière de 50Gy selon le QUANTEC (Quantitative Analyses of Normal Tissue Effects in the Clinic) et un deuxième (SPR) en tenant compte de la contrainte tissulaire de la moelle épinière d’une dose maximale de 52,50Gy et in PRV maximal de moelle épinière de 56,35Gy lors de l’optimisation et du calcul de la dose. Les objectifs pour le reste de l’organe à risque (OAR) sont restés les mêmes dans les deux plans pendant l’optimisation et le calcul de la dose. Le plan SPC a été copié pour la création du troisième plan (SPDE) dans lequel la dose a été augmentée en augmentant la dose par fraction pour les volumes cibles de telle sorte que la dose à la moelle épinière atteigne un maximum de 52,50Gy et un PRV maximum de la moelle épinière de 56,35Gy. Dans ce plan, des modifications ont été apportées à la seule dose par fraction, mais l’optimisation de la dose et le calcul de la dose n’ont pas été effectués. Les paramètres radiobiologiques TCP (tumor control probability) et NTCP (normal tissue complication probability) ont également été calculés en utilisant un logiciel développé localement.
Résultats
En considérant l’augmentation de la dose de tolérance de la moelle épinière comme une «fenêtre d’opportunité», une augmentation suffisante de la dose physique, la dose efficace biologique (BED) et la probabilité de contrôle des tumeurs (TCP) ont été observées pour tous les volumes cibles avec un niveau acceptable de NTCP.
Conclusion
Une augmentation suffisante de la dose et une augmentation de la TCP pour les volumes cibles ou des avantages de planification efficaces peuvent être obtenues en révisant la dose de tolérance de la moelle épinière dans le VMAT SIB des cancers de la tête et du cou ocalement évolués.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69208
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 8-12[article] Myths, facts and scope of spinal cord tolerance dose revision in Intensity modulated SIB treatment of locally advanced head and neck cancer: A dosimetrical and radiobiological demonstration [texte imprimé] / G. Patel ; A. Mandal ; S. Choudhary ; R. Mishra ; U. Shahi ; H. Mishra . - 2021 . - p. 8-12.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.015
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 8-12
Mots-clés : Dose de tolérance de la moelle épinière SIB Cancer de la tête et du cou Dose efficace biologique (BED) Probabilité de contrôle des tumeurs (TCP) Résumé : Objectif de l’étude
Explorer la possibilité de réviser la dose de tolérance de la moelle épinière dans le plan de traitement modulé en intensité SIB (Simultaneous-integrated boost) des cancers de la tête et du cou (H&N) localement évolués et évaluer le gain de planification atteint grâce à la révision. Dans le schéma SIB, la dose de tolérance des organes à risque (OAR) est également répartie tout au long du traitement. Les cliniciens ont généralement considéré que la tolérance de la moelle épinière était la même que dans la technique classique. Cependant, dans le régime de fractionnement SIB, la moelle épinière peut recevoir une dose physique de 45Gy, avec une dose beaucoup plus faible par fraction que 2Gy. Ainsi, lorsque la dose de moelle épinière est répartie tout au long du traitement, la limite de dose de tolérance de la dose physique peut être considérée comme supérieure aux limites de dose classiques. Dans cette étude, une tentative a été faite pour explorer les possibilités d’augmentation de la dose et les avantages de la planification du traitement tout en exploitant cette «fenêtre d’opportunité (WoO)» d’augmentation de la moelle épinière et de la dose de tolérance de la moelle épinière de Planning oragan at Risk Volume (PRV).
Matériel et méthodes
Les données de 12 patients atteints d’un cancer de la tête et du cou pnt été utilisées pour la planification. Trois plans d’arthérapie volumétrique modulée (SIB VMAT) indépendants nommés SPC, SPR et SPDE ont été générés pour les 12 patients. Un premier plan (RCP) a été généré en considérant la contrainte tissulaire standard de la moelle épinière d’une dose maximale de 45Gy et in PRV maximal de la moelle épinière de 50Gy selon le QUANTEC (Quantitative Analyses of Normal Tissue Effects in the Clinic) et un deuxième (SPR) en tenant compte de la contrainte tissulaire de la moelle épinière d’une dose maximale de 52,50Gy et in PRV maximal de moelle épinière de 56,35Gy lors de l’optimisation et du calcul de la dose. Les objectifs pour le reste de l’organe à risque (OAR) sont restés les mêmes dans les deux plans pendant l’optimisation et le calcul de la dose. Le plan SPC a été copié pour la création du troisième plan (SPDE) dans lequel la dose a été augmentée en augmentant la dose par fraction pour les volumes cibles de telle sorte que la dose à la moelle épinière atteigne un maximum de 52,50Gy et un PRV maximum de la moelle épinière de 56,35Gy. Dans ce plan, des modifications ont été apportées à la seule dose par fraction, mais l’optimisation de la dose et le calcul de la dose n’ont pas été effectués. Les paramètres radiobiologiques TCP (tumor control probability) et NTCP (normal tissue complication probability) ont également été calculés en utilisant un logiciel développé localement.
Résultats
En considérant l’augmentation de la dose de tolérance de la moelle épinière comme une «fenêtre d’opportunité», une augmentation suffisante de la dose physique, la dose efficace biologique (BED) et la probabilité de contrôle des tumeurs (TCP) ont été observées pour tous les volumes cibles avec un niveau acceptable de NTCP.
Conclusion
Une augmentation suffisante de la dose et une augmentation de la TCP pour les volumes cibles ou des avantages de planification efficaces peuvent être obtenues en révisant la dose de tolérance de la moelle épinière dans le VMAT SIB des cancers de la tête et du cou ocalement évolués.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69208 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Evaluating cardiac substructure radiation exposure in breast rotational intensity modulated radiation therapy: Effects of cancer laterality, fractionation and deep inspiration breath-hold / Pierre Loap in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Evaluating cardiac substructure radiation exposure in breast rotational intensity modulated radiation therapy: Effects of cancer laterality, fractionation and deep inspiration breath-hold Titre original : Évaluation dosimétrique de l’exposition aux radiations des sous-structures cardiaques lors de la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle mammaire: influence de la latéralité, du fractionnement et du blocage de l’inspiration Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Loap ; Y. Kirova Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 13-20 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.016 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : SEIN CANCER COEUR STRUCTURE Inspiration bloquée Radiothérapie conformationnelle avec modulation d'intensité Résumé : Introduction
La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle prend une place grandissante dans la radiothérapie mammaire en raison de sa capacité à pouvoir épargner les organes à risques tout en assurant une couverture homogène des volumes cibles. Cette étude avait pour objectif d’évaluer l’exposition aux radiations des sous-structures cardiaques lors du traitement de cancers mammaires par irradiation conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle, en évaluant l’influence du côté de la tumeur, du fractionnement utilisé et du blocage de l’inspiration lors du traitement.
Matériel et méthodes
L’ensemble des sous-structures cardiaques ont été délinéées selon les recommandations de la Société Européenne de Radiothérapie et d’Oncologie (ESTRO) pour 44 patientes prises en charge pour un cancer du sein par chirurgie conservative et radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle adjuvante. Les volumes cibles étaient le sein avec un complément d’irrasiation dans le lit tumoral, les ganglions axillaires et mammaires internes. Les irradiations ont été réalisées soit en respiration libre ou en inspiration bloquée. Les doses moyennes et maximales délivrées dans les sous-structures cardiaques ont été analysées. Les coefficients de corrélation entre les doses d’irradiation moyennes reçues par les sous-structures cardiaques ont été évalués.
Résultats
Les niveaux d’exposition des sous-structures cardiaques étaient différents selon la latéralité de l’irradiation, malgré des doses moyennes dans le cœur équivalentes : 7,21Gy pour les cancers du sein gauches, 6,28Gy pour les cancers du sein droit. La technique de traitement en inspiration bloquée diminuait significativement les doses moyennes d’irradiation pour pratiquement toutes les sous-structures cardiaques, mais ne réduisait pas la dose maximale dans les artères coronaires. Les corrélations entre les doses moyennes dans les différentes sous-structures cardiaques étaient globalement modestes.
