Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur C. Glorion |
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Les complications de la période d'élongation au cours d'un allongement osseux / C. Glorion in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 50, n°5 (juin 2007)
[article]
Titre : Les complications de la période d'élongation au cours d'un allongement osseux Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Glorion, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : P; 306-309 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13587
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°5 (juin 2007) . - P; 306-309[article] Les complications de la période d'élongation au cours d'un allongement osseux [texte imprimé] / C. Glorion, Auteur . - 2007 . - P; 306-309.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°5 (juin 2007) . - P; 306-309
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13587 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtÉpiphysiolyse fémorale supérieure / C. Klein in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 1 (Février 2016)
[article]
Titre : Épiphysiolyse fémorale supérieure Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Klein ; T. Odent ; C. Glorion Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-321-A-21 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épiphysiolyse fémorale supérieure Nécrose avasculaire de la tête fémorale Chondrolyse Conflit fémoroacétabulaire Chirurgie de la hanche Résumé : L'épiphysiolyse fémorale supérieure (EFS) correspond à un glissement de l'épiphyse fémorale supérieure par rapport au col fémoral. La zone de croissance est le siège de ce glissement dont le déplacement se produit le plus souvent en arrière et en dedans, sous l'effet du poids du corps. Cette affection survient le plus fréquemment lors de la puberté. Certains facteurs de risques épidémiologiques et métaboliques ont été retrouvés, avec principalement le surpoids. Il faut insister sur le retard fréquent du diagnostic dans les formes chroniques. L'évolution spontanée est dominée par la majoration du glissement et le risque de survenue d'un glissement « aigu », qui sont responsables des complications précoces (chondrolyse, ostéonécrose, etc.) et à long terme (conflit fémoroacétabulaire, arthrose secondaire). Le traitement vise à stopper la progression du glissement pour éviter les complications dont la fréquence augmente avec l'importance du déplacement. Actuellement, la classification clinique et radiologique tenant compte de la stabilité de l'épiphyse est la plus utilisée pour guider les indications thérapeutiques et semble la mieux corrélée au pronostic. Dans les formes peu déplacées et stables, la fixation en place par une vis canulée est la méthode de choix et donne de bons résultats chez la majorité des patients. Dans les formes instables ou à grand déplacement, qui posent le plus de problèmes, les diverses options chirurgicales ainsi que le délai d'intervention restent des sujets controversés. Un diagnostic précoce demeure le meilleur facteur pronostique dans cette affection. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42943
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 1 (Février 2016) . - 14-321-A-21[article] Épiphysiolyse fémorale supérieure [texte imprimé] / C. Klein ; T. Odent ; C. Glorion . - 2016 . - 14-321-A-21.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 1 (Février 2016) . - 14-321-A-21
Mots-clés : Épiphysiolyse fémorale supérieure Nécrose avasculaire de la tête fémorale Chondrolyse Conflit fémoroacétabulaire Chirurgie de la hanche Résumé : L'épiphysiolyse fémorale supérieure (EFS) correspond à un glissement de l'épiphyse fémorale supérieure par rapport au col fémoral. La zone de croissance est le siège de ce glissement dont le déplacement se produit le plus souvent en arrière et en dedans, sous l'effet du poids du corps. Cette affection survient le plus fréquemment lors de la puberté. Certains facteurs de risques épidémiologiques et métaboliques ont été retrouvés, avec principalement le surpoids. Il faut insister sur le retard fréquent du diagnostic dans les formes chroniques. L'évolution spontanée est dominée par la majoration du glissement et le risque de survenue d'un glissement « aigu », qui sont responsables des complications précoces (chondrolyse, ostéonécrose, etc.) et à long terme (conflit fémoroacétabulaire, arthrose secondaire). Le traitement vise à stopper la progression du glissement pour éviter les complications dont la fréquence augmente avec l'importance du déplacement. Actuellement, la classification clinique et radiologique tenant compte de la stabilité de l'épiphyse est la plus utilisée pour guider les indications thérapeutiques et semble la mieux corrélée au pronostic. Dans les formes peu déplacées et stables, la fixation en place par une vis canulée est la méthode de choix et donne de bons résultats chez la majorité des patients. Dans les formes instables ou à grand déplacement, qui posent le plus de problèmes, les diverses options chirurgicales ainsi que le délai d'intervention restent des sujets controversés. Un diagnostic précoce demeure le meilleur facteur pronostique dans cette affection. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42943 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture du rachis chez l'enfant / T. Odent in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 2 (Avril 2014)
