Exploration du lien entre la simulation motrice et la vitesse de lecture et d'écriture chez les enfants dyspraxiques de 6 à 12 ans / Aglaé Picard

Public ISBD Titre : Exploration du lien entre la simulation motrice et la vitesse de lecture et d'écriture chez les enfants dyspraxiques de 6 à 12 ans Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Aglaé Picard, Auteur ; Gwendoline Terrana, Promoteur du mémoire ; Lucie Broc, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2024 Importance : 57p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE Ergo TFE Ergothérapie Résumé : Cette étude visait à examiner le lien entre la simulation motrice, incluant l'imagerie motrice, la rotation mentale, et le jugement de l'espace péri-personnel, avec la vitesse de lecture et d'écriture chez les enfants dyspraxiques âgés de 6 à 12 ans. Nous avons émis l’hypothèse que l’enfant dyspraxique rencontrait des difficultés en simulation motrice et également dans la vitesse de lecture et d’écriture et que cela était potentiellement lié. L’analyse de 11 sujets âgés de 7 à 10 ans, sélectionnés sur base de volontariat et avec l’accord des parents a été réalisé. Nous avons utilisé une tablette pour évaluer les différentes tâches de simulation mentale. Les évaluations de la lecture et de l'écriture ont été réalisées à l'aide du BHK et du test de l'Alouette. Les résultats de l'étude ont révélé une corrélation entre l'imagerie motrice et imagée avec la vitesse de lecture chez les enfants typiques. En analysant les autres résultats chez les enfants dyspraxiques, le lien entre la vitesse d’imagerie imagée et la vitesse de l’écriture a été mis en évidence, ce qui montre que les enfants dyspraxiques utilisent l’imagerie imagée lors de l’écriture. Néanmoins, aucune autre relation a été relevé dans cette étude. Ce qui signifie que le jugement d’atteignabilité et la rotation mentale n’aurait aucun lien avec la vitesse de lecture ou d’écriture. En prenant en compte nos résultats ainsi que les études antérieures dans ce domaine, il est concluant de dire que l'imagerie motrice est associée aux performances motrices des enfants dyspraxiques, et plus particulièrement dans notre étude, à la vitesse d'écriture. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115859 Exploration du lien entre la simulation motrice et la vitesse de lecture et d'écriture chez les enfants dyspraxiques de 6 à 12 ans [TFE / Mémoire] / Aglaé Picard, Auteur ; Gwendoline Terrana, Promoteur du mémoire ; Lucie Broc, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2024 . - 57p. Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE Ergo TFE Ergothérapie Résumé : Cette étude visait à examiner le lien entre la simulation motrice, incluant l'imagerie motrice, la rotation mentale, et le jugement de l'espace péri-personnel, avec la vitesse de lecture et d'écriture chez les enfants dyspraxiques âgés de 6 à 12 ans. Nous avons émis l’hypothèse que l’enfant dyspraxique rencontrait des difficultés en simulation motrice et également dans la vitesse de lecture et d’écriture et que cela était potentiellement lié. L’analyse de 11 sujets âgés de 7 à 10 ans, sélectionnés sur base de volontariat et avec l’accord des parents a été réalisé. Nous avons utilisé une tablette pour évaluer les différentes tâches de simulation mentale. Les évaluations de la lecture et de l'écriture ont été réalisées à l'aide du BHK et du test de l'Alouette. Les résultats de l'étude ont révélé une corrélation entre l'imagerie motrice et imagée avec la vitesse de lecture chez les enfants typiques. En analysant les autres résultats chez les enfants dyspraxiques, le lien entre la vitesse d’imagerie imagée et la vitesse de l’écriture a été mis en évidence, ce qui montre que les enfants dyspraxiques utilisent l’imagerie imagée lors de l’écriture. Néanmoins, aucune autre relation a été relevé dans cette étude. Ce qui signifie que le jugement d’atteignabilité et la rotation mentale n’aurait aucun lien avec la vitesse de lecture ou d’écriture. En prenant en compte nos résultats ainsi que les études antérieures dans ce domaine, il est concluant de dire que l'imagerie motrice est associée aux performances motrices des enfants dyspraxiques, et plus particulièrement dans notre étude, à la vitesse d'écriture. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115859

Exemplaires

Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
aucun exemplaire

---

1 (1 - 1 / 1)