Conclusion
Malgré des doses moyennes dans le cœur comparables, le niveau d’exposition des différentes sous-structures cardiaques pour la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle mammaire dépendait fortement du côté du sein irradié, ce qui pourrait se traduire à long terme par des évènements indésirables cardiaques tardifs différents. Le bénéfice dosimétrique du blocage de l’inspiration était variable selon les sous-structures cardiaques. Les doses moyenne et maximale dans l’ensemble du cœur ne permettaient donc probablement pas à elles seules d’évaluer précisément l’exposition cardiaque pour la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle mammaire. Les sous-structures cardiaques pourraient donc être considérées lors de la planification du traitement, que ce soit en routine ou en recherche clinique, notamment lorsque des outils informatiques d’autosegmentation cardiaque fiables seront disponibles.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69209
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 13-20[article] Evaluating cardiac substructure radiation exposure in breast rotational intensity modulated radiation therapy: Effects of cancer laterality, fractionation and deep inspiration breath-hold = Évaluation dosimétrique de l’exposition aux radiations des sous-structures cardiaques lors de la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle mammaire: influence de la latéralité, du fractionnement et du blocage de l’inspiration [texte imprimé] / Pierre Loap ; Y. Kirova . - 2021 . - p. 13-20.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.016
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 13-20
Mots-clés : SEIN CANCER COEUR STRUCTURE Inspiration bloquée Radiothérapie conformationnelle avec modulation d'intensité Résumé : Introduction
La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle prend une place grandissante dans la radiothérapie mammaire en raison de sa capacité à pouvoir épargner les organes à risques tout en assurant une couverture homogène des volumes cibles. Cette étude avait pour objectif d’évaluer l’exposition aux radiations des sous-structures cardiaques lors du traitement de cancers mammaires par irradiation conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle, en évaluant l’influence du côté de la tumeur, du fractionnement utilisé et du blocage de l’inspiration lors du traitement.
Matériel et méthodes
L’ensemble des sous-structures cardiaques ont été délinéées selon les recommandations de la Société Européenne de Radiothérapie et d’Oncologie (ESTRO) pour 44 patientes prises en charge pour un cancer du sein par chirurgie conservative et radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle adjuvante. Les volumes cibles étaient le sein avec un complément d’irrasiation dans le lit tumoral, les ganglions axillaires et mammaires internes. Les irradiations ont été réalisées soit en respiration libre ou en inspiration bloquée. Les doses moyennes et maximales délivrées dans les sous-structures cardiaques ont été analysées. Les coefficients de corrélation entre les doses d’irradiation moyennes reçues par les sous-structures cardiaques ont été évalués.
Résultats
Les niveaux d’exposition des sous-structures cardiaques étaient différents selon la latéralité de l’irradiation, malgré des doses moyennes dans le cœur équivalentes : 7,21Gy pour les cancers du sein gauches, 6,28Gy pour les cancers du sein droit. La technique de traitement en inspiration bloquée diminuait significativement les doses moyennes d’irradiation pour pratiquement toutes les sous-structures cardiaques, mais ne réduisait pas la dose maximale dans les artères coronaires. Les corrélations entre les doses moyennes dans les différentes sous-structures cardiaques étaient globalement modestes.
Conclusion
Malgré des doses moyennes dans le cœur comparables, le niveau d’exposition des différentes sous-structures cardiaques pour la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle mammaire dépendait fortement du côté du sein irradié, ce qui pourrait se traduire à long terme par des évènements indésirables cardiaques tardifs différents. Le bénéfice dosimétrique du blocage de l’inspiration était variable selon les sous-structures cardiaques. Les doses moyenne et maximale dans l’ensemble du cœur ne permettaient donc probablement pas à elles seules d’évaluer précisément l’exposition cardiaque pour la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle mammaire. Les sous-structures cardiaques pourraient donc être considérées lors de la planification du traitement, que ce soit en routine ou en recherche clinique, notamment lorsque des outils informatiques d’autosegmentation cardiaque fiables seront disponibles.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69209 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Cardiac radiation-induced sarcomas: A SEER population-based study and a literature review / Pierre Loap in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Cardiac radiation-induced sarcomas: A SEER population-based study and a literature review Titre original : Les sarcomes cardiaques radio-induits : étude épidémiologique à partir du registre SEER et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Loap ; A. Fourquet ; Y. Kirova Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 21-25 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.019 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Sarcome cardiaque radio-induit Cardiotoxicité Résumé : Objectif de l'étude
L'objetif de cette étude est d’évaluer les caractéristiques cliniques et épidémiologiques des sarcomes cardiaques radio-induits.
Matériel et méthode
Les données du programme SEER (Surveillance, epidemiology, and end results), le plus grand registre de cancers des États-Unis, ont été analysées pour identifier l’ensemble des sarcomes cardiaques radio-induits entre 1973 et 2015, en se basant sur les critères d’identification des sarcomes radio-induits énoncés par Cahan en 1948 et modifiés par le centre de cancérologie du Memorial Sloan–Kettering Cancer Center.
Résultats
Quatre cent quarante-huit patients atteints de sarcome cardiaque ont été identifiés parmi les 8 136 951 patients du registre SEER. Parmi ces 448 sarcomes cardiaques, nous avons identifié deux sarcomes cardiaques radio-induits : un rhabdomyosarcome cardiaque métastatique survenu 1 à 2 ans après la radiothérapie d’un carcinome pulmonaire du lobe moyen et un sarcome des tissus mous (d’histologie non spécifiée) survenu 6 ans après la radiothérapie d’un cancer du sein gauche agressif. D’après ces observations, nous avons estimé que les sarcomes cardiaques radio-induits représentaient environ 0,4 % (intervalle de confiance à 95 % 0,1 %–1,6 %) des sarcomes cardiaques. Une revue de la littérature a retrouvé trois autres cas de sarcomes cardiaques radio-induits.
Conclusion
Les sarcomes cardiaques radio-induits représentent une entité particulièrement rare, mais de très mauvais pronostic. Les deux histologies rapportées à ce jour sont les angiosarcomes et les rhabdomyosarcomes qui tendraient à être sur-représentés parmi les sarcomes cardiaques radio-induits. Une évolution métastatique est possible pour les rhabdomyosarcomes cardiaques radio-induits. Lorsqu’elle est possible, la chirurgie est une option thérapeutique; il s’agit de la seule modalité de traitement spécifique rapportée jusqu’à ce jour dans cette situation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69210
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 21-25[article] Cardiac radiation-induced sarcomas: A SEER population-based study and a literature review = Les sarcomes cardiaques radio-induits : étude épidémiologique à partir du registre SEER et revue de la littérature [texte imprimé] / Pierre Loap ; A. Fourquet ; Y. Kirova . - 2021 . - p. 21-25.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.019
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 21-25
Mots-clés : Sarcome cardiaque radio-induit Cardiotoxicité Résumé : Objectif de l'étude
L'objetif de cette étude est d’évaluer les caractéristiques cliniques et épidémiologiques des sarcomes cardiaques radio-induits.
Matériel et méthode
Les données du programme SEER (Surveillance, epidemiology, and end results), le plus grand registre de cancers des États-Unis, ont été analysées pour identifier l’ensemble des sarcomes cardiaques radio-induits entre 1973 et 2015, en se basant sur les critères d’identification des sarcomes radio-induits énoncés par Cahan en 1948 et modifiés par le centre de cancérologie du Memorial Sloan–Kettering Cancer Center.
