Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
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63 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'COMORBIDITE' ![Ne pas surligner les mots recherchés Ne pas surligner les mots recherchés](./images/text_horizontalrule.png)
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[article]
Titre : |
Difficultés mictionnelles avec des troubles de l'érection chez un patient obèse |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 35-37 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
OBESITE COMORBIDITE |
Résumé : |
Le déficit androgénique lié à l'âge s'accompagne d'une dysfonction érectile et de troubles mictionnels. Il est aggravé par la surcharge pondérale et doit faire évaluer le risque de comorbidité cardiovasculaire. La surcharge pondérale et le déficit androgénique lié à l'âge, à l'instar de certains médicaments ou perturbateurs endocriniens, faussent l'interprétation du dosage du PSA et peuvent faire méconnaître un cancer de la prostate. Il existe différentes options thérapeutiques pour les différents stades de cancer de la prostate localisés. Aucune n'est anodine, et chaque option doit être discutée avec le patient afin de déterminer celle qui lui apportera le moins d'effets secondaires. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=60703 |
in Le Concours Médical > 8 (octobre 2018) . - p. 35-37
[article] Difficultés mictionnelles avec des troubles de l'érection chez un patient obèse [] . - 2018 . - p. 35-37. Langues : Français ( fre) in Le Concours Médical > 8 (octobre 2018) . - p. 35-37
Mots-clés : |
OBESITE COMORBIDITE |
Résumé : |
Le déficit androgénique lié à l'âge s'accompagne d'une dysfonction érectile et de troubles mictionnels. Il est aggravé par la surcharge pondérale et doit faire évaluer le risque de comorbidité cardiovasculaire. La surcharge pondérale et le déficit androgénique lié à l'âge, à l'instar de certains médicaments ou perturbateurs endocriniens, faussent l'interprétation du dosage du PSA et peuvent faire méconnaître un cancer de la prostate. Il existe différentes options thérapeutiques pour les différents stades de cancer de la prostate localisés. Aucune n'est anodine, et chaque option doit être discutée avec le patient afin de déterminer celle qui lui apportera le moins d'effets secondaires. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=60703 |
| ![Difficultés mictionnelles avec des troubles de l'érection chez un patient obèse vignette](./images/vide.png) |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
![détail détail](./getgif.php?nomgif=plus)
[article]
Titre : |
Addictions : quand suspecter un trouble bipolaire? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Lisa Blecha ; Amine Benyamina |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p.26-31 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Addiction Trouble bipolaire Anamnèse Comorbidité Dépistage Diagnostic Échelle d'évaluation Evénement de vie Prévention Trouble de l'humeur |
Résumé : |
Près de 50 % des patients porteurs d’un trouble bipolaire souffrent également d’une addiction. Les substances le plus souvent rencontrées sont l’alcool, le cannabis, les psychostimulants et la cocaïne. Les addictions seraient autant représentées dans le trouble bipolaire de type 1 que dans le type 2. Cette comorbidité aggrave le pronostic de la maladie bipolaire et complique beaucoup sa prise en charge thérapeutique. Le lien physiopathologique entre ces deux maladies et les raisons de leur association fréquente ne sont pas clairement élucidés. Les recommandations de bonne pratique dans ces situations restent peu nombreuses. Cet article propose une synthèse des données de la littérature sur le sujet. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=55598 |
in Santé mentale > 223 (Décembre 2017) . - p.26-31
| ![Addictions : quand suspecter un trouble bipolaire? vignette](./images/vide.png) |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
![détail détail](./getgif.php?nomgif=plus)
[article]
Titre : |
La condition physique fonctionnelle chez des patients présentant une addiction à l’alcool et son évolution après 4 semaines de réadaptation |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
M. Bulvestre ; M. Mastour ; P.-M. Leprêtre |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 267-275 |
Note générale : |
https://doi : 10.1016/j.scispo.2021.09.001 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Pluridisciplinaire Condition physique Activités physiques adaptées Comorbidité |
Résumé : |
Objectifs
Dans notre pratique clinique quotidienne, l’activité physique adaptée santé (APAS) a été intégrée dans le programme pluridisciplinaire en soins de suite et de réadaptation en addictologie. Cette étude rétrospective a pour objectif de découvrir la condition physique fonctionnelle des patients présentant une addiction à l’alcool et d’évaluer les effets du programme sur celle-ci.
Méthodes
Deux cent soixante quatorze patients ont été inclus dans l’étude. À l’entrée, les tests de lever de chaise, d’équilibre unipodal, de marche de 6minutes et la mesure de la distance doigts-sol ont été réalisés. En l’absence de référence pour cette population, les valeurs obtenues ont été comparées avec celles de la population générale. Le volume horaire total d’APAS était de 19heures de pratique d’exercice physique d’intensité modérée sur 4 semaines.
