Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Valérie Eschwège |
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Antiphospholipides / Maxime Delrue in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 561 (avril 2024)
[article]
Titre : Antiphospholipides : de la biologie à la clinique en 2024 Type de document : texte imprimé Auteurs : Maxime Delrue ; Valérie Eschwège Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 65-74 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00140-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : anticoagulant anticorps antiphospholipides obstétrique syndrome des antiphospholipides thrombose Résumé : Le syndrome des anticorps antiphospholipides (SAPL) est une entité clinico-biologique caractérisée par des manifestations cliniques polymorphes associées à la présence persistante d’anticorps antiphospholipides. C’est une pathologie affectant principalement la femme jeune, bien que l’homme ou les sujets plus âgés puissent également être atteints. Les manifestations cliniques sont principalement thrombotiques (macro- et microvasculaires) et obstétricales. D’autres atteintes sont également décrites : cardiaque, rénale, cérébrale ou cutanée. La mise en évidence des anticorps antiphospholipides fait appel à des méthodes de titrage d’anticorps (anticardiolipides et anti-β2GPI) mais également à des examens d’hémostase pour lesquels la connaissance et l’expérience des techniques utilisées sont indispensables pour assurer la fiabilité des résultats et permettre le diagnostic final de SAPL. Le traitement du SAPL fait notamment appel aux thérapeutiques antithrombotiques mais également aux traitements par corticoïdes voire immunosuppresseurs pour les formes plus sévères. Note de contenu : Epidemiologie du SAPL
Diagnostic clinique du SAPL
Présentations cliniques
Indication de la recherche d’apl
Diagnostic biologique du SAPL
Étape préanalytique
Étape analytique
Étape post-analytique
Conséquences thérapeutiques antithrombotiques liées à la présence d’antiphospholipides
Prévention et traitement des manifestations thrombotiques
SAPL et contexte obstétricalPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117328
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 561 (avril 2024) . - p. 65-74[article] Antiphospholipides : de la biologie à la clinique en 2024 [texte imprimé] / Maxime Delrue ; Valérie Eschwège . - 2024 . - p. 65-74.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00140-0
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 561 (avril 2024) . - p. 65-74
Mots-clés : anticoagulant anticorps antiphospholipides obstétrique syndrome des antiphospholipides thrombose Résumé : Le syndrome des anticorps antiphospholipides (SAPL) est une entité clinico-biologique caractérisée par des manifestations cliniques polymorphes associées à la présence persistante d’anticorps antiphospholipides. C’est une pathologie affectant principalement la femme jeune, bien que l’homme ou les sujets plus âgés puissent également être atteints. Les manifestations cliniques sont principalement thrombotiques (macro- et microvasculaires) et obstétricales. D’autres atteintes sont également décrites : cardiaque, rénale, cérébrale ou cutanée. La mise en évidence des anticorps antiphospholipides fait appel à des méthodes de titrage d’anticorps (anticardiolipides et anti-β2GPI) mais également à des examens d’hémostase pour lesquels la connaissance et l’expérience des techniques utilisées sont indispensables pour assurer la fiabilité des résultats et permettre le diagnostic final de SAPL. Le traitement du SAPL fait notamment appel aux thérapeutiques antithrombotiques mais également aux traitements par corticoïdes voire immunosuppresseurs pour les formes plus sévères. Note de contenu : Epidemiologie du SAPL
Diagnostic clinique du SAPL
Présentations cliniques
Indication de la recherche d’apl
Diagnostic biologique du SAPL
Étape préanalytique
Étape analytique
Étape post-analytique
Conséquences thérapeutiques antithrombotiques liées à la présence d’antiphospholipides
Prévention et traitement des manifestations thrombotiques
SAPL et contexte obstétricalPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117328 Réservation