Résultats
Quatre cent quarante-huit patients atteints de sarcome cardiaque ont été identifiés parmi les 8 136 951 patients du registre SEER. Parmi ces 448 sarcomes cardiaques, nous avons identifié deux sarcomes cardiaques radio-induits : un rhabdomyosarcome cardiaque métastatique survenu 1 à 2 ans après la radiothérapie d’un carcinome pulmonaire du lobe moyen et un sarcome des tissus mous (d’histologie non spécifiée) survenu 6 ans après la radiothérapie d’un cancer du sein gauche agressif. D’après ces observations, nous avons estimé que les sarcomes cardiaques radio-induits représentaient environ 0,4 % (intervalle de confiance à 95 % 0,1 %–1,6 %) des sarcomes cardiaques. Une revue de la littérature a retrouvé trois autres cas de sarcomes cardiaques radio-induits.
Conclusion
Les sarcomes cardiaques radio-induits représentent une entité particulièrement rare, mais de très mauvais pronostic. Les deux histologies rapportées à ce jour sont les angiosarcomes et les rhabdomyosarcomes qui tendraient à être sur-représentés parmi les sarcomes cardiaques radio-induits. Une évolution métastatique est possible pour les rhabdomyosarcomes cardiaques radio-induits. Lorsqu’elle est possible, la chirurgie est une option thérapeutique; il s’agit de la seule modalité de traitement spécifique rapportée jusqu’à ce jour dans cette situation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69210 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Cancers et métastases bronchiques traités par irradiation stéréotaxique pulmonaire : évaluation de la pertinence de réalisation de trois scanographies quadridimensionnelles par la technique RPM / M. Khadige in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Cancers et métastases bronchiques traités par irradiation stéréotaxique pulmonaire : évaluation de la pertinence de réalisation de trois scanographies quadridimensionnelles par la technique RPM Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Khadige ; D. Peiffert ; I. Buchheit ; J. Salleron ; K. Peignaux-Casasnovas ; F. Bidault ; E. Martin Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 26-31 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Technique RPM Scanner 4D ITV CBCT Radiothérapie stéréotaxique BRONCHE CANCER MÉTASTASE Résumé : Objectif de l’étude
La radiothérapie stéréotaxique pulmonaire est réalisée dans l’équipe du centre Georges-François-Leclerc (CGFL) à Dijon depuis 2008 sur un accélérateur Truebeam® (Varian®) avec la technique RPM.
Matériels et méthodes
Cinquante patients atteints d’un cancer bronchique primitif de stade T1–T2 (n=30) ou une métastase bronchique (n=20) ont été inclus dans l’étude. Depuis 2014, trois scanographies quadridimensionnelles successives à j1, j2 et j3, sont réalisées afin de s’assurer de la reproductibilité des ITV (Internet Target Volume). Les trois ITV sont délinéés (ITV 1,2 et 3) à partir de la MIP (Maximum Intensity Projection) de chacune des trois scanographies. Un ITV global est créé à partir des ITV des trois scanographies (fusion des MIP2 et 3 avec la MIP1). Une CBCT (Cone Beam Computerised Tomography) est réalisée au début de chaque séance d’irradiation pour positionner le patient. L’étude consistait à analyser la pertinence de la réalisation de trois scanographies différentes avant la dosimétrie pour définir l’ITV et à comparer les volumes délinéés sur les différentes CBCT à l’ITV pour s’assurer que le volume tumoral est bien inclus dans l’ITV au cours des séances.
Résultats
Il existe une forte corrélation entre les différents ITV 1, 2, 3 et global, ainsi qu’entre les volumes obtenus sur les différentes CBCT (p=0,977). Le coefficient de corrélation entre les différents ITV et les volumes délinéés sur CBCT était élevé pour les lésions lobaires supérieures. En termes de tolérance, le VEMS (volume maximal expiré pendant la première seconde) ne semblait pas être un facteur significatif influant sur la corrélation entre les ITV et les volumes délinées sur CBCT.
Conclusion
La réalisation d’une seule scanographie de centrage quadridimensionnelle est suffisante pour envisager une irradiation stéréotaxique pulmonaire, quelle que soit la localisation des lésions pulmonaires. Le coefficient de corrélation entre les ITV et les CBCT était élevé pour les lésions lobaires supérieures.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69251
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 26-31[article] Cancers et métastases bronchiques traités par irradiation stéréotaxique pulmonaire : évaluation de la pertinence de réalisation de trois scanographies quadridimensionnelles par la technique RPM [texte imprimé] / M. Khadige ; D. Peiffert ; I. Buchheit ; J. Salleron ; K. Peignaux-Casasnovas ; F. Bidault ; E. Martin . - 2021 . - p. 26-31.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.022
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 26-31
Mots-clés : Technique RPM Scanner 4D ITV CBCT Radiothérapie stéréotaxique BRONCHE CANCER MÉTASTASE Résumé : Objectif de l’étude
La radiothérapie stéréotaxique pulmonaire est réalisée dans l’équipe du centre Georges-François-Leclerc (CGFL) à Dijon depuis 2008 sur un accélérateur Truebeam® (Varian®) avec la technique RPM.
Matériels et méthodes
Cinquante patients atteints d’un cancer bronchique primitif de stade T1–T2 (n=30) ou une métastase bronchique (n=20) ont été inclus dans l’étude. Depuis 2014, trois scanographies quadridimensionnelles successives à j1, j2 et j3, sont réalisées afin de s’assurer de la reproductibilité des ITV (Internet Target Volume). Les trois ITV sont délinéés (ITV 1,2 et 3) à partir de la MIP (Maximum Intensity Projection) de chacune des trois scanographies. Un ITV global est créé à partir des ITV des trois scanographies (fusion des MIP2 et 3 avec la MIP1). Une CBCT (Cone Beam Computerised Tomography) est réalisée au début de chaque séance d’irradiation pour positionner le patient. L’étude consistait à analyser la pertinence de la réalisation de trois scanographies différentes avant la dosimétrie pour définir l’ITV et à comparer les volumes délinéés sur les différentes CBCT à l’ITV pour s’assurer que le volume tumoral est bien inclus dans l’ITV au cours des séances.
Résultats
Il existe une forte corrélation entre les différents ITV 1, 2, 3 et global, ainsi qu’entre les volumes obtenus sur les différentes CBCT (p=0,977). Le coefficient de corrélation entre les différents ITV et les volumes délinéés sur CBCT était élevé pour les lésions lobaires supérieures. En termes de tolérance, le VEMS (volume maximal expiré pendant la première seconde) ne semblait pas être un facteur significatif influant sur la corrélation entre les ITV et les volumes délinées sur CBCT.
Conclusion
La réalisation d’une seule scanographie de centrage quadridimensionnelle est suffisante pour envisager une irradiation stéréotaxique pulmonaire, quelle que soit la localisation des lésions pulmonaires. Le coefficient de corrélation entre les ITV et les CBCT était élevé pour les lésions lobaires supérieures.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69251 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Clinical and dosimetric impact of totally implantable venous access devices in radiotherapy of supra diaphragmatic Hodgkin Lymphoma / M. Laurans in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Clinical and dosimetric impact of totally implantable venous access devices in radiotherapy of supra diaphragmatic Hodgkin Lymphoma Titre original : Impact clinique et dosimétrique des dispositifs veineux implantable dans l'irradiation des lymphomes de Hodgkin sus-diaphragmatiques Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Laurans ; K. Kirov ; E. Costa ; D. Lefebvre ; Y.M. Kirova Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 32-38 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.025 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Radiothérapie Tomothérapie Port-à-cath Dispositif veineux implantable Atténuation Photons Électrons Films dosimétriques Lymphome de Hodgkin Résumé : Objectif de l’étude
Évaluer l’atténuation des Port-à-cath (PAC) et leur impact dosimétrique et clinique chez les patients traités pour des lymphomes.
Matériel et méthode
La première partie de cette étude consiste en une approche in vitro par l’irradiation de Port-à-cath par des faisceaux de photons et d’électrons de différentes énergies utilisées en clinique. Les données d’atténuation mesurées ont été comparées aux données calculées par le logiciel de planification de traitement utilisé en pratique quotidienne. Puis tous les patients irradiés pour un lymphome de Hodgkin de stade limité dont le Port-à-cath se projetait sur les zones irradiées ont été étudiés et leur devenir clinique ainsi que leur données dosimétriques ont été rapportées en utilisant différents marqueurs de qualité. Tous ont été pris en charge soit par radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle (RTC3D) soit par tomothérapie.
