Centre de Documentation Campus Montignies
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[article]
Titre : |
Hyperprolactinémie transitoire secondaire aux benzodiazépines : à propos d’un cas |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Lucie Blandin ; Marc Siffert ; Marina Brailova ; et al. |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
p. 438-440 |
Note générale : |
DOI : 10.1684/abc.2020.1565 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
hyperprolactinémie benzodiazépines alprazolam |
Résumé : |
L’hyperprolactinémie est fréquente et représente 20 à 25 % des causes d’aménorrhée secondaire. Nous rapportons ici un cas d’hyperprolactinémie modérée observé chez une patiente de 40 ans consultant pour spanioménorrhées et douleurs inguinales dans un contexte de bartholinite. Après élimination des causes connues d’hyperprolactinémie, la prise médicamenteuse d’alprazolam est finalement incriminée. Cette notion d’hyperprolactinémie est retrouvée dans quelques études bibliographiques et figure aussi dans le résumé des caractéristiques du produit (RCP). Cependant, les benzodiazépines ne sont pas connues comme hyperprolactinémiantes dans la pratique des endocrinologues et ne figurent pas dans la liste des médicaments établie par le consensus d’experts de la Société française d’endocrinologie. Cet article a pour objectif de sensibiliser les cliniciens prescripteurs et les biologistes médicaux à la survenue possible d’une hyperprolactinémie chez les patients traités par benzodiazépines, d’autant plus que la prise de cette molécule est particulièrement fréquente en France qu’il s’agisse d’une prescription médicale ou d’une automédication. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=88350 |
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 78, n°4 (Juillet-Août 2020) . - p. 438-440
[article] Hyperprolactinémie transitoire secondaire aux benzodiazépines : à propos d’un cas [texte imprimé] / Lucie Blandin ; Marc Siffert ; Marina Brailova ; et al. . - 2020 . - p. 438-440. DOI : 10.1684/abc.2020.1565 Langues : Français ( fre) in Annales de Biologie Clinique > Vol. 78, n°4 (Juillet-Août 2020) . - p. 438-440
Mots-clés : |
hyperprolactinémie benzodiazépines alprazolam |
Résumé : |
L’hyperprolactinémie est fréquente et représente 20 à 25 % des causes d’aménorrhée secondaire. Nous rapportons ici un cas d’hyperprolactinémie modérée observé chez une patiente de 40 ans consultant pour spanioménorrhées et douleurs inguinales dans un contexte de bartholinite. Après élimination des causes connues d’hyperprolactinémie, la prise médicamenteuse d’alprazolam est finalement incriminée. Cette notion d’hyperprolactinémie est retrouvée dans quelques études bibliographiques et figure aussi dans le résumé des caractéristiques du produit (RCP). Cependant, les benzodiazépines ne sont pas connues comme hyperprolactinémiantes dans la pratique des endocrinologues et ne figurent pas dans la liste des médicaments établie par le consensus d’experts de la Société française d’endocrinologie. Cet article a pour objectif de sensibiliser les cliniciens prescripteurs et les biologistes médicaux à la survenue possible d’une hyperprolactinémie chez les patients traités par benzodiazépines, d’autant plus que la prise de cette molécule est particulièrement fréquente en France qu’il s’agisse d’une prescription médicale ou d’une automédication. |
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