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Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleInterférence des anticoagulants oraux directs anti-Xa lors de la surveillance des traitements par héparine non-fractionnée / Sophie Melicine in Annales de Biologie Clinique, Vol.82 N°2 (mars-avril 2024)
[article]
Titre : Interférence des anticoagulants oraux directs anti-Xa lors de la surveillance des traitements par héparine non-fractionnée : attitudes pratiques et à venir Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Melicine ; Laure Maucorps ; Valérie Eschwège ; Julie Carré ; DOminique Helley ; Isabelle Gouin-Thibault ; Nicolas Gendron ; Fabienne Nédélec-Gac ; Laetitia Mauge Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 129-138 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2024.1873 Langues : Français (fre) Mots-clés : activité-anti Xa AOD apixaban héparine rivaroxaban Résumé : Contrairement aux anticoagulants oraux directs (AOD), l’héparine non fractionnée (HNF) nécessite une surveillance biologique quotidienne lorsqu’elle est administrée à dose thérapeutique. Actuellement, la surveillance biologique de l’HNF est préférentiellement réalisée par la mesure de l’activité anti-Xa, toutefois, chez les patients initialement traités par un AOD anti-Xa bénéficiant d’un relais par HNF, il existe un risque important d’interférence de l’AOD avec la mesure de l’anti-Xa HNF. La présence d’AOD résiduel dans l’échantillon de façon concomitante à l’héparine peut conduire à une surestimation de l’activité anticoagulante de l’héparine et à une anticoagulation inadaptée. Ce risque d’interférence ne doit pas être négligé car il existe y compris lorsque la concentration d’AOD est inférieure au seuil de sécurité hémostatique et peut durer plusieurs jours. Afin de contourner cette problématique, plusieurs options existent et sont en cours d’évaluation. Cette synthèse fait le point sur les interférences des AOD anti-Xa et les différentes stratégies pour s’en affranchir. Cette thématique souligne également l’importance de la communication entre le biologiste médical et le clinicien sur les traitements anticoagulants reçus par les patients. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117690
in Annales de Biologie Clinique > Vol.82 N°2 (mars-avril 2024) . - p. 129-138[article] Interférence des anticoagulants oraux directs anti-Xa lors de la surveillance des traitements par héparine non-fractionnée : attitudes pratiques et à venir [texte imprimé] / Sophie Melicine ; Laure Maucorps ; Valérie Eschwège ; Julie Carré ; DOminique Helley ; Isabelle Gouin-Thibault ; Nicolas Gendron ; Fabienne Nédélec-Gac ; Laetitia Mauge . - 2024 . - p. 129-138.
https://doi.org/10.1684/abc.2024.1873
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.82 N°2 (mars-avril 2024) . - p. 129-138
Mots-clés : activité-anti Xa AOD apixaban héparine rivaroxaban Résumé : Contrairement aux anticoagulants oraux directs (AOD), l’héparine non fractionnée (HNF) nécessite une surveillance biologique quotidienne lorsqu’elle est administrée à dose thérapeutique. Actuellement, la surveillance biologique de l’HNF est préférentiellement réalisée par la mesure de l’activité anti-Xa, toutefois, chez les patients initialement traités par un AOD anti-Xa bénéficiant d’un relais par HNF, il existe un risque important d’interférence de l’AOD avec la mesure de l’anti-Xa HNF. La présence d’AOD résiduel dans l’échantillon de façon concomitante à l’héparine peut conduire à une surestimation de l’activité anticoagulante de l’héparine et à une anticoagulation inadaptée. Ce risque d’interférence ne doit pas être négligé car il existe y compris lorsque la concentration d’AOD est inférieure au seuil de sécurité hémostatique et peut durer plusieurs jours. Afin de contourner cette problématique, plusieurs options existent et sont en cours d’évaluation. Cette synthèse fait le point sur les interférences des AOD anti-Xa et les différentes stratégies pour s’en affranchir. Cette thématique souligne également l’importance de la communication entre le biologiste médical et le clinicien sur les traitements anticoagulants reçus par les patients. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117690 Réservation
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