[article] 
inEnfances & psy > 89 (Juillet-septembre 2021) . - p. 147-154

Titre :	La haine au travail, accompagnement éducatif et thérapeutique de jeunes considérés comme « incasables »
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Helena Willo Toke
Année de publication :	2021
Article en page(s) :	p. 147-154
Note générale :	Issu du dossier : "Les figures de la haine".
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Adolescent placé en institution  Agressivité  Haine  Protection de l'enfance
Résumé :	En protection de l’enfance, lorsque l’on travaille avec des jeunes considérés comme « incasables », on s’attend à être confronté à des manifestations d’agressivité, de destructivité, de haine. On ne peut cependant se résoudre à condamner ou à faire taire ces mouvements haineux. Ils sont une opportunité d’un travail éducatif et thérapeutique de mise en sens du symptôme, afin d’en enrayer la répétition mortifère. Les agirs violents de Jean, de Stéphane et d’Olympe nous invitent à questionner nos pratiques auprès de ces enfants en grande souffrance. Cela nécessite une contenance institutionnelle suffisante pour supporter d’être, un temps, destinataires de mouvements qui cherchent la bonne adresse.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=95316

[article] La haine au travail, accompagnement éducatif et thérapeutique de jeunes considérés comme « incasables » [texte imprimé] / Helena Willo Toke . - 2021 . - p. 147-154.
Issu du dossier : "Les figures de la haine".
Langues : Français (fre)
in Enfances & psy > 89 (Juillet-septembre 2021) . - p. 147-154

Mots-clés :	Adolescent placé en institution  Agressivité  Haine  Protection de l'enfance
Résumé :	En protection de l’enfance, lorsque l’on travaille avec des jeunes considérés comme « incasables », on s’attend à être confronté à des manifestations d’agressivité, de destructivité, de haine. On ne peut cependant se résoudre à condamner ou à faire taire ces mouvements haineux. Ils sont une opportunité d’un travail éducatif et thérapeutique de mise en sens du symptôme, afin d’en enrayer la répétition mortifère. Les agirs violents de Jean, de Stéphane et d’Olympe nous invitent à questionner nos pratiques auprès de ces enfants en grande souffrance. Cela nécessite une contenance institutionnelle suffisante pour supporter d’être, un temps, destinataires de mouvements qui cherchent la bonne adresse.
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