Résultats
Dix-neuf patients traités pour des LH de stade I–III ont été étudiés. Sept ont été traités uniquement du côté du Port-à-cath et 12 bilatéralement. La dose de prescription médiane était de 30Gy. Aucune différence clinique ou dosimétrique n’a pu être mise en évidence entre le côté du Port-à-cath et le côté controlatéral chez les patients traités bilatéralement. La tomothérapie a montré un indice de conformité significativement supérieur (p<0,0022) et une irradiation des tissus sains (healthy tissue coverage) significativement plus faible (p=0,0008) que la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle. Les atténuations observées étaient, pour les faisceaux d’électron, de 79 % (6 MeV), 59 % (9 MeV), et 46 % (12 MeV) et pour les faisceaux de photons, 9 % (4 MV), 8 % (6 MV), 5 % (10 MV et 15 MV) et 3 % (20 MV).
Conclusion
Les Port-à-caths sont responsables d’une atténuation significative des faisceaux d’électrons. L’utilisation de faisceaux de photons de haute énergie ou de la tomothérapie par création d’une zone d’exclusion permet de contourner cette difficulté.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69252
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 32-38[article] Clinical and dosimetric impact of totally implantable venous access devices in radiotherapy of supra diaphragmatic Hodgkin Lymphoma = Impact clinique et dosimétrique des dispositifs veineux implantable dans l'irradiation des lymphomes de Hodgkin sus-diaphragmatiques [texte imprimé] / M. Laurans ; K. Kirov ; E. Costa ; D. Lefebvre ; Y.M. Kirova . - 2021 . - p. 32-38.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.025
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 32-38
Mots-clés : Radiothérapie Tomothérapie Port-à-cath Dispositif veineux implantable Atténuation Photons Électrons Films dosimétriques Lymphome de Hodgkin Résumé : Objectif de l’étude
Évaluer l’atténuation des Port-à-cath (PAC) et leur impact dosimétrique et clinique chez les patients traités pour des lymphomes.
Matériel et méthode
La première partie de cette étude consiste en une approche in vitro par l’irradiation de Port-à-cath par des faisceaux de photons et d’électrons de différentes énergies utilisées en clinique. Les données d’atténuation mesurées ont été comparées aux données calculées par le logiciel de planification de traitement utilisé en pratique quotidienne. Puis tous les patients irradiés pour un lymphome de Hodgkin de stade limité dont le Port-à-cath se projetait sur les zones irradiées ont été étudiés et leur devenir clinique ainsi que leur données dosimétriques ont été rapportées en utilisant différents marqueurs de qualité. Tous ont été pris en charge soit par radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle (RTC3D) soit par tomothérapie.
Résultats
Dix-neuf patients traités pour des LH de stade I–III ont été étudiés. Sept ont été traités uniquement du côté du Port-à-cath et 12 bilatéralement. La dose de prescription médiane était de 30Gy. Aucune différence clinique ou dosimétrique n’a pu être mise en évidence entre le côté du Port-à-cath et le côté controlatéral chez les patients traités bilatéralement. La tomothérapie a montré un indice de conformité significativement supérieur (p<0,0022) et une irradiation des tissus sains (healthy tissue coverage) significativement plus faible (p=0,0008) que la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle. Les atténuations observées étaient, pour les faisceaux d’électron, de 79 % (6 MeV), 59 % (9 MeV), et 46 % (12 MeV) et pour les faisceaux de photons, 9 % (4 MV), 8 % (6 MV), 5 % (10 MV et 15 MV) et 3 % (20 MV).
Conclusion
Les Port-à-caths sont responsables d’une atténuation significative des faisceaux d’électrons. L’utilisation de faisceaux de photons de haute énergie ou de la tomothérapie par création d’une zone d’exclusion permet de contourner cette difficulté.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69252 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt A comparison between raltitrexed plus cisplatin and docetaxel plus cisplatin in concurrent chemoradiation for non-surgical esophageal squamous cell carcinoma / Xiaojie Xia in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : A comparison between raltitrexed plus cisplatin and docetaxel plus cisplatin in concurrent chemoradiation for non-surgical esophageal squamous cell carcinoma Titre original : Comparaison entre l’association raltitrexed-cisplatine et docétaxel-cisplatine en chimioradiothérapie concomitante pour le carcinome épidermoïde de l’œsophage non chirurgical Type de document : texte imprimé Auteurs : Xiaojie Xia ; Zeyuan Liu ; B. Cai ; X. Di ; Xinchen Sun ; X. Ge Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 39-44 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.029 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : OESOPHAGE CANCER Chimioradiation Raltitrexed Docetaxel Analyse de survie Résumé : Objectif de l’étude
La chimioradiothérapie est considérée comme un traitement standard pour les patients atteints d’un cancer de l’œsophage non résécable et inopérable. Toutefois, il n’y a pas de consensus sur le schéma optimal de chimiothérapie synchrone ni sur la meilleure combinaison de radiothérapie et de chimiothérapie. Cette étude avait pour objectif l’évaluation de l’efficacité et de la toxicité de l’association raltitrexed-cisplatine et celle docétaxel-cisplatine afin de trouver un schéma de chimiothérapie concomitante sûr et efficace.
Patients et méthodes
Notre étude rétrospective a inclus 151 patients atteints du cancer de l’œsophage traités avec du raltitrexed et du cisplatine (RP) (n=90) ou du docétaxel et du cisplatine (DP) (n=61) de 2011 à 2018. La survie et la toxicité liée au traitement ont été analysées entre les deux groupes.
Résultats
La survie sans progression et la survie globale étaient de 18 et 34 mois dans le groupe RP, contre 13 et 20 mois dans le groupe DP (p=0,118 et p=0,270). Les taux de survie du groupe RP sur des périodes de 1, 2 et 3 ans étaient de 71,1, 55,4 et 46,4 %. Pour le groupe DP, ils étaient respectivement de 63,9, 44,3 et 37,6 %. Par rapport au groupe DP, le groupe RP a bénéficié d’un taux de RC supérieur (68,9 % contre 52,5 %, p=0,041). Il y avait une tendance à un moindre nombre total de réactions toxiques dans le groupe RP par rapport au groupe DP (p=0,058).
Conclusions
Les résultats de survie et la toxicité des groupes RP et DP sont similaires: l’association raltitrexed/cisplatine présente un taux de réponse complète plus élevé. Les résultats de notre étude démontrent que l’association raltitrexed-cisplatine est un schéma de chimiothérapie concomitante sûr et efficace et qu’il pourrait être utilisé comme alternative au cisplatine/5-fluoro-uracile et au cisplatine/docetaxel dans les cas de chimioradiothérapie concomitante chez les patients atteints du cancer de l’œsophage.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69253
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 39-44[article] A comparison between raltitrexed plus cisplatin and docetaxel plus cisplatin in concurrent chemoradiation for non-surgical esophageal squamous cell carcinoma = Comparaison entre l’association raltitrexed-cisplatine et docétaxel-cisplatine en chimioradiothérapie concomitante pour le carcinome épidermoïde de l’œsophage non chirurgical [texte imprimé] / Xiaojie Xia ; Zeyuan Liu ; B. Cai ; X. Di ; Xinchen Sun ; X. Ge . - 2021 . - p. 39-44.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.029
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 39-44
Mots-clés : OESOPHAGE CANCER Chimioradiation Raltitrexed Docetaxel Analyse de survie Résumé : Objectif de l’étude
La chimioradiothérapie est considérée comme un traitement standard pour les patients atteints d’un cancer de l’œsophage non résécable et inopérable. Toutefois, il n’y a pas de consensus sur le schéma optimal de chimiothérapie synchrone ni sur la meilleure combinaison de radiothérapie et de chimiothérapie. Cette étude avait pour objectif l’évaluation de l’efficacité et de la toxicité de l’association raltitrexed-cisplatine et celle docétaxel-cisplatine afin de trouver un schéma de chimiothérapie concomitante sûr et efficace.
Patients et méthodes
Notre étude rétrospective a inclus 151 patients atteints du cancer de l’œsophage traités avec du raltitrexed et du cisplatine (RP) (n=90) ou du docétaxel et du cisplatine (DP) (n=61) de 2011 à 2018. La survie et la toxicité liée au traitement ont été analysées entre les deux groupes.
Résultats
La survie sans progression et la survie globale étaient de 18 et 34 mois dans le groupe RP, contre 13 et 20 mois dans le groupe DP (p=0,118 et p=0,270). Les taux de survie du groupe RP sur des périodes de 1, 2 et 3 ans étaient de 71,1, 55,4 et 46,4 %. Pour le groupe DP, ils étaient respectivement de 63,9, 44,3 et 37,6 %. Par rapport au groupe DP, le groupe RP a bénéficié d’un taux de RC supérieur (68,9 % contre 52,5 %, p=0,041). Il y avait une tendance à un moindre nombre total de réactions toxiques dans le groupe RP par rapport au groupe DP (p=0,058).
Conclusions
Les résultats de survie et la toxicité des groupes RP et DP sont similaires: l’association raltitrexed/cisplatine présente un taux de réponse complète plus élevé. Les résultats de notre étude démontrent que l’association raltitrexed-cisplatine est un schéma de chimiothérapie concomitante sûr et efficace et qu’il pourrait être utilisé comme alternative au cisplatine/5-fluoro-uracile et au cisplatine/docetaxel dans les cas de chimioradiothérapie concomitante chez les patients atteints du cancer de l’œsophage.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69253 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt La téléconsultation pour le suivi après radiothérapie du cancer de la prostate : une place à l'innovation numérique en cancérologie / L. Suc in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : La téléconsultation pour le suivi après radiothérapie du cancer de la prostate : une place à l'innovation numérique en cancérologie Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Suc ; E. Daguenet ; S. Louati ; M. Gras ; J. Langrand-Escure ; S. Sotton ; Nicolas Magné Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 45-50 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.038 Langues : Français (fre) Mots-clés : TÉLÉCONSULTATION SURVEILLANCE PROSTATE CANCER Suivi postradiothérapie Résumé : Objectifs de l’étude
La consultation annuelle de suivi après la radiothérapie d’un cancer de la prostate se résume en un entretien oral avec un oncologue radiothérapeute. L’objectif de ce travail était de sonder la population cible sur ses connaissances et perceptions de la téléconsultation.
Matériel et méthodes
Une étude prospective a été menée à l’Institut de cancérologie Lucien Neuwirth chez les patients en cours de traitement ou de suivi au cours du printemps 2019 (n=158). Un autoquestionnaire a été élaboré pour les besoins de l’étude. La satisfaction et l’enthousiasme du patient ont été évalués à l’aide d’une échelle visuelle analogique (de 0/10 à 10/10).
Résultats
Cent cinquante-huit patients ont accepté de répondre à l’enquête. La quasi-totalité de la population utilisait le téléphone comme moyen de communication et 56 % des patients disposaient d’une connexion internet. Environ 56 % des patients affirmaient avoir des notions sur la téléconsultation, sans n’avoir jamais eu recours à ce dispositif. Si 60,8 % des patients ne seraient pas opposés à une proposition de téléconsultation avec un enthousiasme d’EVA (Échelle visuelle analogique) médiane de 6/10, les avis étaient partagés concernant le mode surveillance : 48,7 % souhaitaient conserver une surveillance classique et 48,7 % envisageaient d’alterner entre consultation présentielle et téléconsultation.
Conclusion
Cette enquête de faisabilité menée sur une population de seniors montre que la téléconsultation est une option envisageable pour le suivi après la radiothérapie du cancer de la prostate, même si un travail d’information et d’éducation thérapeutique sera nécessaire pour encadrer cette nouvelle pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69254
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 45-50[article] La téléconsultation pour le suivi après radiothérapie du cancer de la prostate : une place à l'innovation numérique en cancérologie [texte imprimé] / L. Suc ; E. Daguenet ; S. Louati ; M. Gras ; J. Langrand-Escure ; S. Sotton ; Nicolas Magné . - 2021 . - p. 45-50.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.038
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 45-50
Mots-clés : TÉLÉCONSULTATION SURVEILLANCE PROSTATE CANCER Suivi postradiothérapie Résumé : Objectifs de l’étude
La consultation annuelle de suivi après la radiothérapie d’un cancer de la prostate se résume en un entretien oral avec un oncologue radiothérapeute. L’objectif de ce travail était de sonder la population cible sur ses connaissances et perceptions de la téléconsultation.
Matériel et méthodes
Une étude prospective a été menée à l’Institut de cancérologie Lucien Neuwirth chez les patients en cours de traitement ou de suivi au cours du printemps 2019 (n=158). Un autoquestionnaire a été élaboré pour les besoins de l’étude. La satisfaction et l’enthousiasme du patient ont été évalués à l’aide d’une échelle visuelle analogique (de 0/10 à 10/10).
Résultats
Cent cinquante-huit patients ont accepté de répondre à l’enquête. La quasi-totalité de la population utilisait le téléphone comme moyen de communication et 56 % des patients disposaient d’une connexion internet. Environ 56 % des patients affirmaient avoir des notions sur la téléconsultation, sans n’avoir jamais eu recours à ce dispositif. Si 60,8 % des patients ne seraient pas opposés à une proposition de téléconsultation avec un enthousiasme d’EVA (Échelle visuelle analogique) médiane de 6/10, les avis étaient partagés concernant le mode surveillance : 48,7 % souhaitaient conserver une surveillance classique et 48,7 % envisageaient d’alterner entre consultation présentielle et téléconsultation.