[article]
Titre : Fracture du rachis chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Odent ; C. Pfirmann ; C. Glorion Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-815-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42927
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 15-815-A-10[article] Fracture du rachis chez l'enfant [texte imprimé] / T. Odent ; C. Pfirmann ; C. Glorion . - 2014 . - 15-815-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 15-815-A-10
Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42927 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture du rachis chez l'enfant / T. Odent in EMC : Appareil locomoteur, (Mars 2013)
[article]
Titre : Fracture du rachis chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Odent ; C. Pfirrmann ; C. Glorion Année de publication : 2013 Article en page(s) : 15-815-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Note de contenu : Introduction
Généralités
Épidémiologie
Anatomie des vertèbres en croissance
Élément de stabilité rachidienne
Particularités biomécaniques
Bilan clinique et radiologique
Particularités des lésions traumatiques de l'enfant
Lésions médullaires sans lésion radiologique osseuse visible
Risque évolutif avec la croissance
Traumatisme du rachis cervical
Lésions du rachis cervical supérieur
Luxation occipitocervicale
Fracture de l'atlas
Luxation rotatoire C1-C2
Fracture de l'apophyse odontoïde
Fractures de l'arc postérieur de C2
Luxation C2-C3
Lésions du rachis cervical inférieur
Traumatisme du rachis thoracolombaire
Généralités
Classification
Traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44090
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2013) . - 15-815-A-10 [Tome 7][article] Fracture du rachis chez l'enfant [texte imprimé] / T. Odent ; C. Pfirrmann ; C. Glorion . - 2013 . - 15-815-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2013) . - 15-815-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Note de contenu : Introduction
Généralités
Épidémiologie
Anatomie des vertèbres en croissance
Élément de stabilité rachidienne
Particularités biomécaniques
Bilan clinique et radiologique
Particularités des lésions traumatiques de l'enfant
Lésions médullaires sans lésion radiologique osseuse visible
Risque évolutif avec la croissance
Traumatisme du rachis cervical
Lésions du rachis cervical supérieur
Luxation occipitocervicale
Fracture de l'atlas
Luxation rotatoire C1-C2
Fracture de l'apophyse odontoïde
Fractures de l'arc postérieur de C2
Luxation C2-C3
Lésions du rachis cervical inférieur
Traumatisme du rachis thoracolombaire
Généralités
Classification
Traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44090 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kyste osseux anévrismal / Pierre-Louis Docquier in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Kyste osseux anévrismal Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Louis Docquier, Auteur ; C. Glorion, Auteur ; Christian Delloye, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-771 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux anévrismal Lésion primaire et lésion secondaire Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Résumé : Le kyste osseux anévrismal est une lésion bénigne qui naît souvent en position excentrée de la métaphyse des os longs et qui en grandissant, peut souffler l'os. Cette pseudotumeur peut également concerner le bassin et la colonne vertébrale. La lésion peut occasionner des douleurs d'intensité variable et provoquer une tuméfaction qui devient apparente si la tumeur est soufflante. Aux os longs, la fracture pathologique est rare sauf pour les kystes de localisation centrale, mais au niveau vertébral les tassements ne sont pas rares. Bien que la radiographie standard puisse parfois suffire à porter le diagnostic, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est plus performante pour le diagnostic différentiel. Une biopsie s'impose car le kyste anévrismal est parfois secondaire à une lésion maligne telle que l'ostéosarcome télangiectasique. La théorie étiopathogénique la plus répandue est celle d'un processus réactionnel à une malformation veineuse mais la théorie néoplasique est actuellement évoquée depuis la découverte de la translocation t(16;17)(q22;p13) qui est récurrente dans les kystes anévrismaux primaires. Des cas de guérison spontanée ou de guérison après biopsie ont été rapportés mais sont rares. Le plus souvent, un traitement est nécessaire. Étant donné que le kyste anévrismal est une tumeur bénigne, le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. De nombreuses techniques mini-invasives sont maintenant disponibles et ont montré leur efficacité. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Os longs
