[article] 
inCanadian Journal of Occupational Therapy > 85(2) (Avril 2018) . - p. 92-97

Titre :	Primum non nocere: Reflections from retirement regarding orthotic fabrication and the precautionary principle
Titre original :	Primum non nocere : Reflexions d'une ergothérapeute à la retraire sur la fabrication d'orthèses et le principe de précaution
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Kara S. Ludlow
Année de publication :	2018
Article en page(s) :	p. 92-97
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Le principe éthique qui consiste à « ne pas causer de tort » (primum non nocere) est incontestable en ce qui concerne nos clients; toutefois, il faut également veiller à ce qu’aucun tort ne soit causé aux ergothérapeutes. Il y a plus de 10 ans, avec le soutien de mon milieu de travail, j’ai commencé à chercher la réponse à une question qui me semblait pourtant très simple « Les ergothérapeutes qui travaillent avec des matériaux thermoplastiques à basse température pour fabriquer des orthèses peuvent-ils respirer sans risque pour leur santé les gaz qui se dégagent lorsque l’on chauffe ces matériaux? » Bien que je n’exerce plus la profession aujourd’hui, les ergothérapeutes me posent encore cette question et je suis convaincue que les physiothérapeutes et les orthésistes se la posent tout autant. Tous ces intervenants voudraient qu’on leur assure que les émanations de ces matériaux ne produisent aucun effet néfaste à long terme et que toute possibilité d’association entre ces émanations et des fausses couches, des grossesses môlaires hydatidiformes ou des kystes scrotaux chez nouveau-né de sexe masculin, par exemple, n’est pas fondée. Après 35 ans de pratique, je suis toujours en quête d’une réponse.
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[article] Primum non nocere: Reflections from retirement regarding orthotic fabrication and the precautionary principle = Primum non nocere : Reflexions d'une ergothérapeute à la retraire sur la fabrication d'orthèses et le principe de précaution [texte imprimé] / Kara S. Ludlow . - 2018 . - p. 92-97.
Langues : Français (fre)
in Canadian Journal of Occupational Therapy > 85(2) (Avril 2018) . - p. 92-97

Résumé :

Le principe éthique qui consiste à « ne pas causer de tort » (primum non nocere) est incontestable en ce qui concerne nos clients; toutefois, il faut également veiller à ce qu’aucun tort ne soit causé aux ergothérapeutes. Il y a plus de 10 ans, avec le soutien de mon milieu de travail, j’ai commencé à chercher la réponse à une question qui me semblait pourtant très simple « Les ergothérapeutes qui travaillent avec des matériaux thermoplastiques à basse température pour fabriquer des orthèses peuvent-ils respirer sans risque pour leur santé les gaz qui se dégagent lorsque l’on chauffe ces matériaux? » Bien que je n’exerce plus la profession aujourd’hui, les ergothérapeutes me posent encore cette question et je suis convaincue que les physiothérapeutes et les orthésistes se la posent tout autant. Tous ces intervenants voudraient qu’on leur assure que les émanations de ces matériaux ne produisent aucun effet néfaste à long terme et que toute possibilité d’association entre ces émanations et des fausses couches, des grossesses môlaires hydatidiformes ou des kystes scrotaux chez nouveau-né de sexe masculin, par exemple, n’est pas fondée. Après 35 ans de pratique, je suis toujours en quête d’une réponse.

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