Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Détail de l'éditeur
CARHOP
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Bruxelles
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Le chômeur suspect : histoire d'une stigmatisation / Florence Loriaux
Titre : Le chômeur suspect : histoire d'une stigmatisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Loriaux, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Bruxelles : CARHOP Année de publication : 2015 Importance : 279p. Format : 24cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-930674-05-6 Prix : 22€ Langues : Français (fre) Mots-clés : Chomage chomeur stigmatisation préjugés discriminations Index. décimale : 316.343.5 Classes défavorisées et pauvreté Résumé : Dans une société qui conçoit le travail comme un devoir moral engageant la responsabilité individuelle de chacun, l’absence ou le manque de travail rend suspect. Souvent associé à l’oisiveté, « mère de tous les vices », le chômage est à la fois un risque social, contre lequel ont été mises en place des protections collectives, et une réalité vécue de manière personnelle.
Parfois vu comme une victime, le chômeur est aussi souvent soupçonné d’être responsable de sa situation, par manque de formation, par absence de motivation, voire par goût de la paresse. En période de plein-emploi, les sans-emploi sont accusés de vouloir vivre au crochet de la société. En temps de crise, les chômeurs sont perçus comme une menace pour l’ordre social et la démocratie, ainsi que pour les finances publiques et les dispositifs de protection sociale.
Hubert Dewez a été l’un des fondateurs du CARHOP et du CRISP. Syndicaliste et grand historien du mouvement ouvrier belge, il a publié de nombreux et importants ouvrages sous le pseudonyme Jean Neuville. Le second volume de son histoire de la condition ouvrière au 19e siècle est intitulé L’ouvrier suspect. Près de quarante ans après cet ouvrage majeur, Le chômeur suspect se veut à la fois un hommage à J. Neuville et un complément à son œuvre.
En examinant les discours, les représentations, les préjugés et les stéréotypes développés à l’encontre des chômeurs, particulièrement depuis le 19e siècle, ce livre met en avant les différents types de stigmatisation dont les chômeurs sont l’objet depuis plus de deux siècles. Il souligne aussi que cette focalisation sur des boucs émissaires dissimule des enjeux politiques, économiques et sociaux de première importance.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41872 Le chômeur suspect : histoire d'une stigmatisation [texte imprimé] / Florence Loriaux, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Bruxelles : CARHOP, 2015 . - 279p. ; 24cm.
ISBN : 978-2-930674-05-6 : 22€
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Chomage chomeur stigmatisation préjugés discriminations Index. décimale : 316.343.5 Classes défavorisées et pauvreté Résumé : Dans une société qui conçoit le travail comme un devoir moral engageant la responsabilité individuelle de chacun, l’absence ou le manque de travail rend suspect. Souvent associé à l’oisiveté, « mère de tous les vices », le chômage est à la fois un risque social, contre lequel ont été mises en place des protections collectives, et une réalité vécue de manière personnelle.
Parfois vu comme une victime, le chômeur est aussi souvent soupçonné d’être responsable de sa situation, par manque de formation, par absence de motivation, voire par goût de la paresse. En période de plein-emploi, les sans-emploi sont accusés de vouloir vivre au crochet de la société. En temps de crise, les chômeurs sont perçus comme une menace pour l’ordre social et la démocratie, ainsi que pour les finances publiques et les dispositifs de protection sociale.
Hubert Dewez a été l’un des fondateurs du CARHOP et du CRISP. Syndicaliste et grand historien du mouvement ouvrier belge, il a publié de nombreux et importants ouvrages sous le pseudonyme Jean Neuville. Le second volume de son histoire de la condition ouvrière au 19e siècle est intitulé L’ouvrier suspect. Près de quarante ans après cet ouvrage majeur, Le chômeur suspect se veut à la fois un hommage à J. Neuville et un complément à son œuvre.
