Dépouillements

Exercice de haute intensité et variations du pH salivaire en hypoxie / S. Julia-Sanchez in Science & sports, vol.29 n°6 (Décembre 2014)

Public ISBD [article]  inScience & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.306-310 Titre : Exercice de haute intensité et variations du pH salivaire en hypoxie Titre original : Salivary pH increases after jump exercises in hypoxia Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Julia-Sanchez, Auteur ; J. Alvarez-Herms, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.306-310 Langues : Français (fre) Mots-clés : Salivary pH  Exercise  Hypoxia  Anaerobic metabolism  pH salivaire  Exercice  Hypoxie  Métabolisme anaérobique Résumé : Objectives The purpose of the present study was to determine if high intensity exercise performed in hypoxia could affect the salivary pH response in comparison to normoxia. Methods Eight healthy and physically active subjects performed a randomized single blinded protocol consisting in six sets of 15 seconds stretch-shortening-cycles (SSC) jumping at three different conditions: (T1) baseline test at 550m altitude, (T2) at 2500m simulated altitude (O2=16.4%), and (T3) at 4000m simulated altitude (O2=13.4%). Non-stimulated whole saliva samples were collected for all subjects before and after the exercise. Blood lactate, oxygen saturation and heart rate were measured to assess the anaerobic character of the test. Results The results revealed an increase in salivary pH values after the exercise, only reaching significance for altitude conditions (T2, P=0.009; T3, P=0.026). No significant differences in blood lactate were detected when comparing the three experimental conditions. Conclusions Our results suggest that exercise performed in normobaric hypoxia has stronger effects in saliva alkalinization than when performed under normoxia. As salivary pH is strongly associated with caries incidence, more research is needed to assess the clinical significance of changes in salivary pH due to intense exercise in normobaric hypoxia. Objectifs Le but de notre étude était de déterminer si l’exercice de haute intensité réalisé en hypoxie peut affecter la réponse du pH salivaire par rapport à la normoxie. Sujets et méthodes Huit sujets ont participé à un protocole simple et aléatoire à l’aveugle. Le protocole d’exécution composé de six séries de cycles d’étirement-raccourcissement, de 15 secondes d’écart, sous trois conditions différentes : (T1) test de référence à 550m d’altitude, (T2) en simulation d’altitude 2500m (O2=16,4 %) et (T3) à l’altitude simulée 4000m (O2=13,4 %). Des échantillons de salive non stimulées ont été recueillies avant et après l’exercice. Le lactate de sang, la saturation en oxygène et la fréquence cardiaque ont été mesurés afin d’évaluer le caractère anaérobique de l’essai. Résultats Nos résultats ont révélé une augmentation des valeurs de pH salivaire après l’exercice, atteignant la signification statistique pour des tests développés en altitude (T2, p=0,009 ; T3, p=0,026). Conclusion Nos résultats suggèrent que l’exercice en hypoxie normobarique provoque une alcalinisation accrue de la salive que lorsqu’elles sont réalisées sous normoxie. Le pH salivaire étant fortement associé à l’incidence des caries, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer la signification clinique des modifications de pH salivaire dû à un exercice intense en hypoxie normobarique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34197 [article] Exercice de haute intensité et variations du pH salivaire en hypoxie = Salivary pH increases after jump exercises in hypoxia [texte imprimé] / S. Julia-Sanchez, Auteur ; J. Alvarez-Herms, Auteur . - 2014 . - p.306-310. Langues : Français (fre) in Science & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.306-310 Mots-clés : Salivary pH  Exercise  Hypoxia  Anaerobic metabolism  pH salivaire  Exercice  Hypoxie  Métabolisme anaérobique Résumé : Objectives The purpose of the present study was to determine if high intensity exercise performed in hypoxia could affect the salivary pH response in comparison to normoxia. Methods Eight healthy and physically active subjects performed a randomized single blinded protocol consisting in six sets of 15 seconds stretch-shortening-cycles (SSC) jumping at three different conditions: (T1) baseline test at 550m altitude, (T2) at 2500m simulated altitude (O2=16.4%), and (T3) at 4000m simulated altitude (O2=13.4%). Non-stimulated whole saliva samples were collected for all subjects before and after the exercise. Blood lactate, oxygen saturation and heart rate were measured to assess the anaerobic character of the test. Results The results revealed an increase in salivary pH values after the exercise, only reaching significance for altitude conditions (T2, P=0.009; T3, P=0.026). No significant differences in blood lactate were detected when comparing the three experimental conditions. Conclusions Our results suggest that exercise performed in normobaric hypoxia has stronger effects in saliva alkalinization than when performed under normoxia. As salivary pH is strongly associated with caries incidence, more research is needed to assess the clinical significance of changes in salivary pH due to intense exercise in normobaric hypoxia. Objectifs Le but de notre étude était de déterminer si l’exercice de haute intensité réalisé en hypoxie peut affecter la réponse du pH salivaire par rapport à la normoxie. Sujets et méthodes Huit sujets ont participé à un protocole simple et aléatoire à l’aveugle. Le protocole d’exécution composé de six séries de cycles d’étirement-raccourcissement, de 15 secondes d’écart, sous trois conditions différentes : (T1) test de référence à 550m d’altitude, (T2) en simulation d’altitude 