Centre de Documentation Campus Montignies
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L’évaluation du risque de mortalité selon le poids de naissance du chiot / Amélie Mugnier in Le Point vétérinaire Expert Canin, 407-408 (Juillet-Août 2020)
[article]
Titre : L’évaluation du risque de mortalité selon le poids de naissance du chiot Type de document : texte imprimé Auteurs : Amélie Mugnier ; Aurélien Grellet ; Hanna Mila ; Sylvie Chastant-Maillard Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 38-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Neonatal mortality birth weight puppy intra litter heterogeneity Résumé : La survie des nouveau-nés d’une portée est un enjeu essentiel pour les éleveurs. L’identification de paramètres permettant de la prévoir est un atout majeur.
Résumé
Une étude clinique, réalisée par le centre NeoCare de l’ENV de Toulouse, a cherché à identifier les facteurs de risque de mortalité néonatale chez le chiot, afin de vérifier l’impact du poids de naissance et de déterminer, pour différentes races, des valeurs seuils de ce poids en dessous desquelles le taux de mortalité néonatale augmenterait significativement. Les données collectées portent sur plus de 6 000 chiots, issus de 75 élevages. Entre la naissance et deux jours de vie, seuls deux des facteurs évalués ont eu une influence significative sur la mortalité : le poids de naissance et l’hétérogénéité des poids de naissance au sein de la portée. Des valeurs critiques ont été définies, permettant d’identifier les animaux présentant un risque accru de mortalité, de façon à pouvoir leur prodiguer des soins spécifiques. Chez les chiots à “risque élevé”, le taux de mortalité néonatale est de 61 %, au lieu de 11 % pour ceux à “risque modéré” et 4 % pour la catégorie à “risque faible”. Pour 12 races canines, des valeurs seuils de poids de naissance ont pu être déterminées, permettant de définir des catégories de risque de mortalité néonatale. Chez les chiots nés vivants, elle est de 9 % dans la population étudiée. Il convient de considérer chaque race spécifiquement, sans les regrouper par format. Peser les chiots à la naissance permet alors de repérer les individus les plus à risque de mortalité grâce aux seuils déterminés par race.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88521
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 407-408 (Juillet-Août 2020) . - p. 38-42[article] L’évaluation du risque de mortalité selon le poids de naissance du chiot [texte imprimé] / Amélie Mugnier ; Aurélien Grellet ; Hanna Mila ; Sylvie Chastant-Maillard . - 2020 . - p. 38-42.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 407-408 (Juillet-Août 2020) . - p. 38-42
Mots-clés : Neonatal mortality birth weight puppy intra litter heterogeneity Résumé : La survie des nouveau-nés d’une portée est un enjeu essentiel pour les éleveurs. L’identification de paramètres permettant de la prévoir est un atout majeur.
Résumé
Une étude clinique, réalisée par le centre NeoCare de l’ENV de Toulouse, a cherché à identifier les facteurs de risque de mortalité néonatale chez le chiot, afin de vérifier l’impact du poids de naissance et de déterminer, pour différentes races, des valeurs seuils de ce poids en dessous desquelles le taux de mortalité néonatale augmenterait significativement. Les données collectées portent sur plus de 6 000 chiots, issus de 75 élevages. Entre la naissance et deux jours de vie, seuls deux des facteurs évalués ont eu une influence significative sur la mortalité : le poids de naissance et l’hétérogénéité des poids de naissance au sein de la portée. Des valeurs critiques ont été définies, permettant d’identifier les animaux présentant un risque accru de mortalité, de façon à pouvoir leur prodiguer des soins spécifiques. Chez les chiots à “risque élevé”, le taux de mortalité néonatale est de 61 %, au lieu de 11 % pour ceux à “risque modéré” et 4 % pour la catégorie à “risque faible”. Pour 12 races canines, des valeurs seuils de poids de naissance ont pu être déterminées, permettant de définir des catégories de risque de mortalité néonatale. Chez les chiots nés vivants, elle est de 9 % dans la population étudiée. Il convient de considérer chaque race spécifiquement, sans les regrouper par format. Peser les chiots à la naissance permet alors de repérer les individus les plus à risque de mortalité grâce aux seuils déterminés par race.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88521 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLa pose d’une sonde orogastrique chez un très jeune animal / Sylvie Chastant-Maillard in Le Point vétérinaire Expert Canin, 407-408 (Juillet-Août 2020)
[article]
Titre : La pose d’une sonde orogastrique chez un très jeune animal Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Chastant-Maillard ; Hanna Mila ; Karine Reynaud Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 34-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : Artificial suckling orogastric catherization suckling defect puppy kitten Résumé : L’allaitement artificiel est parfois la seule solution pour assurer la survie des nouveau-nés puis la maîtrise optimale de leur croissance. Un sondage orogastrique peut se révéler nécessaire.
