Titre :	Influence de variables anthropométriques sur la cadence en course à pied : Effet spécifique de la longueur des membres inférieurs et de l’indice cormique
Type de document :	TFE / Mémoire
Auteurs :	Clément Couvelard ; Mikael Scohier, Promoteur du mémoire
Editeur :	Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut
Année de publication :	2021
Importance :	28p.
Note générale :	Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	course à pied  économie de course  cadence optimale  cadence spontanée  anthropométrie  indice cormique
Index. décimale :	MK Mémoire Kinésithérapie
Résumé :	Introduction – Pour être le plus performant et économe possible, le coureur de fond pourrait bénéficier de l’adoption d’une cadence élevée, proche de 170 à 180 pas par minute. Cependant, pour les novices, cette cadence n’est pas si naturelle et simple à suivre. Spontanément, ils adoptent des cadences souvent inférieures à cet optimum. A l’inverse, les athlètes de haut niveau se rapprochent davantage de cadences même plus élevées. Les paramètres anthropométriques de ces derniers laissent penser qu’ils ont proportionnellement de grandes jambes et que dès lors, il pourrait être intéressant d’observer si l’indice cormique, c’est-à-dire le rapport entre la taille du buste et celle des jambes, exprimé en pourcentage, possède un impact sur les cadences spontanées et optimales. Méthodes – Vingt-cinq sujets sains, non-coureurs, de type européen qui répondaient aux critères de sélection, ont participé à l’expérimentation. Après une prise de mesures de paramètres anthropométriques et la détermination de leur vitesse spontanée, les sujets ont couru sur un tapis roulant afin de déterminer leur cadence spontanée et optimale. Une analyse statistique a ensuite permis de vérifier s’il existait ou non une relation entre ces données. Résultats – Une augmentation de la vitesse spontanée et/ou du volume de l’activité physique était associée à une augmentation de la cadence spontanée. Une diminution de la taille debout et/ou de la longueur de la cuisse était, elle, associée à une augmentation de la cadence optimale. Aucune corrélation n’a pu être mise en évidence entre l’indice de masse corporelle, la masse de la cuisse et de la jambe, la longueur de la jambe, l’indice cormique vs les différentes cadences. Conclusion – Cette étude novatrice sur le sujet n’a pas permis de mettre en évidence une relation entre l’indice cormique et les cadences spontanées et optimales pour une population de sujets sains, non-coureurs, de type européen et ce, dans nos conditions expérimentales. D’autres paramètres tels que le temps de contact au sol, la raideur de la jambe ou le type de chaussures portées auraient pu modifier les cadences des sujets.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=96784

Influence de variables anthropométriques sur la cadence en course à pied : Effet spécifique de la longueur des membres inférieurs et de l’indice cormique [TFE / Mémoire] / Clément Couvelard ; Mikael Scohier, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2021 . - 28p.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut.
Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	course à pied  économie de course  cadence optimale  cadence spontanée  anthropométrie  indice cormique
Index. décimale :	MK Mémoire Kinésithérapie
Résumé :	Introduction – Pour être le plus performant et économe possible, le coureur de fond pourrait bénéficier de l’adoption d’une cadence élevée, proche de 170 à 180 pas par minute. Cependant, pour les novices, cette cadence n’est pas si naturelle et simple à suivre. Spontanément, ils adoptent des cadences souvent inférieures à cet optimum. A l’inverse, les athlètes de haut niveau se rapprochent davantage de cadences même plus élevées. Les paramètres anthropométriques de ces derniers laissent penser qu’ils ont proportionnellement de grandes jambes et que dès lors, il pourrait être intéressant d’observer si l’indice cormique, c’est-à-dire le rapport entre la taille du buste et celle des jambes, exprimé en pourcentage, possède un impact sur les cadences spontanées et optimales. Méthodes – Vingt-cinq sujets sains, non-coureurs, de type européen qui répondaient aux critères de sélection, ont participé à l’expérimentation. Après une prise de mesures de paramètres anthropométriques et la détermination de leur vitesse spontanée, les sujets ont couru sur un tapis roulant afin de déterminer leur cadence spontanée et optimale. Une analyse statistique a ensuite permis de vérifier s’il existait ou non une relation entre ces données. Résultats – Une augmentation de la vitesse spontanée et/ou du volume de l’activité physique était associée à une augmentation de la cadence spontanée. Une diminution de la taille debout et/ou de la longueur de la cuisse était, elle, associée à une augmentation de la cadence optimale. Aucune corrélation n’a pu être mise en évidence entre l’indice de masse corporelle, la masse de la cuisse et de la jambe, la longueur de la jambe, l’indice cormique vs les différentes cadences. Conclusion – Cette étude novatrice sur le sujet n’a pas permis de mettre en évidence une relation entre l’indice cormique et les cadences spontanées et optimales pour une population de sujets sains, non-coureurs, de type européen et ce, dans nos conditions expérimentales. D’autres paramètres tels que le temps de contact au sol, la raideur de la jambe ou le type de chaussures portées auraient pu modifier les cadences des sujets.
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