Centre de Documentation Campus Montignies
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78 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'traumatisme cranien'
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La protéine S100B, marqueur biologique de tri pour le diagnostic du traumatisme crânien léger / Jean-Louis Beaudeux in Annales de Biologie Clinique, ABC 71 suppl. 1 (novembre 2013)
[article]
Titre : La protéine S100B, marqueur biologique de tri pour le diagnostic du traumatisme crânien léger Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Beaudeux, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 71-78 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROTEINE S100B SYSTEME NERVEUX CENTRAL TRAUMATISME CRANIEN IMMUNO-ESSAI Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=73633
in Annales de Biologie Clinique > ABC 71 suppl. 1 (novembre 2013) . - 71-78[article] La protéine S100B, marqueur biologique de tri pour le diagnostic du traumatisme crânien léger [texte imprimé] / Jean-Louis Beaudeux, Auteur . - 2013 . - 71-78.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > ABC 71 suppl. 1 (novembre 2013) . - 71-78
Mots-clés : PROTEINE S100B SYSTEME NERVEUX CENTRAL TRAUMATISME CRANIEN IMMUNO-ESSAI Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=73633 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLe traumatisme crânien / Eric Jean-Louis in L'aide-soignante, 173 (Janvier 2016)
[article]
Titre : Le traumatisme crânien Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Jean-Louis Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.31-32 Langues : Français (fre) Mots-clés : TRAUMATISME CRANIEN Résumé :
Note de contenu : Le traumatisme crânien
Symptômes
Prise en charge
Situation clinique
Analyse de la situation
Rôle de l’aide-soignante
Conclusion
Déclaration de liens d’intérêts
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42142
in L'aide-soignante > 173 (Janvier 2016) . - p.31-32[article] Le traumatisme crânien [texte imprimé] / Eric Jean-Louis . - 2016 . - p.31-32.
Langues : Français (fre)
in L'aide-soignante > 173 (Janvier 2016) . - p.31-32
Mots-clés : TRAUMATISME CRANIEN Résumé :
Note de contenu : Le traumatisme crânien
Symptômes
Prise en charge
Situation clinique
Analyse de la situation
Rôle de l’aide-soignante
Conclusion
Déclaration de liens d’intérêts
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42142 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe traumatisme crânien grave in L'aide-soignante, 159 (août - septembre 2014)
[article]
Titre : Le traumatisme crânien grave Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 9-21 Langues : Français (fre) Mots-clés : TRAUMATISME CRANIEN SOINS INFIRMIERS ACCOMPAGNEMENT DU MALADE Résumé : Sommaire :
- principes de prise en charge du patient traumatisé crânien
- l'accompagnement psychologique des victimes d'un traumatisme crânien
- Monsieur K, victime d'un traumatisme crânien grave
- positionner un patient cérébrolésé dans un fauteuil roulant
- chirurgie de l'escarre chez une personne en fauteuil roulantPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=31178
in L'aide-soignante > 159 (août - septembre 2014) . - p. 9-21[article] Le traumatisme crânien grave [texte imprimé] . - 2014 . - p. 9-21.
Langues : Français (fre)
in L'aide-soignante > 159 (août - septembre 2014) . - p. 9-21
Mots-clés : TRAUMATISME CRANIEN SOINS INFIRMIERS ACCOMPAGNEMENT DU MALADE Résumé : Sommaire :
- principes de prise en charge du patient traumatisé crânien
- l'accompagnement psychologique des victimes d'un traumatisme crânien
- Monsieur K, victime d'un traumatisme crânien grave
- positionner un patient cérébrolésé dans un fauteuil roulant
- chirurgie de l'escarre chez une personne en fauteuil roulantPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=31178 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtCognitive and behavioural post-traumatic impairments: What is the specificity of a brain injury ? A study within the ESPARR cohort / S. NASH in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°9-10 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Cognitive and behavioural post-traumatic impairments: What is the specificity of a brain injury ? A study within the ESPARR cohort Titre original : Troubles cognitifs et comportementaux post-traumatiques : quelle est la spécificité du traumatisme crânien ? Étude au sein de la cohorte ESPARR Type de document : texte imprimé Auteurs : S. NASH, Auteur ; Jacques Luauté, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.600-617 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatic brain injury ESPARR Neurobehavioral Rating Scale Revised Outcome Motor vehicle accident Traumatisme crânien Devenir Accident de la voie publique Résumé : Objective
The variety and extent of impairments occurring after traumatic brain injury vary according to the nature and severity of the lesions. In order to better understand their interactions and long-term outcome, we have studied and compared the cognitive and neurobehavioral profile one year post onset of patients with and without traumatic brain injury in a cohort of motor vehicle accident victims.