Résumé
Un défaut d’allaitement des nouveau-nés impose une alimentation assistée qui, lorsque le biberon ne suffit pas, passe par la pose d’une sonde orogastrique. Elle peut être mise en place dès la naissance, en cas de troubles de la succion, de portée nombreuse ou pour gérer les quantités distribuées. La quantité de lait administrée ne doit pas dépasser le volume de l’estomac. Le protocole comporte plusieurs étapes : après avoir mesuré la longueur de la sonde à introduire, remplir l’espace mort après le branchement de la seringue, préparer le lait à 37 °C, bien positionner en décubitus sternal le chiot ou le chaton, vérifier la position intrastomachale de la sonde, administrer en une à deux minutes et retirer lentement la sonde sans vider l’espace mort. Ensuite, les jeunes sont laissés avec la mère et la défécation est stimulée. Un suivi de la prise de poids permet d’adapter, au cas par cas, les quantités de lait administrées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88520
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 407-408 (Juillet-Août 2020) . - p. 34-37[article] La pose d’une sonde orogastrique chez un très jeune animal [texte imprimé] / Sylvie Chastant-Maillard ; Hanna Mila ; Karine Reynaud . - 2020 . - p. 34-37.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 407-408 (Juillet-Août 2020) . - p. 34-37
Mots-clés : Artificial suckling orogastric catherization suckling defect puppy kitten Résumé : L’allaitement artificiel est parfois la seule solution pour assurer la survie des nouveau-nés puis la maîtrise optimale de leur croissance. Un sondage orogastrique peut se révéler nécessaire.
Résumé
Un défaut d’allaitement des nouveau-nés impose une alimentation assistée qui, lorsque le biberon ne suffit pas, passe par la pose d’une sonde orogastrique. Elle peut être mise en place dès la naissance, en cas de troubles de la succion, de portée nombreuse ou pour gérer les quantités distribuées. La quantité de lait administrée ne doit pas dépasser le volume de l’estomac. Le protocole comporte plusieurs étapes : après avoir mesuré la longueur de la sonde à introduire, remplir l’espace mort après le branchement de la seringue, préparer le lait à 37 °C, bien positionner en décubitus sternal le chiot ou le chaton, vérifier la position intrastomachale de la sonde, administrer en une à deux minutes et retirer lentement la sonde sans vider l’espace mort. Ensuite, les jeunes sont laissés avec la mère et la défécation est stimulée. Un suivi de la prise de poids permet d’adapter, au cas par cas, les quantités de lait administrées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88520 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLes solutions alternatives au colostrum canin ou félin / Sylvie Chastant-Maillard in Le Point vétérinaire Expert Canin, 407-408 (Juillet-Août 2020)
[article]
Titre : Les solutions alternatives au colostrum canin ou félin Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Chastant-Maillard ; Hanna Mila ; Aurélien Grellet Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 30-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Colostrum colostral substitute artificial colostrum puppy kitten Résumé : Pour assurer la survie optimale des nouveau-nés privés de colostrum maternel, le simple lait (artificiel ou naturel) ne suffit pas durant les premiers jours. Des substituts colostraux existent.