Résultats
À l’entrée 92 % des patients présentaient une condition physique diminuée dont 93 % présentaient au moins une comorbidité. Les 4 semaines de prise en charge ont induit une amélioration significative des performances dans chaque dimension testée de la condition physique (p<0,001) indépendamment de la sévérité de leur santé globale et leur condition physique initiale. Les résultats suggèrent que l’évaluation de la condition physique présente de nombreux intérêts dans l’accompagnement thérapeutique des patients présentant une addiction à l’alcool. La présence fréquente de comorbidités renforce également l’idée d’une considération plus large de la prescription des APAS en prévention des maladies chroniques et de la perte d’autonomie pour cette population. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=104836 |
in Science & sports > Vol.37 N°4 (Juin 2022) . - p. 267-275
[article] La condition physique fonctionnelle chez des patients présentant une addiction à l’alcool et son évolution après 4 semaines de réadaptation [texte imprimé] / M. Bulvestre ; M. Mastour ; P.-M. Leprêtre . - 2022 . - p. 267-275. https://doi : 10.1016/j.scispo.2021.09.001 Langues : Français ( fre) in Science & sports > Vol.37 N°4 (Juin 2022) . - p. 267-275
Mots-clés : |
Pluridisciplinaire Condition physique Activités physiques adaptées Comorbidité |
Résumé : |
Objectifs
Dans notre pratique clinique quotidienne, l’activité physique adaptée santé (APAS) a été intégrée dans le programme pluridisciplinaire en soins de suite et de réadaptation en addictologie. Cette étude rétrospective a pour objectif de découvrir la condition physique fonctionnelle des patients présentant une addiction à l’alcool et d’évaluer les effets du programme sur celle-ci.
Méthodes
Deux cent soixante quatorze patients ont été inclus dans l’étude. À l’entrée, les tests de lever de chaise, d’équilibre unipodal, de marche de 6minutes et la mesure de la distance doigts-sol ont été réalisés. En l’absence de référence pour cette population, les valeurs obtenues ont été comparées avec celles de la population générale. Le volume horaire total d’APAS était de 19heures de pratique d’exercice physique d’intensité modérée sur 4 semaines.
Résultats
À l’entrée 92 % des patients présentaient une condition physique diminuée dont 93 % présentaient au moins une comorbidité. Les 4 semaines de prise en charge ont induit une amélioration significative des performances dans chaque dimension testée de la condition physique (p<0,001) indépendamment de la sévérité de leur santé globale et leur condition physique initiale. Les résultats suggèrent que l’évaluation de la condition physique présente de nombreux intérêts dans l’accompagnement thérapeutique des patients présentant une addiction à l’alcool. La présence fréquente de comorbidités renforce également l’idée d’une considération plus large de la prescription des APAS en prévention des maladies chroniques et de la perte d’autonomie pour cette population. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=104836 |
|
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
TRAITEMENT DE L’HYPERTHYROÏDIE CHEZ LE CHAT LORS DE MALADIE RÉNALE CONCOMITANTE |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Émilie Krafft |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p. 46-51 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Maladie rénale chronique hyperthyroïdie comorbidité chat |
Résumé : |
Une hyperthyroïdie doit toujours être traitée en première intention et faire l’objet d’un suivi rigoureux et régulier chez les chats souffrant d’une maladie rénale concomitante.
L’hyperthyroïdie et les maladies rénales chroniques sont des affections fréquentes chez les chats âgés, souvent présentes simultanément. Une maladie rénale chronique est ainsi détectée chez 10 à 20 % des chats au moment du diagnostic de l’hyperthyroïdie. Face à cette comorbidité, le praticien peut être enclin à maintenir un certain degré d’hyperthyroïdie, voire à ne pas traiter la dysendocrinie.
Par ailleurs, une hypercréatininémie se développe dans 15 à 60 % des cas moins d’un an après la mise en place du traitement de l’hyperthyroïdie. Cela peut être perçu comme un effet indésirable du traitement, incitant à l’arrêter ou à le diminuer.
Toutefois, bien que la prise en charge s’adapte au degré d’avancement de la néphropathie, les effets délétères des hormones thyroïdiennes sur les reins doivent toujours amener à traiter efficacement l’hyperthyroïdie en première intention, même lors de néphropathie concomitante. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=112948 |
in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°445 (septembre 2023) . - p. 46-51
[article] TRAITEMENT DE L’HYPERTHYROÏDIE CHEZ LE CHAT LORS DE MALADIE RÉNALE CONCOMITANTE [texte imprimé] / Émilie Krafft . - 2023 . - p. 46-51. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°445 (septembre 2023) . - p. 46-51
Mots-clés : |
Maladie rénale chronique hyperthyroïdie comorbidité chat |
Résumé : |
Une hyperthyroïdie doit toujours être traitée en première intention et faire l’objet d’un suivi rigoureux et régulier chez les chats souffrant d’une maladie rénale concomitante.
L’hyperthyroïdie et les maladies rénales chroniques sont des affections fréquentes chez les chats âgés, souvent présentes simultanément. Une maladie rénale chronique est ainsi détectée chez 10 à 20 % des chats au moment du diagnostic de l’hyperthyroïdie. Face à cette comorbidité, le praticien peut être enclin à maintenir un certain degré d’hyperthyroïdie, voire à ne pas traiter la dysendocrinie.
Par ailleurs, une hypercréatininémie se développe dans 15 à 60 % des cas moins d’un an après la mise en place du traitement de l’hyperthyroïdie. Cela peut être perçu comme un effet indésirable du traitement, incitant à l’arrêter ou à le diminuer.
Toutefois, bien que la prise en charge s’adapte au degré d’avancement de la néphropathie, les effets délétères des hormones thyroïdiennes sur les reins doivent toujours amener à traiter efficacement l’hyperthyroïdie en première intention, même lors de néphropathie concomitante. |
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