Centre de Documentation Campus Montignies
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Effet du jeûne du Ramadan et de l’exercice maximal sur le temps de réaction simple et de choix chez des sujets entraînés / H. Bouhlel in Science & sports, Volume 29 numéro 3 (Juin 2014)
[article]
Titre : Effet du jeûne du Ramadan et de l’exercice maximal sur le temps de réaction simple et de choix chez des sujets entraînés Titre original : Effect of Ramadan observance and maximal exercise on simple and choice reaction times in trained men Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Bouhlel, Auteur ; I. Latiri, Auteur ; N. Zarrrouk, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.131-137 Langues : Français (fre) Mots-clés : Temps de réaction Jeûne du Ramadan Exercice maximal Puissance maximale aérobie Résumé : Objectif
L’objectif était d’évaluer l’effet du jeûne du Ramadan et de l’exercice maximal sur le temps de réaction chez des sujets entraînés.
Méthodes
Dix jeunes karatékas (âge : 18,5±0,5ans, taille : 1,76±0,44m) ont été testés lors de trois sessions : période de contrôle (C), à la fin de la première semaine (R-1) et pendant la quatrième semaine de Ramadan (R-4). À chaque session, les sujets ont effectué un test progressif jusqu’à épuisement sur ergocycle. La consommation maximale d’oxygène ( ) était déterminée à l’aide d’analyseurs de gaz (modèle ZAN 600). La fréquence cardiaque (FC) et la perception de l’effort (RPE) étaient enregistrées avant, pendant et après l’effort maximal. La glycémie et les temps de réaction (simple, SRT et de choix : CRT) étaient mesurés avant et après l’exercice.
Résultats
Le jeûne du Ramadan n’a pas d’effet sur CRT au repos et après l’exercice maximal-deux jambes sur ergocycle chez nos athlètes. Le seul effet du jeûne était observé sur SRT (p<0,05). et la puissance maximale aérobie (PMA) n’ont significativement pas changé lors des trois sessions ainsi que les temps de réaction après exercice maximal.
Conclusion
Malgré le maintien de la glycémie et de la PMA, SRT était altéré au cours du jeûne du Ramadan. Ceci suggère que le jeûne du Ramadan constitue surtout un changement de mode de vie et que son effet sur le temps de réaction serait spécifique à la nature de la tâche cognitive. En outre, l’exercice maximal progressif de 9–11minutes mené jusqu’à n’a pas d’effet sur le temps de réaction simple ou de choix.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=31103
in Science & sports > Volume 29 numéro 3 (Juin 2014) . - p.131-137[article] Effet du jeûne du Ramadan et de l’exercice maximal sur le temps de réaction simple et de choix chez des sujets entraînés = Effect of Ramadan observance and maximal exercise on simple and choice reaction times in trained men [texte imprimé] / H. Bouhlel, Auteur ; I. Latiri, Auteur ; N. Zarrrouk, Auteur . - 2014 . - p.131-137.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 29 numéro 3 (Juin 2014) . - p.131-137
Mots-clés : Temps de réaction Jeûne du Ramadan Exercice maximal Puissance maximale aérobie Résumé : Objectif
L’objectif était d’évaluer l’effet du jeûne du Ramadan et de l’exercice maximal sur le temps de réaction chez des sujets entraînés.
Méthodes
Dix jeunes karatékas (âge : 18,5±0,5ans, taille : 1,76±0,44m) ont été testés lors de trois sessions : période de contrôle (C), à la fin de la première semaine (R-1) et pendant la quatrième semaine de Ramadan (R-4). À chaque session, les sujets ont effectué un test progressif jusqu’à épuisement sur ergocycle. La consommation maximale d’oxygène ( ) était déterminée à l’aide d’analyseurs de gaz (modèle ZAN 600). La fréquence cardiaque (FC) et la perception de l’effort (RPE) étaient enregistrées avant, pendant et après l’effort maximal. La glycémie et les temps de réaction (simple, SRT et de choix : CRT) étaient mesurés avant et après l’exercice.
Résultats
Le jeûne du Ramadan n’a pas d’effet sur CRT au repos et après l’exercice maximal-deux jambes sur ergocycle chez nos athlètes. Le seul effet du jeûne était observé sur SRT (p<0,05). et la puissance maximale aérobie (PMA) n’ont significativement pas changé lors des trois sessions ainsi que les temps de réaction après exercice maximal.