Conclusion
Cette enquête de faisabilité menée sur une population de seniors montre que la téléconsultation est une option envisageable pour le suivi après la radiothérapie du cancer de la prostate, même si un travail d’information et d’éducation thérapeutique sera nécessaire pour encadrer cette nouvelle pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69254 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Concurrent diagnosis of oropharynx cancer and bone sarcoidosis mimicking metastasis / Jérôme Razanamahery in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Concurrent diagnosis of oropharynx cancer and bone sarcoidosis mimicking metastasis Titre original : Diagnostic concomittant d’un cancer de l’oropharynx et d’une sarcoïdose osseuse mimant des métastases Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Razanamahery ; M. Caubet ; N. Gassian ; C. Echalier ; T. Soumagne Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 51-54 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.025 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Cancer de l’oropharynx Métastases osseuse Sarcoïdose osseuse Résumé : L’atteinte osseuse est rare à la fois dans la sarcoïdose et dans le cancer de l’oropharynx. L’identification de la nature d’une lésion osseuse est donc difficile chez un patient atteint de deux maladies. Nous rapportons le cas d’une patiente de 69 ans adressée pour un cancer de l’oropharynx. L’imagerie par résonance magnétique (IRM) a mis en évidence un hypo-signal T2 sur les crêtes iliaques et la colonne vertébrale. La TEP au 18FDG (fluorodésoxyglucose) montrait une hyperfixation du radiotraceur sur ces même localisations, suggérant une métastase osseuse. Cependant, la biopsie osseuse met en évidence un granulome épithélioïde sans cellules malignes compatibles avec une sarcoïdose. Le diagnostic de cancer de l’oropharynx et d’une sarcoïdose systémique (os, système nerveux central) a été retenu. Une corticothérapie de 0,5mg/kg/jour et du méthotrexate pour la sarcoïdose ainsi que de la radiothérapie et une chimiothérapie à base de sels de platines pour le cancer ont été débutés. L’infiltration granulomateuse osseuse montre souvent un hypermétabolisme sur la TEP au 18FDG. La sarcoïdose osseuse peut donc mimer une lésion cancéreuse métastatique. Par ailleurs, l’IRM ne permet pas de distinguer les lésions de sarcoïdose des lésions métastatiques osseuses. Comme aucun test d’imagerie fiable ne peut différencier les deux maladies, la description de notre cas renforce la nécessité d’effectuer une biopsie osseuse chez un patient atteint de ces deux maladies des deux conditions pour déterminer la nature des lésions osseuses. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69255
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 51-54[article] Concurrent diagnosis of oropharynx cancer and bone sarcoidosis mimicking metastasis = Diagnostic concomittant d’un cancer de l’oropharynx et d’une sarcoïdose osseuse mimant des métastases [texte imprimé] / Jérôme Razanamahery ; M. Caubet ; N. Gassian ; C. Echalier ; T. Soumagne . - 2021 . - p. 51-54.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.025
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 51-54
Mots-clés : Cancer de l’oropharynx Métastases osseuse Sarcoïdose osseuse Résumé : L’atteinte osseuse est rare à la fois dans la sarcoïdose et dans le cancer de l’oropharynx. L’identification de la nature d’une lésion osseuse est donc difficile chez un patient atteint de deux maladies. Nous rapportons le cas d’une patiente de 69 ans adressée pour un cancer de l’oropharynx. L’imagerie par résonance magnétique (IRM) a mis en évidence un hypo-signal T2 sur les crêtes iliaques et la colonne vertébrale. La TEP au 18FDG (fluorodésoxyglucose) montrait une hyperfixation du radiotraceur sur ces même localisations, suggérant une métastase osseuse. Cependant, la biopsie osseuse met en évidence un granulome épithélioïde sans cellules malignes compatibles avec une sarcoïdose. Le diagnostic de cancer de l’oropharynx et d’une sarcoïdose systémique (os, système nerveux central) a été retenu. Une corticothérapie de 0,5mg/kg/jour et du méthotrexate pour la sarcoïdose ainsi que de la radiothérapie et une chimiothérapie à base de sels de platines pour le cancer ont été débutés. L’infiltration granulomateuse osseuse montre souvent un hypermétabolisme sur la TEP au 18FDG. La sarcoïdose osseuse peut donc mimer une lésion cancéreuse métastatique. Par ailleurs, l’IRM ne permet pas de distinguer les lésions de sarcoïdose des lésions métastatiques osseuses. Comme aucun test d’imagerie fiable ne peut différencier les deux maladies, la description de notre cas renforce la nécessité d’effectuer une biopsie osseuse chez un patient atteint de ces deux maladies des deux conditions pour déterminer la nature des lésions osseuses. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69255 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Radiothérapie et toxicité médullaire : actualités et perspectives / G. Peyraga in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Radiothérapie et toxicité médullaire : actualités et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Peyraga ; A. Ducassou ; F.-X. Arnaud ; T. Lizée ; J. Pouédras ; É. Moyal Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 55-61 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.017 Langues : Français (fre) Mots-clés : Myélopathie radio-induite Myélite radique Métastase osseuse Réirradiation Toxicité médullaire Résumé : Le radiothérapeute a un cauchemar : la survenue d’une myélopathie radio-induite. Heureusement, cette complication est exceptionnelle. Son diagnostic est évoqué devant des symptômes cliniques aspécifiques, apparaissant le plus souvent dans les 6 à 24 mois après la radiothérapie, et reste un diagnostic d’exclusion. L’IRM est l’examen paraclinique le plus informatif. Sa physiopathologie reste mal connue, avec une part probable de modifications vasculaires, et une autre part probable de perte de cellules parenchymateuses. Le radiothérapeute porte une attention particulière à la moelle épinière lors de chaque radiothérapie, et plus particulièrement lors de traitements stéréotaxiques ou de réirradiations. L’incidence faible de cette complication rend difficile la prédiction de sa survenue. Classiquement, une dose maximale de 50Gy est tolérée en radiothérapie normofractionnée (1,8 à 2Gy par séance). La nécessité clinique de réirradiation dans certaines situations amène parfois le radiothérapeute à outrepasser cette recommandation, en analysant individuellement la balance bénéfice risque. Certains facteurs favorisent la survenue de cette complication et doivent être pris en compte par le radiothérapeute, tels que l’administration de chimiothérapies concomitantes radiosensibilisantes ou neurotoxiques, et certaines comorbidités (diabète). Le développement d’algorithmes prédictifs de cette complication apporte une aide à la décision lors de ces réirradiations. Cependant, le patient doit recevoir une information détaillée des risques encourus lors de ces irradiations à risque, et la prescription du radiothérapeute doit rester prudente. Grâce à l’avènement de l’immunothérapie et des thérapies ciblées, le concept de cancer oligométastatique s’installe progressivement dans la pratique quotidienne, et les traitements stéréotaxiques et les réirradiations seront donc des indications de plus en plus fréquentes. La maîtrise du risque de complications est donc un enjeu majeur dans les années à venir, et reste un défi quotidien pour les radiothérapeutes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69256
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 55-61[article] Radiothérapie et toxicité médullaire : actualités et perspectives [texte imprimé] / G. Peyraga ; A. Ducassou ; F.-X. Arnaud ; T. Lizée ; J. Pouédras ; É. Moyal . - 2021 . - p. 55-61.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.017
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 55-61
Mots-clés : Myélopathie radio-induite Myélite radique Métastase osseuse Réirradiation Toxicité médullaire Résumé : Le radiothérapeute a un cauchemar : la survenue d’une myélopathie radio-induite. Heureusement, cette complication est exceptionnelle. Son diagnostic est évoqué devant des symptômes cliniques aspécifiques, apparaissant le plus souvent dans les 6 à 24 mois après la radiothérapie, et reste un diagnostic d’exclusion. L’IRM est l’examen paraclinique le plus informatif. Sa physiopathologie reste mal connue, avec une part probable de modifications vasculaires, et une autre part probable de perte de cellules parenchymateuses. Le radiothérapeute porte une attention particulière à la moelle épinière lors de chaque radiothérapie, et plus particulièrement lors de traitements stéréotaxiques ou de réirradiations. L’incidence faible de cette complication rend difficile la prédiction de sa survenue. Classiquement, une dose maximale de 50Gy est tolérée en radiothérapie normofractionnée (1,8 à 2Gy par séance). La nécessité clinique de réirradiation dans certaines situations amène parfois le radiothérapeute à outrepasser cette recommandation, en analysant individuellement la balance bénéfice risque. Certains facteurs favorisent la survenue de cette complication et doivent être pris en compte par le radiothérapeute, tels que l’administration de chimiothérapies concomitantes radiosensibilisantes ou neurotoxiques, et certaines comorbidités (diabète). Le développement d’algorithmes prédictifs de cette complication apporte une aide à la décision lors de ces réirradiations. Cependant, le patient doit recevoir une information détaillée des risques encourus lors de ces irradiations à risque, et la prescription du radiothérapeute doit rester prudente. Grâce à l’avènement de l’immunothérapie et des thérapies ciblées, le concept de cancer oligométastatique s’installe progressivement dans la pratique quotidienne, et les traitements stéréotaxiques et les réirradiations seront donc des indications de plus en plus fréquentes. La maîtrise du risque de complications est donc un enjeu majeur dans les années à venir, et reste un défi quotidien pour les radiothérapeutes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69256 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt MRI-based brain structural changes following radiotherapy of Nasopharyngeal Carcinoma: A systematic review / N. S. Voon in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : MRI-based brain structural changes following radiotherapy of Nasopharyngeal Carcinoma: A systematic review Type de document : texte imprimé Auteurs : N. S. Voon ; F. N. Lau ; R. Zakaria ; S. A. Md Rani ; F. Ismail ; H. A. Manan ; N. Yahya Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 62-71 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.07.008 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Carcinome nasopharyngé Imagerie du tenseur de diffusion Imagerie Kurtosis de diffusion Morphométrie à base de voxel CERVEAU Résumé : Objectif de l’étude
La radiothérapie du carcinome nasopharyngé inclut des parties du cerveau qui peuvent y provoquer des modifications. Cette étude visait à examiner systématiquement les modifications de la microstructure du cerveau à l’aide de mesures basées sur l’IRM, la DTI (diffusion tensor imaging), la DKI (diffusion kurtosis imaging), la VBM (voxel-based morphometry) et l’impact de la dose et de la latence après la radiothérapie.
