Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Philosophie magazine . 45Paru le : 01/12/2010 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierThomas More, un humaniste en Utopie in Philosophie magazine, 45 ([01/12/2010])
[article]
Titre : Thomas More, un humaniste en Utopie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 68-78 + 16 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : More, Thomas (1478-1535) 321:172 Idéologie - Utopies 0(082) Critique / extrait document / citations Résumé : Thomas More : Utopie, mode d'emploi
Connaissez-vous l'île d'Utopie ? C'est une destination impossible à situer sur une carte, et néanmoins incontournable dans tous les guides de philosophie. Elle a été imaginée à la Renaissance par un grand humaniste anglais, qui allie la défense de la foi et le plaidoyer pour la raison. Chancelier du souverain Henri VIII avant d'être décapité sur ses ordres, Thomas More mène, dans un contexte historique troublé par les querelles religieuses, une réflexion sur les conditions d'un monde meilleur. L'Utopie, dont Antoine Hatzenberger nous propose la visite, est ce pays de nulle part où règnent l'harmonie sociale… et une organisation de la vie quotidienne planifiée à l'extrême. D'où le débat, sans cesse relancé et toujours ouvert : a-t-on affaire à un idéal de pluralisme et de justice, ou à une sorte de cauchemar pré-totalitaire ? Les deux, peut-être… Mais, comme le soulignent Michel Terestchenko et Philippe Van Parijs, le détour par l'utopie reste aujourd'hui obligatoire pour tous ceux qui veulent vivre et penser autrement.
Note de contenu : 3 articles composent ce dossier
- Thomas More
« Mon père se tiendrait-il d'un côté, et le diable de l'autre, mais sa cause étant juste, ce diable alors aurait raison », affirme Thomas More dans une lettre à son gendre. Humaniste, héraut du renouveau du savoir et défenseur de la foi chrétienne, ce juriste de renom, tenté par la vie monastique mais rattrapé par la vie politique, est «man of all seasons», selon son contemporain, l'écrivain Robert Whittington. «Homme de toutes les saisons», il surmonte les contradictions de son existence par une fidélité à sa seule conscience. Elle lui coûtera la vie.
- Le pays de nulle part / Antoine Hatzenberger
Imprégné de Platon et de l'humanisme chrétien, Thomas More compare dans son chef-d'oeuvre l'Angleterre déchirée de la Renaissance et une île bienheureuse, Utopia. Or, la pensée utopique, loin d'être une rêverie béate, tire sa force précisément de cette comparaison entre le réel et le souhaitable.
Plaisirs – utopie – République – Guerre – Lois – Religions – Travail
- « Il faut être utopiste, plus que jamais » : entretien avec Philippe Van Parijs
Philosophe et économiste belge de renommée internationale, il est professeur et responsable de la chaire Hoover d'éthique économique et sociale à l'université de Louvain. Auteur notamment de Qu'est-ce qu'une société juste ? (Seuil, 1991), il est le principal promoteur de l'allocation universelle (lire son livre avec Yannick Vanderborght, L'Allocation universelle, La Découverte, 2005).
+ livret : supplément 45 : l'Utopie (extraits) / Th More, trad. de Marie Delcourt et préface de Michel TerestchenkoPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101743
in Philosophie magazine > 45 [01/12/2010] . - p. 68-78 + 16 p.[article] Thomas More, un humaniste en Utopie [texte imprimé] . - 2010 . - p. 68-78 + 16 p.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 45 [01/12/2010] . - p. 68-78 + 16 p.
Mots-clés : More, Thomas (1478-1535) 321:172 Idéologie - Utopies 0(082) Critique / extrait document / citations Résumé : Thomas More : Utopie, mode d'emploi
Connaissez-vous l'île d'Utopie ? C'est une destination impossible à situer sur une carte, et néanmoins incontournable dans tous les guides de philosophie. Elle a été imaginée à la Renaissance par un grand humaniste anglais, qui allie la défense de la foi et le plaidoyer pour la raison. Chancelier du souverain Henri VIII avant d'être décapité sur ses ordres, Thomas More mène, dans un contexte historique troublé par les querelles religieuses, une réflexion sur les conditions d'un monde meilleur. L'Utopie, dont Antoine Hatzenberger nous propose la visite, est ce pays de nulle part où règnent l'harmonie sociale… et une organisation de la vie quotidienne planifiée à l'extrême. D'où le débat, sans cesse relancé et toujours ouvert : a-t-on affaire à un idéal de pluralisme et de justice, ou à une sorte de cauchemar pré-totalitaire ? Les deux, peut-être… Mais, comme le soulignent Michel Terestchenko et Philippe Van Parijs, le détour par l'utopie reste aujourd'hui obligatoire pour tous ceux qui veulent vivre et penser autrement.
