Impact de l'exercise therapy chez les femmes souffrant de dysménorrhées primaires et approche de techniques complémentaires en kinésithérapie / Zélie Dujardin

Public ISBD Titre : Impact de l'exercise therapy chez les femmes souffrant de dysménorrhées primaires et approche de techniques complémentaires en kinésithérapie Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Zélie Dujardin, Auteur ; Lola Tremblez, Auteur ; Sylvie Mairlot, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2024 Importance : 176p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . Langues : Français (fre) Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Objectif : Ce mémoire vise à relever l’intérêt d’un programme d’exercices chez les femmes souffrant de douleurs menstruelles et plus précisément de dysménorrhées primaires. L’objectif de ce travail est de partager, sous la forme d’une brochure, les différentes techniques provenant de la littérature scientifique qui s’avèrent adéquates et efficaces pour pallier ce problème et ainsi diminuer voire remplacer la prise d’AINS. Méthode : La stratégie de recherche bibliographique s’est appuyée sur quatre bases de données : Pubmed, LiSSa, Cinhal, et Tripdatabase. Les études reprises devaient être publiées en français ou en anglais après l’année 2000, et le score de leur échelle méthodologique devait être supérieur ou égal à la moitié (AMSTAR-2, PEDro, Newcastle Ottawa modifié). Aussi, seule la dysménorrhée primaire faisait partie de la thématique retenue, la dysménorrhée secondaire a donc été supprimée du champ de recherche. Les études qui quittaient la Kinésithérapie conventionnelle en incluant des traitements spécifiques tels que l’acupuncture ont été exclues de la recherche, de même que la thérapie manuelle qui nécessiterait une recherche propre au vu du nombre d’articles y étant liés. Résultats : 46 études ont répondu aux critères de sélection et ont permis de résoudre la problématique. La majorité a affirmé que l’Exercise Therapy, qu’elle soit de basse ou de haute intensité, permettait une diminution de la sévérité de la douleur. Cependant, les articles analysant les techniques de Kinésithérapie comme la massothérapie, la thermothérapie, l’électrothérapie, et le Kinésiotape se sont tous avérés efficaces, sauf le TENS pour lequel les avis divergent, mais de plus amples recherches sont à réaliser à ce sujet. Les résultats pour les techniques complémentaires sont à prendre avec légèreté car certaines études possédaient soit une puissance d’échantillon trop faible, soit une qualité méthodologique moindre, ce qui alimentait le risque de biais dans cette étude. Conclusion : La dysménorrhée primaire sort exponentiellement d’une méconnaissance ou du tabou social. Il en ressort que pour contrer ce phénomène, un bon mode de vie, une activité physique régulière et un programme d’exercices comprenant des étirements, du renforcement, ou même des exercices aérobiques sont une bonne alternative peu coûteuse et sans effet secondaire, contrairement à la prise d’AINS. Des recherches supplémentaires menées sur les techniques complémentaires en Kinésithérapie de manière isolée seraient intéressantes. Aussi, des études avec une qualité méthodologique irréprochable serait bénéfique afin que le fruit de l’étude ait des preuves plus solides encore. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115864 Impact de l'exercise therapy chez les femmes souffrant de dysménorrhées primaires et approche de techniques complémentaires en kinésithérapie [TFE / Mémoire] / Zélie Dujardin, Auteur ; Lola Tremblez, Auteur ; Sylvie Mairlot, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2024 . - 176p. Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . Langues : Français (fre) Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Objectif : Ce mémoire vise à relever l’intérêt d’un programme d’exercices chez les femmes souffrant de douleurs menstruelles et plus précisément de dysménorrhées primaires. L’objectif de ce travail est de partager, sous la forme d’une brochure, les différentes techniques provenant de la littérature scientifique qui s’avèrent adéquates et efficaces pour pallier ce problème et ainsi diminuer voire remplacer la prise d’AINS. Méthode : La stratégie de recherche bibliographique s’est appuyée sur quatre bases de données : Pubmed, LiSSa, Cinhal, et Tripdatabase. Les études reprises devaient être publiées en français ou en anglais après l’année 2000, et le score de leur échelle méthodologique devait être supérieur ou égal à la moitié (AMSTAR-2, PEDro, Newcastle Ottawa modifié). Aussi, seule la dysménorrhée primaire faisait partie de la thématique retenue, la dysménorrhée secondaire a donc été supprimée du champ de recherche. Les études qui quittaient la Kinésithérapie conventionnelle en incluant des traitements spécifiques tels que l’acupuncture ont été exclues de la recherche, de même que la thérapie manuelle qui nécessiterait une recherche propre au vu du nombre d’articles y étant liés. Résultats : 46 études ont répondu aux critères de sélection et ont permis de résoudre la problématique. La majorité a affirmé que l’Exercise Therapy, qu’elle soit de basse ou de haute intensité, permettait une diminution de la sévérité de la douleur. Cependant, les articles analysant les techniques de Kinésithérapie comme la massothérapie, la thermothérapie, l’électrothérapie, et le Kinésiotape se sont tous avérés efficaces, sauf le TENS pour lequel les avis divergent, mais de plus amples recherches sont à réaliser à ce sujet. Les résultats pour les techniques complémentaires sont à prendre avec légèreté car certaines études possédaient soit une puissance d’échantillon trop faible, soit une qualité méthodologique moindre, ce qui alimentait le risque de biais dans cette étude. Conclusion : La dysménorrhée primaire sort exponentiellement d’une méconnaissance ou du tabou social. Il en ressort que pour contrer ce phénomène, un bon mode de vie, une activité physique régulière et un programme d’exercices comprenant des étirements, du renforcement, ou même des exercices aérobiques sont une bonne alternative peu coûteuse et sans effet secondaire, contrairement à la prise d’AINS. Des recherches supplémentaires menées sur les techniques complémentaires en Kinésithérapie de manière isolée seraient intéressantes. Aussi, des études avec une qualité méthodologique irréprochable serait bénéfique afin que le fruit de l’étude ait des preuves plus solides encore. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115864

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