2500m (O2=16,4 %) et (T3) à l’altitude simulée 4000m (O2=13,4 %). Des échantillons de salive non stimulées ont été recueillies avant et après l’exercice. Le lactate de sang, la saturation en oxygène et la fréquence cardiaque ont été mesurés afin d’évaluer le caractère anaérobique de l’essai. Résultats Nos résultats ont révélé une augmentation des valeurs de pH salivaire après l’exercice, atteignant la signification statistique pour des tests développés en altitude (T2, p=0,009 ; T3, p=0,026). Conclusion Nos résultats suggèrent que l’exercice en hypoxie normobarique provoque une alcalinisation accrue de la salive que lorsqu’elles sont réalisées sous normoxie. Le pH salivaire étant fortement associé à l’incidence des caries, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer la signification clinique des modifications de pH salivaire dû à un exercice intense en hypoxie normobarique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34197

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La performance anaérobie après l’entraînement en force d’endurance en milieu hypobarique / J. Alvarez-Herms in Science & sports, vol.29 n°6 (Décembre 2014)

Public ISBD [article]  inScience & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.311-318 Titre : La performance anaérobie après l’entraînement en force d’endurance en milieu hypobarique Titre original : Anaerobic performance after endurance strength training in hypobaric environment Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Alvarez-Herms, Auteur ; S. Julia-Sanchez, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.311-318 Langues : Français (fre) Mots-clés : Jumping performance  Hypobaric chamber  Altitude training  Intermittent hypoxia  performance  Saut verticale  Caisson hypobare  Entraînement en altitude  Hypoxie intermittente Résumé : Summary Objective This study was aimed to assess anaerobic capacity after an endurance strength training (EST) protocol for 4weeks. Methods A group of volunteers (n=5) trained in a hypobaric chamber at a simulated altitude of 2500m (HYP), while the other (n=7), trained at sea level (NOR). Anaerobic power was tested before and after the training protocol through the widely used Bosco's vertical jump test procedures: squat jump (SJ), countermovement jump (CMJ) and sixty seconds repeated maximal countermovement vertical jump (60CMJ). The mean height for the whole 60CMJ test (cm), partial heights every 5 and 15sec were measured and the fatigue index (60CMJ/CMJ] was calculated. Results Hypoxic training significantly improved mean height for 60CMJ by 6.75% (P=0.029) in comparison to normoxic training. The fatigue index was also significantly lower (P=0.031) in the HYP group than in the NOR group. Partial heights at 45–60” intervals increased by 32.9% in the post-training test for the HYP group (P=0.004), compared to a lower improvement of 21.9% for the NOR group (P=0.022). Conclusions Our study shows a better anaerobic capacity after EST training at a moderate simulated altitude compared with that attained following the same training protocol at sea level. Résumé Objectif Cette étude avait pour objectif à évaluer la capacité anaérobie après un protocole d’entraînement d’endurance de puissance (EST) pendant 4 semaines. Méthodes Un groupe de volontaires (n=5) a été entraîné dans un caisson hypobare à une altitude simulée de 2500m (HYP), tandis que l’autre (n=7), l’a été au niveau de la mer (NOR). La puissance anaérobie a été testée avant et après le protocole d’entraînement au moyen de la procédure largement utilisée du test de détente verticale de Bosco : squat jump (SJ), saut de contremouvement (CMJ) et sauts verticaux maximaux répétés de contremouvement dans 60secondes (60CMJ). La hauteur moyenne pour l’ensemble du test 60CMJ (cm), les hauteurs partielles chaque 5 et 15secondes ont été mesurées et l’indice de fatigue (60CMJ/CMJ] a été calculé. Résultats L’entraînement en hypoxie a considérablement amélioré la hauteur 6,75 % (p=0,029) pour 60CMJ par rapport à l’entraînement en normoxie. L’indice de fatigue était également significativement plus faible (p=0,031) dans le groupe HYP que dans le groupe NOR. Des hauteurs partielles à intervalles de 45–60” ont augmenté de 32,9 % dans le test post-entraînement pour le groupe HYP (p=0,004), comparativement à une amélioration inférieure de 21,9 % pour le groupe NOR (p=0,022). Conclusions Notre étude montre une meilleure capacité anaérobie après l’entraînement EST à une altitude simulée modéré par rapport à celui atteint en suivant le même protocole d’entraînement au niveau de la mer. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34198 [article] La performance anaérobie après l’entraînement en force d’endurance en milieu hypobarique = Anaerobic performance after endurance strength training in hypobaric environment [texte imprimé] / J. Alvarez-Herms, Auteur ; S. Julia-Sanchez, Auteur . - 2014 . - p.311-318. Langues : Français (fre) in Science & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.311-318 Mots-clés : Jumping performance  Hypobaric chamber  Altitude training  Intermittent hypoxia  performance  Saut verticale  Caisson hypobare  Entraînement en altitude  Hypoxie intermittente Résumé : Summary Objective This study was aimed to assess anaerobic capacity after an endurance strength training (EST) protocol for 4weeks. Methods A group of volunteers (n=5) trained in a hypobaric chamber at a simulated altitude of 2500m (HYP), while the other (n=7), trained at sea level (NOR). Anaerobic power was tested before and after the training protocol through the widely used Bosco's vertical jump test procedures: squat jump (SJ), countermovement jump (CMJ) and sixty seconds repeated maximal countermovement vertical jump (60CMJ). The mean