Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
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Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'immune response'
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Primovaccination du chiot et du chaton : protocole 2018 / Pierre Bergamo in Le Point vétérinaire Expert Canin, 390 (Novembre 2018)
[article]
Titre : Primovaccination du chiot et du chaton : protocole 2018 Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Bergamo Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 44-48 Langues : Français (fre) Mots-clés : Primary vaccination immune response vaccine interferences dogs cats Résumé : Les anticorps maternels peuvent variablement interférer avec les premières injections vaccinales pour les valences core. Pour limiter le risque d’échec, le protocole de primovaccination évolue : injection après l’âge de 16 semaines et premier rappel annuel.
Résumé
→ Pour les valences dites core (essentielles), l’inhibition par les anticorps d’origine maternelle (AOM) est une cause majeure d’échec vaccinal chez le jeune. Dans les premières semaines ou mois de leur vie, les chiots et les chatons passent par trois phases : individus insensibles à la maladie et non réceptifs au vaccin, individus sensibles mais toujours non réceptifs et, enfin, individus sensibles et pleinement réceptifs. De plus, la quantité d’AOM est très variable d’un individu à l’autre, tout comme leur cinétique. Sur cette base, les protocoles de primovaccination ont fait l’objet d’une évolution. En pratique, pour les valences core, une dernière injection à 16 semaines est fortement recommandée. Les valences non core ne sont pas concernées. Par ailleurs, un rappel 1 an après la dernière injection est indispensable pour renforcer la réponse initiale et immuniser les individus à réponse insuffisante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77335
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 390 (Novembre 2018) . - p. 44-48[article] Primovaccination du chiot et du chaton : protocole 2018 [texte imprimé] / Pierre Bergamo . - 2018 . - p. 44-48.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 390 (Novembre 2018) . - p. 44-48
Mots-clés : Primary vaccination immune response vaccine interferences dogs cats Résumé : Les anticorps maternels peuvent variablement interférer avec les premières injections vaccinales pour les valences core. Pour limiter le risque d’échec, le protocole de primovaccination évolue : injection après l’âge de 16 semaines et premier rappel annuel.
Résumé
→ Pour les valences dites core (essentielles), l’inhibition par les anticorps d’origine maternelle (AOM) est une cause majeure d’échec vaccinal chez le jeune. Dans les premières semaines ou mois de leur vie, les chiots et les chatons passent par trois phases : individus insensibles à la maladie et non réceptifs au vaccin, individus sensibles mais toujours non réceptifs et, enfin, individus sensibles et pleinement réceptifs. De plus, la quantité d’AOM est très variable d’un individu à l’autre, tout comme leur cinétique. Sur cette base, les protocoles de primovaccination ont fait l’objet d’une évolution. En pratique, pour les valences core, une dernière injection à 16 semaines est fortement recommandée. Les valences non core ne sont pas concernées. Par ailleurs, un rappel 1 an après la dernière injection est indispensable pour renforcer la réponse initiale et immuniser les individus à réponse insuffisante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77335 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleVaccination : réponse immunitaire protectrice et effets indésirables / Séverine Boullier in Le Point vétérinaire Expert Canin, 390 (Novembre 2018)
[article]
Titre : Vaccination : réponse immunitaire protectrice et effets indésirables Type de document : texte imprimé Auteurs : Séverine Boullier Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 22-26 Langues : Français (fre) Mots-clés : vaccines immune response adverse effects hypersensitivity dogs cats Résumé : Les mécanismes d’action de la vaccination sont de mieux en mieux compris et maîtrisés, leur efficacité de plus en plus renforcée. De rares effets indésirables bien connus n’altèrent pas ce succès majeur en santé animale (et humaine).
Résumé
→ La vaccination est fondée sur le fonctionnement de la réponse immunitaire spécifique. L’objectif est de mimer l’infection naturelle sans provoquer d’effets indésirables graves, de façon à induire une réponse immunitaire mémoire protectrice.
Plusieurs types de vaccins sont disponibles pour les carnivores domestiques, chacun ayant des caractéristiques immunologiques propres. Ces caractéristiques impactent leur immunogénicité et sont prises en compte pour l’adaptation des protocoles vaccinaux (primovaccination, durée d’immunité). Pour les vaccins les moins immunogènes, il peut être nécessaire d’utiliser des adjuvants qui améliorent la réponse vaccinale.
La mise en place de la réponse vaccinale est toujours associée au déclenchement d’une réponse inflammatoire initiale responsable d’un effet secondaire bénin appelé réactogénicité. L’intensité de la réactogénicité dépend de la nature du vaccin, mais aussi de la sensibilité individuelle des individus. Dans de très rares cas, les vaccins peuvent induire une réaction allergique, dont l’apparition est imprévisible.
La connaissance de la nature de la réponse immunitaire induite par les vaccins et des mécanismes associés à l’apparition des réactions secondaires permet aux praticiens d’adapter au mieux les protocoles vaccinaux et de pouvoir répondre aux interrogations des propriétaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77332
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 390 (Novembre 2018) . - p. 22-26[article] Vaccination : réponse immunitaire protectrice et effets indésirables [texte imprimé] / Séverine Boullier . - 2018 . - p. 22-26.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 390 (Novembre 2018) . - p. 22-26
Mots-clés : vaccines immune response adverse effects hypersensitivity dogs cats Résumé : Les mécanismes d’action de la vaccination sont de mieux en mieux compris et maîtrisés, leur efficacité de plus en plus renforcée. De rares effets indésirables bien connus n’altèrent pas ce succès majeur en santé animale (et humaine).
Résumé
→ La vaccination est fondée sur le fonctionnement de la réponse immunitaire spécifique. L’objectif est de mimer l’infection naturelle sans provoquer d’effets indésirables graves, de façon à induire une réponse immunitaire mémoire protectrice.
Plusieurs types de vaccins sont disponibles pour les carnivores domestiques, chacun ayant des caractéristiques immunologiques propres. Ces caractéristiques impactent leur immunogénicité et sont prises en compte pour l’adaptation des protocoles vaccinaux (primovaccination, durée d’immunité). Pour les vaccins les moins immunogènes, il peut être nécessaire d’utiliser des adjuvants qui améliorent la réponse vaccinale.
La mise en place de la réponse vaccinale est toujours associée au déclenchement d’une réponse inflammatoire initiale responsable d’un effet secondaire bénin appelé réactogénicité. L’intensité de la réactogénicité dépend de la nature du vaccin, mais aussi de la sensibilité individuelle des individus. Dans de très rares cas, les vaccins peuvent induire une réaction allergique, dont l’apparition est imprévisible.
La connaissance de la nature de la réponse immunitaire induite par les vaccins et des mécanismes associés à l’apparition des réactions secondaires permet aux praticiens d’adapter au mieux les protocoles vaccinaux et de pouvoir répondre aux interrogations des propriétaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77332 Réservation
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