Note de contenu : 3 articles composent ce dossier
- Thomas More
« Mon père se tiendrait-il d'un côté, et le diable de l'autre, mais sa cause étant juste, ce diable alors aurait raison », affirme Thomas More dans une lettre à son gendre. Humaniste, héraut du renouveau du savoir et défenseur de la foi chrétienne, ce juriste de renom, tenté par la vie monastique mais rattrapé par la vie politique, est «man of all seasons», selon son contemporain, l'écrivain Robert Whittington. «Homme de toutes les saisons», il surmonte les contradictions de son existence par une fidélité à sa seule conscience. Elle lui coûtera la vie.
- Le pays de nulle part / Antoine Hatzenberger
Imprégné de Platon et de l'humanisme chrétien, Thomas More compare dans son chef-d'oeuvre l'Angleterre déchirée de la Renaissance et une île bienheureuse, Utopia. Or, la pensée utopique, loin d'être une rêverie béate, tire sa force précisément de cette comparaison entre le réel et le souhaitable.
Plaisirs – utopie – République – Guerre – Lois – Religions – Travail
- « Il faut être utopiste, plus que jamais » : entretien avec Philippe Van Parijs
Philosophe et économiste belge de renommée internationale, il est professeur et responsable de la chaire Hoover d'éthique économique et sociale à l'université de Louvain. Auteur notamment de Qu'est-ce qu'une société juste ? (Seuil, 1991), il est le principal promoteur de l'allocation universelle (lire son livre avec Yannick Vanderborght, L'Allocation universelle, La Découverte, 2005).
+ livret : supplément 45 : l'Utopie (extraits) / Th More, trad. de Marie Delcourt et préface de Michel TerestchenkoPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101743 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtVivre (et mourir) pour une idée / Martin Duru in Philosophie magazine, 45 ([01/12/2010])
[article]
Titre : Vivre (et mourir) pour une idée : suivi de « Ni Badiou ni maître ». Badiou partie 2 Type de document : texte imprimé Auteurs : Martin Duru, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 32-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : 329.15 Tendance communiste / Communisme (politique) / extrême gauche 14 Communisme (philosophie, idéologie) Badiou, Alain (1937-....) Résumé : Après une première immersion le mois dernier dans la pensée d'Alain Badiou, l'enquête se poursuit et s'achève avec, pour question centrale, la fidélité. Tristan Garcia présente
ce concept essentiel dans son oeuvre. Puis le philosophe Mehdi Belhaj Kacem, ancien disciple, révèle les raisons qui l'ont poussé à rompre avec lui. Être ou ne pas être fidèle à Badiou, telle est la question.
Dossier coordonné par Martin Duru
Le mois dernier, nous proposions le premier volet d'une introduction à la pensée d'Alain Badiou (mis en ligne sur www.philomag.com), avec une idée simple : Badiou, chacun a une opinion sur lui, mais personne ou presque ne l'a vraiment lu car il est trop difficile d'accès. Aussi, nous voulions offrir les clés de son système. La première partie de cette analyse, réalisée par le philosophe et romancier Tristan Garcia, repérait les sources de son oeuvre, de l'existentialisme sartrien à la psychanalyse lacanienne, et exposait l'armature de son système métaphysique, construit autour de deux notions clés : l'être, compris comme une structure mathématique, et l'événement. Dans un entretien, l'un de ses principaux critiques, Philippe Raynaud, montrait comment ce système complexe, réputé génial, était directement relié aux engagements politiques radicaux du philosophe, sujets à polémique et attaqués, comme son soutien indéfectible au maoïsme et, aujourd'hui, à « l'hypothèse communiste ». Dans ce second volet, nous abordons un thème central chez Badiou : celui de la fidélité, en tant qu'elle donne sens à l'existence. Pour compléter, et en quelque sorte incarner le propos, nous avons voulu rencontrer son disciple le plus brillant, le philosophe franco-tunisien Mehdi Belhaj Kacem. Et là, surprise : il nous révèle qu'après une décennie d'étude acharnée de l'oeuvre, il a rompu violemment avec Alain Badiou, à la fois humainement et philosophiquement. Mehdi Belhaj Kacem s'explique sur les raisons de ce clash dans un entretien sans concession (lire page 36). Cette annonce donne un relief inattendu au thème badiousien de la fidélité.Note de contenu : Badiou acte II :
- Vivre (et mourir) pour une idée / Tristan Garcia
- « Ni Badiou ni maître » / Mehdi Balhaj Kacem
Pour Mehdi Belhaj Kacem, la lecture d'Alain Badiou a été un choc. Aujourd'hui, la rupture avec celui qui fut son maître à penser est consommée. Une rupture en forme d'« infidélité » qui résonne comme un événement.