height for the whole 60CMJ test (cm), partial heights every 5 and 15sec were measured and the fatigue index (60CMJ/CMJ] was calculated. Results Hypoxic training significantly improved mean height for 60CMJ by 6.75% (P=0.029) in comparison to normoxic training. The fatigue index was also significantly lower (P=0.031) in the HYP group than in the NOR group. Partial heights at 45–60” intervals increased by 32.9% in the post-training test for the HYP group (P=0.004), compared to a lower improvement of 21.9% for the NOR group (P=0.022). Conclusions Our study shows a better anaerobic capacity after EST training at a moderate simulated altitude compared with that attained following the same training protocol at sea level. Résumé Objectif Cette étude avait pour objectif à évaluer la capacité anaérobie après un protocole d’entraînement d’endurance de puissance (EST) pendant 4 semaines. Méthodes Un groupe de volontaires (n=5) a été entraîné dans un caisson hypobare à une altitude simulée de 2500m (HYP), tandis que l’autre (n=7), l’a été au niveau de la mer (NOR). La puissance anaérobie a été testée avant et après le protocole d’entraînement au moyen de la procédure largement utilisée du test de détente verticale de Bosco : squat jump (SJ), saut de contremouvement (CMJ) et sauts verticaux maximaux répétés de contremouvement dans 60secondes (60CMJ). La hauteur moyenne pour l’ensemble du test 60CMJ (cm), les hauteurs partielles chaque 5 et 15secondes ont été mesurées et l’indice de fatigue (60CMJ/CMJ] a été calculé. Résultats L’entraînement en hypoxie a considérablement amélioré la hauteur 6,75 % (p=0,029) pour 60CMJ par rapport à l’entraînement en normoxie. L’indice de fatigue était également significativement plus faible (p=0,031) dans le groupe HYP que dans le groupe NOR. Des hauteurs partielles à intervalles de 45–60” ont augmenté de 32,9 % dans le test post-entraînement pour le groupe HYP (p=0,004), comparativement à une amélioration inférieure de 21,9 % pour le groupe NOR (p=0,022). Conclusions Notre étude montre une meilleure capacité anaérobie après l’entraînement EST à une altitude simulée modéré par rapport à celui atteint en suivant le même protocole d’entraînement au niveau de la mer. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34198

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Effets de l’heure de la journée sur la capacité aérobie, le contenu musculaire en glycogène et la performance de nage chez des rats / W.R BECK in Science & sports, vol.29 n°6 (Décembre 2014)

Public ISBD [article]  inScience & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.319-323 Titre : Effets de l’heure de la journée sur la capacité aérobie, le contenu musculaire en glycogène et la performance de nage chez des rats Titre original : Time of day effects on aerobic capacity, muscle glycogen content and performance assessment in swimming rats Type de document : texte imprimé Auteurs : W.R BECK, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.319-323 Langues : Français (fre) Mots-clés : Forced swimming  Time to exhaustion  Aerobic capacity  Time of day  Lactate minimum test  nage forcée  Temps limite à l’épuisement  Capacité aérobie  L’heure du jour  Test de lactate minimum Résumé : Summary Objective The aims of this study were to analyze the time of day effects on aerobic capacity, time to exhaustion at this intensity and skeletal muscle glycogen concentration in swimming rats. Methods Initially, 80 animals were divided in four groups handled and tested at 12:00 and 20:00h and subjected to a lactate minimum test. For 12:00 and 20:00h, the lactate minimum intensity was successfully determined in 65 vs 85% of the animals, respectively, and no significant differences (P=0.15) were found between groups for this variable (4.95±0.40 vs 4.83±0.48% body weight, respectively). Forty-eight hours after, exercised groups (at 12:00h or 20:00h) performed an exhaustive swim bout at lactate minimum intensity. Results Time to exhaustion was significantly greater (P=0.03) for rats exercised in the dark vs light period (108.89±46.33 vs 77.96±30.81min, respectively). In addition, higher skeletal muscle glycogen concentrations were found in control group at 20:00h when compared to all other groups, probably playing an important role on time to exhaustion. These results suggest that although rat's aerobic capacity is not affected by the time of day, swimming performance is improved in the dark when compared to light period. Résumé Objectifs Investiguer les effets de l’heure du jour sur la capacité aérobiée, le temps d’épuisement à capacité aérobie, et la concentration de glycogène du muscle squelettique chez des rats lors d’un exercice de nage. Matériels et méthodes Initialement, 80 animaux ont été divisés en quatre groupes, testés à 12:00 et 20:00 et soumis à un test de lactate minimum. Pour 12:00 et 20:00h l’intensité de lactate minimum a été déterminée avec succès pour 65 et 85 % des animaux, respectivement, et aucune différence significative (p=0,15) n’a été observée entre les groupes pour cette variable (4,95±0,40 vs 4,83±0,48 % du poids corporel, respectivement). Quarante-huit heures après, les groupes qui ont fait les exercices à 12:00h ou 20:00h ont effectué un exercice de temps limite à l’épuisement de nage à l’intensité de lactate minimum. Résultats Le temps à l’épuisement a été significativement plus élevé (p=0,03) pour les rats qui ont fait les exercices le soir comparativement à ceux qui ont fait les exercices à la lumière du jour (108,89±46,33 vs 77,96±30,81min, respectivement). En outre, les concentrations de glycogène du muscle squelettique ont été plus élevées dans le groupe témoin (sans exercice), à 20:00h, comparées à celles des autres groupes, probablement jouant un rôle important sur le temps d’épuisement. Ces résultats suggèrent que même si la capacité aérobie des rats n’est pas affectée par l’heure de la journée, la performance de nage est améliorée dans l’obscurité par rapport à la lumière du jour. