[article] 
inL'Observatoire > 101 (Janvier 2020) . - p. 28-32

Titre :	Héberger et aider les victimes de violences conjugales à reprendre le pouvoir sur leur vie
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Aïcha Aït Hmad, Personne interviewée
Année de publication :	2020
Article en page(s) :	p. 28-32
Note générale :	Issu du dossier : "Lutter contre les violences conjugales : bien comprendre pour mieux agir"
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Violence conjugale  Femmes victimes de violence -- Protection, assistance, etc
Résumé :	"Le CVFE est né à Liège à la fin des années 70 à l’initiative d’une poignée de militantes. Celles-ci accueillaient alors bénévolement, au sein d’un refuge, des femmes victimes de violence conjugale à une époque où celle-ci était encore un sujet fortement tabou. Par la suite, soutenue et reconnue par les pouvoirs publics, l’association s’est de plus en plus professionnalisée et a élargi ses missions1, sans jamais néanmoins se départir de sa filiation militante. La responsable de la maison d’hébergement nous livre ses constats concernant les femmes accueillies, leurs difficultés et leurs ambivalences. Elle nous parle de l’aide et de l’accompagnement qui leur sont proposés avec, en filigrane, cet enjeu central : comment leur permettre d’accroître leur sécurité et de reprendre du contrôle, du pouvoir sur leur vie ?"
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=83914

[article] Héberger et aider les victimes de violences conjugales à reprendre le pouvoir sur leur vie [texte imprimé] / Aïcha Aït Hmad, Personne interviewée . - 2020 . - p. 28-32.
Issu du dossier : "Lutter contre les violences conjugales : bien comprendre pour mieux agir"
Langues : Français (fre)
in L'Observatoire > 101 (Janvier 2020) . - p. 28-32

Mots-clés :	Violence conjugale  Femmes victimes de violence -- Protection, assistance, etc
Résumé :	"Le CVFE est né à Liège à la fin des années 70 à l’initiative d’une poignée de militantes. Celles-ci accueillaient alors bénévolement, au sein d’un refuge, des femmes victimes de violence conjugale à une époque où celle-ci était encore un sujet fortement tabou. Par la suite, soutenue et reconnue par les pouvoirs publics, l’association s’est de plus en plus professionnalisée et a élargi ses missions1, sans jamais néanmoins se départir de sa filiation militante. La responsable de la maison d’hébergement nous livre ses constats concernant les femmes accueillies, leurs difficultés et leurs ambivalences. Elle nous parle de l’aide et de l’accompagnement qui leur sont proposés avec, en filigrane, cet enjeu central : comment leur permettre d’accroître leur sécurité et de reprendre du contrôle, du pouvoir sur leur vie ?"
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