[article] 
inJournal de traumatologie du sport > Vol.38, n°1 (Mars 2021) . - p.37-39

Titre :	Prise en charge fonctionnelle d’une fracture de type II du capitellum chez une joueuse de volley-ball
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	B. Picart, Auteur ; et al., Auteur
Année de publication :	2021
Article en page(s) :	p.37-39
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Coude
Résumé :	Les auteurs rapportent un cas de fracture de type II du capitellum, selon McKee, pris en charge fonctionnellement. Cette fracture par cisaillement qui emporte un petit fragment ostéo-chondral du capitellum est également connue sous le nom de fracture de « Kocher-Lorenz ». Diagnostiquée en aiguë, l’excision arthroscopique a été refusée par la patiente dans le contexte de pandémie à la Covid-19. Une immobilisation courte suivie d'une kinésithérapie pendant une période de 3 mois a donc été réalisée. Au dernier recul, malgré l’abstention chirurgicale, la patiente n’était pas douloureuse, avait repris ses activités sportives et montrait un arc de mobilité subcomplet. Les auteurs proposent de faire une mise au point sur la prise en charge de cette fracture rare.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=92700

[article] Prise en charge fonctionnelle d’une fracture de type II du capitellum chez une joueuse de volley-ball [texte imprimé] / B. Picart, Auteur ; et al., Auteur . - 2021 . - p.37-39.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.38, n°1 (Mars 2021) . - p.37-39

Mots-clés :	Coude
Résumé :	Les auteurs rapportent un cas de fracture de type II du capitellum, selon McKee, pris en charge fonctionnellement. Cette fracture par cisaillement qui emporte un petit fragment ostéo-chondral du capitellum est également connue sous le nom de fracture de « Kocher-Lorenz ». Diagnostiquée en aiguë, l’excision arthroscopique a été refusée par la patiente dans le contexte de pandémie à la Covid-19. Une immobilisation courte suivie d'une kinésithérapie pendant une période de 3 mois a donc été réalisée. Au dernier recul, malgré l’abstention chirurgicale, la patiente n’était pas douloureuse, avait repris ses activités sportives et montrait un arc de mobilité subcomplet. Les auteurs proposent de faire une mise au point sur la prise en charge de cette fracture rare.
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