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34199 [article] Effets de l’heure de la journée sur la capacité aérobie, le contenu musculaire en glycogène et la performance de nage chez des rats = Time of day effects on aerobic capacity, muscle glycogen content and performance assessment in swimming rats [texte imprimé] / W.R BECK, Auteur . - 2014 . - p.319-323. Langues : Français (fre) in Science & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.319-323 Mots-clés : Forced swimming  Time to exhaustion  Aerobic capacity  Time of day  Lactate minimum test  nage forcée  Temps limite à l’épuisement  Capacité aérobie  L’heure du jour  Test de lactate minimum Résumé : Summary Objective The aims of this study were to analyze the time of day effects on aerobic capacity, time to exhaustion at this intensity and skeletal muscle glycogen concentration in swimming rats. Methods Initially, 80 animals were divided in four groups handled and tested at 12:00 and 20:00h and subjected to a lactate minimum test. For 12:00 and 20:00h, the lactate minimum intensity was successfully determined in 65 vs 85% of the animals, respectively, and no significant differences (P=0.15) were found between groups for this variable (4.95±0.40 vs 4.83±0.48% body weight, respectively). Forty-eight hours after, exercised groups (at 12:00h or 20:00h) performed an exhaustive swim bout at lactate minimum intensity. Results Time to exhaustion was significantly greater (P=0.03) for rats exercised in the dark vs light period (108.89±46.33 vs 77.96±30.81min, respectively). In addition, higher skeletal muscle glycogen concentrations were found in control group at 20:00h when compared to all other groups, probably playing an important role on time to exhaustion. These results suggest that although rat's aerobic capacity is not affected by the time of day, swimming performance is improved in the dark when compared to light period. Résumé Objectifs Investiguer les effets de l’heure du jour sur la capacité aérobiée, le temps d’épuisement à capacité aérobie, et la concentration de glycogène du muscle squelettique chez des rats lors d’un exercice de nage. Matériels et méthodes Initialement, 80 animaux ont été divisés en quatre groupes, testés à 12:00 et 20:00 et soumis à un test de lactate minimum. Pour 12:00 et 20:00h l’intensité de lactate minimum a été déterminée avec succès pour 65 et 85 % des animaux, respectivement, et aucune différence significative (p=0,15) n’a été observée entre les groupes pour cette variable (4,95±0,40 vs 4,83±0,48 % du poids corporel, respectivement). Quarante-huit heures après, les groupes qui ont fait les exercices à 12:00h ou 20:00h ont effectué un exercice de temps limite à l’épuisement de nage à l’intensité de lactate minimum. Résultats Le temps à l’épuisement a été significativement plus élevé (p=0,03) pour les rats qui ont fait les exercices le soir comparativement à ceux qui ont fait les exercices à la lumière du jour (108,89±46,33 vs 77,96±30,81min, respectivement). En outre, les concentrations de glycogène du muscle squelettique ont été plus élevées dans le groupe témoin (sans exercice), à 20:00h, comparées à celles des autres groupes, probablement jouant un rôle important sur le temps d’épuisement. Ces résultats suggèrent que même si la capacité aérobie des rats n’est pas affectée par l’heure de la journée, la performance de nage est améliorée dans l’obscurité par rapport à la lumière du jour. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34199

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Réactions physiologiques à la course à vitesse critique pendant des tests d’épuisement en continu et par intermittence / R. PENTEADO in Science & sports, vol.29 n°6 (Décembre 2014)

Public ISBD [article]  inScience & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.e99 Titre : Réactions physiologiques à la course à vitesse critique pendant des tests d’épuisement en continu et par intermittence Titre original : Physiological responses at critical running speed during continuous and intermittent exhaustion tests Type de document : texte imprimé Auteurs : R. PENTEADO, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.e99 Langues : Français (fre) Mots-clés : Critical speed  Running  Intermittent  Blood lactate  vitesse critique  Course  Course à pied  Intermittence  Taux de lactat Résumé : Summary Objectives The main aim of this study was to compare the time to exhaustion and physiological responses at critical speed during continuous and intermittent running in order to provide support to use critical speed during interval training sessions. Equipments and Method Nine male runners and triathletes completed an incremental treadmill test, two track performances of 800m and 2400m, in order to determine the critical speed, and finally two randomized tests until exhaustion, one continuous and other intermittent running (consisting of 4min running and 1min of passive recovery) performed at critical speed. Results The mean critical speed was 14.8±2.0km.h−1. The continuous and intermittent times to exhaustion were 19.3±6.4min and 37.9±14.6min respectively. The blood lactate response during continuous running showed an increase in values of about 9.0±0.8mmol.l−1 at the end of the exercise. On the other hand, only one of the 9 subjects analyzed, showed an abrupt increase in blood lactate during the intermittent running. The heart rate, perceived exertion and blood lactate measured at the end of both exhaustion tests were not significantly different