Method
The study population is composed of 207 seriously injured persons from the ESPARR cohort. This cohort, which has been followed up in time, consists in 1168 motor vehicle accident victims (aged 16 years or more) with injuries with all degrees of severity. Inclusion criteria were: living in Rhone county, victim of a traffic accident having involved at least one wheel-conducted vehicle and having occurred in Rhone county, alive at the time of arrival in hospital and having presented in one of the different ER facilities of the county. The cohort's representativeness regarding social and geographic criteria and the specificities of the accidents were ensured by the specific targeting of recruitment. Deficits and impairments were assessed one year after the accident using the Neurobehavioral Rating Scale - Revised and the Trail-Making Test. Within our seriously injured group, based on the Glasgow Score, the presence of neurological deficits, aggravation of neurological condition in the first 72hours and/or abnormal cerebral imaging, we identified three categories: (i) moderate/severe traumatic brain injury (n=48), (ii) mild traumatic brain injury (n=89), and (iii) severely injured but without traumatic brain injury (n=70).
Results
The most frequently observed symptoms were anxiety, irritability, memory and attention impairments, depressive mood and emotional lability. While depressive mood and irritability were observed with similar frequency in all three groups, memory and attention impairments, anxiety and reduced initiative were more specific to traumatic brain injury whereas executive disorders were associated with moderate/severe traumatic brain injury.
Discussion-Conclusion
The presence and the initial severity of a traumatic brain injury condition the nature and frequency of residual effects after one year. Some impairments such as irritability, which is generally associated with traumatic brain injury, do not appear to be specific to this population, nor does depressive mood. Substantial interactions between cognitive, affective and neurobehavioral disorders have been highlighted.
Objectif
La diversité et l’étendue des déficits observés après un traumatisme crânien varient suivant la nature des lésions et leur gravité. Afin de mieux en comprendre les interactions et leurs conséquences à long terme, nous avons étudié et comparé le profil cognitif et neuro-comportemental d’une cohorte de victimes d’accidents de la voie publique avec et sans traumatisme crânien, un an après l’accident.
Méthode
La population d’étude est constituée de 207 blessés graves de la cohorte ESPARR. Cette cohorte, qui a été suivie dans le temps, est composée de 1168 accidentés de la route dans le Rhône âgés de 16ans et plus et de toutes gravités, inclus selon certains critères : résidant dans le Rhône, victime d’un accident de la circulation impliquant au moins un véhicule à roues, ayant eu lieu dans le Rhône, vivant au moment de son arrivée à l’hôpital, et se présentant dans l’un des différents services d’urgences du Rhône. La représentativité de cette cohorte en termes de critères sociogéographiques et de caractéristiques de l’accident a été assurée par la nature spécifique du recrutement. Les plaintes et déficiences cognitivo-comportementales ont été évaluées un an après l’accident avec la Neurobehavioral Rating Scale-Revised et le Trail Making Test. Nous avons distingué, dans notre population d’étude de blessés graves, trois catégories de patients : les traumatisés crâniens modérés/graves (n=48), les traumatisés crâniens légers (n=89) et les blessés graves sans traumatisme crânien (n=70), basées sur le score de Glasgow, la présence de déficits neurologiques, d’une aggravation de l’état neurologique dans les 72heures et/ou d’une imagerie cérébrale anormale.
Résultats
Les symptômes les plus fréquemment observés étaient l’anxiété, l’irritabilité, les troubles mnésiques et attentionnels, la dépression et la labilité de l’humeur. L’humeur dépressive et l’irritabilité sont relevées aussi fréquemment dans les trois groupes. Les troubles de mémoire, d’attention, l’anxiété et la diminution des initiatives sont plus spécifiques au traumatisme crânien et les troubles exécutifs sont typiques d’un traumatisme crânien modéré/grave.
Discussion-Conclusion
La présence et la sévérité initiale du TC conditionnent la nature et la fréquence des séquelles à un an d’évolution. Certains troubles comme l’irritabilité, habituellement associée à un traumatisme crânien, n’apparaissent pas comme spécifiques à cette population, tout comme l’humeur dépressive. Ainsi, les interactions entre troubles cognitifs, émotivo-affectifs et neuro-comportementaux sont mises en avant.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34544
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°9-10 (Décembre 2014) . - p.600-617[article] Cognitive and behavioural post-traumatic impairments: What is the specificity of a brain injury ? A study within the ESPARR cohort = Troubles cognitifs et comportementaux post-traumatiques : quelle est la spécificité du traumatisme crânien ? Étude au sein de la cohorte ESPARR [texte imprimé] / S. NASH, Auteur ; Jacques Luauté, Auteur . - 2014 . - p.600-617.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°9-10 (Décembre 2014) . - p.600-617
Mots-clés : Traumatic brain injury ESPARR Neurobehavioral Rating Scale Revised Outcome Motor vehicle accident Traumatisme crânien Devenir Accident de la voie publique Résumé : Objective
The variety and extent of impairments occurring after traumatic brain injury vary according to the nature and severity of the lesions. In order to better understand their interactions and long-term outcome, we have studied and compared the cognitive and neurobehavioral profile one year post onset of patients with and without traumatic brain injury in a cohort of motor vehicle accident victims.
