Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Réservation
Réserver ce documentExemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Empruntable sur demande auprès des documentalistes Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierImre Kertész : « L’écriture est un jeu mortel » / Imre Kertész in Philosophie magazine, 71 ([01/08/2013])
[article]
Titre : Imre Kertész : « L’écriture est un jeu mortel » Type de document : texte imprimé Auteurs : Imre Kertész, Personne interviewée Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 66-73 Langues : Français (fre) Mots-clés : 929 Kertész, Imre 821.511.141 Littérature hongroise 94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation Résumé : Imre Kertész : « L’écriture est un jeu mortel » Par Alexandre Lacroix, Emese Varga
Il a survécu aux camps de la mort et à l’oppression communiste. À 84 ans, affaibli par la maladie, le prix Nobel de littérature hongrois Imre Kertész, admirateur de Camus et traducteur de Nietzsche et de Wittgenstein, revient sur son rapport à la vie et, pour la première fois, à la philosophie.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101674
in Philosophie magazine > 71 [01/08/2013] . - p. 66-73[article] Imre Kertész : « L’écriture est un jeu mortel » [texte imprimé] / Imre Kertész, Personne interviewée . - 2013 . - p. 66-73.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 71 [01/08/2013] . - p. 66-73
Mots-clés : 929 Kertész, Imre 821.511.141 Littérature hongroise 94(100)"1933/45" Univers concentrationnaire nazi. Camps de concentration et d'extermination. Déportation Résumé : Imre Kertész : « L’écriture est un jeu mortel » Par Alexandre Lacroix, Emese Varga
Il a survécu aux camps de la mort et à l’oppression communiste. À 84 ans, affaibli par la maladie, le prix Nobel de littérature hongrois Imre Kertész, admirateur de Camus et traducteur de Nietzsche et de Wittgenstein, revient sur son rapport à la vie et, pour la première fois, à la philosophie.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101674 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Empruntable sur demande auprès des documentalistes
DisponiblePourquoi ne sommes-nous pas plus heureux ? in Philosophie magazine, 71 ([01/08/2013])
[article]
Titre : Pourquoi ne sommes-nous pas plus heureux ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 38-63 Langues : Français (fre) Mots-clés : 159.942 Emotions / Sentiments / Sensations 1 Philosophie Psychologie Résumé : - Dossier : Pourquoi ne sommes-nous pas plus heureux ?
Le bonheur est déjà une idée ancienne en Europe. Les révolutions démocratiques, industrielles, philosophiques qui ont rythmé les deux derniers siècles étaient explicitement lancées à sa poursuite. Et, de fait, les conditions de vie qui aujourd’hui échoient à la plupart d’entre nous feraient blêmir d’envie les Anciens : la privation des maux, dont les stoïciens avaient fait leur idéal, ne nous est-elle pas accordée par l’assurance de vivre à l’abri du froid, de la faim, des catastrophes naturelles, des guerres et, grâce aux progrès inespérés de la médecine, de la douleur ? Force pourtant est de constater que les tracas du quotidien et les insatisfactions métaphysiques s’entendent à prendre le dessus : les moments où nous nous sentons véritablement heureux sont rares. C’est que le bonheur, nous pouvons le comprendre maintenant, est frappé d’un paradoxe : il échappe à qui explicitement le cherche. Mais il advient, possiblement, suggèrent les multiples voix de notre enquête, à qui cultive son « axe de résonance entre soi et le monde » : son inscription dans la vie présente.
Note de contenu : Articles :
* Insaisissable satisfaction Par Michel Eltchaninoff
Il est à portée de main, et pourtant, nous avons la sensation qu’il ne cesse de nous échapper. Comment atteindre le bonheur, ce Souverain Bien pour les Anciens ? Peut-être, tout simplement, en ne le cherchant pas.
* Bonnes vibrations Par Hartmut Rosa, Christian Bouchindhomme
En s’attachant à penser l’accélération des sociétés contemporaines, le sociologue Hartmut Rosa a mis le doigt sur le nouveau visage de l’aliénation. Ce qui lui permet d’identifier son revers salutaire : l’idée de « résonance » qu’il explore ici dans un texte inédit.
* Sénèque plus ultra Par Philippe Garnier
Quand les thérapeutes et autres coachs s’inspirent des sagesses antiques pour nous faire retrouver la sérénité et le bien-être, on peut se demander si Sénèque, Épictète ou Marc Aurèle sont solubles dans le grand marché du développement personnel. Réponses avec les philosophes, psychanalystes et psychiatres Thomas Bénatouïl, Pierre-Henri Castel et Jean Cottraux.
