[article] 
inLe Sociographe > 71 (septembre 2020) . - p. 129-141

Titre :	Gilets jaunes en France : le désir d’enfin autre chose : point de vue d’un travailleur social suisse
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Robert Frund
Année de publication :	2020
Article en page(s) :	p. 129-141
Note générale :	DOI : https://doi.org/10.3917/graph.071.0129
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Mouvement social  Société  Suisse  Système  Travail social
Résumé :	Le mouvement des Gilets jaunes est un mini-séisme provoqué par la collision des deux "plaques tectoniques" composant la société, le système et le monde vécu. Système du pouvoir et de l’économie d’un côté, monde vécu au quotidien par les sujets sociaux de l’autre. Vus de Suisse, ces débordements mobilisent quelques clichés sur les Français ingouvernables et râleurs. Nous devinons toutefois que derrière l’exubérance et la "manie" de descendre dans la rue, un véritable "malaise" social, une colère et une souffrance réelles sont à l’œuvre. Du coup, on se sent moins différents et plus concernés, on a envie de mieux comprendre le soulèvement citoyen de nos voisins. Cela formera la première partie de notre contribution.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=90440

[article] Gilets jaunes en France : le désir d’enfin autre chose : point de vue d’un travailleur social suisse [texte imprimé] / Robert Frund . - 2020 . - p. 129-141.
DOI : https://doi.org/10.3917/graph.071.0129
Langues : Français (fre)
in Le Sociographe > 71 (septembre 2020) . - p. 129-141

Mots-clés :	Mouvement social  Société  Suisse  Système  Travail social
Résumé :	Le mouvement des Gilets jaunes est un mini-séisme provoqué par la collision des deux "plaques tectoniques" composant la société, le système et le monde vécu. Système du pouvoir et de l’économie d’un côté, monde vécu au quotidien par les sujets sociaux de l’autre. Vus de Suisse, ces débordements mobilisent quelques clichés sur les Français ingouvernables et râleurs. Nous devinons toutefois que derrière l’exubérance et la "manie" de descendre dans la rue, un véritable "malaise" social, une colère et une souffrance réelles sont à l’œuvre. Du coup, on se sent moins différents et plus concernés, on a envie de mieux comprendre le soulèvement citoyen de nos voisins. Cela formera la première partie de notre contribution.
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