Colonne vertébrale
Pelvis
Sacrum
Étiopathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Angiographie
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse au technétium
Diagnostic différentiel
Kyste osseux simple
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Fibrome chondromyxoïde
Tumeur à cellules géantes
Ostéosarcome télangiectasique
Anatomie pathologique
Aspects macroscopiques
Aspects microscopiques
Immunomarquage
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Transformation maligne
Trouble de croissance
Traitement
Radiothérapie
Embolisation sélective
Injection d'Ethibloc
Cryothérapie
Curetage chirurgical
Injections percutanées
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44053
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-771 [Tome 6][article] Kyste osseux anévrismal [texte imprimé] / Pierre-Louis Docquier, Auteur ; C. Glorion, Auteur ; Christian Delloye, Auteur . - 2010 . - 14-771 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-771 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux anévrismal Lésion primaire et lésion secondaire Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Résumé : Le kyste osseux anévrismal est une lésion bénigne qui naît souvent en position excentrée de la métaphyse des os longs et qui en grandissant, peut souffler l'os. Cette pseudotumeur peut également concerner le bassin et la colonne vertébrale. La lésion peut occasionner des douleurs d'intensité variable et provoquer une tuméfaction qui devient apparente si la tumeur est soufflante. Aux os longs, la fracture pathologique est rare sauf pour les kystes de localisation centrale, mais au niveau vertébral les tassements ne sont pas rares. Bien que la radiographie standard puisse parfois suffire à porter le diagnostic, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est plus performante pour le diagnostic différentiel. Une biopsie s'impose car le kyste anévrismal est parfois secondaire à une lésion maligne telle que l'ostéosarcome télangiectasique. La théorie étiopathogénique la plus répandue est celle d'un processus réactionnel à une malformation veineuse mais la théorie néoplasique est actuellement évoquée depuis la découverte de la translocation t(16;17)(q22;p13) qui est récurrente dans les kystes anévrismaux primaires. Des cas de guérison spontanée ou de guérison après biopsie ont été rapportés mais sont rares. Le plus souvent, un traitement est nécessaire. Étant donné que le kyste anévrismal est une tumeur bénigne, le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. De nombreuses techniques mini-invasives sont maintenant disponibles et ont montré leur efficacité. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Os longs
Colonne vertébrale
Pelvis
Sacrum
Étiopathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Angiographie
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse au technétium
Diagnostic différentiel
Kyste osseux simple
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Fibrome chondromyxoïde
Tumeur à cellules géantes
Ostéosarcome télangiectasique
Anatomie pathologique
Aspects macroscopiques
Aspects microscopiques
Immunomarquage
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Transformation maligne
Trouble de croissance
Traitement
Radiothérapie
Embolisation sélective
Injection d'Ethibloc
Cryothérapie
Curetage chirurgical
Injections percutanées
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44053 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Optimal ilio-sacral screw trajectory in paediatric patients : a computed tomography study / Mathilde Gaume in Acta Orthopaedica Belgica, Vol.87/2 (Juin 2021)
PermalinkLa reconstruction des membres après une tumeur maligne chez l'enfant / S. Pannier in Soins pédiatrie/puériculture, 270 (janvier-février 2013)
PermalinkSpécificité de la reconstruction des membres pour tumeur maligne chez l'enfant / Eric Mascard in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°3 (Août 2022)
PermalinkSpécificité de la reconstruction des membres pour tumeur maligne chez l'enfant / S. Pannier in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
Permalink