* Qu’est-ce qu’elle dit l’Asie ? Par Catherine Portevin
La poursuite du bonheur ? Ce n’est pas vraiment le souci de la Chine, démontre le philosophe François Jullien : c’est qu’à l’inverse de l’Europe, elle se détourne de toute idée de finalité pour mieux épouser les transformations continues.
* Pierre Rabhi, Michel Onfray. L’ascète et l’hédoniste Par Martin Legros
Cela aurait dû être un choc ! Mais l’affrontement annoncé aura finalement donné lieu à un émouvant exercice de confession mutuelle où, de souvenirs d’enfance en évocations de la figure du père, Michel Onfray rêve de frugalité et Pierre Rabhi de jubilation. Un signe des temps, assurément.
* TEST. Chacun cherche sa joie Par Philippe Nassif
Plutôt fan de sensations fortes, de félicités placides, de voluptés cérébrales ? C’est que souvent l’idée de bonheur varie et multiplie les options philosophiques en conséquence. La preuve avec ce questionnaire !
* Inspiré, jouisseur, sage ou marathonien: quatre idées du bonheur Par Philippe Nassif
Le test « Chacun cherche sa joie » permet de définir votre coefficient de stabilité et d'intensité, d'idéalisme et de matérialisme et d'en déduire un profil. Inspiré, jouisseur, sage ou marathonien: quel est votre choix philosophique ?
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101720
in Philosophie magazine > 71 [01/08/2013] . - p. 38-63[article] Pourquoi ne sommes-nous pas plus heureux ? [texte imprimé] . - 2013 . - p. 38-63.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 71 [01/08/2013] . - p. 38-63
Mots-clés : 159.942 Emotions / Sentiments / Sensations 1 Philosophie Psychologie Résumé : - Dossier : Pourquoi ne sommes-nous pas plus heureux ?
Le bonheur est déjà une idée ancienne en Europe. Les révolutions démocratiques, industrielles, philosophiques qui ont rythmé les deux derniers siècles étaient explicitement lancées à sa poursuite. Et, de fait, les conditions de vie qui aujourd’hui échoient à la plupart d’entre nous feraient blêmir d’envie les Anciens : la privation des maux, dont les stoïciens avaient fait leur idéal, ne nous est-elle pas accordée par l’assurance de vivre à l’abri du froid, de la faim, des catastrophes naturelles, des guerres et, grâce aux progrès inespérés de la médecine, de la douleur ? Force pourtant est de constater que les tracas du quotidien et les insatisfactions métaphysiques s’entendent à prendre le dessus : les moments où nous nous sentons véritablement heureux sont rares. C’est que le bonheur, nous pouvons le comprendre maintenant, est frappé d’un paradoxe : il échappe à qui explicitement le cherche. Mais il advient, possiblement, suggèrent les multiples voix de notre enquête, à qui cultive son « axe de résonance entre soi et le monde » : son inscription dans la vie présente.
Note de contenu : Articles :
* Insaisissable satisfaction Par Michel Eltchaninoff
Il est à portée de main, et pourtant, nous avons la sensation qu’il ne cesse de nous échapper. Comment atteindre le bonheur, ce Souverain Bien pour les Anciens ? Peut-être, tout simplement, en ne le cherchant pas.
* Bonnes vibrations Par Hartmut Rosa, Christian Bouchindhomme
En s’attachant à penser l’accélération des sociétés contemporaines, le sociologue Hartmut Rosa a mis le doigt sur le nouveau visage de l’aliénation. Ce qui lui permet d’identifier son revers salutaire : l’idée de « résonance » qu’il explore ici dans un texte inédit.
* Sénèque plus ultra Par Philippe Garnier
Quand les thérapeutes et autres coachs s’inspirent des sagesses antiques pour nous faire retrouver la sérénité et le bien-être, on peut se demander si Sénèque, Épictète ou Marc Aurèle sont solubles dans le grand marché du développement personnel. Réponses avec les philosophes, psychanalystes et psychiatres Thomas Bénatouïl, Pierre-Henri Castel et Jean Cottraux.
* Qu’est-ce qu’elle dit l’Asie ? Par Catherine Portevin
La poursuite du bonheur ? Ce n’est pas vraiment le souci de la Chine, démontre le philosophe François Jullien : c’est qu’à l’inverse de l’Europe, elle se détourne de toute idée de finalité pour mieux épouser les transformations continues.