compared with the incremental treadmill test values. Conclusions Our findings support the use of critical speed when looking for a blood lactate steady state during endurance interval sessions using a 4:1 ratio. Résumé Objectifs Le but de cette étude est de comparer le temps jusqu’à l’épuisement ainsi que les réactions physiologiques à vitesse critique pendant un effort physique en continu et intermittent afin de justifier l’utilisation de la vitesse critique lors des sessions d’entraînement intermittent. Équipement et méthodes Neuf coureurs et triathlètes masculins ont complété une épreuve de course à pied incrémentale sur tapis roulant et deux courses sur piste de 800m et 2400m afin d’établir la vitesse critique. Ils terminent par deux essais aléatoires effectués à vitesse critique jusqu’à l’épuisement : l’un en continu et l’autre par intermittence (course de 4minutes, puis une minute de récupération passive). Résultats La vitesse moyenne critique obtenue est de 14,8±2,0km.h−1. Les temps d’épuisement pour les efforts en continu et par intermittence obtenus sont respectivement de 19,3±6,4min et 37,9±14,6min. Le taux de lactate dans le sang à la fin de la course en continu a augmenté d’environ 9,0±0,8mmol.l−1. Par contre, un des 9 sujets a présenté une augmentation brutale du taux de lactate dans le sang pendant la course par intermittence. Les valeurs extrêmes de la fréquence cardiaque, de l’effort perçu et du taux de lactate dans le sang pour les deux tests d’épuisement ne sont pas significativement différentes des valeurs obtenues lors des tests sur tapis roulant. Conclusions Nos résultats appuient l’utilisation de la vitesse critique afin d’établir un état d’équilibre de lactate dans le sang pendant les séances d’intervalle endurance en utilisant un ratio de 4:1. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34200 [article] Réactions physiologiques à la course à vitesse critique pendant des tests d’épuisement en continu et par intermittence = Physiological responses at critical running speed during continuous and intermittent exhaustion tests [texte imprimé] / R. PENTEADO, Auteur . - 2014 . - p.e99. Langues : Français (fre) in Science & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.e99 Mots-clés : Critical speed  Running  Intermittent  Blood lactate  vitesse critique  Course  Course à pied  Intermittence  Taux de lactat Résumé : Summary Objectives The main aim of this study was to compare the time to exhaustion and physiological responses at critical speed during continuous and intermittent running in order to provide support to use critical speed during interval training sessions. Equipments and Method Nine male runners and triathletes completed an incremental treadmill test, two track performances of 800m and 2400m, in order to determine the critical speed, and finally two randomized tests until exhaustion, one continuous and other intermittent running (consisting of 4min running and 1min of passive recovery) performed at critical speed. Results The mean critical speed was 14.8±2.0km.h−1. The continuous and intermittent times to exhaustion were 19.3±6.4min and 37.9±14.6min respectively. The blood lactate response during continuous running showed an increase in values of about 9.0±0.8mmol.l−1 at the end of the exercise. On the other hand, only one of the 9 subjects analyzed, showed an abrupt increase in blood lactate during the intermittent running. The heart rate, perceived exertion and blood lactate measured at the end of both exhaustion tests were not significantly different compared with the incremental treadmill test values. Conclusions Our findings support the use of critical speed when looking for a blood lactate steady state during endurance interval sessions using a 4:1 ratio. Résumé Objectifs Le but de cette étude est de comparer le temps jusqu’à l’épuisement ainsi que les réactions physiologiques à vitesse critique pendant un effort physique en continu et intermittent afin de justifier l’utilisation de la vitesse critique lors des sessions d’entraînement intermittent. Équipement et méthodes Neuf coureurs et triathlètes masculins ont complété une épreuve de course à pied incrémentale sur tapis roulant et deux courses sur piste de 800m et 2400m afin d’établir la vitesse critique. Ils terminent par deux essais aléatoires effectués à vitesse critique jusqu’à l’épuisement : l’un en continu et l’autre par intermittence (course de 4minutes, puis une minute de récupération passive). Résultats La vitesse moyenne critique obtenue est de 14,8±2,0km.h−1. Les temps d’épuisement pour les efforts en continu et par intermittence obtenus sont respectivement de 19,3±6,4min et 37,9±14,6min. Le taux de lactate dans le sang à la fin de la course en continu a augmenté d’environ 9,0±0,8mmol.l−1. Par contre, un des 9 sujets a présenté une augmentation brutale du taux de lactate dans le sang pendant la course par intermittence. Les valeurs extrêmes de la fréquence cardiaque, de l’effort perçu et du taux de lactate dans le sang pour les deux tests d’épuisement ne sont pas significativement différentes des valeurs obtenues lors des tests sur tapis roulant. Conclusions Nos résultats appuient l’utilisation de la vitesse critique afin d’établir un état d’équilibre de lactate dans le sang pendant les séances d’intervalle endurance en utilisant un ratio de 4:1. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34200

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Reproductibilité relative et absolue des points de croisement métabolique et de l’oxydation maximale des lipides lors de l’exercice sur tapis roulant / H. MARZOUKI in Science & sports, vol.29 n°6 (Décembre 2014)

