Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Mariam Ghozzi |
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Anticorps anti-cardiolipine et anti-bêta 2 glycoprotéine I chez des patients atteints de diabète de type 1 / Chaima Mrizak in Annales de Biologie Clinique, Vol.81 N°5 (Septembre-octobre 2023)
[article]
Titre : Anticorps anti-cardiolipine et anti-bêta 2 glycoprotéine I chez des patients atteints de diabète de type 1 Type de document : texte imprimé Auteurs : Chaima Mrizak ; Amani Mankai ; Mariam Ghozzi ; Sarra Melayah ; Ibtissem Ghedira Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 521-530 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2023.1841 Langues : Français (fre) Mots-clés : aCL aβ 2GPI diabète de type 1 adultes enfants Tunisie Résumé : Objectif
Déterminer la fréquence des anticorps antiphospholipides (aPL) en particulier les anticorps anti-cardiolipine (aCL) et anti-bêta 2 glycoprotéine I (aβ2GPI) chez des patients tunisiens atteints de diabète de type 1.
Patients et méthodes
L’étude a porté sur 102 patients atteints de diabète de type 1 (34 enfants, 68 adultes). Soixante-cinq enfants et 156 adultes sains ont servi comme groupe témoin. Les aCL et aβ2GPI ont été recherchés par ELISA.
Résultats
La fréquence de aPL était significativement plus élevée chez les patients atteints de diabète de type 1 que chez le groupe témoin (18,6 % vs. 5,9 %, p < 0,001). Chez les patients, les aPL était significativement plus fréquents chez les adultes que chez les enfants (25% contre 5,9 %, p = 0,04). Les aCL étaient plus fréquentes chez les patients ayant un diabète à long terme que ceux ayant un diabète récent (21,2 % vs. 7,2 %, p = 0,04). Chez les adultes, les aβ2GPI était significativement plus fréquents dans le premier groupe que chez les témoins (20 % vs. 1,9 %, p < 0,001), et la fréquence de aCL était significativement plus élevée chez les patients atteints d’un diabète de type 1 à long terme que chez les témoins (21,9 % vs. 1,9 %, p < 0,001).
Conclusion
Les femmes adultes atteintes de diabète de type 1 présentaient une fréquence élevée des aCL et des aβ2GPI.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115539
in Annales de Biologie Clinique > Vol.81 N°5 (Septembre-octobre 2023) . - p. 521-530[article] Anticorps anti-cardiolipine et anti-bêta 2 glycoprotéine I chez des patients atteints de diabète de type 1 [texte imprimé] / Chaima Mrizak ; Amani Mankai ; Mariam Ghozzi ; Sarra Melayah ; Ibtissem Ghedira . - 2023 . - p. 521-530.
https://doi.org/10.1684/abc.2023.1841
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.81 N°5 (Septembre-octobre 2023) . - p. 521-530
Mots-clés : aCL aβ 2GPI diabète de type 1 adultes enfants Tunisie Résumé : Objectif
Déterminer la fréquence des anticorps antiphospholipides (aPL) en particulier les anticorps anti-cardiolipine (aCL) et anti-bêta 2 glycoprotéine I (aβ2GPI) chez des patients tunisiens atteints de diabète de type 1.
Patients et méthodes
L’étude a porté sur 102 patients atteints de diabète de type 1 (34 enfants, 68 adultes). Soixante-cinq enfants et 156 adultes sains ont servi comme groupe témoin. Les aCL et aβ2GPI ont été recherchés par ELISA.
Résultats
La fréquence de aPL était significativement plus élevée chez les patients atteints de diabète de type 1 que chez le groupe témoin (18,6 % vs. 5,9 %, p < 0,001). Chez les patients, les aPL était significativement plus fréquents chez les adultes que chez les enfants (25% contre 5,9 %, p = 0,04). Les aCL étaient plus fréquentes chez les patients ayant un diabète à long terme que ceux ayant un diabète récent (21,2 % vs. 7,2 %, p = 0,04). Chez les adultes, les aβ2GPI était significativement plus fréquents dans le premier groupe que chez les témoins (20 % vs. 1,9 %, p < 0,001), et la fréquence de aCL était significativement plus élevée chez les patients atteints d’un diabète de type 1 à long terme que chez les témoins (21,9 % vs. 1,9 %, p < 0,001).
Conclusion
Les femmes adultes atteintes de diabète de type 1 présentaient une fréquence élevée des aCL et des aβ2GPI.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115539 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleDépistage de la maladie cœliaque, par les anticorps anti-endomysium, chez des patients ayant une polyarthrite rhumatoïde / Mariam Ghozzi in Annales de Biologie Clinique, Vol.81 N°6 (Novembre-décembre 2023)
[article]
Titre : Dépistage de la maladie cœliaque, par les anticorps anti-endomysium, chez des patients ayant une polyarthrite rhumatoïde Type de document : texte imprimé Auteurs : Mariam Ghozzi ; Fatma Mechi ; Alma Ben Salem ; Ikram El Ahmer ; Donia Rachel Mbarki Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 569-575 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2023.1851 Langues : Français (fre) Mots-clés : polyarthrite rhumatoïde maladie cœliaque anticorps anti-endomysium Résumé : Contexte et objectifs
La maladie cœliaque (MC) et la polyarthrite rhumatoïde (PR) sont deux maladies auto-immunes inflammatoires chroniques multifactorielles. Les objectifs de cette étude sont de déterminer la fréquence des anticorps anti-endomysium (AAE) chez des patients atteints de PR et d’essayer d’expliquer l’association entre ces deux pathologies.
Patients et méthodes
L’immunofluorescence indirecte a été utilisée pour détecter les anticorps anti-endomysium d’isotype IgA (AAE) chez 215 patients atteints de PR et recrutés sur une période de 4 ans. Deux mille cinq cents donneurs de sang sains ont servi de groupe témoin.
Résultats
Parmi les 215 patients atteints de PR, 12 (9 femmes) avaient les AAE alors que seulement 7 ont été testés positifs pour les AAE dans le groupe témoin, les AAE étaient significativement plus fréquents chez les patients atteints de PR que dans le groupe contrôle (5,58 % contre 0,28 %, p < 10-6 ; IC95 % [8,21-54,01] ; odds ratio : 21,05). La fréquence des AAE était significativement plus élevée chez les patientes que chez les femmes saines (5,32 % vs. 0,40 %, p < 10-3).
Conclusion
Les patients atteints de PR peuvent être considérés comme un groupe à haut risque de MC en se basant sur la positivité en AAE observée dans notre étude.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116121
in Annales de Biologie Clinique > Vol.81 N°6 (Novembre-décembre 2023) . - p. 569-575[article] Dépistage de la maladie cœliaque, par les anticorps anti-endomysium, chez des patients ayant une polyarthrite rhumatoïde [texte imprimé] / Mariam Ghozzi ; Fatma Mechi ; Alma Ben Salem ; Ikram El Ahmer ; Donia Rachel Mbarki . - 2023 . - p. 569-575.
https://doi.org/10.1684/abc.2023.1851
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.81 N°6 (Novembre-décembre 2023) . - p. 569-575
Mots-clés : polyarthrite rhumatoïde maladie cœliaque anticorps anti-endomysium Résumé : Contexte et objectifs
La maladie cœliaque (MC) et la polyarthrite rhumatoïde (PR) sont deux maladies auto-immunes inflammatoires chroniques multifactorielles. Les objectifs de cette étude sont de déterminer la fréquence des anticorps anti-endomysium (AAE) chez des patients atteints de PR et d’essayer d’expliquer l’association entre ces deux pathologies.
Patients et méthodes
L’immunofluorescence indirecte a été utilisée pour détecter les anticorps anti-endomysium d’isotype IgA (AAE) chez 215 patients atteints de PR et recrutés sur une période de 4 ans. Deux mille cinq cents donneurs de sang sains ont servi de groupe témoin.
Résultats
Parmi les 215 patients atteints de PR, 12 (9 femmes) avaient les AAE alors que seulement 7 ont été testés positifs pour les AAE dans le groupe témoin, les AAE étaient significativement plus fréquents chez les patients atteints de PR que dans le groupe contrôle (5,58 % contre 0,28 %, p < 10-6 ; IC95 % [8,21-54,01] ; odds ratio : 21,05). La fréquence des AAE était significativement plus élevée chez les patientes que chez les femmes saines (5,32 % vs. 0,40 %, p < 10-3).
Conclusion
Les patients atteints de PR peuvent être considérés comme un groupe à haut risque de MC en se basant sur la positivité en AAE observée dans notre étude.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116121 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
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