* Pierre Rabhi, Michel Onfray. L’ascète et l’hédoniste Par Martin Legros
Cela aurait dû être un choc ! Mais l’affrontement annoncé aura finalement donné lieu à un émouvant exercice de confession mutuelle où, de souvenirs d’enfance en évocations de la figure du père, Michel Onfray rêve de frugalité et Pierre Rabhi de jubilation. Un signe des temps, assurément.
* TEST. Chacun cherche sa joie Par Philippe Nassif
Plutôt fan de sensations fortes, de félicités placides, de voluptés cérébrales ? C’est que souvent l’idée de bonheur varie et multiplie les options philosophiques en conséquence. La preuve avec ce questionnaire !
* Inspiré, jouisseur, sage ou marathonien: quatre idées du bonheur Par Philippe Nassif
Le test « Chacun cherche sa joie » permet de définir votre coefficient de stabilité et d'intensité, d'idéalisme et de matérialisme et d'en déduire un profil. Inspiré, jouisseur, sage ou marathonien: quel est votre choix philosophique ?
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101720 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Empruntable sur demande auprès des documentalistes
DisponibleSchopenhauer et l’amour in Philosophie magazine, 71 ([01/08/2013])
[article]
Titre : Schopenhauer et l’amour Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 78-83 + livret (16 p.) Langues : Français (fre) Mots-clés : 929 Schopenhauer, Arthur (1788-1860) 159.942 Emotions / Sentiments / Sensations Résumé : Schopenhauer et l’amour
Il est à l’origine de nos joies les plus intenses, de nos tourments les plus aigus aussi. On le chante, on le célèbre, on le cherche, (parfois) on le trouve – en été, par exemple, saison reine de son épanchement. Ah, l’amour… Accès de romantisme ? Voici un philosophe qui ne s’en laisse pas compter. Pessimiste devant l’éternel, considérant la vie comme une suite de souffrances et de tracas, Schopenhauer déboulonne l’idole. Ne lui parlez pas de beaux sentiments, d’élans éthérés : pour lui, l’amour est essentiellement affaire de libido, avec le désir de reproduction dans le viseur. Tel est l’enseignement de sa « Métaphysique de l’amour », présentée dans le cahier central par l’un de ses plus grands admirateurs, Frédéric Schiffter. Désenchanteur, déprimant, Schopenhauer ? Pas forcément, répond le philosophe Alain de Botton, qui voit dans le sombre penseur allemand un grand consolateur… parce qu’il nous libère de nos illusions et de nos prétentions inconsidérées au bonheur. Dès lors, avant une séance de relaxation, voire de séduction, sur une plage, oserez-vous la cure Schopenhauer ?
Note de contenu : Articles :
* Métaphysique de l’amour Par Martin Duru, Myriam Dennehy
Voilà l’été, les oiseaux chantent, vous venez juste de tomber amoureux. Quel miracle ! Quel mystère ! Vous ne cessez de vous demander, émerveillé : “Pourquoi elle ?” ; “pourquoi lui ?” Je ne voudrais pas refroidir vos ardeurs, mais sachez qu’en général, les philosophes ne s’embarrassent guère de ces broutilles.
* « Femmes, je vous hais » Par Martin Duru
« Les femmes sont le sexus sequior, le sexe second à tous égards, fait pour se tenir à l’écart et au second plan » ; elles sont « puériles, futiles et à courte vue ; en un mot, elles demeurent toute leur vie de grands enfants » (« Sur les femmes », Parerga et Paralipomena). Au firmament des philosophes misogynes, Schopenhauer. Pourquoi tant de sarcasmes ?
* Les notions et les penseurs de l'amour Par Martin Duru
* Schopenhauer et l’amour dans la «Métaphysique de l’amour» Par Frédéric Schiffter
Selon Auguste Comte, les philosophes matérialistes auraient la spécialité de rappeler l’origine terre à terre des idéaux – d’«expliquer le supérieur par l’inférieur». Schopenhauer avait surtout la manie de saccager les rêves – pour reprendre un mot de Maupassant. Or à quoi rêvent les humains si ce n’est à l’amour, cette passion que romanciers et poètes exaltent, magnifient, sacralisent, comme si elle haussait la vie au-dessus du prosaïsme des jours rythmés par la douleur et l’ennui ?
