[article]
Titre : |
La mondialisation des épidémies [Dossier] |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p. 14-31 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Comment se propagent les épidémies ? De quelles nouvelles armes disposent les chercheurs pour lutter contre ces fléaux ? Voici ce que La Recherche vous propose de découvrir dans son nouveau hors-série.
La mondialisation des épidémies. Quel est le point commun entre les virus et l’obésité ? Leur capacité à se répandre de manière incontrôlée dans de multiples régions du monde. A la faveur du déploiement des transports, qui transforme la planète en un village global, pour les virus : après avoir été identifié en 1947 en Afrique, Zika a ainsi infecté la Polynésie françaises en 2013 avant de gagner, depuis 2015, l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale. A la faveur d’un changement de mode de vie pour l’obésité : l’expansion de cette maladie, non infectieuse mais sociétale, gagne tous les pays au fur et à mesure qu’ils se développent.
Les modes de transmission. Virus, bactérie, parasite… à chaque maladie, son moyen de contamination. Certaines emploient des vecteurs comme le moustique, responsable de plus d’un millions de morts chaque année. D’autres se transmettent d’homme à homme, voire d’une génération à l’autre, comme le diabète de type 2. La durée d’incubation varie beaucoup : deux jours pour la grippe et jusqu’à dix ans pour le sida. Autant de paramètres étudiés de près par les épidémiologistes pour tenter d’enrayer le processus.
Les nouveaux traitements. Face à la recrudescence des épidémies, les scientifiques mettent les bouchées doubles. On aimerait qu’ils aillent encore plus vite, mais des progrès sont notables : bientôt un vaccin opérationnel contre Ebola après des essais positifs en Guinée ; les résultats exceptionnels d’un traitement préventif contre le sida pour des personnes à risque ; l’étude du microbiote, notre flore intestinale, qui laisse entrevoir une solution contre l’obésité… Sans compter les moustiques OGM qui pourraient stopper un jour le paludisme ou la dengue.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=75434 |
in La Recherche. Hors-série > Hors-série19 (Octobre-novembre 2016) . - p. 14-31
[article] La mondialisation des épidémies [Dossier] [texte imprimé] . - 2016 . - p. 14-31. Langues : Français ( fre) in La Recherche. Hors-série > Hors-série19 (Octobre-novembre 2016) . - p. 14-31
Résumé : |
Comment se propagent les épidémies ? De quelles nouvelles armes disposent les chercheurs pour lutter contre ces fléaux ? Voici ce que La Recherche vous propose de découvrir dans son nouveau hors-série.
La mondialisation des épidémies. Quel est le point commun entre les virus et l’obésité ? Leur capacité à se répandre de manière incontrôlée dans de multiples régions du monde. A la faveur du déploiement des transports, qui transforme la planète en un village global, pour les virus : après avoir été identifié en 1947 en Afrique, Zika a ainsi infecté la Polynésie françaises en 2013 avant de gagner, depuis 2015, l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale. A la faveur d’un changement de mode de vie pour l’obésité : l’expansion de cette maladie, non infectieuse mais sociétale, gagne tous les pays au fur et à mesure qu’ils se développent.
Les modes de transmission. Virus, bactérie, parasite… à chaque maladie, son moyen de contamination. Certaines emploient des vecteurs comme le moustique, responsable de plus d’un millions de morts chaque année. D’autres se transmettent d’homme à homme, voire d’une génération à l’autre, comme le diabète de type 2. La durée d’incubation varie beaucoup : deux jours pour la grippe et jusqu’à dix ans pour le sida. Autant de paramètres étudiés de près par les épidémiologistes pour tenter d’enrayer le processus.
Les nouveaux traitements. Face à la recrudescence des épidémies, les scientifiques mettent les bouchées doubles. On aimerait qu’ils aillent encore plus vite, mais des progrès sont notables : bientôt un vaccin opérationnel contre Ebola après des essais positifs en Guinée ; les résultats exceptionnels d’un traitement préventif contre le sida pour des personnes à risque ; l’étude du microbiote, notre flore intestinale, qui laisse entrevoir une solution contre l’obésité… Sans compter les moustiques OGM qui pourraient stopper un jour le paludisme ou la dengue.
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