[article] 
inLa revue de gériatrie > Vol.45 N°9 (Novembre 2020) . - p. 535-542

Titre :	Danser c’est la santé : étude préliminaire sur l’efficacité d’un programme régional de prévention
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Nicolas Droin ; Célia Ruffino ; Marion Chafiol ; France Mourey
Année de publication :	2020
Article en page(s) :	p. 535-542
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Exercice physique  Sujet âgé  Danse  Autonomie personnelle  exercices physiques  sujet âgé  danse  autonomie personnelle
Résumé :	Contexte : Face aux risques de perte d’autonomie liés au vieillissement démographique, les actions collectives de prévention permettent à la personne de préserver son capital autonomie, tout en restant impliquée dans un réseau de sociabilité. L’action « Danser c’est la santé » a ainsi été élaborée comme une activité physique adaptée aux « seniors » considérant la diversité des facteurs impliqués dans les situations d’isolement social. Objectif : Pour prévenir la perte d’autonomie des participants, l’objectif est d’augmenter le niveau d’activité physique en pratiquant collectivement la danse. Méthodes : L’évaluation vise à mesurer l’impact de l’action sur la fonction motrice et sur la mobilité fonctionnelle des bénéficiaires, en comparant statistiquement les résultats de tests validés et d’une grille d’analyse du mouvement, pré- et post-séances. Suivant la normalité des données, les tests de Student ou de Wilcoxon ont été utilisés. Résultats : Les résultats concernent 28 bénéficiaires et montrent, entre les deux temps d’évaluation, une amélioration significative de la vitesse de marche, de la limite de stabilité et de la mobilité fonctionnelle. La différence n’est pas significative concernant l’équilibre dynamique. Discussion : Une amélioration globale des dimensions physiques est observée dans cette expérimentation. Nous pouvons penser que cela se concrétisera dans le quotidien des bénéficiaires. L’approche spécifique développée pendant cette action revêt un intérêt majeur, en permettant une sollicitation complémentaire de multiples dimensions individuelles et collectives, pouvant agir sur l’autonomie et l’estime de soi. Conclusion : L’action collective de prévention « Danser c’est la santé » agit favorablement sur les capacités physiques de ses bénéficiaires et participe ainsi à la réduction des risques de perte d’autonomie.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=91136

[article] Danser c’est la santé : étude préliminaire sur l’efficacité d’un programme régional de prévention [texte imprimé] / Nicolas Droin ; Célia Ruffino ; Marion Chafiol ; France Mourey . - 2020 . - p. 535-542.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol.45 N°9 (Novembre 2020) . - p. 535-542

Mots-clés :	Exercice physique  Sujet âgé  Danse  Autonomie personnelle  exercices physiques  sujet âgé  danse  autonomie personnelle
Résumé :	Contexte : Face aux risques de perte d’autonomie liés au vieillissement démographique, les actions collectives de prévention permettent à la personne de préserver son capital autonomie, tout en restant impliquée dans un réseau de sociabilité. L’action « Danser c’est la santé » a ainsi été élaborée comme une activité physique adaptée aux « seniors » considérant la diversité des facteurs impliqués dans les situations d’isolement social. Objectif : Pour prévenir la perte d’autonomie des participants, l’objectif est d’augmenter le niveau d’activité physique en pratiquant collectivement la danse. Méthodes : L’évaluation vise à mesurer l’impact de l’action sur la fonction motrice et sur la mobilité fonctionnelle des bénéficiaires, en comparant statistiquement les résultats de tests validés et d’une grille d’analyse du mouvement, pré- et post-séances. Suivant la normalité des données, les tests de Student ou de Wilcoxon ont été utilisés. Résultats : Les résultats concernent 28 bénéficiaires et montrent, entre les deux temps d’évaluation, une amélioration significative de la vitesse de marche, de la limite de stabilité et de la mobilité fonctionnelle. La différence n’est pas significative concernant l’équilibre dynamique. Discussion : Une amélioration globale des dimensions physiques est observée dans cette expérimentation. Nous pouvons penser que cela se concrétisera dans le quotidien des bénéficiaires. L’approche spécifique développée pendant cette action revêt un intérêt majeur, en permettant une sollicitation complémentaire de multiples dimensions individuelles et collectives, pouvant agir sur l’autonomie et l’estime de soi. Conclusion : L’action collective de prévention « Danser c’est la santé » agit favorablement sur les capacités physiques de ses bénéficiaires et participe ainsi à la réduction des risques de perte d’autonomie.
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