Développement d'indicateurs observationnels cliniques ou cinématiques permettant de quantifier le pelvic drop et le pelvic tilt durant la course à pied / Janelle Gandin

Public ISBD Titre : Développement d'indicateurs observationnels cliniques ou cinématiques permettant de quantifier le pelvic drop et le pelvic tilt durant la course à pied Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Janelle Gandin, Auteur ; Flavie Olejarz, Auteur ; Louis Catinus, Promoteur du mémoire ; Fabien Buisseret, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2024 Importance : 77p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pelvic drop  Pelvic tilt  Course à pied  Blessure  Ischio-jambiers Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Contexte et objectifs : Certains facteurs, tels qu'une faiblesse des muscles moyens fessiers ou une qu’une hyperflexibilité des ischio-jambiers, peuvent altérer la stabilité du bassin, entraînant deux phénomènes observables pendant la course : le pelvic drop et le pelvic tilt. Ceux-ci modifient la biomécanique de la course et pourraient accroître le risque de blessures au niveau du membre inférieur. L’objectif de ce mémoire est de développer des indicateurs cliniques ou cinématiques permettant de détecter et de quantifier le pelvic drop et le pelvic tilt durant la course, afin d’optimiser la prise en charge clinique. Méthodes : Une population de 41 sujets a été recrutée, comprenant 12 femmes et 29 hommes âgés entre 18-30 ans. La prise de mesure était scindée en 2 parties : une première pour le pelvic drop et une seconde pour le pelvic tilt. Pour les deux séances, les sujets ont été amenés à réaliser des tests statiques et une évaluation dynamique sur tapis de course. L’analyse dynamique s’est réalisée à vitesse d’endurance fondamentale pour le pelvic drop et à vitesse maximale pour le pelvic tilt. Résultats : Dans notre étude, aucune relation n’apparait entre les moyens fessiers et les mouvements de bassin dans le plan frontal. Cependant, l’asymétrie de dorsiflexion de cheville influence ces mouvements. Des liens apparaissent entre une faible dorsiflexion de cheville et les entorses, ainsi qu’entre la raideur des ischio-jambiers et les entorses. Concernant les ischio-jambiers, la souplesse de ceux-ci est associée à la souplesse des psoas et à une inclinaison antérieure du bassin en position statique. Lors de la course à haute vitesse, une antéversion accrue du bassin semble réduire sa fluctuation dans le plan sagittal. Ces fluctuations du bassin dans les deux plans semblent également liées. Conclusion : Pelvic drop et pelvic tilt impactent la biomécanique des coureurs et favorisent les contraintes localisées au niveau des membres inférieurs. Nos résultats combinés à la littérature mettent en avant les risques que peuvent engendrer le pelvic drop/tilt sur les diverses articulations du membre inférieur. Par conséquent, un traitement global est recommandé. Des études futures seront nécessaires afin de confirmer les indicateurs les plus pertinents de ces deux phénomènes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118157 Développement d'indicateurs observationnels cliniques ou cinématiques permettant de quantifier le pelvic drop et le pelvic tilt durant la course à pied [TFE / Mémoire] / Janelle Gandin, Auteur ; Flavie Olejarz, Auteur ; Louis Catinus, Promoteur du mémoire ; Fabien Buisseret, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2024 . - 77p. Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pelvic drop  Pelvic tilt  Course à pied  Blessure  Ischio-jambiers Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Contexte et objectifs : Certains facteurs, tels qu'une faiblesse des muscles moyens fessiers ou une qu’une hyperflexibilité des ischio-jambiers, peuvent altérer la stabilité du bassin, entraînant deux phénomènes observables pendant la course : le pelvic drop et le pelvic tilt. Ceux-ci modifient la biomécanique de la course et pourraient accroître le risque de blessures au niveau du membre inférieur. L’objectif de ce mémoire est de développer des indicateurs cliniques ou cinématiques permettant de détecter et de quantifier le pelvic drop et le pelvic tilt durant la course, afin d’optimiser la prise en charge clinique. Méthodes : Une population de 41 sujets a été recrutée, comprenant 12 femmes et 29 hommes âgés entre 18-30 ans. La prise de mesure était scindée en 2 parties : une première pour le pelvic drop et une seconde pour le pelvic tilt. Pour les deux séances, les sujets ont été amenés à réaliser des tests statiques et une évaluation dynamique sur tapis de course. L’analyse dynamique s’est réalisée à vitesse d’endurance fondamentale pour le pelvic drop et à vitesse maximale pour le pelvic tilt. Résultats : Dans notre étude, aucune relation n’apparait entre les moyens fessiers et les mouvements de bassin dans le plan frontal. Cependant, l’asymétrie de dorsiflexion de cheville influence ces mouvements. Des liens apparaissent entre une faible dorsiflexion de cheville et les entorses, ainsi qu’entre la raideur des ischio-jambiers et les entorses. Concernant les ischio-jambiers, la souplesse de ceux-ci est associée à la souplesse des psoas et à une inclinaison antérieure du bassin en position statique. Lors de la course à haute vitesse, une antéversion accrue du bassin semble réduire sa fluctuation dans le plan sagittal. Ces fluctuations du bassin dans les deux plans semblent également liées. Conclusion : Pelvic drop et pelvic tilt impactent la biomécanique des coureurs et favorisent les contraintes localisées au niveau des membres inférieurs. Nos résultats combinés à la littérature mettent en avant les risques que peuvent engendrer le pelvic drop/tilt sur les diverses articulations du membre inférieur. Par conséquent, un traitement global est recommandé. Des études futures seront nécessaires afin de confirmer les indicateurs les plus pertinents de ces deux phénomènes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118157