Conclusion
Malgré le maintien de la glycémie et de la PMA, SRT était altéré au cours du jeûne du Ramadan. Ceci suggère que le jeûne du Ramadan constitue surtout un changement de mode de vie et que son effet sur le temps de réaction serait spécifique à la nature de la tâche cognitive. En outre, l’exercice maximal progressif de 9–11minutes mené jusqu’à n’a pas d’effet sur le temps de réaction simple ou de choix.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=31103 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtEffects of high-intense stimuli on continuous running exercise at the ventilatory threshold in Science & sports, Volume 26 numéro 5 (01/11/2011)
[article]
Titre : Effects of high-intense stimuli on continuous running exercise at the ventilatory threshold Titre original : Effets des stimuli d’une course de forte intensité sur un exercice de course continu au seuil anaérobie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.292-297 Langues : Français (fre) Mots-clés : exercice physiologie fatigue exercice maximal Résumé : Objectifs
Vérifier les effets d’une séance d’entraînement par intervalles sur des paramètres physiologiques et cinématiques lors d’une course continue réalisée au seuil anaérobie.
Méthodes
Dix sujets mâles sains ont initialement exécuté un test de course cumulatif afin de déterminer le seuil anaérobie et la vitesse aérobie maximale. Lors d’une autre séance, les sujets ont exécuté dans l’ordre les trois tâches suivantes : (1) précourse de cinq minutes au seuil anaérobie. Après dix minutes de repos, (2) séance d’entraînement par intervalles (8 × 1 minute à vélocité maximale, alternés avec une minute à 50 % de la vélocité maximale). Après 15 minutes de repos, (3) postcourse de cinq minutes au seuil anaérobie. Le rythme cardiaque, la ventilation, le taux de glucose dans le sang, la concentration d’acide lactique, la perception de l’effort, la fréquence de la marche, la phase d’appui et la phase oscillante ont été comparés avant et après la séance d’entraînement par intervalles.
Résultats
Des augmentations significatives ont été trouvées, après l’entraînement par intervalles, pour le taux de glucose dans le sang (∼23 %), la ventilation (∼12 %), le rythme cardiaque (∼28 %), la concentration d’acide lactique (230 %), la perception de l’effort (∼25 %), ainsi que la fréquence de la marche (∼5 %).
Conclusion
Les stimuli induits par une course de forte intensité affectent la physiologie, la perception et la cinématique d’une course constante d’intensité modérée. Ces observations pourraient influer sur les programmes d’entraînement en considérant l’altération globale de la performance de la course.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21369
in Science & sports > Volume 26 numéro 5 (01/11/2011) . - pp.292-297[article] Effects of high-intense stimuli on continuous running exercise at the ventilatory threshold = Effets des stimuli d’une course de forte intensité sur un exercice de course continu au seuil anaérobie [texte imprimé] . - 2011 . - pp.292-297.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 26 numéro 5 (01/11/2011) . - pp.292-297
Mots-clés : exercice physiologie fatigue exercice maximal Résumé : Objectifs
Vérifier les effets d’une séance d’entraînement par intervalles sur des paramètres physiologiques et cinématiques lors d’une course continue réalisée au seuil anaérobie.
Méthodes
Dix sujets mâles sains ont initialement exécuté un test de course cumulatif afin de déterminer le seuil anaérobie et la vitesse aérobie maximale. Lors d’une autre séance, les sujets ont exécuté dans l’ordre les trois tâches suivantes : (1) précourse de cinq minutes au seuil anaérobie. Après dix minutes de repos, (2) séance d’entraînement par intervalles (8 × 1 minute à vélocité maximale, alternés avec une minute à 50 % de la vélocité maximale). Après 15 minutes de repos, (3) postcourse de cinq minutes au seuil anaérobie. Le rythme cardiaque, la ventilation, le taux de glucose dans le sang, la concentration d’acide lactique, la perception de l’effort, la fréquence de la marche, la phase d’appui et la phase oscillante ont été comparés avant et après la séance d’entraînement par intervalles.
Résultats
Des augmentations significatives ont été trouvées, après l’entraînement par intervalles, pour le taux de glucose dans le sang (∼23 %), la ventilation (∼12 %), le rythme cardiaque (∼28 %), la concentration d’acide lactique (230 %), la perception de l’effort (∼25 %), ainsi que la fréquence de la marche (∼5 %).
Conclusion
Les stimuli induits par une course de forte intensité affectent la physiologie, la perception et la cinématique d’une course constante d’intensité modérée. Ces observations pourraient influer sur les programmes d’entraînement en considérant l’altération globale de la performance de la course.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21369 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt