La thérapie fonctionnelle cognitive dans la prise en charge de la lombalgie chronique non spécifique / Pierre Lambert in Kinésithérapie, la revue, 272-273 (Septembtre 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 272-273 (Septembtre 2024) . - p. 23 Titre : La thérapie fonctionnelle cognitive dans la prise en charge de la lombalgie chronique non spécifique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Lambert ; Alain CHEVUTSCHI Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 23 Note générale : https://doi : 10.1016/j.kine.2024.05.014 Langues : Français (fre) Mots-clés : lombalgie chronique Résumé : La lombalgie chronique non spécifique (LCNS) est une pathologie représentant près d’un tiers des prises en charge en masso-kinésithérapie. Elle ne concerne qu’un patient lombalgique sur 10 mais concentre jusque 80 % des dépenses dans cette pathologie. Elle est la principale cause d’arrêt de travail entraînant des coûts de santé qui ont triplé sur les 40 dernières années. De nombreuses thérapies et techniques sont mises en place et étudiées. Parmi ces thérapies nous retrouvons la thérapie fonctionnelle cognitive (TFC) qui apporte une prise en charge nouvelle et qui repose sur un bilan précis et la prise de conscience de toutes les dimensions de la pathologie. L’objectif de notre étude est de déterminer si cette thérapie est répandue dans le cadre de la masso-kinésithérapie et quels sont les déterminants de son importance dans notre pratique. Méthode Un état de l’art suivi d’un questionnaire destinés aux masseurs-kinésithérapeutes diplômés et aux étudiants en masso-kinésithérapie. Résultats Au total, 80 % des étudiants en masso-kinésithérapie et 67,9 % des masseurs-kinésithérapeutes diplômés interrogées ne connaissaient pas la TFC. Chez les MKDE, cette thérapie est à plus de 50 % utilisée de manière fréquente et montre une certaine efficacité chez ceux l’utilisant dans le traitement de la LCNS. Chez les étudiants, 93,1 % jugeait intéressant d’étudier cette thérapie dans le cadre de leur formation initiale. Le manque de formations des MK dans le domaine et l’importance des professionnels quant à l’impact des patients comme un frein à la TFC pourrait expliquer sa faible expansion dans notre pratique. Les principales limites concernant cette thérapie sont décrites par les auteurs des études. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118799 [article] La thérapie fonctionnelle cognitive dans la prise en charge de la lombalgie chronique non spécifique [texte imprimé] / Pierre Lambert ; Alain CHEVUTSCHI . - 2024 . - p. 23. https://doi : 10.1016/j.kine.2024.05.014 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 272-273 (Septembtre 2024) . - p. 23 Mots-clés : lombalgie chronique Résumé : La lombalgie chronique non spécifique (LCNS) est une pathologie représentant près d’un tiers des prises en charge en masso-kinésithérapie. Elle ne concerne qu’un patient lombalgique sur 10 mais concentre jusque 80 % des dépenses dans cette pathologie. Elle est la principale cause d’arrêt de travail entraînant des coûts de santé qui ont triplé sur les 40 dernières années. De nombreuses thérapies et techniques sont mises en place et étudiées. Parmi ces thérapies nous retrouvons la thérapie fonctionnelle cognitive (TFC) qui apporte une prise en charge nouvelle et qui repose sur un bilan précis et la prise de conscience de toutes les dimensions de la pathologie. L’objectif de notre étude est de déterminer si cette thérapie est répandue dans le cadre de la masso-kinésithérapie et quels sont les déterminants de son importance dans notre pratique. Méthode Un état de l’art suivi d’un questionnaire destinés aux masseurs-kinésithérapeutes diplômés et aux étudiants en masso-kinésithérapie. Résultats Au total, 80 % des étudiants en masso-kinésithérapie et 67,9 % des masseurs-kinésithérapeutes diplômés interrogées ne connaissaient pas la TFC. Chez les MKDE, cette thérapie est à plus de 50 % utilisée de manière fréquente et montre une certaine efficacité chez ceux l’utilisant dans le traitement de la LCNS. Chez les étudiants, 93,1 % jugeait intéressant d’étudier cette thérapie dans le cadre de leur formation initiale. Le manque de formations des MK dans le domaine et l’importance des professionnels quant à l’impact des patients comme un frein à la TFC pourrait expliquer sa faible expansion dans notre pratique. Les principales limites concernant cette thérapie sont décrites par les auteurs des études. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118799

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