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Auteur Anne Tristan |
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Choc toxique staphylococcique menstruel en France : ce que vous devez savoir / Sibyle Etievant in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 566 (novembre 2024)
[article]
Titre : Choc toxique staphylococcique menstruel en France : ce que vous devez savoir Type de document : texte imprimé Auteurs : Sibyle Etievant ; Anne Tristan ; Gérard Lina Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 27-33 Note générale : Issu du dossier "Biologie pluridisciplinaire : La Revue Francophone des Laboratoires pour la culture des biologistes"
Doi : 10.1016/S1773-035X(24)00358-7Langues : Français (fre) Mots-clés : choc menstruel staphylococcus toxique toxine TSST-1 Résumé : En France, environ trente cas de choc toxique staphylococcique menstruel sont déclarés chaque année. Cette pathologie sévère peut entraîner une hospitalisation en unité de réanimation et, plus rarement, le décès si elle n’est pas traitée rapidement. Les premiers symptômes incluent fièvre, frissons, éruption cutanée et troubles digestifs. Ce syndrome survient chez des femmes durant leurs menstruations, utilisant des protections périodiques intravaginales (tampon, coupe menstruelle, etc.) et présentant une colonisation vaginale par Staphylococcus aureus producteur de la toxine du choc toxique staphylococcique (TSST-1 pour Toxic shock syndrome toxin-1). Cette toxine superantigénique, produite au niveau vaginal, active de façon non spécifique le système immunitaire, entraînant une libération massive de cytokines pro-inflammatoires. Le diagnostic de ce syndrome repose sur une association de critères cliniques et biologiques. Le diagnostic biologique implique l’isolement d’une souche de S. aureus producteur de TSST-1, généralement sur un prélèvement vaginal. Le retrait de la protection périodique intravaginale, l’administration d’une bêtalactamine antistaphylococcique et d’un antibiotique antitoxinique comme la clindamycine permettent de réduire la mortalité et les séquelles associées à cette maladie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120104
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 566 (novembre 2024) . - p. 27-33[article] Choc toxique staphylococcique menstruel en France : ce que vous devez savoir [texte imprimé] / Sibyle Etievant ; Anne Tristan ; Gérard Lina . - 2024 . - p. 27-33.
Issu du dossier "Biologie pluridisciplinaire : La Revue Francophone des Laboratoires pour la culture des biologistes"
Doi : 10.1016/S1773-035X(24)00358-7
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 566 (novembre 2024) . - p. 27-33
Mots-clés : choc menstruel staphylococcus toxique toxine TSST-1 Résumé : En France, environ trente cas de choc toxique staphylococcique menstruel sont déclarés chaque année. Cette pathologie sévère peut entraîner une hospitalisation en unité de réanimation et, plus rarement, le décès si elle n’est pas traitée rapidement. Les premiers symptômes incluent fièvre, frissons, éruption cutanée et troubles digestifs. Ce syndrome survient chez des femmes durant leurs menstruations, utilisant des protections périodiques intravaginales (tampon, coupe menstruelle, etc.) et présentant une colonisation vaginale par Staphylococcus aureus producteur de la toxine du choc toxique staphylococcique (TSST-1 pour Toxic shock syndrome toxin-1). Cette toxine superantigénique, produite au niveau vaginal, active de façon non spécifique le système immunitaire, entraînant une libération massive de cytokines pro-inflammatoires. Le diagnostic de ce syndrome repose sur une association de critères cliniques et biologiques. Le diagnostic biologique implique l’isolement d’une souche de S. aureus producteur de TSST-1, généralement sur un prélèvement vaginal. Le retrait de la protection périodique intravaginale, l’administration d’une bêtalactamine antistaphylococcique et d’un antibiotique antitoxinique comme la clindamycine permettent de réduire la mortalité et les séquelles associées à cette maladie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120104 Réservation
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