En examinant les discours, les représentations, les préjugés et les stéréotypes développés à l’encontre des chômeurs, particulièrement depuis le 19e siècle, ce livre met en avant les différents types de stigmatisation dont les chômeurs sont l’objet depuis plus de deux siècles. Il souligne aussi que cette focalisation sur des boucs émissaires dissimule des enjeux politiques, économiques et sociaux de première importance.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41872 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité 316.343.5 LOR C Livre Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Etagères livres Disponible
DisponibleEnfants-Machines : histoire du travail des enfants en Belgique au XIXe et XXe siècles / Florence Loriaux
Titre : Enfants-Machines : histoire du travail des enfants en Belgique au XIXe et XXe siècles Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Loriaux, Auteur Editeur : Bruxelles : CARHOP Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : TRAVAIL : ENFANTS BELGIQUE : HISTOIRE Index. décimale : 326 Esclavage. Travail forcé Résumé : Actuellement, on estime à au moins 250 millions le nombre d enfants âgés de 5 à 14 ans exerçant un emploi non seulement dans les pays d Amérique latine, d Asie et d Afrique mais également en Europe. Bien entendu, cette mise au travail d enfants prend des formes variées qui vont de quelques heures de prestations après l école, à l exploitation la plus inhumaine : l esclavage. On les retrouve dans l agriculture, dans le travail domestique (intra-familial), dans les mines, les fabriques de céramique, de verres, les fabriques d allumettes et de feux d artifices, dans le secteur de la pêche, dans la construction, dans l industrie alimentaire et l hôtellerie. Mais, depuis ces dernières années, le commerce du sexe, la prostitution et la traite des enfants se sont également intensifiés sous l impulsion d une demande croissante liée à l extension du tourisme exotique. Face à cette dramatique situation, nous avons tendance à oublier que notre histoire nous renvoie à cette même problématique puisque au 19e siècle, les enfants sont massivement mis au travail. Durant les siècles précédents, le travail des enfants a sans doute aussi existé mais sous des formes moins violentes et moins généralisées. Avec la nouvelle organisation du travail industriel qui s impose au 18e et surtout au 19e siècle, les enfants se voient attribuer un rôle et une fonction de «véritables petits moteurs».
Il s agit de comprendre comment nos sociétés, sont arrivées à supprimer le travail des enfants partout (ou presque) où il sévissait naguère, parfois même contre l avis des parents ? Est-ce la législation de 1889 et son corollaire l inspection du travail ? Est-ce l obligation scolaire instaurée en 1914 ? Est-ce l amélioration des conditions salariales des adultes ? ou encore l innovation technologique, l évolution du mode familial ou simplement une forme d humanisme qui soutient que la place de l enfant est à l école? Sans doute est-ce l action combinée de tous ces facteurs qui a permis de mettre fin à l exploitation des enfants et ce livre apportera peut-être des éclairages à ces questions posées aujourd hui dans les campagnes pour l abolition du travail des enfants.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=3292 Enfants-Machines : histoire du travail des enfants en Belgique au XIXe et XXe siècles [texte imprimé] / Florence Loriaux, Auteur . - Bruxelles : CARHOP, 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TRAVAIL : ENFANTS BELGIQUE : HISTOIRE Index. décimale : 326 Esclavage. Travail forcé Résumé : Actuellement, on estime à au moins 250 millions le nombre d enfants âgés de 5 à 14 ans exerçant un emploi non seulement dans les pays d Amérique latine, d Asie et d Afrique mais également en Europe. Bien entendu, cette mise au travail d enfants prend des formes variées qui vont de quelques heures de prestations après l école, à l exploitation la plus inhumaine : l esclavage. On les retrouve dans l agriculture, dans le travail domestique (intra-familial), dans les mines, les fabriques de céramique, de verres, les fabriques d allumettes et de feux d artifices, dans le secteur de la pêche, dans la construction, dans l industrie alimentaire et l hôtellerie. Mais, depuis ces dernières années, le commerce du sexe, la prostitution et la traite des enfants se sont également intensifiés sous l impulsion d une demande croissante liée à l extension du tourisme exotique. Face à cette dramatique situation, nous avons tendance à oublier que notre histoire nous renvoie à cette même problématique puisque au 19e siècle, les enfants sont massivement mis au travail. Durant les siècles précédents, le travail des enfants a sans doute aussi existé mais sous des formes moins violentes et moins généralisées. Avec la nouvelle organisation du travail industriel qui s impose au 18e et surtout au 19e siècle, les enfants se voient attribuer un rôle et une fonction de «véritables petits moteurs».
Il s agit de comprendre comment nos sociétés, sont arrivées à supprimer le travail des enfants partout (ou presque) où il sévissait naguère, parfois même contre l avis des parents ? Est-ce la législation de 1889 et son corollaire l inspection du travail ? Est-ce l obligation scolaire instaurée en 1914 ? Est-ce l amélioration des conditions salariales des adultes ? ou encore l innovation technologique, l évolution du mode familial ou simplement une forme d humanisme qui soutient que la place de l enfant est à l école? Sans doute est-ce l action combinée de tous ces facteurs qui a permis de mettre fin à l exploitation des enfants et ce livre apportera peut-être des éclairages à ces questions posées aujourd hui dans les campagnes pour l abolition du travail des enfants.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=3292 Réservation
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