Public ISBD [article]  inScience & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.e107 Titre : Reproductibilité relative et absolue des points de croisement métabolique et de l’oxydation maximale des lipides lors de l’exercice sur tapis roulant Titre original : Relative and absolute reliability of the crossover and maximum fat oxidation points during treadmill running Type de document : texte imprimé Auteurs : H. MARZOUKI, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.e107 Langues : Français (fre) Mots-clés : Reliability  Crossover point  Maximum fat oxidation  Maximal aerobic speed  Treadmill  Aerobic metabolism  reproductibilité  Point de croisement métabolique  Oxydation maximale des lipides  Vitesse maximale aérobie  Tapis roulant  Métabolisme aérobie Résumé : Summary Objective was to investigate the relative and absolute reliability of cross over (COP) and maximal lipid oxidation (LIPOXmax) points during treadmill running in sedentary healthy subjects. Subjects and methods Twelve sedentary subjects (aged 20.5±1.0 years) performed in random sequence two submaximal graded exercise tests to test the criterion standard for reliability of metabolic tests on treadmill over a time interval of four days. Maximal oxygen intake and maximal aerobic velocity (MAS) were assessed, using a progressive maximal exercise test on a treadmill (Cosmed T170, Germany). Subjects performed two submaximal graded exercise tests (T1 and T2), based on the measured maximal aerobic speed (MAS). Respiratory parameters, the COP and the LIPOXmax points, and the maximal fat oxidation rate (MFO) were measured during these submaximal protocols. Results We found no significant differences between T1 and T2 with respect to COP, LIPOXmax and the MFO. Intra-class correlation (ICC) measures of relative reliability were 0.91 for COP, 0.84 for LIPOXmax and 0.803 for MFO. Coefficients of variation (CV) for COP and MFO values between T1 and T2 were low, falling well within the 10% criterion of absolute reliability (CVCOP=9.0%, CVMFO=2.6%). However, LIPOXmax showed greater variability (CV= 15.2%). The standard error of measurement±minimal detectable change (SEM±MDC) values were 0.89±2.08mL.min−1.kg−1, 1.79±4.17mL.min−1.kg−1 and 23.74±65.80mg.min−1 for COP, LIPOXmax and MFO, respectively. The mean differences (bias)±95% limits of agreement (LOA) were 0.4±5.9mL.min−1.kg−1, –0.4±8.8mL.min−1.kg−1 and 10.3±104.05mg.min−1 for COP, LIPOXmax and MFO, respectively. Conclusion Our data shows that COP, LIPOXmax, and MFO measurements on a treadmill, over a time interval of four days, are reproducible. These metabolic measurements could be used in sedentary subject to calibrate training intensity. Résumé Objectif Étudier la reproductibilité relative et absolue des points de croisement métabolique (COP) et de l’oxydation maximale des lipides (LIPOXmax) au cours de la course sur tapis roulant chez des sujets sains sédentaires. Sujets et méthodes Douze sujets sédentaires (âgés de 20,5±1,0ans) ont effectué dans un ordre aléatoire deux épreuves progressives sous-maximales dans un intervalle de temps de 4jours afin de tester la reproductibilité des tests métaboliques sur tapis roulant. Des mesures de consommation maximale d’oxygène et de la vitesse maximale aérobie ont été réalisées sur tapis roulant (Cosmed T170, Allemagne). Ensuite, les sujets ont effectué deux tests progressifs sous-maximaux (T1 et T2) en se basant sur la vitesse maximale aérobie mesurée (MAS). Des paramètres respiratoires, les points de croisement métabolique (COP) et l’oxydation maximale des lipides (LIPOXmax) ont été mesurés au cours de ces protocoles sous-maximaux. Résultats Nous n’avons trouvé aucune différence significative entre T1 et T2 par rapport aux points de COP et de LIPOXmax et le taux maximal d’oxydation des lipides (MFO). Les corrélations intra-classe (CCI) des mesures de la reproductibilité étaient de 0,91 pour le COP, de 0,84 pour le LIPOXmax et de 0,803 pour le MFO. Les coefficients de variation (CV) du COP et les valeurs de MFO entre T1 et T2 étaient faibles, se trouvant dans le critère de 10 % de la reproductibilité absolue (CV pour le COP=9,0 %, CV pour le MFO=2,6 %). Cependant, le LIPOXmax a montré une grande variabilité (CV=15,2 %). L’erreur-type de mesure±changement minimal détectable (SEM±MDC) étaient de 0,89±2,08mL.min−1.kg−1, 1,79±4,17mL.min−1.kg−1 et 23,74±65,80mg.min−1 pour le COP, le LIPOXmax et le MFO respectivement. Les différences moyennes (biais)±95 % des limites de l’agrément (LOA) étaient de 0,4±5,9mL.min−1.kg−1, –0,4±8,8mL.min−1.kg−1 et 10,3±104,05mg.min−1 pour le COP, le LIPOXmax et le MFO respectivement. Conclusion Nos données montrent que le COP, le LIPOXmax et le MFO mesurés sur un tapis roulant dans un intervalle de temps de 4jours, sont reproductibles. Ces indices métaboliques peuvent être utilisés chez le sujet sédentaire pour calibrer l’intensité de l’entraînement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34201 [article] Reproductibilité relative et absolue des points de croisement métabolique et de l’oxydation maximale des lipides lors de l’exercice sur tapis roulant = Relative and absolute reliability of the crossover and maximum fat oxidation points during treadmill running [texte imprimé] / H. MARZOUKI, Auteur . - 2014 . - p.e107. Langues : Français (fre) in Science & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.e107 Mots-clés : Reliability  Crossover point  Maximum fat oxidation  Maximal aerobic speed  Treadmill  Aerobic metabolism  reproductibilité  Point de croisement métabolique  Oxydation maximale des lipides  Vitesse maximale aérobie  Tapis roulant  Métabolisme aérobie Résumé : Summary Objective was to investigate the relative and absolute reliability of cross over (COP) and maximal lipid oxidation (LIPOXmax) points during treadmill running in sedentary healthy subjects. Subjects