Method
The study population is composed of 207 seriously injured persons from the ESPARR cohort. This cohort, which has been followed up in time, consists in 1168 motor vehicle accident victims (aged 16 years or more) with injuries with all degrees of severity. Inclusion criteria were: living in Rhone county, victim of a traffic accident having involved at least one wheel-conducted vehicle and having occurred in Rhone county, alive at the time of arrival in hospital and having presented in one of the different ER facilities of the county. The cohort's representativeness regarding social and geographic criteria and the specificities of the accidents were ensured by the specific targeting of recruitment. Deficits and impairments were assessed one year after the accident using the Neurobehavioral Rating Scale - Revised and the Trail-Making Test. Within our seriously injured group, based on the Glasgow Score, the presence of neurological deficits, aggravation of neurological condition in the first 72hours and/or abnormal cerebral imaging, we identified three categories: (i) moderate/severe traumatic brain injury (n=48), (ii) mild traumatic brain injury (n=89), and (iii) severely injured but without traumatic brain injury (n=70).
Results
The most frequently observed symptoms were anxiety, irritability, memory and attention impairments, depressive mood and emotional lability. While depressive mood and irritability were observed with similar frequency in all three groups, memory and attention impairments, anxiety and reduced initiative were more specific to traumatic brain injury whereas executive disorders were associated with moderate/severe traumatic brain injury.
Discussion-Conclusion
The presence and the initial severity of a traumatic brain injury condition the nature and frequency of residual effects after one year. Some impairments such as irritability, which is generally associated with traumatic brain injury, do not appear to be specific to this population, nor does depressive mood. Substantial interactions between cognitive, affective and neurobehavioral disorders have been highlighted.
Objectif
La diversité et l’étendue des déficits observés après un traumatisme crânien varient suivant la nature des lésions et leur gravité. Afin de mieux en comprendre les interactions et leurs conséquences à long terme, nous avons étudié et comparé le profil cognitif et neuro-comportemental d’une cohorte de victimes d’accidents de la voie publique avec et sans traumatisme crânien, un an après l’accident.
Méthode
La population d’étude est constituée de 207 blessés graves de la cohorte ESPARR. Cette cohorte, qui a été suivie dans le temps, est composée de 1168 accidentés de la route dans le Rhône âgés de 16ans et plus et de toutes gravités, inclus selon certains critères : résidant dans le Rhône, victime d’un accident de la circulation impliquant au moins un véhicule à roues, ayant eu lieu dans le Rhône, vivant au moment de son arrivée à l’hôpital, et se présentant dans l’un des différents services d’urgences du Rhône. La représentativité de cette cohorte en termes de critères sociogéographiques et de caractéristiques de l’accident a été assurée par la nature spécifique du recrutement. Les plaintes et déficiences cognitivo-comportementales ont été évaluées un an après l’accident avec la Neurobehavioral Rating Scale-Revised et le Trail Making Test. Nous avons distingué, dans notre population d’étude de blessés graves, trois catégories de patients : les traumatisés crâniens modérés/graves (n=48), les traumatisés crâniens légers (n=89) et les blessés graves sans traumatisme crânien (n=70), basées sur le score de Glasgow, la présence de déficits neurologiques, d’une aggravation de l’état neurologique dans les 72heures et/ou d’une imagerie cérébrale anormale.
Résultats
Les symptômes les plus fréquemment observés étaient l’anxiété, l’irritabilité, les troubles mnésiques et attentionnels, la dépression et la labilité de l’humeur. L’humeur dépressive et l’irritabilité sont relevées aussi fréquemment dans les trois groupes. Les troubles de mémoire, d’attention, l’anxiété et la diminution des initiatives sont plus spécifiques au traumatisme crânien et les troubles exécutifs sont typiques d’un traumatisme crânien modéré/grave.
