Titre :	Le diagnostic ergothérapique en Institutions Publiques de la Protection de la Jeunesse, une valeur ajoutée dans le projet individualisé de la délinquance juvénile
Type de document :	TFE / Mémoire
Auteurs :	Sirimanotham Sittideth ; Cécile Leroy, Promoteur du mémoire
Editeur :	Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut
Année de publication :	2021
Importance :	38p.
Note générale :	Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur .
Langues :	Français (fre)
Index. décimale :	TFE Ergo TFE Ergothérapie
Résumé :	Objectifs : L’objectif de notre étude vise à explorer un nouveau secteur, celui de la protection de la jeunesse en intervenant auprès d’adolescentes en difficultés placées en Institution Publique de la Protection de la Jeunesse dans une collaboration en binôme avec les équipes de terrain, et ensuite de vérifier si l’expertise ergothérapique pouvait apporter des éléments nouveaux et une plus-value aussi bien dans l’accompagnement des adolescents qu’en concertations pluridisciplinaires. Méthode : L’étude est réalisée auprès de dix adolescentes mineures placées par le juge de l’enfance pour des faits qualifiés d’infractions pour une durée soit de quinze jours, soit de trente jours au « service accueil » d’un l’IPPJ. Toute l’intervention se fait en binôme avec les éducateurs spécialisés. Après avoir observé et évalué chaque jeune avec des outils en lien avec Modèle de l’Occupation Humaine, l’ergothérapeute tentera d’apporter son avis, des éléments nouveaux et une plus-value lors des concertations pluridisciplinaires. Les différents intervenants évalueront la plus-value de l’intervention ergothérapique au moyen d’un questionnaire qualitatif. Résultats : Les évaluations et la rédaction du diagnostic ergothérapique, ont permis de mettre en évidence des problématiques de comportements communes à toutes, essentiellement en lien avec « la motivation pour l’occupation » et « les habiletés d’interactions et de communications », qui représentent un frein à la participation et à un engagement possible dans une occupation. L’expertise ergothérapique dans l’observation, les évaluations et les éléments du diagnostic ont apporté une plus-value pour compléter les outils d’évaluations YLS/CMI-YCA et les bilans de fins de placements de chaque adolescente. Conclusion : Notre étude a finalement permis de constater d’une part, que l’ergothérapie pouvait apporter un soutien supplémentaire dans les interventions en tant qu’acteur de terrain en binôme avec les éducateurs spécialisés, et d’autre part qu’elle pouvait contribuer à l’observation et à la récolte d’informations avec une vision holistique de la personne grâces aux outils d’évaluations du MOH pour alimenter les bilans de l’IPPJ. Pour une première, les résultats de notre intervention, bien que non représentatifs, n’ont pu être obtenus que grâce aux « feedback » des intervenant. Cette collaboration ergothérapique s’est terminée avec une note positive et a permis au métier d’ergothérapeute d’élargir son champ d’intervention et de se créer une possible voie d’entrée dans la protection de la jeunesse.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=97346

Le diagnostic ergothérapique en Institutions Publiques de la Protection de la Jeunesse, une valeur ajoutée dans le projet individualisé de la délinquance juvénile [TFE / Mémoire] / Sirimanotham Sittideth ; Cécile Leroy, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2021 . - 38p.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur .
Langues : Français (fre)

Index. décimale :	TFE Ergo TFE Ergothérapie
Résumé :	Objectifs : L’objectif de notre étude vise à explorer un nouveau secteur, celui de la protection de la jeunesse en intervenant auprès d’adolescentes en difficultés placées en Institution Publique de la Protection de la Jeunesse dans une collaboration en binôme avec les équipes de terrain, et ensuite de vérifier si l’expertise ergothérapique pouvait apporter des éléments nouveaux et une plus-value aussi bien dans l’accompagnement des adolescents qu’en concertations pluridisciplinaires. Méthode : L’étude est réalisée auprès de dix adolescentes mineures placées par le juge de l’enfance pour des faits qualifiés d’infractions pour une durée soit de quinze jours, soit de trente jours au « service accueil » d’un l’IPPJ. Toute l’intervention se fait en binôme avec les éducateurs spécialisés. Après avoir observé et évalué chaque jeune avec des outils en lien avec Modèle de l’Occupation Humaine, l’ergothérapeute tentera d’apporter son avis, des éléments nouveaux et une plus-value lors des concertations pluridisciplinaires. Les différents intervenants évalueront la plus-value de l’intervention ergothérapique au moyen d’un questionnaire qualitatif. Résultats : Les évaluations et la rédaction du diagnostic ergothérapique, ont permis de mettre en évidence des problématiques de comportements communes à toutes, essentiellement en lien avec « la motivation pour l’occupation » et « les habiletés d’interactions et de communications », qui représentent un frein à la participation et à un engagement possible dans une occupation. L’expertise ergothérapique dans l’observation, les évaluations et les éléments du diagnostic ont apporté une plus-value pour compléter les outils d’évaluations YLS/CMI-YCA et les bilans de fins de placements de chaque adolescente. Conclusion : Notre étude a finalement permis de constater d’une part, que l’ergothérapie pouvait apporter un soutien supplémentaire dans les interventions en tant qu’acteur de terrain en binôme avec les éducateurs spécialisés, et d’autre part qu’elle pouvait contribuer à l’observation et à la récolte d’informations avec une vision holistique de la personne grâces aux outils d’évaluations du MOH pour alimenter les bilans de l’IPPJ. Pour une première, les résultats de notre intervention, bien que non représentatifs, n’ont pu être obtenus que grâce aux « feedback » des intervenant. Cette collaboration ergothérapique s’est terminée avec une note positive et a permis au métier d’ergothérapeute d’élargir son champ d’intervention et de se créer une possible voie d’entrée dans la protection de la jeunesse.
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