* Arthur Schopenhauer. L’œuvre Par Martin Duru
« Le Monde comme volonté et comme représentation » est le chef-d’œuvre de Schopenhauer. Après la première édition de 1818, il en fait paraître une seconde en 1844 (avec un deuxième tome constitué d’importants suppléments aux quatre livres du texte initial), puis une troisième en 1859, un an avant sa mort.
* Arthur Schopenhauer. Biographie Par Martin Duru
* Arthur Schopenhauer. Extraits Par Martin Duru
+ livret n° 71, Schopenhauer et l’amour dans la « Métaphysique de l’amour », préface de Frédéric Schiffter
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101731
in Philosophie magazine > 71 [01/08/2013] . - p. 78-83 + livret (16 p.)[article] Schopenhauer et l’amour [texte imprimé] . - 2013 . - p. 78-83 + livret (16 p.).
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 71 [01/08/2013] . - p. 78-83 + livret (16 p.)
Mots-clés : 929 Schopenhauer, Arthur (1788-1860) 159.942 Emotions / Sentiments / Sensations Résumé : Schopenhauer et l’amour
Il est à l’origine de nos joies les plus intenses, de nos tourments les plus aigus aussi. On le chante, on le célèbre, on le cherche, (parfois) on le trouve – en été, par exemple, saison reine de son épanchement. Ah, l’amour… Accès de romantisme ? Voici un philosophe qui ne s’en laisse pas compter. Pessimiste devant l’éternel, considérant la vie comme une suite de souffrances et de tracas, Schopenhauer déboulonne l’idole. Ne lui parlez pas de beaux sentiments, d’élans éthérés : pour lui, l’amour est essentiellement affaire de libido, avec le désir de reproduction dans le viseur. Tel est l’enseignement de sa « Métaphysique de l’amour », présentée dans le cahier central par l’un de ses plus grands admirateurs, Frédéric Schiffter. Désenchanteur, déprimant, Schopenhauer ? Pas forcément, répond le philosophe Alain de Botton, qui voit dans le sombre penseur allemand un grand consolateur… parce qu’il nous libère de nos illusions et de nos prétentions inconsidérées au bonheur. Dès lors, avant une séance de relaxation, voire de séduction, sur une plage, oserez-vous la cure Schopenhauer ?
Note de contenu : Articles :
* Métaphysique de l’amour Par Martin Duru, Myriam Dennehy
Voilà l’été, les oiseaux chantent, vous venez juste de tomber amoureux. Quel miracle ! Quel mystère ! Vous ne cessez de vous demander, émerveillé : “Pourquoi elle ?” ; “pourquoi lui ?” Je ne voudrais pas refroidir vos ardeurs, mais sachez qu’en général, les philosophes ne s’embarrassent guère de ces broutilles.
* « Femmes, je vous hais » Par Martin Duru
« Les femmes sont le sexus sequior, le sexe second à tous égards, fait pour se tenir à l’écart et au second plan » ; elles sont « puériles, futiles et à courte vue ; en un mot, elles demeurent toute leur vie de grands enfants » (« Sur les femmes », Parerga et Paralipomena). Au firmament des philosophes misogynes, Schopenhauer. Pourquoi tant de sarcasmes ?
* Les notions et les penseurs de l'amour Par Martin Duru
* Schopenhauer et l’amour dans la «Métaphysique de l’amour» Par Frédéric Schiffter
Selon Auguste Comte, les philosophes matérialistes auraient la spécialité de rappeler l’origine terre à terre des idéaux – d’«expliquer le supérieur par l’inférieur». Schopenhauer avait surtout la manie de saccager les rêves – pour reprendre un mot de Maupassant. Or à quoi rêvent les humains si ce n’est à l’amour, cette passion que romanciers et poètes exaltent, magnifient, sacralisent, comme si elle haussait la vie au-dessus du prosaïsme des jours rythmés par la douleur et l’ennui ?
* Arthur Schopenhauer. L’œuvre Par Martin Duru
« Le Monde comme volonté et comme représentation » est le chef-d’œuvre de Schopenhauer. Après la première édition de 1818, il en fait paraître une seconde en 1844 (avec un deuxième tome constitué d’importants suppléments aux quatre livres du texte initial), puis une troisième en 1859, un an avant sa mort.
* Arthur Schopenhauer. Biographie Par Martin Duru
* Arthur Schopenhauer. Extraits Par Martin Duru
+ livret n° 71, Schopenhauer et l’amour dans la « Métaphysique de l’amour », préface de Frédéric Schiffter
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101731 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Empruntable sur demande auprès des documentalistes
Disponible