and methods Twelve sedentary subjects (aged 20.5±1.0 years) performed in random sequence two submaximal graded exercise tests to test the criterion standard for reliability of metabolic tests on treadmill over a time interval of four days. Maximal oxygen intake and maximal aerobic velocity (MAS) were assessed, using a progressive maximal exercise test on a treadmill (Cosmed T170, Germany). Subjects performed two submaximal graded exercise tests (T1 and T2), based on the measured maximal aerobic speed (MAS). Respiratory parameters, the COP and the LIPOXmax points, and the maximal fat oxidation rate (MFO) were measured during these submaximal protocols. Results We found no significant differences between T1 and T2 with respect to COP, LIPOXmax and the MFO. Intra-class correlation (ICC) measures of relative reliability were 0.91 for COP, 0.84 for LIPOXmax and 0.803 for MFO. Coefficients of variation (CV) for COP and MFO values between T1 and T2 were low, falling well within the 10% criterion of absolute reliability (CVCOP=9.0%, CVMFO=2.6%). However, LIPOXmax showed greater variability (CV= 15.2%). The standard error of measurement±minimal detectable change (SEM±MDC) values were 0.89±2.08mL.min−1.kg−1, 1.79±4.17mL.min−1.kg−1 and 23.74±65.80mg.min−1 for COP, LIPOXmax and MFO, respectively. The mean differences (bias)±95% limits of agreement (LOA) were 0.4±5.9mL.min−1.kg−1, –0.4±8.8mL.min−1.kg−1 and 10.3±104.05mg.min−1 for COP, LIPOXmax and MFO, respectively. Conclusion Our data shows that COP, LIPOXmax, and MFO measurements on a treadmill, over a time interval of four days, are reproducible. These metabolic measurements could be used in sedentary subject to calibrate training intensity. Résumé Objectif Étudier la reproductibilité relative et absolue des points de croisement métabolique (COP) et de l’oxydation maximale des lipides (LIPOXmax) au cours de la course sur tapis roulant chez des sujets sains sédentaires. Sujets et méthodes Douze sujets sédentaires (âgés de 20,5±1,0ans) ont effectué dans un ordre aléatoire deux épreuves progressives sous-maximales dans un intervalle de temps de 4jours afin de tester la reproductibilité des tests métaboliques sur tapis roulant. Des mesures de consommation maximale d’oxygène et de la vitesse maximale aérobie ont été réalisées sur tapis roulant (Cosmed T170, Allemagne). Ensuite, les sujets ont effectué deux tests progressifs sous-maximaux (T1 et T2) en se basant sur la vitesse maximale aérobie mesurée (MAS). Des paramètres respiratoires, les points de croisement métabolique (COP) et l’oxydation maximale des lipides (LIPOXmax) ont été mesurés au cours de ces protocoles sous-maximaux. Résultats Nous n’avons trouvé aucune différence significative entre T1 et T2 par rapport aux points de COP et de LIPOXmax et le taux maximal d’oxydation des lipides (MFO). Les corrélations intra-classe (CCI) des mesures de la reproductibilité étaient de 0,91 pour le COP, de 0,84 pour le LIPOXmax et de 0,803 pour le MFO. Les coefficients de variation (CV) du COP et les valeurs de MFO entre T1 et T2 étaient faibles, se trouvant dans le critère de 10 % de la reproductibilité absolue (CV pour le COP=9,0 %, CV pour le MFO=2,6 %). Cependant, le LIPOXmax a montré une grande variabilité (CV=15,2 %). L’erreur-type de mesure±changement minimal détectable (SEM±MDC) étaient de 0,89±2,08mL.min−1.kg−1, 1,79±4,17mL.min−1.kg−1 et 23,74±65,80mg.min−1 pour le COP, le LIPOXmax et le MFO respectivement. Les différences moyennes (biais)±95 % des limites de l’agrément (LOA) étaient de 0,4±5,9mL.min−1.kg−1, –0,4±8,8mL.min−1.kg−1 et 10,3±104,05mg.min−1 pour le COP, le LIPOXmax et le MFO respectivement. Conclusion Nos données montrent que le COP, le LIPOXmax et le MFO mesurés sur un tapis roulant dans un intervalle de temps de 4jours, sont reproductibles. Ces indices métaboliques peuvent être utilisés chez le sujet sédentaire pour calibrer l’intensité de l’entraînement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34201

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Comment peut-on améliorer la performance sportive des jeunes sportifs d’élite : résultats d’une analyse de contenu qualitative / K. DIEHL in Science & sports, vol.29 n°6 (Décembre 2014)

Public ISBD [article]  inScience & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.e115 Titre : Comment peut-on améliorer la performance sportive des jeunes sportifs d’élite : résultats d’une analyse de contenu qualitative Titre original : Possibilities to support elite adolescent athletes in improving performance: Results from a qualitative content analysis Type de document : texte imprimé Auteurs : K. DIEHL, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.e115 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sport  Demands  Adolescence  Défis  Jeunesse Résumé : Summary Objectives In their everyday life, elite adolescent athletes are faced with many challenges which can influence their performance. Therefore, the aim of our study was to ask young elite athletes what could possibly be done to support them in performing their sports and thus identify fields of improvement in elite adolescent sports. Equipment and methods Data were drawn from the nationwide GOAL Study (German Young Olympic Athletes’ Lifestyle and Health Study) on elite athletes aged between 14 and 18 years. Overall, 413 athletes answered the open-ended question (“In your opinion, what could be improved in order to facilitate performing your sport?”). The answers were analysed using qualitative content analysis. Results The school setting was one of the most frequently cited problems according to elite adolescent athletes. They also stated that the way they were treated by their coaches, the financial support (not) offered to them, the – in