Propos recueillis par Martin Duru
Né en 1973, Mehdi Belhaj Kacem s'est fait connaître à 20 ansavec son premier roman, Cancer (Tristram, 1994). Figure de l'avant-garde, auteur de fictions expérimentales (Vies et mort d'Irène Lepic, Tristram, 1996) et membre de l'ancien collectif radical Tiqqun, il bascule vers la philosophie avec L'Antéforme ou Esthétique du chaos (Tristram, 1997 et 2000). La découverte de Badiou joue alors un rôle de boussole. « MBK » commente passionnément L'Être et l'Événement et en adopte le vocabulaire, comme dans Événement et Répétition (Tristram, 2004), préfacé par… Badiou, qui le présente comme un « corsaire du concept », à l'assaut de son système, « cargo » métaphysique. Un an après la publication de L'Esprit du nihilisme (Fayard, 2009), où MBK développe le concept de « nihilisme démocratique », coup de tonnerre : le pirate quitte le navire. En janvier paraîtra son Après Badiou (Grasset), qui créera des remous. En attendant, il présente ici ses arguments contre celui qui fut son père en philosophie… Chronique d'un éblouissement, autopsie d'un déchirement.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101747
in Philosophie magazine > 45 [01/12/2010] . - p. 32-37[article] Vivre (et mourir) pour une idée : suivi de « Ni Badiou ni maître ». Badiou partie 2 [texte imprimé] / Martin Duru, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2010 . - p. 32-37.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 45 [01/12/2010] . - p. 32-37
Mots-clés : 329.15 Tendance communiste / Communisme (politique) / extrême gauche 14 Communisme (philosophie, idéologie) Badiou, Alain (1937-....) Résumé : Après une première immersion le mois dernier dans la pensée d'Alain Badiou, l'enquête se poursuit et s'achève avec, pour question centrale, la fidélité. Tristan Garcia présente
ce concept essentiel dans son oeuvre. Puis le philosophe Mehdi Belhaj Kacem, ancien disciple, révèle les raisons qui l'ont poussé à rompre avec lui. Être ou ne pas être fidèle à Badiou, telle est la question.
Dossier coordonné par Martin Duru
Le mois dernier, nous proposions le premier volet d'une introduction à la pensée d'Alain Badiou (mis en ligne sur www.philomag.com), avec une idée simple : Badiou, chacun a une opinion sur lui, mais personne ou presque ne l'a vraiment lu car il est trop difficile d'accès. Aussi, nous voulions offrir les clés de son système. La première partie de cette analyse, réalisée par le philosophe et romancier Tristan Garcia, repérait les sources de son oeuvre, de l'existentialisme sartrien à la psychanalyse lacanienne, et exposait l'armature de son système métaphysique, construit autour de deux notions clés : l'être, compris comme une structure mathématique, et l'événement. Dans un entretien, l'un de ses principaux critiques, Philippe Raynaud, montrait comment ce système complexe, réputé génial, était directement relié aux engagements politiques radicaux du philosophe, sujets à polémique et attaqués, comme son soutien indéfectible au maoïsme et, aujourd'hui, à « l'hypothèse communiste ». Dans ce second volet, nous abordons un thème central chez Badiou : celui de la fidélité, en tant qu'elle donne sens à l'existence. Pour compléter, et en quelque sorte incarner le propos, nous avons voulu rencontrer son disciple le plus brillant, le philosophe franco-tunisien Mehdi Belhaj Kacem. Et là, surprise : il nous révèle qu'après une décennie d'étude acharnée de l'oeuvre, il a rompu violemment avec Alain Badiou, à la fois humainement et philosophiquement. Mehdi Belhaj Kacem s'explique sur les raisons de ce clash dans un entretien sans concession (lire page 36). Cette annonce donne un relief inattendu au thème badiousien de la fidélité.Note de contenu : Badiou acte II :
- Vivre (et mourir) pour une idée / Tristan Garcia
- « Ni Badiou ni maître » / Mehdi Balhaj Kacem
Pour Mehdi Belhaj Kacem, la lecture d'Alain Badiou a été un choc. Aujourd'hui, la rupture avec celui qui fut son maître à penser est consommée. Une rupture en forme d'« infidélité » qui résonne comme un événement.
Propos recueillis par Martin Duru
Né en 1973, Mehdi Belhaj Kacem s'est fait connaître à 20 ansavec son premier roman, Cancer (Tristram, 1994). Figure de l'avant-garde, auteur de fictions expérimentales (Vies et mort d'Irène Lepic, Tristram, 1996) et membre de l'ancien collectif radical Tiqqun, il bascule vers la philosophie avec L'Antéforme ou Esthétique du chaos (Tristram, 1997 et 2000). La découverte de Badiou joue alors un rôle de boussole. « MBK » commente passionnément L'Être et l'Événement et en adopte le vocabulaire, comme dans Événement et Répétition (Tristram, 2004), préfacé par… Badiou, qui le présente comme un « corsaire du concept », à l'assaut de son système, « cargo » métaphysique. Un an après la publication de L'Esprit du nihilisme (Fayard, 2009), où MBK développe le concept de « nihilisme démocratique », coup de tonnerre : le pirate quitte le navire. En janvier paraîtra son Après Badiou (Grasset), qui créera des remous. En attendant, il présente ici ses arguments contre celui qui fut son père en philosophie… Chronique d'un éblouissement, autopsie d'un déchirement.
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