Discussion-Conclusion
La présence et la sévérité initiale du TC conditionnent la nature et la fréquence des séquelles à un an d’évolution. Certains troubles comme l’irritabilité, habituellement associée à un traumatisme crânien, n’apparaissent pas comme spécifiques à cette population, tout comme l’humeur dépressive. Ainsi, les interactions entre troubles cognitifs, émotivo-affectifs et neuro-comportementaux sont mises en avant.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34544 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtConférence de consensus : Prévention et traitement des escarres de l'adulte et du sujet âgé: 3e partie : Paraostéoarthropathies neurogènes et traumatisme crânien sévère / FLIN C. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°9 (novembre 2002)
[article]
Titre : Conférence de consensus : Prévention et traitement des escarres de l'adulte et du sujet âgé: 3e partie : Paraostéoarthropathies neurogènes et traumatisme crânien sévère Type de document : texte imprimé Auteurs : FLIN C. ; CURALUCCI H. ; DUVOCELLE A. ; J.-M. Viton Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 517-520 Mots-clés : Spasticité Risque Traumatisme crânien Résumé : Objectif : Les auteurs se sont donnés pour objectif d'évaluer l'incidence et les facteurs de risque de survenue de paraostéoarthropathies neurogènes (POA) dans une population de traumatisés crâniens (TC) graves. Matériel et méthodes : Il s'agit de patients hospitalisés dans une structure d'éveil pour TC au cours d'une période de 2 ans. C'est une étude rétrospective sur un échantillon de 86 patients. Les calculs statistiques ont été réalisés à l'aide des tests X et Fischer. Résultats, discussion: Quarante-neuf POA ont été répertoriées chez 24 patients (soit une incidence de 28,57 %, correspondant à 2,04 POA patient). Elles étaient localisées à la hanche, au coude et au genou pour la majorité d'entre elles. Il n'a pas été retrouvé de lien significatif entre la présence de POA et l'âge, le sexe, la gravité clinique initiale, la présence d'un déficit moteur, la spasticité, et la présence de phénomènes neurovégétatifs. Par contre, une fracture de membre et surtout son traitement chirurgical sont corrélés à une plus grande incidence de POA. Conclusion : Certains facteurs de risque retrouvés dans notre étude sont en adéquation avec ceux de la littérature. Ce travail permet de souligner l'importance de ce type de complications chez ces grands polytraumatisés, et la difficulté à mettre en oeuvre des mesures préventives.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13066
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 517-520[article] Conférence de consensus : Prévention et traitement des escarres de l'adulte et du sujet âgé: 3e partie : Paraostéoarthropathies neurogènes et traumatisme crânien sévère [texte imprimé] / FLIN C. ; CURALUCCI H. ; DUVOCELLE A. ; J.-M. Viton . - 2002 . - p. 517-520.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 517-520
Mots-clés : Spasticité Risque Traumatisme crânien Résumé : Objectif : Les auteurs se sont donnés pour objectif d'évaluer l'incidence et les facteurs de risque de survenue de paraostéoarthropathies neurogènes (POA) dans une population de traumatisés crâniens (TC) graves. Matériel et méthodes : Il s'agit de patients hospitalisés dans une structure d'éveil pour TC au cours d'une période de 2 ans. C'est une étude rétrospective sur un échantillon de 86 patients. Les calculs statistiques ont été réalisés à l'aide des tests X et Fischer. Résultats, discussion: Quarante-neuf POA ont été répertoriées chez 24 patients (soit une incidence de 28,57 %, correspondant à 2,04 POA patient). Elles étaient localisées à la hanche, au coude et au genou pour la majorité d'entre elles. Il n'a pas été retrouvé de lien significatif entre la présence de POA et l'âge, le sexe, la gravité clinique initiale, la présence d'un déficit moteur, la spasticité, et la présence de phénomènes neurovégétatifs. Par contre, une fracture de membre et surtout son traitement chirurgical sont corrélés à une plus grande incidence de POA. Conclusion : Certains facteurs de risque retrouvés dans notre étude sont en adéquation avec ceux de la littérature. Ce travail permet de souligner l'importance de ce type de complications chez ces grands polytraumatisés, et la difficulté à mettre en oeuvre des mesures préventives.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13066 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtÉtude de différentes pratiques d’évaluation de la conduite automobile après un traumatisme crânien / Angèle MASSONNEAU in Ergothérapies, 47 (septembre 2012)
PermalinkFatigue et traumatisme crânien / A. BELMONT in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 49, n°6 (juillet 2006)
PermalinkLiens entre traumatisme crânien léger et état de stress post-traumatique / COMPERE S. in La lettre de Médecine Physique et de Réadaptation, vol. 29/4 (décembre 2013)
PermalinkRestriction de participation, au sens de la CIF, schizophrénie et traumatisme crânien / Christian Belio
PermalinkRôle de l’aide-soignante auprès de la personne victime d’un traumatisme crânien / Élise Leridon in Soins Aides-soignantes, 66 (Septembre/Octobre 2015)
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