[article]
Titre : |
Lorsque le poil paraît… |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Marc Glenat |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
p. 47-59 |
Note générale : |
DOI : 10.3917/graph.069.0047 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Adolescent Construction identitaire Corps Genre Travail social Trichologie |
Résumé : |
Pour l’auteur, le poil, ce modeste cuticule, serait une figure de l’obscène. Lorsque le poil parait, il sème du trouble, il effraie, dégoute ou fascine. Omniprésent dans l’imaginaire, il occupe une place de choix dans l’univers poétique ou spirituel. Tantôt exhibé, tantôt caché il est à l’image de la corporéité contemporaine : l’objet d’une autodétermination, pour l’individu d’aujourd’hui, dans les usages et dans la mise en scène de son corps. Le travail social, pour qui le corps est un des premiers lieux de l’action, est confronté parfois à bas bruit, parfois de manière plus tonitruante à cette gestion de l’affirmation identitaire dans laquelle le poil devient un signifiant, un étendard ou un symptôme. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=84379 |
in Le Sociographe > 69 (Mars 2020) . - p. 47-59
[article] Lorsque le poil paraît… [texte imprimé] / Jean-Marc Glenat . - 2020 . - p. 47-59. DOI : 10.3917/graph.069.0047 Langues : Français ( fre) in Le Sociographe > 69 (Mars 2020) . - p. 47-59
Mots-clés : |
Adolescent Construction identitaire Corps Genre Travail social Trichologie |
Résumé : |
Pour l’auteur, le poil, ce modeste cuticule, serait une figure de l’obscène. Lorsque le poil parait, il sème du trouble, il effraie, dégoute ou fascine. Omniprésent dans l’imaginaire, il occupe une place de choix dans l’univers poétique ou spirituel. Tantôt exhibé, tantôt caché il est à l’image de la corporéité contemporaine : l’objet d’une autodétermination, pour l’individu d’aujourd’hui, dans les usages et dans la mise en scène de son corps. Le travail social, pour qui le corps est un des premiers lieux de l’action, est confronté parfois à bas bruit, parfois de manière plus tonitruante à cette gestion de l’affirmation identitaire dans laquelle le poil devient un signifiant, un étendard ou un symptôme. |
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