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Existe-t-il une différence d'efficacité entre un traitement par CPAP ou par oxygénothérapie à haut débit chez les patients atteints de la COVID-19 ? / Margaux Faucheux

Public ISBD Titre : Existe-t-il une différence d'efficacité entre un traitement par CPAP ou par oxygénothérapie à haut débit chez les patients atteints de la COVID-19 ? Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Margaux Faucheux, Auteur ; Flavie Olejarz, Auteur ; Joris Molon, Promoteur du mémoire ; Jean Roeseler, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2024 Importance : 108p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. Langues : Français (fre) Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Objectif : ce mémoire a pour but de mettre en évidence une différence d’efficacité entre un traitement par CPAP ou par oxygénothérapie à haut débit chez les patients atteints de la COVID-19. L’intérêt de cette étude est de mettre en avant le meilleur moyen d’oxygénation pour traiter les patients. Méthode : la recherche bibliographique s’est faite à partir de 3 bases de données : PubMed, Respiratory Care et Google Scholar. Les études utilisées pour la rédaction de ce mémoire sont principalement des études de cohorte, des méta-analyses, des essais contrôlés randomisés et des revues systématiques. Les articles ayant pour sujet des patients mineurs, traitant des patients avec une BiPAP, qui sont atteints d’apnée du sommeil ou n’ayant pas la COVID-19 sont exclus, tout comme les articles ayant un niveau de preuve inférieur à 5/10 (PEDro, AMSTAR, Newcastle Ottawa Scale). Résultats : 18 articles ont été sélectionnés pour la rédaction de ce mémoire. Une première partie analyse uniquement la CPAP, les résultats montrent de nombreux avantages sur l’amélioration des paramètres respiratoires et la survie des patients. Une deuxième partie analyse seulement l’oxygénation à haut débit, le taux de mortalité reste peu élevé et une amélioration du rapport PaO2/FiO2 a été mis en évidence. Pour finir, une dernière partie analysant les 2 modes d’oxygénation a montré des résultats similaires. Conclusion : l’analyse séparée des deux modes d’oxygénation montre que la CPAP donne de meilleurs résultats que l’oxygénation à haut débit pour le traitement de la COVID-19. Cependant, l’analyse des deux au sein d’un même article ne montre aucune différence significative. Avec de nouvelles études et de nouveaux protocoles, une différence plus significative pourrait être mise en évidence. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118156 Existe-t-il une différence d'efficacité entre un traitement par CPAP ou par oxygénothérapie à haut débit chez les patients atteints de la COVID-19 ? [TFE / Mémoire] / Margaux Faucheux, Auteur ; Flavie Olejarz, Auteur ; Joris Molon, Promoteur du mémoire ; Jean Roeseler, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2024 . - 108p. Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. Langues : Français (fre) Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Objectif : ce mémoire a pour but de mettre en évidence une différence d’efficacité entre un traitement par CPAP ou par oxygénothérapie à haut débit chez les patients atteints de la COVID-19. L’intérêt de cette étude est de mettre en avant le meilleur moyen d’oxygénation pour traiter les patients. Méthode : la recherche bibliographique s’est faite à partir de 3 bases de données : PubMed, Respiratory Care et Google Scholar. Les études utilisées pour la rédaction de ce mémoire sont principalement des études de cohorte, des méta-analyses, des essais contrôlés randomisés et des revues systématiques. Les articles ayant pour sujet des patients mineurs, traitant des patients avec une BiPAP, qui sont atteints d’apnée du sommeil ou n’ayant pas la COVID-19 sont exclus, tout comme les articles ayant un niveau de preuve inférieur à 5/10 (PEDro, AMSTAR, Newcastle Ottawa Scale). Résultats : 18 articles ont été sélectionnés pour la rédaction de ce mémoire. Une première partie analyse uniquement la CPAP, les résultats montrent de nombreux avantages sur l’amélioration des paramètres respiratoires et la survie des patients. Une deuxième partie analyse seulement l’oxygénation à haut débit, le taux de mortalité reste peu élevé et une amélioration du rapport PaO2/FiO2 a été mis en évidence. Pour finir, une dernière partie analysant les 2 modes d’oxygénation a montré des résultats similaires. Conclusion : l’analyse séparée des deux modes d’oxygénation montre que la CPAP donne de meilleurs résultats que l’oxygénation à haut débit pour le traitement de la COVID-19. Cependant, l’analyse des deux au sein d’un même article ne montre aucune différence significative. Avec de nouvelles études et de nouveaux protocoles, une différence plus significative pourrait être mise en évidence. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118156

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