Résumé
Un défaut de colostrum, par absence ou insuffisance de production, doit être compensé précocement (fermeture de la barrière intestinale en 12 heures après la naissance chez le chiot et 16 heures chez le chaton), car c’est la source principale d’anticorps pour les nouveau-nés. L’idéal est de disposer d’une mère de substitution, mais c’est assez rare et, chez le chat, il faut vérifier la compatibilité des groupes sanguins. Le recours aux substituts est indispensable pour satisfaire les besoins énergétiques et immunitaires des petits. La meilleure solution alternative (apportant énergie et immunité, mais aussi hormones et facteurs de croissance) est de constituer une banque de colostrum en choisissant le bon moment de la collecte chez la donneuse (entre 24 et 48 heures après la mise bas) pour ne pas spolier la portée du colostrum. En l’absence de données sur la qualité du colostrum prélevé, il convient de choisir des mères ayant élevé des portées avec de faible taux de mortalité et de respecter les mesures d’hygiène. Le lait (à partir du troisième jour postpartum) fournit uniquement de l’énergie, l’apport en immunoglobulines étant nettement insuffisant. Les laits maternisés n’en apportent pas et le lait de pseudogestation possède des concentrations en immunoglobulines équivalentes à celle du colostrum. L’administration de sérums canins et félins, voire ceux d’autres espèces, présente des limites (gros volumes et durée de protection réduite). Un seul substitut dédié au chiot, offrant énergie et immunité (grâce au jaune d’œuf de poules vaccinées spécifiquement), est commercialisé (PuppyProTech®).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88519
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 407-408 (Juillet-Août 2020) . - p. 30-33[article] Les solutions alternatives au colostrum canin ou félin [texte imprimé] / Sylvie Chastant-Maillard ; Hanna Mila ; Aurélien Grellet . - 2020 . - p. 30-33.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 407-408 (Juillet-Août 2020) . - p. 30-33
Mots-clés : Colostrum colostral substitute artificial colostrum puppy kitten Résumé : Pour assurer la survie optimale des nouveau-nés privés de colostrum maternel, le simple lait (artificiel ou naturel) ne suffit pas durant les premiers jours. Des substituts colostraux existent.
Résumé
Un défaut de colostrum, par absence ou insuffisance de production, doit être compensé précocement (fermeture de la barrière intestinale en 12 heures après la naissance chez le chiot et 16 heures chez le chaton), car c’est la source principale d’anticorps pour les nouveau-nés. L’idéal est de disposer d’une mère de substitution, mais c’est assez rare et, chez le chat, il faut vérifier la compatibilité des groupes sanguins. Le recours aux substituts est indispensable pour satisfaire les besoins énergétiques et immunitaires des petits. La meilleure solution alternative (apportant énergie et immunité, mais aussi hormones et facteurs de croissance) est de constituer une banque de colostrum en choisissant le bon moment de la collecte chez la donneuse (entre 24 et 48 heures après la mise bas) pour ne pas spolier la portée du colostrum. En l’absence de données sur la qualité du colostrum prélevé, il convient de choisir des mères ayant élevé des portées avec de faible taux de mortalité et de respecter les mesures d’hygiène. Le lait (à partir du troisième jour postpartum) fournit uniquement de l’énergie, l’apport en immunoglobulines étant nettement insuffisant. Les laits maternisés n’en apportent pas et le lait de pseudogestation possède des concentrations en immunoglobulines équivalentes à celle du colostrum. L’administration de sérums canins et félins, voire ceux d’autres espèces, présente des limites (gros volumes et durée de protection réduite). Un seul substitut dédié au chiot, offrant énergie et immunité (grâce au jaune d’œuf de poules vaccinées spécifiquement), est commercialisé (PuppyProTech®).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88519 Réservation
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