Méthodes
Les bases de données PubMed et Scopus ont été recherchées sur la base des directives PRISMA (Preferred Reporting Items for Systematic Reviews and Meta-Analyses) pour déterminer les études se concentrant sur les changements suite à la radiothérapie d’un carcinome nasopharyngé.
Résultats
Onze études remplissaient les critères d’inclusion. Les changements microstructuraux se produisent le plus régulièrement dans la région temporale. Les changements étaient corrélés avec la latence dans sept études; le volume d’anisotropie fractionnelle (AF) et de matière grise (GM) est resté faible même après une période plus longue après la radiothérapie et les zones au-delà du site d’irradiation avec des mesures réduites s’AF et GM. En ce qui concerne la dose, une seule étude a montré une corrélation, nécessitant ainsi des investigations supplémentaires.
Conclusion
DTI, DKI et VBM peuvent être utilisés comme un outil de surveillance pour détecter les changements microstructuraux du cerveau des patients atteints de cancer nasopharyngé qui sont corrélés avec la latence et les zones cérébrales après la radiothérapie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69291
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 62-71[article] MRI-based brain structural changes following radiotherapy of Nasopharyngeal Carcinoma: A systematic review [texte imprimé] / N. S. Voon ; F. N. Lau ; R. Zakaria ; S. A. Md Rani ; F. Ismail ; H. A. Manan ; N. Yahya . - 2021 . - p. 62-71.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.07.008
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 62-71
Mots-clés : Carcinome nasopharyngé Imagerie du tenseur de diffusion Imagerie Kurtosis de diffusion Morphométrie à base de voxel CERVEAU Résumé : Objectif de l’étude
La radiothérapie du carcinome nasopharyngé inclut des parties du cerveau qui peuvent y provoquer des modifications. Cette étude visait à examiner systématiquement les modifications de la microstructure du cerveau à l’aide de mesures basées sur l’IRM, la DTI (diffusion tensor imaging), la DKI (diffusion kurtosis imaging), la VBM (voxel-based morphometry) et l’impact de la dose et de la latence après la radiothérapie.
Méthodes
Les bases de données PubMed et Scopus ont été recherchées sur la base des directives PRISMA (Preferred Reporting Items for Systematic Reviews and Meta-Analyses) pour déterminer les études se concentrant sur les changements suite à la radiothérapie d’un carcinome nasopharyngé.
Résultats
Onze études remplissaient les critères d’inclusion. Les changements microstructuraux se produisent le plus régulièrement dans la région temporale. Les changements étaient corrélés avec la latence dans sept études; le volume d’anisotropie fractionnelle (AF) et de matière grise (GM) est resté faible même après une période plus longue après la radiothérapie et les zones au-delà du site d’irradiation avec des mesures réduites s’AF et GM. En ce qui concerne la dose, une seule étude a montré une corrélation, nécessitant ainsi des investigations supplémentaires.
Conclusion
DTI, DKI et VBM peuvent être utilisés comme un outil de surveillance pour détecter les changements microstructuraux du cerveau des patients atteints de cancer nasopharyngé qui sont corrélés avec la latence et les zones cérébrales après la radiothérapie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69291 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Correlation between changes in the number of peripheral blood lymphocytes and survival rate in patients with cervical cancer after radio-chemotherapy / X. Han in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Correlation between changes in the number of peripheral blood lymphocytes and survival rate in patients with cervical cancer after radio-chemotherapy Titre original : Corrélation entre les changements dans le nombre de lymphocytes du sang périphérique et le taux de survie des patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus après une chimioradiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : X. Han ; Q. Yang ; J. Zhang ; J. Cao Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 72-76 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.08.045 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : COL UTÉRIN CANCER IMMUNITÉ Cellule T cytotoxique Résumé : Objectif de l’étude
Comparer le nombre absolu de lymphocytes de toutes sortes dans le sang périphérique avant et après la chimioradiothérapie du cancer du col de l’utérus.
Méthodes
Analyse rétrospective des données de 205 patientes atteintes de cancer du col de l’utérus traitées entre juin 2014 et août 2016. Ces patientes ont reçu une chimioradiothérapie concomitante suivie d’une chimiothérapie. L’objectif de l’étude était de comparer le nombre absolu de lymphocytes sanguins périphériques avant et après la chimiothérapie ainsi que de leurs sous-types.
Résultats
Pour les patientes atteintes de cancer de pronostic favorable, le nombre de lymphocytes T et T cytotoxiques après la chimiothérapie a considérablement diminué (p<0,05), ce qui n’était pas le cas pour les patientes atteintes de cancer de pronostic défavorable. L’analyse unifactorielle a montré que les tumeurs évoluées selon la classification internationale des gynécologues-obstétriciens (FIGO) avant le traitement, des métastases ganglionnaires, et une augmentation des lymphocytes T cytotoxiques et T helper après la chimiothérapie, étaient à l’origine d’un faible taux de survie à 30 mois (p<0,05). L’analyse de régression de risque de Cox a montré la valeur pronostique des métastases ganglionnaires (hazard ratio [HR]=9,718, p=0,00002, IC95 % [intervalle de confiance à 95 %]=0,0183–0,679), du groupe T cytotoxiques (HR=3,239, p=0,0072, IC95 %=0,950–03,347) et du groupe T helper (HR=3,197, p=0,0074, IC95 %=0,943–3,564).
Conclusion
Parmi les patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus, Les variations des lymphocytes T cytotoxiques et T helper du sang périphérique après la chimioradiothérapie étaient liées au taux de survie global à 30 mois, ce qui peut servir d’indicateur prédictif de la survie chez les patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus évolué.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69292
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 72-76[article] Correlation between changes in the number of peripheral blood lymphocytes and survival rate in patients with cervical cancer after radio-chemotherapy = Corrélation entre les changements dans le nombre de lymphocytes du sang périphérique et le taux de survie des patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus après une chimioradiothérapie [texte imprimé] / X. Han ; Q. Yang ; J. Zhang ; J. Cao . - 2021 . - p. 72-76.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.08.045
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 72-76
Mots-clés : COL UTÉRIN CANCER IMMUNITÉ Cellule T cytotoxique Résumé : Objectif de l’étude
Comparer le nombre absolu de lymphocytes de toutes sortes dans le sang périphérique avant et après la chimioradiothérapie du cancer du col de l’utérus.
Méthodes
Analyse rétrospective des données de 205 patientes atteintes de cancer du col de l’utérus traitées entre juin 2014 et août 2016. Ces patientes ont reçu une chimioradiothérapie concomitante suivie d’une chimiothérapie. L’objectif de l’étude était de comparer le nombre absolu de lymphocytes sanguins périphériques avant et après la chimiothérapie ainsi que de leurs sous-types.
Résultats
Pour les patientes atteintes de cancer de pronostic favorable, le nombre de lymphocytes T et T cytotoxiques après la chimiothérapie a considérablement diminué (p<0,05), ce qui n’était pas le cas pour les patientes atteintes de cancer de pronostic défavorable. L’analyse unifactorielle a montré que les tumeurs évoluées selon la classification internationale des gynécologues-obstétriciens (FIGO) avant le traitement, des métastases ganglionnaires, et une augmentation des lymphocytes T cytotoxiques et T helper après la chimiothérapie, étaient à l’origine d’un faible taux de survie à 30 mois (p<0,05). L’analyse de régression de risque de Cox a montré la valeur pronostique des métastases ganglionnaires (hazard ratio [HR]=9,718, p=0,00002, IC95 % [intervalle de confiance à 95 %]=0,0183–0,679), du groupe T cytotoxiques (HR=3,239, p=0,0072, IC95 %=0,950–03,347) et du groupe T helper (HR=3,197, p=0,0074, IC95 %=0,943–3,564).