their opinion – insufficient medical care, the distance to and the equipment of sport facilities, as well as the timing and structure of their training sessions needed reconsidering. By taking into account co-occurrences and gender differences of these identified categories, it was possible to reveal potential starting points for intervention aiming at improving elite adolescent athletes’ performance. Therefore, the results are not only important for the athletes themselves but also for sport associations and coaches. Résumé Objectifs Dans leur vie quotidienne, les jeunes sportifs d’élite sont confrontés à de nombreux défis qui peuvent avoir une influence sur leurs performances sportives. Il était le but d’identifier ce qu’il pourrait être fait afin de les soutenir d’exercer leur sport et ainsi d’identifier les principaux domaines d’amélioration. Matériels et méthodes Les données sont issues de l’étude appelé GOAL Study (German Young Olympic Athletes’ Lifestyle and Health Study) qui vise à questionner des jeunes athlètes d’élite (14–18ans) de toute l’Allemagne. En tout, 413 athlètes ont répondu à la question ouverte (« À ton avis, que devrait être amélioré pour que ça soit plus facile pour toi d’exercer ton sport ? »). Les réponses ont été analysées par le biais d’une analyse de contenu qualitative. Résultats L’école était l’un des problèmes les plus fréquemment mentionnés. Les athlètes ont indiqué que la façon dont ils sont parfois traités par leur entraîneur, le soutien financier insuffisant (voire parfois inexistant), l’assistance médicale, la distance jusqu’à la salle du sport et l’équipement, ainsi que le rythme et la structure des séances d’entraînement étaient des aspects problématiques. En prenant en considération les co-occurrences de ces catégories identifiées et les différences entre les sexes, il nous était possible de révéler des potentiels points de départ pour une intervention. Pour cette raison, nos résultats sont importants non seulement pour les jeunes athlètes eux-mêmes, mais aussi pour les associations sportives et les entraîneurs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34202 [article] Comment peut-on améliorer la performance sportive des jeunes sportifs d’élite : résultats d’une analyse de contenu qualitative = Possibilities to support elite adolescent athletes in improving performance: Results from a qualitative content analysis [texte imprimé] / K. DIEHL, Auteur . - 2014 . - p.e115. Langues : Français (fre) in Science & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.e115 Mots-clés : Sport  Demands  Adolescence  Défis  Jeunesse Résumé : Summary Objectives In their everyday life, elite adolescent athletes are faced with many challenges which can influence their performance. Therefore, the aim of our study was to ask young elite athletes what could possibly be done to support them in performing their sports and thus identify fields of improvement in elite adolescent sports. Equipment and methods Data were drawn from the nationwide GOAL Study (German Young Olympic Athletes’ Lifestyle and Health Study) on elite athletes aged between 14 and 18 years. Overall, 413 athletes answered the open-ended question (“In your opinion, what could be improved in order to facilitate performing your sport?”). The answers were analysed using qualitative content analysis. Results The school setting was one of the most frequently cited problems according to elite adolescent athletes. They also stated that the way they were treated by their coaches, the financial support (not) offered to them, the – in their opinion – insufficient medical care, the distance to and the equipment of sport facilities, as well as the timing and structure of their training sessions needed reconsidering. By taking into account co-occurrences and gender differences of these identified categories, it was possible to reveal potential starting points for intervention aiming at improving elite adolescent athletes’ performance. Therefore, the results are not only important for the athletes themselves but also for sport associations and coaches. Résumé Objectifs Dans leur vie quotidienne, les jeunes sportifs d’élite sont confrontés à de nombreux défis qui peuvent avoir une influence sur leurs performances sportives. Il était le but d’identifier ce qu’il pourrait être fait afin de les soutenir d’exercer leur sport et ainsi d’identifier les principaux domaines d’amélioration. Matériels et méthodes Les données sont issues de l’étude appelé GOAL Study (German Young Olympic Athletes’ Lifestyle and Health Study) qui vise à questionner des jeunes athlètes d’élite (14–18ans) de toute l’Allemagne. En tout, 413 athlètes ont répondu à la question ouverte (« À ton avis, que devrait être amélioré pour que ça soit plus facile pour toi d’exercer ton sport ? »). Les réponses ont été analysées par le biais d’une analyse de contenu qualitative. Résultats L’école était l’un des problèmes les plus fréquemment mentionnés. Les athlètes ont indiqué que la façon dont ils sont parfois traités par leur entraîneur, le soutien financier insuffisant (voire parfois inexistant), l’assistance médicale, la distance jusqu’à la salle du sport et l’équipement, ainsi que le rythme et la structure des séances d’entraînement étaient des aspects problématiques. En prenant en considération les co-occurrences de ces catégories identifiées et les différences entre les sexes, il nous était possible de révéler des potentiels points de départ pour une intervention. Pour cette raison, nos résultats sont importants non seulement pour les jeunes athlètes eux-mêmes, mais aussi pour les associations sportives et les entraîneurs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34202

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