Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
![Article: texte imprimé Article: texte imprimé](./images/icon_art_16x16.gif)
[article]
[article] Éditorial. La machine et l’orphelin [texte imprimé] / Philippe Gaberan . - 2019 . - p. 7-9. Devenir orphelin à l’âge adulte convoque l’être face à ses limites, le contraint à reconnaître et à admettre comme étant bien à soi cette peau fabriquée dans les contours afin de contenir la chair et l’esprit d’un sujet élaboré à tâtons. Les séparations ont jalonné les étapes, et les cicatrices affleurent. La première, le nombril. Les rides en sont d’autres. Autant de saillies dans l’épiderme qui adviennent au corps et à l’âme comme autant de pores par lesquelles la personne apprend à respirer seule et à passer de l’état d’Objet désiré à celui de Sujet aimé. Engendré non pas créé. Mais la mort impose au survivant la nécessité d’œuvrer afin que le regard défunt ne devienne le miroir brisé d’un amour envolé ; soi n’est pas condamné à disparaître avec l’autre dès lors que cet autre, sur le départ, l’a autorisé à poursuivre. Ultime geste de tendresse de la part des mourants, mère et père, à l’adresse du survivant. La perte de l’autre logé en soi n’est pas une perte de soi. La mort creuse un trou seulement chez qui veut la subir. Pour les autres, la béance laissée par l’absence se fait ouverture par la densité des petits riens ou souvenirs qui remontent des tréfonds et transpirent. Soi fait son deuil en écoutant le murmure des fantômes ; lentement, laborieusement, au saisir de chaque événement du passé qui pousse vers l’avant alors que l’avant s’est arrêté. Deux sens pour un même mot, le passé et le futur, que le présent de la mort entrechoque. Langues : Français (fre) in Empan > 115 (septembre 2019) . - p. 7-9
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