Centre de Documentation Campus Montignies
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[article]
Titre : |
Mycoplasma genitalium : un mycoplasme encore sous-estimé |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Julie Plantamura ; Christine Bigaillon ; Aurore Bousquet |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 209-214 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Mycoplasma genitalium infection sexuellement transmissible urétrite azithromycine |
Résumé : |
Les auteurs rapportent trois observations d’urétrites masculines prises en charge aux urgences. Après réalisation des prélèvements à visée diagnostique, ces hommes ont bénéficié d’un traitement probabiliste avant leur retour à domicile. La recherche de Mycoplasma genitalium réalisée en première intention en parallèle de celle de Neisseria gonorrhoeae et de Chlamydia trachomatis s’avère positive. À la lueur de ces résultats, les patients sont rappelés pour évaluer l’efficacité thérapeutique du traitement probabiliste. M. genitalium, encore mal connu des cliniciens car de découverte récente, est responsable de 10 à 35 % des urétrites aiguës ou chroniques non gonococciques. Sa recherche est effectuée par PCR à partir de prélèvements urogénitaux (écouvillon génital ou premier jet d’urines). Jusqu’à récemment, le traitement reposait sur l’azithromycine 1 g, antibiotique préconisé en dose unique en association à la ceftriaxone dans le traitement probabiliste des infections sexuellement transmissibles. Cependant, du fait d’échecs cliniques et de l’apparition de résistances, un traitement par azithromycine pendant 5 jours (500 mg le premier jour, puis 250 mg par jour pendant 4 jours) est actuellement préconisé en première intention pour les infections à M. genitalium. Un contrôle de la PCR à 4 à 5 semaines est recommandé après traitement. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=76011 |
in Annales de Biologie Clinique > 75/2 (Mars-avril 2017) . - p. 209-214
[article] Mycoplasma genitalium : un mycoplasme encore sous-estimé [texte imprimé] / Julie Plantamura ; Christine Bigaillon ; Aurore Bousquet . - 2017 . - p. 209-214. Langues : Français ( fre) in Annales de Biologie Clinique > 75/2 (Mars-avril 2017) . - p. 209-214
Mots-clés : |
Mycoplasma genitalium infection sexuellement transmissible urétrite azithromycine |
Résumé : |
Les auteurs rapportent trois observations d’urétrites masculines prises en charge aux urgences. Après réalisation des prélèvements à visée diagnostique, ces hommes ont bénéficié d’un traitement probabiliste avant leur retour à domicile. La recherche de Mycoplasma genitalium réalisée en première intention en parallèle de celle de Neisseria gonorrhoeae et de Chlamydia trachomatis s’avère positive. À la lueur de ces résultats, les patients sont rappelés pour évaluer l’efficacité thérapeutique du traitement probabiliste. M. genitalium, encore mal connu des cliniciens car de découverte récente, est responsable de 10 à 35 % des urétrites aiguës ou chroniques non gonococciques. Sa recherche est effectuée par PCR à partir de prélèvements urogénitaux (écouvillon génital ou premier jet d’urines). Jusqu’à récemment, le traitement reposait sur l’azithromycine 1 g, antibiotique préconisé en dose unique en association à la ceftriaxone dans le traitement probabiliste des infections sexuellement transmissibles. Cependant, du fait d’échecs cliniques et de l’apparition de résistances, un traitement par azithromycine pendant 5 jours (500 mg le premier jour, puis 250 mg par jour pendant 4 jours) est actuellement préconisé en première intention pour les infections à M. genitalium. Un contrôle de la PCR à 4 à 5 semaines est recommandé après traitement. |
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./index.php?lvl=notice_display&id=76011 |
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