Methods to calculate lower-body stretch–shortening cycle utilization in the vertical jump: Which is the best for athletes of different sports? / R.G. Gheller in Science & sports, Vol.38 N°5-6 (août 2023)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.38 N°5-6 (août 2023) . - p. 626-630 Titre : Methods to calculate lower-body stretch–shortening cycle utilization in the vertical jump: Which is the best for athletes of different sports? Titre original : Détermination de la meilleure méthode de calcul du cycle d’étirement–raccourcissement du bas du corps dans le saut vertical pour les athlètes de différents sports Type de document : texte imprimé Auteurs : R.G. Gheller ; R.L. Kons ; J. Dal Pupo ; D. Detanico Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 626-630 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Hauteur de saut  Indice élastique  Puissance de sortie  Performance de saut Résumé : Objectif Cette étude visait à vérifier si différentes méthodes de cycle d’étirement–raccourcissement (CDR), obtenues par le test de saut vertical, présentent les mêmes caractéristiques par une analyse de cohérence et d’accord, et à comparer les méthodes CDR entre des athlètes de sports différents. Synthèse des faits et des résultats Trois cent quarante et un athlètes masculins de trois groupes sportifs (sports de combat, sports d’équipe et coureurs) ont participé à cette étude. Les athlètes ont effectué les tests de saut de contre-mouvement et le saut de squat pour identifier le CDR en utilisant trois méthodes : l’indice de force réactive (IFR), le pourcentage d’augmentation avant l’étirement (PAL) et le taux d’utilisation excentrique (TUE). Les résultats ont démontré de très grandes corrélations entre les méthodes pour la hauteur de saut (r=0,96–0,98) et la puissance de sortie (r=0,95–0,98), un accord presque parfait pour la hauteur de saut (k=0,86–0,91) et un accord substantiel à presque parfait pour la puissance de sortie (k=0,77–0,92). Le IFR, le PAL et le TUE étaient plus élevés dans les sports d’équipe que les sports de combat pour la hauteur de saut (p=0,006, p=0,008, p=0,007, respectivement), le CDR était plus élevé pour les sports d’équipe que les sports de combat pour la puissance (p=0,041). Conclusion Les méthodes de CDR sont fortement corrélées et présentent un excellent accord. Les athlètes de sports d’équipe ont présenté une plus grande utilisation du CDR par rapport aux sports de combat, quelle que soit la méthode. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112637 [article] Methods to calculate lower-body stretch–shortening cycle utilization in the vertical jump: Which is the best for athletes of different sports? = Détermination de la meilleure méthode de calcul du cycle d’étirement–raccourcissement du bas du corps dans le saut vertical pour les athlètes de différents sports [texte imprimé] / R.G. Gheller ; R.L. Kons ; J. Dal Pupo ; D. Detanico . - 2023 . - p. 626-630. Langues : Anglais (eng) in Science & sports > Vol.38 N°5-6 (août 2023) . - p. 626-630 Mots-clés : Hauteur de saut  Indice élastique  Puissance de sortie  Performance de saut Résumé : Objectif Cette étude visait à vérifier si différentes méthodes de cycle d’étirement–raccourcissement (CDR), obtenues par le test de saut vertical, présentent les mêmes caractéristiques par une analyse de cohérence et d’accord, et à comparer les méthodes CDR entre des athlètes de sports différents. Synthèse des faits et des résultats Trois cent quarante et un athlètes masculins de trois groupes sportifs (sports de combat, sports d’équipe et coureurs) ont participé à cette étude. Les athlètes ont effectué les tests de saut de contre-mouvement et le saut de squat pour identifier le CDR en utilisant trois méthodes : l’indice de force réactive (IFR), le pourcentage d’augmentation avant l’étirement (PAL) et le taux d’utilisation excentrique (TUE). Les résultats ont démontré de très grandes corrélations entre les méthodes pour la hauteur de saut (r=0,96–0,98) et la puissance de sortie (r=0,95–0,98), un accord presque parfait pour la hauteur de saut (k=0,86–0,91) et un accord substantiel à presque parfait pour la puissance de sortie (k=0,77–0,92). Le IFR, le PAL et le TUE étaient plus élevés dans les sports d’équipe que les sports de combat pour la hauteur de saut (p=0,006, p=0,008, p=0,007, respectivement), le CDR était plus élevé pour les sports d’équipe que les sports de combat pour la puissance (p=0,041). Conclusion Les méthodes de CDR sont fortement corrélées et présentent un excellent accord. Les athlètes de sports d’équipe ont présenté une plus grande utilisation du CDR par rapport aux sports de combat, quelle que soit la méthode. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112637

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