Effects of stretching vs. in Hatha yoga people with mild to moderate Parkinson's disease: A randomized controlled trial / C. Ayan in Science & sports, Vol.38 N°5-6 (août 2023)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.38 N°5-6 (août 2023) . - p. 631-635 Titre : Effects of stretching vs. in Hatha yoga people with mild to moderate Parkinson's disease: A randomized controlled trial Titre original : Effets du stretching comparé au Hatha yoga dans la maladie de Parkinson légère à modérée : essai contrôlé randomisé Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Ayan ; I. Bidaurrazaga-Letona ; A. Martin ; M. Lejonagoita-Garmendia ; J. Torres-Unda ; I. Esain Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 631-635 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Stretching  Yoga  Parkinson  Fonction motrice  Qualité de vie Résumé : Introduction Cette étude a été conçue pour comparer l’impact du stretching par rapport au Hatha yoga sur les résultats physiques, la qualité de vie et la fonction motrice des personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Résumé des faits et des résultats L’échantillon était composé de 23 patients atteints de la maladie de Parkinson répartis en 2 groupes : 11 dans le groupe stretching et 12 dans le groupe Hatha yoga. La fonction motrice, la qualité de vie, l’autonomie fonctionnelle, la flexibilité, la force musculaire du bas du corps, la vitesse de marche et le test stabilométrique ont été enregistrés. Le groupe stretching a subi des changements significatifs dans la fonction motrice (p<0,05), la flexibilité des membres supérieurs (p<0,05) et la force musculaire des membres inférieurs (p<0,001). Dans les deux groupes, des améliorations significatives (p<0,01) ont été observées dans l’autonomie fonctionnelle et la vitesse de marche. Cependant, l’analyse temps×groupe a montré que le groupe stretching avait de meilleurs résultats en autonomie fonctionnelle (p<0,05) et en vitesse de marche (p<0,05). Aucune différence significative n’a été observée dans le test stabilométrique. Conclusion Une séance hebdomadaire de Hatha yoga pourrait ne pas être suffisante pour entraîner des changements significatifs sur la fonction motrice, la qualité de vie, la condition physique, l’autonomie fonctionnelle et l’équilibre chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson légère à modérée. Le stretching est une approche de réhabilitation intéressante car il entraîne des changements significatifs sur la fonction motrice et la vitesse de marche. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112639 [article] Effects of stretching vs. in Hatha yoga people with mild to moderate Parkinson's disease: A randomized controlled trial = Effets du stretching comparé au Hatha yoga dans la maladie de Parkinson légère à modérée : essai contrôlé randomisé [texte imprimé] / C. Ayan ; I. Bidaurrazaga-Letona ; A. Martin ; M. Lejonagoita-Garmendia ; J. Torres-Unda ; I. Esain . - 2023 . - p. 631-635. Langues : Anglais (eng) in Science & sports > Vol.38 N°5-6 (août 2023) . - p. 631-635 Mots-clés : Stretching  Yoga  Parkinson  Fonction motrice  Qualité de vie Résumé : Introduction Cette étude a été conçue pour comparer l’impact du stretching par rapport au Hatha yoga sur les résultats physiques, la qualité de vie et la fonction motrice des personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Résumé des faits et des résultats L’échantillon était composé de 23 patients atteints de la maladie de Parkinson répartis en 2 groupes : 11 dans le groupe stretching et 12 dans le groupe Hatha yoga. La fonction motrice, la qualité de vie, l’autonomie fonctionnelle, la flexibilité, la force musculaire du bas du corps, la vitesse de marche et le test stabilométrique ont été enregistrés. Le groupe stretching a subi des changements significatifs dans la fonction motrice (p<0,05), la flexibilité des membres supérieurs (p<0,05) et la force musculaire des membres inférieurs (p<0,001). Dans les deux groupes, des améliorations significatives (p<0,01) ont été observées dans l’autonomie fonctionnelle et la vitesse de marche. Cependant, l’analyse temps×groupe a montré que le groupe stretching avait de meilleurs résultats en autonomie fonctionnelle (p<0,05) et en vitesse de marche (p<0,05). Aucune différence significative n’a été observée dans le test stabilométrique. Conclusion Une séance hebdomadaire de Hatha yoga pourrait ne pas être suffisante pour entraîner des changements significatifs sur la fonction motrice, la qualité de vie, la condition physique, l’autonomie fonctionnelle et l’équilibre chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson légère à modérée. Le stretching est une approche de réhabilitation intéressante car il entraîne des changements significatifs sur la fonction motrice et la vitesse de marche. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112639

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