Conclusion
Parmi les patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus, Les variations des lymphocytes T cytotoxiques et T helper du sang périphérique après la chimioradiothérapie étaient liées au taux de survie global à 30 mois, ce qui peut servir d’indicateur prédictif de la survie chez les patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus évolué.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69292 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Irradiation pelvienne et toxicité hématopoïétique : revue de la littérature / L. Kuntz in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Irradiation pelvienne et toxicité hématopoïétique : revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Kuntz ; G. Noel Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 77-91 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Moelle osseuse Toxicité hématologique Aires ganglionnaires pelviennes RCMI RADIOTHÉRAPIE Résumé : La moelle osseuse pelvienne est le siège de près de 50 % de l’hématopoïèse totale. La radiothérapie des aires ganglionnaires pelviennes, et des cancers situés à proximité des structures osseuses du bassin, expose à une toxicité hématologique de l’ordre de 30 à 70 %. Cette toxicité dépend de nombreux facteurs, notamment la délivrance ou non d’une chimiothérapie concomitante, ainsi que de son type, des volumes osseux irradiés, des doses reçues, ou encore de la réserve hématopoïétique initiale. La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité a permis une optimisation des dosimétries dans les organes à risque tout en ayant une couverture optimale des volumes cibles, mais cela suggère de connaître avec précisions les contraintes de dose dans les organes à risque afin de limiter les toxicités. Cette revue de la littérature s’intéresse tout d’abord aux aires ganglionnaires pelviennes, ainsi qu’aux volumes osseux situés à leur proximité immédiate, puis aux effets de l’irradiation sur la moelle osseuse et les contraintes dosimétriques actuelles qui en découlent, pour enfin s’intéresser à la toxicité hématologique par localisation carcinologique et les progrès réalisés pour amoindrir cette toxicité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69293
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 77-91[article] Irradiation pelvienne et toxicité hématopoïétique : revue de la littérature [texte imprimé] / L. Kuntz ; G. Noel . - 2021 . - p. 77-91.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.018
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 77-91
Mots-clés : Moelle osseuse Toxicité hématologique Aires ganglionnaires pelviennes RCMI RADIOTHÉRAPIE Résumé : La moelle osseuse pelvienne est le siège de près de 50 % de l’hématopoïèse totale. La radiothérapie des aires ganglionnaires pelviennes, et des cancers situés à proximité des structures osseuses du bassin, expose à une toxicité hématologique de l’ordre de 30 à 70 %. Cette toxicité dépend de nombreux facteurs, notamment la délivrance ou non d’une chimiothérapie concomitante, ainsi que de son type, des volumes osseux irradiés, des doses reçues, ou encore de la réserve hématopoïétique initiale. La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité a permis une optimisation des dosimétries dans les organes à risque tout en ayant une couverture optimale des volumes cibles, mais cela suggère de connaître avec précisions les contraintes de dose dans les organes à risque afin de limiter les toxicités. Cette revue de la littérature s’intéresse tout d’abord aux aires ganglionnaires pelviennes, ainsi qu’aux volumes osseux situés à leur proximité immédiate, puis aux effets de l’irradiation sur la moelle osseuse et les contraintes dosimétriques actuelles qui en découlent, pour enfin s’intéresser à la toxicité hématologique par localisation carcinologique et les progrès réalisés pour amoindrir cette toxicité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69293 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Radiosurgery and stereotactic irradiation of multiple and contiguous brain metastases: A practical proposal of dose prescription methods and a literature review / A. Di Rito in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Radiosurgery and stereotactic irradiation of multiple and contiguous brain metastases: A practical proposal of dose prescription methods and a literature review Titre original : Radiochirurgie et radiothérapie stéréotaxique des métastases multiples et contiguës : une proposition pratique de méthodes de prescription de la dose et une revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Di Rito ; A. Chaikh ; I. Troussier ; I. Darmon ; J. Thariat Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 92-102 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.031 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Prescription de dose Multiple brain metastases Adjacent Radiochirurgie Radiothérapie stereotaxique Résumé : Objectif de l’étude
En l’absence de consensus spécifique dans la littérature sur la prescription de la dose en radiochirurgie ou radiothérapie stéréotaxique en situation de métastases cérébrales multiples adjacentes, l’objectif de ce travail eétait d’évaluer l’impact des plusieurs méthodes de prescription identifiées sur les paramètres dosimétriques de couverture des volumes cibles et l’irradiation du cerveau sain.
Matériel et méthodes
Une proposition théorique d’approches dosimétriques de prescription de la dose dans le cas de métastases cérébrales multiples adjacentes (moins de 2cm les unes des autres) a été réalisée. Une revue de la littérature de 2010 à 2020 a été effectuée sur MEDLINE et Cochrane selon la méthodologie PRISMA, avec les mots clés suivants: dose prescription/radiosurgery/multiple brain metastases. Les articles qui ne rapportaient pas de solution dosimétrique pour l’irradiation de métastases cérébrales multiples ont été exclus.
Résultats
Quatorze articles ont décrit les solutions dosimétriques adoptées pour irradier des métastases cérébrales multiples et l’impact sur les indice dosimétriques et les doses dans l’encéphale sain, mais les études comparatives manquent (une seule étude). Nous avons identifié six solutions pratiques possibles pour prescrire la dose dans le cas de deux ou plus métastases cérébrales proches, et en avons décrit les avantages et inconvénients en termes de paramètres et indices dosimétriques.
Conclusions
La prescription de dose en situation de métastases cérébrales multiples adjacentes peut varier. L’impact clinique pourrait être significatif. Les méthodes identifiées pourraient être testées dans des études cliniques pour mieux évaluer leur utilité dans la pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69294
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 92-102[article] Radiosurgery and stereotactic irradiation of multiple and contiguous brain metastases: A practical proposal of dose prescription methods and a literature review = Radiochirurgie et radiothérapie stéréotaxique des métastases multiples et contiguës : une proposition pratique de méthodes de prescription de la dose et une revue de la littérature [texte imprimé] / A. Di Rito ; A. Chaikh ; I. Troussier ; I. Darmon ; J. Thariat . - 2021 . - p. 92-102.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.031
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 92-102
Mots-clés : Prescription de dose Multiple brain metastases Adjacent Radiochirurgie Radiothérapie stereotaxique Résumé : Objectif de l’étude
En l’absence de consensus spécifique dans la littérature sur la prescription de la dose en radiochirurgie ou radiothérapie stéréotaxique en situation de métastases cérébrales multiples adjacentes, l’objectif de ce travail eétait d’évaluer l’impact des plusieurs méthodes de prescription identifiées sur les paramètres dosimétriques de couverture des volumes cibles et l’irradiation du cerveau sain.
Matériel et méthodes
Une proposition théorique d’approches dosimétriques de prescription de la dose dans le cas de métastases cérébrales multiples adjacentes (moins de 2cm les unes des autres) a été réalisée. Une revue de la littérature de 2010 à 2020 a été effectuée sur MEDLINE et Cochrane selon la méthodologie PRISMA, avec les mots clés suivants: dose prescription/radiosurgery/multiple brain metastases. Les articles qui ne rapportaient pas de solution dosimétrique pour l’irradiation de métastases cérébrales multiples ont été exclus.
Résultats
Quatorze articles ont décrit les solutions dosimétriques adoptées pour irradier des métastases cérébrales multiples et l’impact sur les indice dosimétriques et les doses dans l’encéphale sain, mais les études comparatives manquent (une seule étude). Nous avons identifié six solutions pratiques possibles pour prescrire la dose dans le cas de deux ou plus métastases cérébrales proches, et en avons décrit les avantages et inconvénients en termes de paramètres et indices dosimétriques.
Conclusions
La prescription de dose en situation de métastases cérébrales multiples adjacentes peut varier. L’impact clinique pourrait être significatif. Les méthodes identifiées pourraient être testées dans des études cliniques pour mieux évaluer leur utilité dans la pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69294 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt