[article]
Titre : |
Les marqueurs tumoraux actuels : limites et devenir |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Nathaly Mermet, Auteur |
Année de publication : |
2006 |
Article en page(s) : |
p. 9-13 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Nombre de marqueurs tumoraux connus depuis plus de 10 ans, comme le PSA pour le cancer de prostate, le CA 15-3 pour le cancer du sein ou le CA 19-9 pour des tumeurs malignes de tissus variés, sont mesurés en routine par les LABM à l’aide de tests disponibles sur le marché. Ces marqueurs répondent la plupart du temps au suivi thérapeutique et partiellement à la détection précoce du cancer. Mais, à terme, on attend d’eux qu’ils visent aussi le pronostic, pour mieux prédire l’agressivité du cancer et la réponse à une approche thérapeutique. En fait, dans une pathologie complexe comme le cancer, une seule molécule ne peut être pertinente : dans un avenir proche, c’est sur la biologie moléculaire, avec notamment les biopuces, qu’il faudra compter pour offrir une vision plus globale, plus promotrice de données multiparamétriques. Ainsi, les puces cytogénétiques permettront, un jour, de révéler non seulement le type et le grade d’une tumeur, mais aussi son évolution prévisible. Aujourd’hui, premier pas : un test, basé sur une signature génique, permet de prédire la réponse au traitement par chimiothérapie d’un cancer du sein. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=75642 |
in Option Bio > 367 (30 juin 2006) . - p. 9-13
[article] Les marqueurs tumoraux actuels : limites et devenir [texte imprimé] / Nathaly Mermet, Auteur . - 2006 . - p. 9-13. Langues : Français ( fre) in Option Bio > 367 (30 juin 2006) . - p. 9-13
Résumé : |
Nombre de marqueurs tumoraux connus depuis plus de 10 ans, comme le PSA pour le cancer de prostate, le CA 15-3 pour le cancer du sein ou le CA 19-9 pour des tumeurs malignes de tissus variés, sont mesurés en routine par les LABM à l’aide de tests disponibles sur le marché. Ces marqueurs répondent la plupart du temps au suivi thérapeutique et partiellement à la détection précoce du cancer. Mais, à terme, on attend d’eux qu’ils visent aussi le pronostic, pour mieux prédire l’agressivité du cancer et la réponse à une approche thérapeutique. En fait, dans une pathologie complexe comme le cancer, une seule molécule ne peut être pertinente : dans un avenir proche, c’est sur la biologie moléculaire, avec notamment les biopuces, qu’il faudra compter pour offrir une vision plus globale, plus promotrice de données multiparamétriques. Ainsi, les puces cytogénétiques permettront, un jour, de révéler non seulement le type et le grade d’une tumeur, mais aussi son évolution prévisible. Aujourd’hui, premier pas : un test, basé sur une signature génique, permet de prédire la réponse au traitement par chimiothérapie d’un cancer du sein. |
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